Jean-Marc rapporte les propos de Jean-Michel…

… Prof au collège Stanislas !
 
« Je fais l’appel tous les matins :
Mustapha El Ekhzeri ?
Présent !
Ahmed El Cabul ?
Présent !
Razzi Ballo Belkacem ?
Présent !
Khadir Sel Olhmi ?
Présent !
Mohamed Endharah ?
Présent !
Chanhira Amartthanyaku ?
Présent !
Mamadou Chaoui ?
Présent !
Diakaté Djibril ?
Présent !
Al In Ben-Oït ?
Et là, pas de réponse dans la classe…
Surpris j’appelle de nouveau Al In Ben-Oït ?
Ma classe reste toujours silencieuse…
Pour la dernière fois, je demande si Al In Ben-Oït est là où ?
Et alors, un gamin se lève au fond de la classe et me dit :
C’est peut-être moi, Monsieur.
Mais ça se prononce Alain Benoît ! »
C’est probablement une « revenue », mais elle est plus saisissante à l’oral :
On demande Ben-Jamin Bonna-Junta (il faut prononcer les « J » à l’espagnole, en « rota »)
Et ça se passait à Ajaccio, d’après Dumè…
 
Parmi les « revenues » du moment :
C’est l’histoire de cette portugaise qui entre dans un commissariat :
« — Bonchour ! Che fiens me plainde ke che me chuis fé fioler dans le buche !
— Comment ? Vous vous êtes fait violer dans le bus ?
— Oui ! Il y en a un ki a comanché à me carécher puis il a abuché de moi !
— Et personne n’est venu vous aider ?
— Non ! Les autres chont venu me fioler auchi !
— Mais, mais, vous n’avez pas crié ?
— Oh chi, chi, chi j’ai crié !
— Et vous avez crié quoi ?
— Mais léchez-moi, léchez-moi ! »
 
Deux petites vieilles, tape la discute au jardin public.
« — Marie-Josette, hier soir je t’ai vu sucer ton mari par la fenêtre !
— Et alors ? Quel mal à ça, Marie-Francette ? Je l’aime mon mari !
— Naturellement… Le problème c’est qu’il aurait dû être incinéré avec le reste de ton homme depuis des années… »
 
Deux petits vieux, sur le même banc, dans le même jardin public, se tape la discute à la mi-février…
« — Alors ? Tu as souhaité une bonne Saint-Valentin à ta petite femme, l’autre jour ?
— Bin elle ne s’appelle pas Valentin, ma femme… Mais Marinette !
T’es con ou quoi ? »
 
Dans le cadre des « revenues » :
L’institutrice pose un problème de calcul à sa classe :
« — Douze bouteilles de vin à dix euros, ça fait combien ?
— Chez nous à la maison, ça fait deux jours ! »
 
Jean-Marc indique à Jean-Paul qu’il a rencontré Jean-Étienne.
« — Et alors, comment va-t-il ?
— Il m’a dit, je le cite, ‘‘ j’habite dans la Mayenne’’…
— … Et alors, que veux-tu que ça me fasse que sa bite soit dans la moyenne ?
— T’es con ou tu deviens sourd. Ça veut dire qu’il a déménagé !
— Ah, j’avais mal compris ! »
 
Une archi-connue qui circule depuis plusieurs sources : L’histoire du mot de passe sécurisé !
Jean-Marc entre « Ananas ».
Réponse de la machine : « Désolé, votre mot de passe est trop court ! »
Ananas pelé.
« Désolé, votre mot de passe doit comporter au moins 1 chiffre »
1 ananas pelé.
« Désolé, votre mot de passe ne doit pas contenir d’espace ni de caractère spéciaux »
50putaindananaspelés
« Désolé, votre mot de passe doit avoir au moins une majuscule »
50PUTAINdananaspelés
« Désolé, votre mot de passe ne doit pas contenir de majuscules qui se suivent »
50PutainDananesPelesQueJeTeFourreDansLeCulSiTuNeValidePasMonMotDePasse!!!!
« Désolé, votre mot de passe ne doit pas contenir de ponctuation »
50PutainDananesPelesQueJeTeFourreDansLeCulSiTuNeValidePasMonMotDePasse
« Désolé, ce mot de passe est déjà pris. Veuillez en choisir un autre ! »
 
Un peu d’étymologie, pour changer :
La réforme imposée de l’orthographe prévoit de simplifier la langue française pour la rendre plus accessible aux ignares en échec scolaire.
Ainsi le « ph » de pharmacie sera remplacé par le « f » pour s’écrire « farmacie ».
Orthographe s’écrira « Ortografe ».
Et analphabète deviendra « analfabète ».
Pas de problème.
Toutefois, chaque mot du vocabulaire courant prend son sens dans ses racines.
Ainsi le mot analphabète est issu des deux premières lettres de l’alphabet Grec, alpha et beta précédées du préfixe privatif « a » qui lui donne son sens originel, à savoir : « qui ne connaît pas les lettres », donc qui ne sait ni lire ni écrire.
Par conséquent, si on écrit désormais « analfabète », ce mot prend un sens totalement différent.
Étymologiquement, en effet, « anal » se rapporte à l’anus.
« Fa » est la quatrième note de la gamme.
« Bête » est une personne un peu sotte sinon complètement stupide.
Par conséquent, « analfabète » désigne donc un con qui fait de la musique avec son trou de balle…
À ne pas confondre, naturellement, avec « les trous du cul » qui « pondent des réformes à la con ! » 
 
Jean-Paul chante parfois (avant les averses qu’il provoque ainsi…)
« Elle a les yeux camembert,
Elle a le regard qui pue !
Elle a pété la première,
J’ai senti, c’est foutu ! »
 
Jean-Marc à Jean-Paul…
« Mon toubib m’a interdit de soulever des objets lourds.
Depuis je pisse assis »
 
Après quelques bières, les mêmes…
Jean-Paul sort un sachet d’herbe séchée.
« — C’est quoi ?
— C’est du basilic jamaïcain rapporté des îles par mon neveu ! »
 
Jean-Paul raconte à Jean-Marc qu’il a une touche avec qui il a rendez-vous le soir même…
« — Je vais te lui faire un discours enflammant, ce sera irrésistible !
— Et si elle ne comprend que le français ? »
 
Plus tard, Germaine et Marie-Chantal devant quelques mignardises :
« Tu sais, très chère, quand les chiens s’ennuient, ils jouent avec leur queue…
Eh bien, j’ai découvert que les hommes c’est pareil ! »
 
Jean-Marc à Jean-Paul, devant une nouvelle tournée de bière…
« Tu sais… Nous en sommes arrivés à tel point que quand quelque chose de bien nous arrive, on se demande à quel moment ça va merder… »
 
Les mêmes, un peu plus tard…
« — Je n’arrive pas à comprendre comment je peux me souvenir des paroles d’une chanson d’il y a 30 ans et que je ne sais déjà plus pourquoi je vais dans la cuisine…
— C’est la vieillesse : Si tu vas dans la cuisine, c’est pour ouvrir une bière fraîche ! »
 
« Non, je dis ça, mais c’est comme moi ! Hier soir, j’ai voulu cuisiner avec du vin pour la première fois.
Après 8 verres, j’ai oublié pourquoi j’étais dans la cuisine ! »
 
Jean-Marc drague :
« — Comment une aussi jolie fille comme toi peut-elle être encore célibataire ?
— Lâche moi, vieux connard !
— Ah oui… Je comprends mieux, là ! »
 
Lu pour vous dans une brasserie cette devise :
« Il ne faut pas confondre ‘‘ivre de bonheur’’ et ‘‘ivre de bonne heure’’. »
 
Avis scientifique :
« D’après une étude scientifique très rigoureuse, les femmes qui ont un petit excès de gras vivent plus longtemps que les hommes qui le font remarquer… »
 
Jean-Marc avec Jean-Paul.
« — Je pense que je me ferai incinérer…
— Ah oui ? Et pourquoi ?
— Parce que je demanderai qu’on mette mes cendres dans un sablier et pas dans une urne !
— Quelle idée ! Et pourquoi ?
— Comme ça je pourrai continuer à jouer en famille aux jeux en société ou participer à la cuisine… »
 
Jean-Paul passe une annonce dans le journal local :
« Avis à la population : Je suis dans l’obligation de cesser toutes activités sexuelles par manque de personnel qualifié ! »
 
Pastiche :
La voiture électrique ayant roulé tout l’été,
Se trouva fort déchargée quand la bise fut venue…
Pas un seul kilowatt pour le chauffage,
Le siège chauffant et autre avantages…
Elle alla crier au secours chez diesel
Sa voisine la priant de la dépanner.
Lui prêter de quoi rouler
Et ce jusqu’à la saison prochaine.
Je m’arrangerai, lui dit-elle,
Je paierai votre diesel,
Intérêt et principal !
La voisine n’est pas rancunière,
C’est sa qualité première.
Que faisiez-vous au temps chaud
Dit-elle à l’e-merdeuse ?
Nuit et jour je roulais, ne vous en déplaise.
Vous rouliez, j’en suis fort aise.
Eh bien pédalez, maintenant !
 
C’est en cours d’Histoire, dans un collège déjà nommé :
« — Qui a cassé le vase de Soisson ?
— C’est pas moi, m’sieur » se défend Mohamed.
« C’est pas moi non plus ! » crie Rachid.
« Ni moi ! » hurle Naéma !
Et toute la classe braille et nie avoir cassé le vase, ce qui finit par anéantir le pov’ professeur qui n’en peut plus…
Le soir, après ses cours, il va raconter au directeur de l’établissement sous contrat ce qui s’est passé dans sa classe et le niveau catastrophique de ses élèves.
Le directeur lui dit :
« C’est trop grave, là ! Il faut prévenir l’inspecteur d’académie ! »
L’inspecteur vient le lendemain et après s’être fait relater l’épisode dans le détail conclut que :
« Ce manque de culture est alarmant ! Il faut en aviser le ministère ! »
Le lendemain, le recteur d’académie est à Paris(olympique), au ministère de l’éducation nationale.
Il rend compte à la ministre qui l’écoute avec attention.
Après un moment de réflexion, la ministre fouille son sac et en sort deux billets de 50 euros qu’elle tend au recteur en disant :
« Tenez, prenez cet argent. Vous rachèterez un autre vase que vous mettrez à la place du premier.
Vous ne dites rien à personne et on étouffe cette affaire… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, vidant leur dernière bière de l’après-midi :
« Tu sais, il paraît que quand ma Germaine veut se montrer vraiment méchante, eh bien même le diable s’assied pour prendre des leçons ! »
 
Bon début de week-end (ce soir) à toutes et tous !

Je vous rappelle qu'on vote ce week-end : L’avenir du pays tout entier en dépend !

 
I³
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)