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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 23 juin 2024

Quelques news « scientifiques »

Des « news » parfois surprenantes…
 
Dans le cadre de mes « pôles d’intérêt » prioritaires, on m’a signalé que bon nombre de géniteurs disent que la paternité est l’une des plus belles choses au monde.
Oui, bon… Admettons, mais c’est surtout le début d’une période sans fin qui génèrera des emmerdements considérables et inattendus. Mais en général, on y fait face.
Mais cet état pourrait-il toutefois provoquer le pire ?
Bé oui, justement…
 
La paternité serait en tout cas à l’origine de changements au niveau cardiaque. Si l’on en croit les résultats de la première étude menée aux États-Unis sur la paternité et la santé cardiovasculaire, les pères auraient à long terme une moins bonne santé cardiaque que les autres : Je confirme, merci !
C’est le résumé d’une récente étude qui s’est focalisée sur les données recueillies auprès de 2.814 hommes âgés de 45 à 84 ans, ayant été suivis pendant dix-huit années.
Leur santé cardiaque a été évaluée à l’aide d’une combinaison d’auto-évaluations basées sur leur régime alimentaire, leur rapport à l’exercice physique et leurs habitudes tabagiques. Plusieurs mesures ont aussi été effectuées : Elles portaient sur l’indice de masse corporelle, la pression artérielle, le cholestérol et les niveaux de glucose dans le sang, etc.
 
Il en ressort que le stress et les responsabilités liées à la parentalité pourraient rendre plus difficile le maintien d’habitudes bonnes pour le cœur : « Les changements que nous avons constatés au niveau de la santé cardiaque suggèrent que la responsabilité supplémentaire de s’occuper des enfants et le stress de la transition vers la paternité peuvent rendre difficile pour les hommes le maintien d’un mode de vie sain, comme une alimentation saine et de l’exercice », en dit le principal auteur de cette étude, un pédiatre de l’université Northwestern.
Outre le fait que la santé cardiaque est généralement moins bonne chez les pères que chez ceux qui n’ont jamais été parents, elle est encore plus préoccupante chez les hommes qui sont devenus pères à l’âge de 25 ans ou avant !
Les pôvs’.
 
Selon l’équipe qui est à l’origine de cette étude, une série de facteurs pourrait expliquer ces statistiques : Les jeunes pères sont peut-être moins stables financièrement, par exemple, et moins susceptibles d’être flexibles lorsqu’il s’agit de s’absenter du travail.
Pour autant, les données ne prouvent pas un lien direct de cause à effet, et les différences de santé entre les groupes, bien que statistiquement significatives, ne sont heureusement pas énormes.
Les maladies cardiaques étant la principale cause de décès chez les hommes aux États-Unis, l’association entre les deux variables mériterait probablement d’être mieux étudiée.
Par ailleurs, les chercheurs soulignent le fait que la santé des pères n’affecte pas seulement les hommes eux-mêmes, mais également les familles dans leur ensemble. Ainsi, le pédiatre considère que l’on s’intéresse à tort davantage à la santé des mères et des enfants : « Pour améliorer la santé des familles, nous devons tenir compte de la relation multiple entre les mères, les pères, les autres personnes qui s’occupent des enfants et les enfants. »
Effectivement, c’est un ensemble : Il ne faut pas être sorti de Saint-Cyr pour le comprendre…
Toutefois, la santé des gamins doit primer ainsi que celle de leur mère, à mon sens.
 
Mais il n’y a pas eu que ça d’intéressant à vous signaler dans les semaines passées.
Ainsi, si l’on veut préserver sa santé cardiaque (quand on est un mâle appelé à devenir père), peut-être qu’il faudrait éviter de faire des enfants (ce qui est une ânerie, mais bon… passons !) et pour ça, sans se ménager pour autant, avoir des coïts inféconds…
Parce que bon, chacun sait que nous ne sommes que des bêtes et que la vie étant trop courte, il faut pouvoir en jouir le plus souvent possible…
Alors certes, on peut « coïter-couvert », mais on peut aussi s’imaginer de retenir ses éjaculats… mais ça peut devenir problématique dans la tête de Madame.
D’autant qu’à l’inverse, l’éjaculation prématurée peut aussi devenir un sujet d’inquiétudes chez l’homme et parfois de tension au sein des couples, alors que cette problématique peut être abordée sereinement et résolue grâce à quelques méthodes éprouvées.
 
Est-il donc possible de retarder une éjaculation ?
Il faut dire que d’une part il est impossible de fixer une norme chronométrée dans vos ébats. C’est extrêmement variable d’un individu à un autre et même, chez un même individu, c’est extrêmement variable d’un moment à un autre.
Cela dépend aussi de la fréquence des rapports, de l’âge, du ou de la partenaire et de ses attentes, etc.…
La définition que l’on retient aujourd’hui pour caractériser une éjaculation précoce est basée sur le fait que, même si on ne peut pas donner de chiffre, l’éjaculation est quand même trop rapide et que cette situation entraîne une souffrance de l’individu et du couple.
L’absence de contrôle est le dernier élément qui intervient dans cette définition, qui reste tout de même assez floue.
 
En réalité, on ne peut pas contrôler l’éjaculation, car c’est une opération réflexe. Elle arrive à un moment où on a atteint un certain seuil d’excitation. C’est ce seuil qui est très variable d’un individu à l’autre, etc… Mais on peut apprendre à limiter l’excitation, pour qu’elle n’aille pas au-delà d’un certain niveau qui, s’il était atteint, entraînerait inéluctablement l’éjaculation.
S’il est possible d’apprendre à rester en-dessous de ce niveau. Hélas il n’existe ni méthode standard, ni formule chimique qui permettrait de régler le problème.
Un médicament de la famille des antidépresseurs aura été utilisé en « Gauloiosie-olympique » et dans d’autres pays pendant quelques années, mais il a été retiré du marché car il entraînait trop d’effets indésirables.
On peut penser d’ailleurs qu’on ne pourra jamais trouver un jour une molécule spécifique qui agira exclusivement sur le phénomène de l’éjaculation.
Quant aux produits vendus dans les sex-shops ou sur Internet, ils ne sont paraît-il pas efficaces, et peuvent même être dangereux.
 
Donc, globalement, les méthodes qui consistent à conditionner notre cerveau différemment de son conditionnement habituel sont les plus efficaces, mais il faut de l’entraînement. On parle là de toutes les techniques qui permettent d’améliorer les performances d’un cerveau : Les techniques physiques d’entraînement, de répétition, ou les techniques psychologiques d’apprentissage du laisser-aller, de la relaxation, de la sophrologie, de l’hypnose, etc.…
Bien utilisées, ces méthodes qui permettent de travailler sur le corps en passant par le cerveau sont très efficaces.
D’autant que l’éjaculation prématurée, c’est un peu comme si, à chaque fois que vous buvez du vin, vous aviez mal à la tête en dit un toubib.
« Vous allez développer une angoisse de la migraine qui fait qu’avant même d’avoir bu, vous avez mal à la tête. C’est de l’anxiété d’anticipation, qui crée un stress supplémentaire au fait d’être déjà stressé, et qui, dans le cas de l’éjaculation, la rend encore plus prématurée. Ce n’est pas une constante, mais la plupart des hommes concernés sont des anxieux. Les problèmes mécaniques sont exceptionnels. »
Je lui laisse la responsabilité de son propos de « spécialiste » : Pour ma part, même devant un verre, je n’ai aucune anxiété, pas même mal au crâne « par avance » (et même « par après ») !
 
Il nous en dit enfin qu’il faut pouvoir comprendre que la communication dans le couple est fondamentale. C’est la problématique de l’immense majorité des couples qui rencontrent des difficultés sexuelles : Ils ne se parlent pas directement !
Or, il faut aborder le sujet le plus vite possible, avec ses mots, en exprimant ce que l’on ressent.
Mais tout cela ne répond pas à la question : Est-il dangereux de retarder une éjaculation ? Eh bien non en dit la faculté de sciences.
On ne risque même pas de cancer de la prostate en apprenant à différer l’éjaculation.
Le risque, cependant, est d’aller vers le surcontrôle de l’excitation, qui peut finir par aboutir à l’anéjaculation : C’est quand on ne parvient plus à éjaculer, la meilleure des contraceptions, avec les « coïtus interrompus », l’éjaculation externe et la capote…
Tout ça pour éviter les problèmes cardiaques liés à la paternité, vous rappelle-je !…
 
À signaler toutefois, qu’on observe ce phénomène depuis quelques années chez des utilisateurs chroniques de pornographie, ceux qui régulent leur niveau d’excitation en fonction de ces images pornographiques et ne parviennent plus à atteindre un niveau d’excitation équivalent dans leur sexualité de couple, et donc à éjaculer.
Mais ce serait un phénomène minoritaire par rapport à l’éjaculation prématurée – on compte cent fois moins d’anéjaculation que d’éjaculation prématurée. Cependant, ce phénomène existerait et il serait difficilement réversible.
 
De toute façon, tout cela n’est jamais qu’un problème de kouillu, certes partagé, mais tout de même : On est assez loin du mystère des femmes-fontaines, absolument enivrant en soi…
Eh bien justement, il y a du nouveau depuis récemment : Mais je vous en reparlerai une autre fois, si je reviens… pour d’abord m’attarder rapidement sur l’orgasme féminin, puisqu’on est sur ce thème aujourd’hui.
C’est un vaste sujet qui suscite encore beaucoup de questions et de débats. S’il est avéré que les mécanismes physiques de l’orgasme chez les hommes et les femmes sont presque identiques, les recherches récentes indiquent que les orgasmes féminins sont d’une remarquable diversité quelles que soient leur origine ou leur intensité.
En bref, elles font bien mieux que leurs partenaires inséminateurs !
 
Et l’orgasme féminin recèle toujours de nombreux mystères. Il faut dire que la nature même de ce plaisir fait l’objet de débats depuis des siècles. Vaginale ou clitoridienne, la réalité de la jouissance féminine semble bien plus complexe que cela, comme le révèlent des chercheurs canadiens.
Je suis ainsi tombé sur une étude de l’Université Concordia qui fait état du vaste potentiel dont disposent les femmes pour éprouver leurs orgasmes à partir d’une ou de plusieurs sources de stimulation sensorielle.
En clair, l’orgasme ne serait, selon ces chercheurs, pas seulement clitoridien ou vaginal.
 
Ils ont ainsi passé plusieurs travaux au peigne fin. Lesquels s’attelaient à comprendre le plaisir féminin en tenant compte « du gland clitoridien (la partie externe du clitoris), de la région interne entourant le point G, du col de l’utérus et de la stimulation sensorielle de zones non génitales, comme les mamelons, le cou, etc.… ».
Résultat, pour ces « trouveurs », il n’existe pas un ou deux orgasmes uniques. « Le plaisir ne provient pas forcément d’un seul point », osent-ils avancer avec émotion.
Notez que nous, on savait déjà… et sans faire d’études neurologiques approfondies.
Car leurs recherches montrent en fait que la distinction entre différents orgasmes ne réside pas simplement entre les sensations générées au niveau du clitoris externe ou de la paroi interne du vagin : « C’est la stimulation de différentes sources qui induit le plaisir et l’orgasme. Cet ensemble varie sans aucun doute tout au long de la vie. De fait, les femmes vivent différents types d’orgasmes provoqués par différentes sensations, dans différents contextes et avec différents partenaires. »
 
Pour conclure, le principal auteur de cette étude explique que « la jouissance dépend tout d’abord de l’expérience de chaque femme. À l’égard de la stimulation clitoridienne ou vaginale. Mais aussi de son expérience concernant l’excitation de multiples zones non génitales comme les lèvres, les oreilles ou… les orteils ».
C’est bien un avis de kouillu un peu limité sous son béret que voilà.
Mais bon, faites moâ penser d’y revenir à l’occasion à la rentrée… si je rentre !
 
En attendant, passez une bonne fin de week-end toutes et tous !
Moâ, je devais remettre la « casa » de Balagne en route au moment où vous deviez lire ces lignes, mais je fais face à un changement abrupt et inopiné de programme : On se retrouve donc normalement demain !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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