Un « pari fou » pour la presse étrangère…
« Séisme politique », « décision surprise », « pari
énorme »… les qualificatifs ne manquent pas parmi les médias étrangers pour
évoquer la décision de « Jupiter » de dissoudre l’Assemblée nationale
et de convoquer des élections législatives anticipées, quelques minutes après
la publication des premiers résultats du scrutin européen qui se tenait le 9
juin.
Il est bien le seul, parmi les 27, à avoir eu une telle réaction quasi-épidermique !
Quand je pense que le fondateur de la Vème République n’hésitait pas à démissionner s’il avait été désavoué dans les urnes…
Enfin passons : « Jupiter » reste ce qu’il est finalement… que je ne qualifierai pas aujourd’hui : Les poubelles de l’Histoire le feront pour moâ !
Cette annonce du chef d’État avisant de la dissolution,
dans son costume étroit aux épaules tombantes, est « peut-être une manière
pour Macron de montrer qu’il a entendu les critiques », évoque ainsi le
Washington Post, soulignant que la majorité présidentielle a essuyé un sérieux
revers aux scrutins des européennes : « Valy-Ailleurs », la tête de
liste « René-essence », avec à peine 15,2 % des suffrages, soit
moitié moins que la tête de liste du « Air-haine », et à peine mieux
que le candidat « P.Soce – Place Pue-blique » de « Raph-Glugluck-s’man »
à 14 %.
Comme quoi, à eux deux, ils font autant…
Le chef de l’État « parie peut-être sur le fait que les votes protestataires ont figuré en bonne place lors des élections au Parlement européen et que les gens pourraient voter différemment lorsqu’ils se concentreront sur la France ».
Clairement, oui : On est quasiment sûr et certain que le prochain premier sinistre qui va gouverner ne sera pas issu des rangs des « Jupitériens », même pas par voie de débauchage, mais bien un opposant à « Jupiter »… qu’il soit de droâte ou de gôche, d’ailleurs…
Dans les faits, les législatives prendraient alors la forme d’un référendum-sanction contre Jupiter.
Même à Washington, ils commencent à s’en persuader…
La dissolution est une prise de risques nous disent outre-Manche
les sujets de sa royale majesté britannique.
Ils en savent quelque chose, parce que chez eux aussi, on va voter début juillet, et aussi en avance sur le calendrier, et probablement pour un profond renversement de majorité : Le Labour est annoncé gagnant sur les Tories épuisés par une mandature mouvementée.
« Si le parti présidentiel perd aux législatives, Emmanuel Macron pourrait rester président, mais il aurait les mains liées », pointe le quotidien conservateur The Times.
Ce dernier évoque alors une théorie qui veut que le président « espère forcer les Républicains de centre droit à conclure un accord avec son camp centriste pour empêcher le rassemblement d’accéder au pouvoir. »
Il faudrait que « Chiotti » se fasse violer ou passe sous un train… Et possiblement qu’il en redemandera… Sauf que ce parti n’est déjà plus que l’ombre de lui-même et que le « Air-haine » lui fait aussi les yeux doux…
Ce qui va finir par le tuer définitivement !
Chose que je ne comprends pas, d’ailleurs : Pourquoi prendre un accord avec des ectoplasmes qui détruisent ce qui reste du gaullisme, alors qu’il leur prend des électeurs par camions à chaque élection ?
« Jupiter » devra miser « sa crédibilité politique sur un pari qui pourrait bien lui laisser une minorité réduite et un vote écrasant pour le RN », avance de son côté le journal libéral britannique The Economist.
Une hypothèse également partagée par le quotidien « Ritalien »
Il Giornale, qui souligne que « le pari du président français est désormais
de demander aux Français d’éloigner du pouvoir le parti du Rassemblement
national, et de chercher plutôt à élire une majorité plus large ».
Eh oui, la tactique qui a si bien réussie jusque-là à « Jupiter » : Faire barrage, être le seul qualifié à « faire barrage » pour être certain de gagner au second tour.
C’est le « Chi » qui avait organisé le premier cette tactique gagnante, en… 2002…
Pour le journal « ritalien » de « centre-droât », « lé courrier du soir » (Corriere della sera), « Jupiter » « joue la carte du désespoir d’une élection anticipée, dans laquelle il espère ranimer un improbable front républicain contre le Rassemblement national de Le Pen et l’étoile montante Bardella ».
Front Républicain, il va y avoir, mais ce n’est pas les siens qui l’animeront… Ce sera la « gôche soce et radicale » dans un front uni qui se prépare dans l’urgence !
Et ses candidats députés vont devoir se désister un à un, tellement ils sont devenus si peu crédibles et qu’ils font monter la fièvre avec toutes leurs réformes impopulaires jusque dans les foyers « catho-prout-prout »…
Cette décision politique est un « duel capital pour
la France et pour l’Europe », s’emporte le quotidien conservateur espagnol
ABC. « Si les alliés de Macron et les partis proeuropéens, à commencer par
le Parti socialiste, remportent les prochaines élections législatives, les
partisans de l’euro, de l’UE et de l’Alliance atlantique l’emporteront ».
Mais si le « Air-haine » venait à l’emporter, « l’onde de choc aurait des répercussions imprévisibles » sur la suite du quinquennat.
Oh que si elles sont prévisibles !
Mais de nombreux médias internationaux analysent alors
ce choix comme une tentative de « Jupiter » de sauver les trois
dernières années de son quinquennat. C’est « un pari fou : dribbler le
Rassemblement national en le prenant de vitesse », en imposant des
élections sur une échéance à très court terme, affirme le quotidien libéral
belge Le Soir, avec un président « Gauloisien-olympique » qui « endosse
la responsabilité » de la campagne à venir.
« L’animal politique, blessé, veut-il montrer qu’il rugit encore et qu’il peut s'imposer à nouveau au centre du jeu ? », s’interroge de son côté La Libre Belgique.
Ils sont drôles ces belges : Prendre de vitesse un parti et une organisation qui se prépare et n’attendait que ça depuis des années pour les réclamer durant la campagne d’ailleurs, alors que les siens sont encore les bottes collées dans la gadoue qu’ils trainent, ils ont un sens de l’humour déjanté, au « Libre-Bel-gique » !
Dans les faits, la victoire potentielle du « Air-haine »
aux législatives prochaines placerait le parti « nationalpopuliste »
en position de placer un premier ministre à Matignon.
Une hypothèse qui pourrait pourtant participer de la stratégie de « Jupiter » visant à décrédibiliser le « Air-haine », se qualifiant de « patriote et tricolore », analyse enfin The Times : « Certains commentateurs disent que Macron pourrait parier que si le rassemblement remporte les élections et se retrouve à diriger le pays en temps de crise, sa popularité chutera avant 2027, lorsque la France choisira son nouveau président », explique le quotidien britannique.
Nous l’avons tous pensé.
Je le disais encore mardi en soulignant que « Marinella-tchi-tchi », dans cette hypothèse, à prévu de ne pas se brûler les ailes et envoie au charbon sa « première gâchette » pour faire le ménage et se faire détester à Matignon (c’est formateur) pour ensuite reprendre son rôle de « première de cordée en 2027 » avec un programme renouvelé, affiné et surtout de nouveaux talents qui auront su se faire apprécier par l’opinion publique durant 3 ans, même s’ils sont issus de ses rangs.
Mais on peut aussi imaginer que le « Front du
refus » s’élargisse et emporte ces élections-là, pour revenir à une
cohabitation, facilitée, jupitérienne avec la « gôche-soce-&-radicale ».
La vie politique du pays retrouvera son aspect d’antan, un pays coupé en deux, entre « droâte et gôche », que toute une génération, voire deux, a su gérer…
Mais, parce qu’il y a un « mais », ce ne sera plus « Centre-droât » contre « Centre-gôche », mais un remix « droâte extrême » contre « Gôche-radicale ».
Les oppositions du centre n’existent plus, la faute à « Jupiter » qui les a phagocytées, digérées, éparpillées, pour s’en nourrir sans jamais avoir su construire un semblant de colonne vertébrale dogmatique : Là, les « jupitériens » sont des nuls, sur ce plan.
Des nains.
Des erreurs de casting…
Pas plus, d’ailleurs, que d’avoir su faire émerger des
talents nouveaux…
Personnellement, je pensais qu’on avait tout vu avec « Si-Bête-la-Diarrhée », mais on a eu encore pire ensuite, jusqu’à y compris quelques mignons qui avaient émargé à peu près chez tout le monde : Pensez donc que « Gaby-le-magnifique », par exemple, aura été militant au « P. soce » de 2006 à 2016, membre du cabinet de la « sinistre de la bonne santé » de 2012 à 2017, mais aussi parachuté conseiller municipal de Vanves depuis 2014, avant de rejoindre « Jupiter » dont il était le porte-la-parole en 2018 et membre du bureau exécutif des « marcheurs » à partir de 2021.
Et il va probablement se représenter dans la dixième circonscription du « Neuf-deux », le fief du « cousin Santini » qui déjeune souvent « Aux colonnes » avec ses propres mignons (dont « Gaby » a fait partie… au moins jusqu’à sa table méridienne : Monsieur le Maire à la « reconnaissance du ventre » chevillée au corps !).
Même que le « cousin », maire « d’Issy-les-Moules », il a été bien embêté de voir « sa cantine » fermée administrativement pour raisons sanitaires, avec une liste de 2 pages de motifs divers et avariés…
C’était pourtant bien pratique, avec sa terrasse permanente empiétant sur la chaussée devant la mairie… Alors la fermeture aura été levée dès le surlendemain, figurez-vous…
Mais de tout ça, la presse étrangère, et encore, je n’ai
pas fait un tour complet (je vous ai dit « un petit tour », je n’ai
même pas franchi le Rhin), ne peut pas en savoir…
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT
BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR
UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT «
NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Il est bien le seul, parmi les 27, à avoir eu une telle réaction quasi-épidermique !
Quand je pense que le fondateur de la Vème République n’hésitait pas à démissionner s’il avait été désavoué dans les urnes…
Enfin passons : « Jupiter » reste ce qu’il est finalement… que je ne qualifierai pas aujourd’hui : Les poubelles de l’Histoire le feront pour moâ !
Comme quoi, à eux deux, ils font autant…
Le chef de l’État « parie peut-être sur le fait que les votes protestataires ont figuré en bonne place lors des élections au Parlement européen et que les gens pourraient voter différemment lorsqu’ils se concentreront sur la France ».
Clairement, oui : On est quasiment sûr et certain que le prochain premier sinistre qui va gouverner ne sera pas issu des rangs des « Jupitériens », même pas par voie de débauchage, mais bien un opposant à « Jupiter »… qu’il soit de droâte ou de gôche, d’ailleurs…
Dans les faits, les législatives prendraient alors la forme d’un référendum-sanction contre Jupiter.
Même à Washington, ils commencent à s’en persuader…
Ils en savent quelque chose, parce que chez eux aussi, on va voter début juillet, et aussi en avance sur le calendrier, et probablement pour un profond renversement de majorité : Le Labour est annoncé gagnant sur les Tories épuisés par une mandature mouvementée.
« Si le parti présidentiel perd aux législatives, Emmanuel Macron pourrait rester président, mais il aurait les mains liées », pointe le quotidien conservateur The Times.
Ce dernier évoque alors une théorie qui veut que le président « espère forcer les Républicains de centre droit à conclure un accord avec son camp centriste pour empêcher le rassemblement d’accéder au pouvoir. »
Il faudrait que « Chiotti » se fasse violer ou passe sous un train… Et possiblement qu’il en redemandera… Sauf que ce parti n’est déjà plus que l’ombre de lui-même et que le « Air-haine » lui fait aussi les yeux doux…
Ce qui va finir par le tuer définitivement !
Chose que je ne comprends pas, d’ailleurs : Pourquoi prendre un accord avec des ectoplasmes qui détruisent ce qui reste du gaullisme, alors qu’il leur prend des électeurs par camions à chaque élection ?
« Jupiter » devra miser « sa crédibilité politique sur un pari qui pourrait bien lui laisser une minorité réduite et un vote écrasant pour le RN », avance de son côté le journal libéral britannique The Economist.
Eh oui, la tactique qui a si bien réussie jusque-là à « Jupiter » : Faire barrage, être le seul qualifié à « faire barrage » pour être certain de gagner au second tour.
C’est le « Chi » qui avait organisé le premier cette tactique gagnante, en… 2002…
Pour le journal « ritalien » de « centre-droât », « lé courrier du soir » (Corriere della sera), « Jupiter » « joue la carte du désespoir d’une élection anticipée, dans laquelle il espère ranimer un improbable front républicain contre le Rassemblement national de Le Pen et l’étoile montante Bardella ».
Front Républicain, il va y avoir, mais ce n’est pas les siens qui l’animeront… Ce sera la « gôche soce et radicale » dans un front uni qui se prépare dans l’urgence !
Et ses candidats députés vont devoir se désister un à un, tellement ils sont devenus si peu crédibles et qu’ils font monter la fièvre avec toutes leurs réformes impopulaires jusque dans les foyers « catho-prout-prout »…
Mais si le « Air-haine » venait à l’emporter, « l’onde de choc aurait des répercussions imprévisibles » sur la suite du quinquennat.
Oh que si elles sont prévisibles !
« L’animal politique, blessé, veut-il montrer qu’il rugit encore et qu’il peut s'imposer à nouveau au centre du jeu ? », s’interroge de son côté La Libre Belgique.
Ils sont drôles ces belges : Prendre de vitesse un parti et une organisation qui se prépare et n’attendait que ça depuis des années pour les réclamer durant la campagne d’ailleurs, alors que les siens sont encore les bottes collées dans la gadoue qu’ils trainent, ils ont un sens de l’humour déjanté, au « Libre-Bel-gique » !
Une hypothèse qui pourrait pourtant participer de la stratégie de « Jupiter » visant à décrédibiliser le « Air-haine », se qualifiant de « patriote et tricolore », analyse enfin The Times : « Certains commentateurs disent que Macron pourrait parier que si le rassemblement remporte les élections et se retrouve à diriger le pays en temps de crise, sa popularité chutera avant 2027, lorsque la France choisira son nouveau président », explique le quotidien britannique.
Nous l’avons tous pensé.
Je le disais encore mardi en soulignant que « Marinella-tchi-tchi », dans cette hypothèse, à prévu de ne pas se brûler les ailes et envoie au charbon sa « première gâchette » pour faire le ménage et se faire détester à Matignon (c’est formateur) pour ensuite reprendre son rôle de « première de cordée en 2027 » avec un programme renouvelé, affiné et surtout de nouveaux talents qui auront su se faire apprécier par l’opinion publique durant 3 ans, même s’ils sont issus de ses rangs.
La vie politique du pays retrouvera son aspect d’antan, un pays coupé en deux, entre « droâte et gôche », que toute une génération, voire deux, a su gérer…
Mais, parce qu’il y a un « mais », ce ne sera plus « Centre-droât » contre « Centre-gôche », mais un remix « droâte extrême » contre « Gôche-radicale ».
Les oppositions du centre n’existent plus, la faute à « Jupiter » qui les a phagocytées, digérées, éparpillées, pour s’en nourrir sans jamais avoir su construire un semblant de colonne vertébrale dogmatique : Là, les « jupitériens » sont des nuls, sur ce plan.
Des nains.
Des erreurs de casting…
Personnellement, je pensais qu’on avait tout vu avec « Si-Bête-la-Diarrhée », mais on a eu encore pire ensuite, jusqu’à y compris quelques mignons qui avaient émargé à peu près chez tout le monde : Pensez donc que « Gaby-le-magnifique », par exemple, aura été militant au « P. soce » de 2006 à 2016, membre du cabinet de la « sinistre de la bonne santé » de 2012 à 2017, mais aussi parachuté conseiller municipal de Vanves depuis 2014, avant de rejoindre « Jupiter » dont il était le porte-la-parole en 2018 et membre du bureau exécutif des « marcheurs » à partir de 2021.
Et il va probablement se représenter dans la dixième circonscription du « Neuf-deux », le fief du « cousin Santini » qui déjeune souvent « Aux colonnes » avec ses propres mignons (dont « Gaby » a fait partie… au moins jusqu’à sa table méridienne : Monsieur le Maire à la « reconnaissance du ventre » chevillée au corps !).
Même que le « cousin », maire « d’Issy-les-Moules », il a été bien embêté de voir « sa cantine » fermée administrativement pour raisons sanitaires, avec une liste de 2 pages de motifs divers et avariés…
C’était pourtant bien pratique, avec sa terrasse permanente empiétant sur la chaussée devant la mairie… Alors la fermeture aura été levée dès le surlendemain, figurez-vous…
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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