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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 17 juin 2024

Parlons d’autre chose (1)…

Que des sales gosses qui se disputent les miettes !
 
Ils me désolent plus les uns que les autres : On n’a décidément jamais que ce qu’on mérite dans ce bas-monde. Et manifestement, nous « Gauloisiens-olympiques » on mérite peu, ça devient une certitude.
Alors parlons d’autre chose !
Qui me tient également à cœur : Quel avenir, non pas pour cet été (le mien est réglé : Je vais pour m’exiler au fond de mon maquis Corsu, et avec une partie de ma Nichée, en plus, car je ne comptais pas non plus assister au boxon que vont générer les JO dans ma ville, où déjà nombre de quartiers ne me sont plus accessibles), mais pour la fin de la décennie.
 
Jusque-là, ce qui aura été marquant dans les décennies d’alternance passées, ça aura été la désindustrialisation massive du pays, le chômage de masse des « masses laborieuses », la perte de compétitivité, la paupérisation des classes moyennes doublée d’une panne général de l’ascenseur social, d’un endettement public qui dépassent les bornes, d’un boulet fiscal toujours plus lourd, d’une perte de liberté de penser mais aussi et surtout d’entreprendre pour devenir toujours plus étroitement « normé » et j’en passe et des meilleures.
Le décrochage de mon pays (celui que j’aime temps et qui me le rend si peu) n’est pas provoqué par la mondialisation ou la concurrence internationale, mais par le choix d’un modèle politique et social qui a conduit à des impasses.
On est en plein dedans, encalminés entre des hauts-fonds, des courants contraires et des vents « qui refusent ».
Pourtant, je reste persuadé que mon pays (celui que j’aime temps et qui me le rend si peu…) est capable de mieux, de beaucoup mieux, d’infiniment mieux (seulement quand je reste très optimiste).
De toute façon, il mérite mieux, bien mieux et en plus il a les talents et les moyens pour le faire.
 
Car quand on regarde en arrière, ce qui a pu se passer ces 50 dernières années, on pourrait avoir finalement le sentiment d’une grande unité d’action entre la gôche et la droâte, comme dans une pièce de théâtre bien ficelée (unité de temps, d’action et de lieu…).
Si alternance il y a encore entre partis politiques, en revanche elle n’existe pas vraiment sur le plan des politiques économiques, sinon sociales avec une évolution générale plus ou moins analogue.
Des différences de degré sans doute, mais pas forcément de nature.
En réalité, il y a un fil rouge qui vient et qui revient, comme d’une ossature, une colonne vertébrale qui n’aura pas beaucoup variée : La politique du pays procède d’un modèle social basé uniquement sur l’endettement croissant, sur toujours plus d’impôt, et une étatisation envahissante en même temps que sclérosante…
 
Et la question est celle de l’évolution ou de la non-évolution structurelle de notre modèle social au regard du nouveau contexte économique des années 1980-2000 et au-delà dans lequel il se situe depuis le début de ce siècle.
Les historiens vont déjà de 1984 – le tournant de la rigueur – à 2017 – la fin de la présidence de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » et l’arrivée au pouvoir de « Jupiter ». C’est du « temps moyen », une temporalité qui n’est pas la courte durée du temps présent dans lequel chacun s’ébat et se débat, où les événements se bousculent sans hiérarchie et ni recul, et ce n’est pas non plus la « durée longue », qui tend à lisser les courbes et les perspectives, devenues presque « inévitables ».
Dés lors, on peut séquencer, périodiser, essayer de hiérarchiser les causalités structurantes qui sont à l’œuvre !
 
Cette moyenne durée de 30-40 ans, qui commence en fait en 1973, l’année du premier choc pétrolier, un changement de paradigme qui combine une mutation d’ordre économique, la globalisation économique de la planète et la réponse-adaptation qu’opèrent notre économie et notre État-providence, héritiers du modèle social construit en 1944-1945 et des Trente Glorieuses de la croissance et s’achèvent justement en 1973.
Ce sont les fameux cycles longs de Kondratiev qui sont à l’œuvre : 1914/1944, 1944/1973 ; 1973/2003 qui aura été bousculé par le 11 septembre 2001 qui aura ouvert, en avance sur le calendrier, un nouveau cycle qui se terminera en 2031 (ou 2034 s’il doit rattraper son avance à l’allumage de « l’accident » des Twins).
C’est l’affaire des générations qui passent (parce qu’on peut retrouver ses cycles dans les siècles précédents).
Sauf qu’avant la première guerre mondiale, chaque zone économique suivait ses propres cycles, sans coordination véritable, ce qui faisait qu’ils se voyaient moins.
Ils ont commencé à être clairs au moins en « Gauloisie-olympique » dès avant 1789 et jusqu’en 1869, auront « ralenti » l’allure ensuite, mais se sont retrouvés alignés avec la planète entière en 1914…
 
Aussi, avec le recul, on peut noter l’existence d’une quasi-incongruité à dire que la mondialisation a été le phénomène majeur de notre époque qui suit, plus précisément la seconde mondialisation, après la première, entamée au milieu du XIXème siècle qui avait été brisée par la guerre de 14-18.
La crise des années 30 et le recul général des échanges qu’ils ont entraîné, avec notamment la montée des protectionnismes, en aura été la conséquence et le terreau fertile de la crise suivante qui aura enflammé le monde entier une seconde fois à la fin de cette décennie-là.
J’espère que nos dirigeants auront appris des épreuves subies par leurs ancêtres…
Il faudrait d’ailleurs parler de globalisation (comme le font tous les pays, ceux de langue latine inclus) plutôt que de mondialisation qui recèle une dimension seulement territoriale.
Car la globalisation, c’est la mise en relation de tous les acteurs et parties du globe, ce qui les transforme fatalement, à la différence de la mondialisation qui laisse entendre que l’on se contenterait d’étendre des échanges de productions.
 
Cette globalisation qui débute dans les années 1970-1980 (donc avant la chute du mur de Berlin et l’effondrement de l’URSS qui n’y aura pas résisté) repose sur l’ouverture générale du monde avec l’abaissement continu des barrières douanières (les fameux « rounds » des GATT, l’ancêtre de l’OMC) et la déréglementation des économies corsetées d’après-guerre à partir de la dérégulation lancée par le président Jimmy Carter (dit la cacahouète) en 1978, poussé par une génération d’homme qui veulent en terminer avec les conflits majeurs…
 
En « Gauloisie-olympique » il existe une belle école géographique et économique qui analyse depuis longtemps ce phénomène de la mondialisation/globalisation, mais elle n’est guère lue par nos décideurs et le phénomène qu’elle analyse est donc mal expliqué à l’opinion publique.
Or, son premier rapport public sur le sujet date de 1993 est celui du sénateur « Gens-Art-huis » (rapporteur des lois de finances puis « sinistre de l’Économie » trois ans plus tard) qui était alors très hostile à la mondialisation à laquelle il attribue les problèmes de l’économie nationale et son chômage de masse (des « masses laborieuses »).
Cette « hyper-globalisation » qui saisit toute la planète, déjà affectée par la crise financière de 2008 va durer jusqu’au milieu des années 2010 : Brexit, présidence de « McDo-Trompe », montée des mesures protectionnistes et des risques géopolitiques, élection de Modi en Inde, arrivée de « Xi-Ping-pong » à Pékin, et bien naturellement de « Vlad-Poux-tine » qui lui accompagne cette transition, etc.
À croire que finalement, l’économie que personne ne semble dominer, prévoir ou domestiquer, génère toute seule la montée en puissance des personnels politiques qui doivent la gérer en fonction du vent du moment, et non pas l’inverse.
L’inverse serait que tous ces « politiques » soient crédités d’une capacité à influer la trajectoire des économies…
Erreur : L’économie n’obéit qu’à la démographie !
Remarquez, la démographie commande également au « politique »… donc il est normal qu’il y ait une « convergences » qui trouble la vue des meilleurs cerveaux jusqu’à en confondre les causes et les effets, tellement tout cela est intriqué…
 
Nous sommes désormais entrés dans un autre monde avec les « millénium » et maintenant leurs gamins. Or, confrontée à la lame de fond de la globalisation, la « Gauloisie-olympique » aura durablement souffert : Crise économique, désindustrialisation (plus marquée chez nous que chez nos voisins européens), chômage de masse « des masses laborieuses » (idem), déficit chronique du commerce extérieur, fin d’un budget excédentaire (à partir de 1978), essor de la dette, territoires et banlieues en déshérence, les « no-go-zones », les menaces terroristes sur les manifestations sportives, culturelles, etc.
Les Trente Glorieuses sont bien révolues : Ce sont plutôt les trente déprimantes avant de devenir les trente désespérantes…
D’autant que les générations qui prennent la place de leurs aînés – je l’ai entendu dans la bouche de « ma Nichée » – fantasment ce qu’étaient ces trente glorieuses où tout paraissait si facile et sans souci.
Elle se trompe : Pour avoir été à cheval sur la fin des trente glorieuses et passé mon bachot en 1975, je peux vous affirmer que rien n’était si simple que ça, au contraire : Mon premier boulot aura été d’aller pointé tous les huit jours à l’ANPE, sans pour autant être indemnisé, puisque je n’avais cotisé à rien jusque-là !   
 
Face à ce phénomène majeur et ce cycle économique particulier (les cycles de Kondratiev se subdivisent en deux cycles de 15 ans, des multiples de 5 ans qui sont eux-mêmes constitués de deux cycles : L’un de 3 ans de croissance, en principe, suivi d’un autre de 2 ans de récession et parfois inversement), on assiste à une étonnante suite de séquences politiques à partir des élections législatives de 1978.
Les dernières auxquelles une majorité sortante est reconduite : Quatre présidents de la République après « Giskar-A-la-barre », « Mythe-errant », le « Chi », « Bling-bling » et « Tagada-à-la-fraise-des-bois », mais aussi trois cohabitations et quinze « Premier sinistres », de « Pierrot-Mort-au-roy » à « Nanard-Caza-nova », soit une conduite des affaires de deux ans en moyenne…
Aucune majorité sortante n’est reconduite, les présidents réélus l’étant parfois contre leur « Premier sinistre » !!!…
Et puis on finit en beauté en renouant avec la reconduction de « Jupiter » pour un second mandat, qui part en vrille dès le début, sans majorité parlementaire, sanctionné lourdement dès le premier scrutin « sans enjeu » qui vient à passer !
Formidable…
 
Chez nous, on souligne la longévité des grandes figures politiques du continent : « Maggie-Tâte-Cher », « Hel-mout-Keuhl », « Tonio-Blaze », « Ange-là-Mère-Quelle »… mais sans parler d’autres dirigeants et en oubliant de signaler que s’ils ont duré au pouvoir, c’est parce qu’ils ont été réélus à plusieurs reprises par des électeurs satisfaits de leur action et de leurs résultats, eux !
Chez nous, la sortie récurrente des sortants traduit une méfiance systématique qui nourrit la désaffection démocratique et la montée du « national-populisme », notamment chez des classes populaires des « masses laborieuses », amères et désabusées…
Ce qui me fait bien rire : Si le « Air-haine » parvient à prendre Matignon début juillet (« Les loups sont entrés dans Paris, charmante Elvire », nous chantait Reggiani), ils feront comme les autres : Trois petits-tours à poser leurs étrons partout où on peut laisser « sa marque », et puis s’en iront…
 
Et ce sont les « Gauloisien-plus-Olympiques du tout » qui devront essuyer leurs désastres, dans les larmes et la sueur, écœurés et gonflés de relents d’acide gastrique, pour prendre en charge leurs derniers avatars qui sècheront au soleil des vanités disparues…
Notez, si c’est « Mes-Luches », ce sera pareil.
Sauf que la gôche au pouvoir, on connaît. L’extrême-droâte, on n’a plus essayé depuis le régime de Vichy et de Laval…
Ça va promettre !
 
Je vous laisse là : On reprendra la suite quand je serai de meilleure humeur et calmé.
Ne m’en voulez pas…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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