Un G25 pour honorer les derniers vétérans !
C’était le 80ème anniversaire d’un débarquement en Normandie qui
aura grandement contribué à libérer l’Europe de la pieuvre
« nationale-socialiste » et on votait en « Batavie »… après
une campagne axée sur le conflit en Ukraine.
Leur « gôche » aura su gagner, mais d’une coutre tête, sur leur « nationaux-populistes » à eux…
Ce qui n’empêche pas presqu’un tiers des descendants de tout ce beau monde, de toujours voter chez nous-même en « Gauloisie-olympique » pour les héritiers du fascisme qui aura ensanglanté le continent européen : Ils sont simplement devenus « Nationalpopulistes », mais ça reste le même bois…
Point culminant des trois jours de commémoration sur les plages du
débarquement, la cérémonie de jeudi dernier a profité de la présence d’invités
de marque venus du monde entier.
Le roi Charles III et son épouse, la reine Camilla tout de blanc virginal vêtue (comme « Bibi » d’ailleurs), venus en voisin jusqu’à Ver-sur-Mer pour un traditionnel hommage au mémorial britannique de la commune du Calvados, en compagnie de notre « Jupiter » national.
Aura suivi l’hommage canadien avec le « Premier sinistre » Justin Trudeau et son homologue « Gauloisien-olympique », « Gaby-le-magnifique » à Courseulles-sur-Mer, et puis celui très attendu, en mémoire des nombreux soldats « ricains », « qui se foutait pas mal de toi… » venus mourir sur mes plages… « un jour où je n’y étais pas… », en présence de « Jo-Bail-dan » et de « Jupiter » au cimetière de Colleville-sur-Mer.
Ce cimetière-là, je peux vous dire qu’à chaque fois que j’y passe, il me fait pousser les larmes aux yeux : Il y a encore « des présences » qu’on ne retrouve pas nécessairement dans d’autres cimetières, civils ou militaires, qu’ils soient à Douaumont (quoique…) à Arlington, à Bevaux près de Verdun ou encore celui chinois de Nolette en baie de Somme, des « présences » qui « font mal ».
Ils sont là et c’est poignant !
La principale commémoration, qui a eu lieu dans l’après-midi à partir à
Omaha Beach, c’est le choc des générations qui s’attellent à cette «
pérégrination mémorielle » indispensable, mais sur trois jours. Notez que j’en
ai vu plein sur les trottoirs parigots-olympiques, qui en profitait pour venir
faire une reconnaissance des lieux « olympiques » plus quelques
monuments (et le fameux pont qui pourrait s’effondrer sur le parcours d’ouverture,
devant l’institut du monde arabe, pour cause de péniche qui a loupé le passage…),
dans une foutoir pas croyable de la circulation routière : Quand « Bail-dan »
se déplace, on ferme l’autoroute, dans les deux sens, et une partie du
périphérique… Une heure pour sortir de « Paris-olympique » là où je
mets 5 minutes à mâtine quand j’ai tous les feux verts d’affilée…
Traditionnellement invitée, au titre du lourd tribut payé par l’URSS (27
millions de morts tout de même…) lors de la Seconde Guerre Mondiale, la Russie aura
été la grande absente de ces commémorations, tout comme son chef d’État « Vlad-Poux-tine ».
« Les conditions ne sont pas réunies compte tenu de la guerre d’agression que mène la Russie contre l’Ukraine et qui s’est encore intensifiée ces dernières semaines » (pour quelques kilomètres carrés de plus…), a prévenu dès le mois de mai l’Élysée.
Il y a dix ans, « Vlad » était présent, dans un contexte pourtant tendu puisque la cérémonie avait eu lieu trois mois après l’annexion de la Crimée par Moscou.
La Russie avait ensuite été boudée en 2019, pour le 75ème anniversaire.
On aura fait le choix d’accueillir l’Ukraine, avec Volodymyr Zelensky et son prédécesseur Petro Porochenko. De quoi fournir une image forte à cette cérémonie, après deux ans de conflit en Ukraine qui ont ramené la guerre au centre des préoccupations européennes.
Et ça n’aura pas loupé dans les discours, jusque devant nos « députacrouilles »… enfin quelques-uns, parce qu’il y en a, les kons, qui ont voté avec les pieds et se sont faits « porter pâles »…
Ce serait quand même sympa que ceux-là demande l’asile politique à « Poux-tine », que les choses soient claires dans l’esprit des électeurs…
Mais bon, être « franc du collier », ce n’est pas le propre des « ânes qui reculent ».
En dehors de la Russie, mise au ban, ont été conviés le « Premier sinistre »
Rishi Sunak pour le Royaume-Uni qui aura boycotté les retrouvailles de
Colleville pour cause da campagne électorale, le chancelier « Groβ-Baffe-Tout-schuss »
pour la « Teutonnie », le président « Sergio-Matta-rel-là »
pour la « Ritalie », la présidente « Tzuzana Ča-caput-ová »
pour la Slovaquie et du président « Andrzej-Du-bas » pour la Pologne.
Mais pas que : La « Première sinistre » danoise, son homologue luxembourgeois, chefs du gouvernement Batave, norvégien et même Hellène (tous eux-mêmes en pleine campagne électorale, mais peut-être pas pour les mêmes enjeux.
Quant à la Nouvelle-Zélande, elle envoie son ambassadrice discuter de la « Kanakie-libre » avec « Jupiter » (qui n’en a rien à foutre…)
En leur qualité d’anciens présidents, « McDo-Trompe », « Barraque-Haut-Bas-Mât », « Double-Vue-Boubouche » ou encore « Clipe-Pine-tonne ont été conviés par les organisations de vétérans « ricains », mais ils ont été plusieurs à snober « le bidule ».
En plus des personnalités politiques de premier plan, les couronnes de
nombreux pays ont également été de sortie pour honorer « toutes les mémoires »
du Débarquement en Normandie. Si le roi Charles III n’a pas été présent jeudi
après-midi après avoir été « ému aux larmes » par un vétéran, son
fils aîné, le prince William, représentera bien le Royaume-Uni.
Le prince Albert II « de Konnac’ », le roi des Belges Philippe, le grand-duc Henri du Luxembourg, le souverain danois Frédéric X et le roi des « Bataves » Willem-Alexander ont aussi répondu présents.
Le roi de Norvège a été contraint de laisser sa place au prince héritier Haakon Magnus.
Bref, que du beau linge…
L’Australie aura même envoyé son Gouverneur général d’Australie, l’Union européenne son président du Conseil européen.
Et naturellement plus de 200 vétérans, les derniers témoins encore vivants du cirque de cette époque-là.
Dans dix ans, c’est sûr, ils seront nettement moins nombreux : On disait déjà ça il y a 10 ans (et ça s’est révélé exact…)
La température était douce, le soleil bien présent, le vent d’Ouest léger
qui poussait quelques nuées, mais la visibilité était excellente : Parfait
pour les shows et démonstration aériens, pour les défilés, cornemuses et
drapeaux au vent.
S’ils sont venus d’un peu partout, en car, en train, en avion, en voiture, ils sont repartis, pour « les puissants » en avion, pour un détour par « Paris-olympique » passablement entravée par les chantiers des JO : On monte des tribunes sur la place de la Concorde et encore ailleurs, côté Trocadéro et champ de Mars : Je ne peux pas vous dire, j’évite ces quartiers en semaine.
Mais « Jupiter » n’allait pas louper l’occasion de recevoir à l’Élysée le « Ricain » et l’Ukrainien afin de réaffirmer le soutien occidental à l’Ukraine et d’aborder les grandes crises internationales.
Depuis deux ans, l’Ukraine écrase toutes les réunions internationales. Les
commémorations du 80ème anniversaire du Débarquement sur les côtes
normandes n’ont pas échappé à la règle. C’est le grand rendez-vous géopolitique
à l’avant-veille (enfin… certains commencent déjà à voter) d’un scrutin qui
couvre tout le continent européen.
« Jupiter » veut afficher la poursuite de son soutien à Kiev et l’unité des alliés. Il aura abordé aussi les autres grandes crises internationales, notamment la guerre à Gaza et l’instabilité en Afrique avec le « Ricain » et promis quelques Mirage 2000-5. Des engins spécialement équipés pour l’interception aérienne. Mais globalement, si la brigade ukrainienne annoncée en formation en « Hexagonie olympique » touchera nos Mirages, ce sont probablement ceux des grecs qui leur seront refourgués… Ils ne vont plus en avoir l’usage pour toucher des zincs de 5ème génération d’ici la fin de l’année…
C’est que, par ailleurs, le « format Normandie », celui de 2014
aura vécu. Vous n’étiez peut-être pas nés à cette époque-là, mais
« Tagada-à-la-fraise-des-bois » quand il assumait son mandat de
« capitaine de pédalo » avait reçu « Mère-quelle » dans une
rencontre avec le président ukrainien, Petro Porochenko, tout juste élu après
la révolution pro-européenne de Maïdan et déjà « Vlad », qui ruait
dans les brancards, cherchant à gagner du temps sur le temps.
Le « processus de Normandie » avait débouché sur les accords de Minsk, aujourd’hui caducs, et n’a surtout pas empêché l’invasion de février 2022, alors qu’il y a 10 ans, le feu couvait dans le Donbass, savamment entretenu par « Poux-tine ». Depuis, les eaux de la relation franco-russe sont devenues rouge sang.
Après une année vaine passée à essayer d’amadouer le « popov » et à le ramener « dans le droit chemin », « Jupiter » avait abandonné ses illusions et aura durci sa position.
Il s’est rangé du côté des plus fervents soutiens de l’Ukraine, ce qui lui vaut l’amitié et la reconnaissance non seulement de Kiev, mais aussi des pays d’Europe de l’Est, dont la parole et la vision géopolitique avaient été longtemps méprisées.
Et quand on dit l’Est, on va jusqu’à Treriksrøysa, au fin fonds de la Finlande, à proximité du cercle polaire…
Depuis ce « format Normandie », l’Europe s’est aussi unie pour défendre la
cause et les valeurs démocratiques du président Ukrainien et le Russe a fait
l’objet d’un mandat d’arrêt de la Cour pénale internationale alors que ses
troupes se sont rendues coupables de crimes et de massacres contre des civils
ukrainiens.
Le président russe a également déclaré une « guerre hybride » à plusieurs pays européens, dont la « Gauloisie-olympique », et multiplié les menaces, y compris nucléaires, contre l’Occident.
En dix ans, les plages de Normandie semblent avoir vieilli d’un siècle et changé de monde. Ces commémorations « font écho à tous les combats de peuples et de nations qui aujourd’hui encore luttent pour exercer leur souveraineté et leur liberté contre l’oppression et la haine », explique-t-on Urbi et orbi à qui veut bien l’entendre.
Fidèle à sa politique du « en même temps® », « Jupiter »
explique ainsi souvent qu’il ne veut pas « insulter l’avenir ». C’est
sans doute le même raisonnement qui avait justifié la présence de l’ambassadeur
de « Gauloisie-olympique » en Russie, à l’inauguration du nouveau
mandat de « Poux-tine », le 7 mai dernier, alors que les autres
ambassades occidentales avaient boycotté la cérémonie, comme l’avait d’ailleurs
demandé le haut représentant de l’UE pour les affaires étrangères.
Mais alors pourquoi la position de l’Élysée a-t-elle changé pour ne pas inviter, ne serait-ce qu’une délégation à ces cérémonies normandes ?
L’Histoire jugera probablement plus tard, mais les raisons tombent sous le sens…
En attendant et dans la foulée, « Jupiter » a donné une
interview sur FR1 et TF2 afin justement d’évoquer la « situation
internationale » et notamment les conflits en Ukraine et dans la bande de
Gaza.
Nous y reviendrons… peut-être.
Une intervention que n’a pas manqué d’être vertement critiquée avant même d’avoir eu lieu, pas plusieurs responsables « Gauloisiens-olympiques » de l’opposition, à trois jours des élections européennes.
C’est fort drôle d’ailleurs : Pour la majorité présidentielle toutefois, l’intervention médiatique du chef de l’État a pour but de « réveiller les consciences ».
J’adore le plaidoyer « anti-national-populiste », même si c’est un peu tardif et surtout parfaitement hypocrite de la part de « Jupiter » : Jamais il n’aurait été élu Président si son opposant au second tour n’avait pas été « Marinella-tchi-tchi »…
Ni en 2012 ni en 2017…
Il aurait été balayé comme un fétu de paille par un « Bling-bling », et même par un « Tagada-à-la-fraise-des-bois » s’il s’était maintenu…
Les oppositions sont-elles si anesthésiées que ça, à force de bourrages de
crâne (à défaut de bourrer les urnes) ?
« Est-ce qu’on peut se permettre à un moment où le vote européen est aussi important pour la guerre, le climat, l’immigration, (qu’il) soit un vote d’humeur ? », s’est demandé le chef de file des sénateurs « jupitériens » sur la chaîne du Sénat.
Il est rigolo, lui : Ça fait des mois que les godillots n’ont rien trouvé de mieux que de transformer cette élection à enjeux européens, continentaux, multinationaux, en foire d’empoigne de « politique-politicienne » à vocation interne !
C’est probablement un peu tard pour inverser cette tendance qu’on a retrouvé hier dans les urnes…
Tant pis, n’est-ce pas : Même avec un calendrier pour le moins très favorable (un G25 informel, un « format Normandie » nouvelle formule à monter, une communication télévisuelle d’autorité et, somme toute, pas mal exécutée) le tout étalé sur seulement trois jours pour le moins denses d’évènements parfaitement balisés à l’avance et à trois jours d’un scrutin-sanction, n’avoir pas su l’exploiter avec tout l’appareil d’État régalien en soutien derrière, c’aurait été quand même dommage !
Moâ, depuis ma petite-bulle, j’aimerai seulement remercier une dernière
fois tous ces vétérans qui auront fait le déplacement, malgré leur grand-âge et
leur santé forcément défaillante, venus une première fois en pleine forme de
leurs capacités physiques avec leurs camarades morts pour moâ qui n’était même
pas encore né (ni même conçu), afin que je puisse vivre dans un pays
« réputé libre » et qui organise encore des élections
« libres », dans un vaste ensemble de fraternité qui va aujourd’hui
jusqu’au bout de la mer Baltique…
Avaient-ils seulement pensé que ça aurait été possible entre des peuples qui ne parlent pas la même langue, ne mangent pas pareil et se sont fait plus de 2.000 ans de guerre ?
Eh bien, eux l’ont fait cette guerre, eux sont revenus une dernière fois
pour rendre hommages à tous ceux qui ne sont pas rentrés et j’ose espérer
qu’ils sont fiers de savoir, qu’à un moment donné, nous avons su nous doter
d’hommes politiques qui ont su conduire la construction européenne malgré
toutes les oppositions « nationales-populistes »…
J’ose seulement espérer que nous serons capables de continuer, de persister, d’améliorer, de grandir encore dans la liberté arrachée aux « Nationaux-socialistes » d’il y a 80 balais…
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT
BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR
UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT «
NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Leur « gôche » aura su gagner, mais d’une coutre tête, sur leur « nationaux-populistes » à eux…
Ce qui n’empêche pas presqu’un tiers des descendants de tout ce beau monde, de toujours voter chez nous-même en « Gauloisie-olympique » pour les héritiers du fascisme qui aura ensanglanté le continent européen : Ils sont simplement devenus « Nationalpopulistes », mais ça reste le même bois…
Le roi Charles III et son épouse, la reine Camilla tout de blanc virginal vêtue (comme « Bibi » d’ailleurs), venus en voisin jusqu’à Ver-sur-Mer pour un traditionnel hommage au mémorial britannique de la commune du Calvados, en compagnie de notre « Jupiter » national.
Aura suivi l’hommage canadien avec le « Premier sinistre » Justin Trudeau et son homologue « Gauloisien-olympique », « Gaby-le-magnifique » à Courseulles-sur-Mer, et puis celui très attendu, en mémoire des nombreux soldats « ricains », « qui se foutait pas mal de toi… » venus mourir sur mes plages… « un jour où je n’y étais pas… », en présence de « Jo-Bail-dan » et de « Jupiter » au cimetière de Colleville-sur-Mer.
Ce cimetière-là, je peux vous dire qu’à chaque fois que j’y passe, il me fait pousser les larmes aux yeux : Il y a encore « des présences » qu’on ne retrouve pas nécessairement dans d’autres cimetières, civils ou militaires, qu’ils soient à Douaumont (quoique…) à Arlington, à Bevaux près de Verdun ou encore celui chinois de Nolette en baie de Somme, des « présences » qui « font mal ».
Ils sont là et c’est poignant !
« Les conditions ne sont pas réunies compte tenu de la guerre d’agression que mène la Russie contre l’Ukraine et qui s’est encore intensifiée ces dernières semaines » (pour quelques kilomètres carrés de plus…), a prévenu dès le mois de mai l’Élysée.
Il y a dix ans, « Vlad » était présent, dans un contexte pourtant tendu puisque la cérémonie avait eu lieu trois mois après l’annexion de la Crimée par Moscou.
La Russie avait ensuite été boudée en 2019, pour le 75ème anniversaire.
On aura fait le choix d’accueillir l’Ukraine, avec Volodymyr Zelensky et son prédécesseur Petro Porochenko. De quoi fournir une image forte à cette cérémonie, après deux ans de conflit en Ukraine qui ont ramené la guerre au centre des préoccupations européennes.
Et ça n’aura pas loupé dans les discours, jusque devant nos « députacrouilles »… enfin quelques-uns, parce qu’il y en a, les kons, qui ont voté avec les pieds et se sont faits « porter pâles »…
Ce serait quand même sympa que ceux-là demande l’asile politique à « Poux-tine », que les choses soient claires dans l’esprit des électeurs…
Mais bon, être « franc du collier », ce n’est pas le propre des « ânes qui reculent ».
Mais pas que : La « Première sinistre » danoise, son homologue luxembourgeois, chefs du gouvernement Batave, norvégien et même Hellène (tous eux-mêmes en pleine campagne électorale, mais peut-être pas pour les mêmes enjeux.
Quant à la Nouvelle-Zélande, elle envoie son ambassadrice discuter de la « Kanakie-libre » avec « Jupiter » (qui n’en a rien à foutre…)
En leur qualité d’anciens présidents, « McDo-Trompe », « Barraque-Haut-Bas-Mât », « Double-Vue-Boubouche » ou encore « Clipe-Pine-tonne ont été conviés par les organisations de vétérans « ricains », mais ils ont été plusieurs à snober « le bidule ».
Le prince Albert II « de Konnac’ », le roi des Belges Philippe, le grand-duc Henri du Luxembourg, le souverain danois Frédéric X et le roi des « Bataves » Willem-Alexander ont aussi répondu présents.
Le roi de Norvège a été contraint de laisser sa place au prince héritier Haakon Magnus.
Bref, que du beau linge…
L’Australie aura même envoyé son Gouverneur général d’Australie, l’Union européenne son président du Conseil européen.
Et naturellement plus de 200 vétérans, les derniers témoins encore vivants du cirque de cette époque-là.
Dans dix ans, c’est sûr, ils seront nettement moins nombreux : On disait déjà ça il y a 10 ans (et ça s’est révélé exact…)
S’ils sont venus d’un peu partout, en car, en train, en avion, en voiture, ils sont repartis, pour « les puissants » en avion, pour un détour par « Paris-olympique » passablement entravée par les chantiers des JO : On monte des tribunes sur la place de la Concorde et encore ailleurs, côté Trocadéro et champ de Mars : Je ne peux pas vous dire, j’évite ces quartiers en semaine.
Mais « Jupiter » n’allait pas louper l’occasion de recevoir à l’Élysée le « Ricain » et l’Ukrainien afin de réaffirmer le soutien occidental à l’Ukraine et d’aborder les grandes crises internationales.
« Jupiter » veut afficher la poursuite de son soutien à Kiev et l’unité des alliés. Il aura abordé aussi les autres grandes crises internationales, notamment la guerre à Gaza et l’instabilité en Afrique avec le « Ricain » et promis quelques Mirage 2000-5. Des engins spécialement équipés pour l’interception aérienne. Mais globalement, si la brigade ukrainienne annoncée en formation en « Hexagonie olympique » touchera nos Mirages, ce sont probablement ceux des grecs qui leur seront refourgués… Ils ne vont plus en avoir l’usage pour toucher des zincs de 5ème génération d’ici la fin de l’année…
Le « processus de Normandie » avait débouché sur les accords de Minsk, aujourd’hui caducs, et n’a surtout pas empêché l’invasion de février 2022, alors qu’il y a 10 ans, le feu couvait dans le Donbass, savamment entretenu par « Poux-tine ». Depuis, les eaux de la relation franco-russe sont devenues rouge sang.
Après une année vaine passée à essayer d’amadouer le « popov » et à le ramener « dans le droit chemin », « Jupiter » avait abandonné ses illusions et aura durci sa position.
Il s’est rangé du côté des plus fervents soutiens de l’Ukraine, ce qui lui vaut l’amitié et la reconnaissance non seulement de Kiev, mais aussi des pays d’Europe de l’Est, dont la parole et la vision géopolitique avaient été longtemps méprisées.
Et quand on dit l’Est, on va jusqu’à Treriksrøysa, au fin fonds de la Finlande, à proximité du cercle polaire…
Le président russe a également déclaré une « guerre hybride » à plusieurs pays européens, dont la « Gauloisie-olympique », et multiplié les menaces, y compris nucléaires, contre l’Occident.
En dix ans, les plages de Normandie semblent avoir vieilli d’un siècle et changé de monde. Ces commémorations « font écho à tous les combats de peuples et de nations qui aujourd’hui encore luttent pour exercer leur souveraineté et leur liberté contre l’oppression et la haine », explique-t-on Urbi et orbi à qui veut bien l’entendre.
Mais alors pourquoi la position de l’Élysée a-t-elle changé pour ne pas inviter, ne serait-ce qu’une délégation à ces cérémonies normandes ?
L’Histoire jugera probablement plus tard, mais les raisons tombent sous le sens…
Nous y reviendrons… peut-être.
Une intervention que n’a pas manqué d’être vertement critiquée avant même d’avoir eu lieu, pas plusieurs responsables « Gauloisiens-olympiques » de l’opposition, à trois jours des élections européennes.
C’est fort drôle d’ailleurs : Pour la majorité présidentielle toutefois, l’intervention médiatique du chef de l’État a pour but de « réveiller les consciences ».
J’adore le plaidoyer « anti-national-populiste », même si c’est un peu tardif et surtout parfaitement hypocrite de la part de « Jupiter » : Jamais il n’aurait été élu Président si son opposant au second tour n’avait pas été « Marinella-tchi-tchi »…
Ni en 2012 ni en 2017…
Il aurait été balayé comme un fétu de paille par un « Bling-bling », et même par un « Tagada-à-la-fraise-des-bois » s’il s’était maintenu…
« Est-ce qu’on peut se permettre à un moment où le vote européen est aussi important pour la guerre, le climat, l’immigration, (qu’il) soit un vote d’humeur ? », s’est demandé le chef de file des sénateurs « jupitériens » sur la chaîne du Sénat.
Il est rigolo, lui : Ça fait des mois que les godillots n’ont rien trouvé de mieux que de transformer cette élection à enjeux européens, continentaux, multinationaux, en foire d’empoigne de « politique-politicienne » à vocation interne !
C’est probablement un peu tard pour inverser cette tendance qu’on a retrouvé hier dans les urnes…
Tant pis, n’est-ce pas : Même avec un calendrier pour le moins très favorable (un G25 informel, un « format Normandie » nouvelle formule à monter, une communication télévisuelle d’autorité et, somme toute, pas mal exécutée) le tout étalé sur seulement trois jours pour le moins denses d’évènements parfaitement balisés à l’avance et à trois jours d’un scrutin-sanction, n’avoir pas su l’exploiter avec tout l’appareil d’État régalien en soutien derrière, c’aurait été quand même dommage !
Avaient-ils seulement pensé que ça aurait été possible entre des peuples qui ne parlent pas la même langue, ne mangent pas pareil et se sont fait plus de 2.000 ans de guerre ?
J’ose seulement espérer que nous serons capables de continuer, de persister, d’améliorer, de grandir encore dans la liberté arrachée aux « Nationaux-socialistes » d’il y a 80 balais…
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
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