Les premières de la saison estivale…

Moâ, je devais partir ce week-end !
 
Je vous avais prévenu(e)s : J’embarquais avec mes armes et munitions, plus le chat et quelques affaires, et je devais me réfugier dans mon maquis (inexpugnable).
Je laisse de toute façon ma procuration pour m’exprimer dans les urnes par « nichée » interposée !
Je devais revenir sur le continent que si ça restait possible, potable et pas trop liberticide d’ici la rentrée. Autrement dit, vous avez intérêt à « bien » voter, sans ça j’allais voir plus loin encore.

Sauf que finalement, ça ne se passe pas comme prévu : Il est des impératifs dans la vie qui décident pour vous, quitte à vous contrarier…
En revanche, pour vous mettre dans l’ambiance d’un « exil renouvelé », j’avais prévu de vous laisser en testament quelques « blagounettes » recueillies par Jean-Marc.

Les avant-dernières du semestre qui va s’achever.
Après, qui  sait, on n’aura peut-être plus l’occasion d’en rire…
 
Leçon de chose de Jean-Marc :
« Ne jamais retenir un pet !
Sinon, il traverse tout votre corps pour sortir et s’il n’y parvient pas, il monte au cerveau.
Et c’est comme ça que naissent les idées de merde ! »
 
À l’Élysée, la petite-dame des toillettes a été contaminée :
« Ne dites pas ‘‘Madame pipi’’ !
Je suis cheffe des cabinets !
C’est que je suis diplomée de sciences pot, moi ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, dans leur café favori, en train de picoler leur bière vespérale :
« — Il faut quand même rester élogieux à l’égard de Vittel ou Évian…
— Ah bon ? Et pourquoi ?
— Mais ce sont des génies tout de même…
— Ah ?
— Bé oui, rends-toi compte… faire entrer de l’eau plate dans une bouteille ronde, il fallait non seulement y penser mais aussi le faire ! »
 
Une revenue d’il y a très longtemps…
Une sœur pénètre dans un taxi.
Le chauffeur n’en peut plus et il se lance !
« — Ma sœur… puis-je vous demander un service ?
— Bien sûr mon fils. De quoi s’agit-il ?
— J’ai toujours rêvé de rouler une pelle à une nonne… Mais si vous ne voulez pas, je ne vous en voudrai pas…
— Mon fils, êtes-vous catholique ?
— Oui ma sœur, très catholique…
— Vous savez donc que je suis mariée à Jésus-Christ, notre sauveur ?
— Oui, mais je vous le jure, juste une pelle… Il ne s’agit pas de faire cocu le fils de Dieu ! »
La sœur réfléchit… Hésite et puis finalement elle décide de satisfaire au fantasme du chauffeur de taxi !
Qui s’empresse de réaliser son fantasme.
Satisfait, il se remet en route et il dit :
 « — Merci infiniment ma sœur, mais excusez-moi, tout-à-l’heure, je vous ai menti !
— Ah, tiens donc mon fils…
— Ne vous fâchez pas : Je vous remercie et je ne vous ferai pas payer la course en compensation…
— De quelle faute s’agit-il de vous faire pardonner de la sorte ?
— J’ai un aveu à vous faire… Je suis marié et je suis musulman !
— Tout cela est bien fâcheux mon fils : Moi, j’ai aussi un aveu à vous faire.
— Lequel ?
— Je vais à une fête costumée et mon prénom est Jean-Michel ! »
 
« Comment ça va ce matin ?
Œdipe : La question est complexe…
Pythagore : Tout est d’équerre.
Socrate : Je ne sais pas.
Hippocrate : Tant qu’on a la santé…
Léonard de Vinci : (se contente de sourire en coin).
Galilée : Ça tourne rond !
Descartes : Bien, je pense…
Pascal : Bien, je parie !
Spinoza : Bien, en substance.
Newton : La question tombe à pic !
Vivaldi : Ça dépend de la saison…
Franklin : Du tonnerre !
D’Alembert et Diderot : Impossible de répondre en deux mots !
Kant : Question critique.
Casanova : Tout le plaisir est pour moi !
Sade : Foutrement bien !
Marat : Ça baigne…
Robespierre : Vous perdez la tête ou quoi ?
Hegel : Au total, bien.
Beethoven : En sourdine…
Paganini : Allegro ma non troppo !
Schopenhauer : Ce n’est pas la volonté qui me manque !
Poe : Extraordinairement bien !
Darwin : On s’adapte…
Marx : Ça ira mieux demain…
Nietzche : Par-delà le bien, merci !
Freud : Et vous ?
Marie Curie : Je suis radieuse !
Proust : Donnons du temps au temps…
Einstein : Relativement bien.
Picasso : Ça dépend des périodes.
Dracula : J’ai de la veine !
Cyrano de Bergerac : À vue de nez, bien !
Camus : La question est absurde.
— Et toi, comment vas-tu ce matin ?
— Moi, je fais mon baluchon… »
 
Jean-Paul à Jean-Marc :
« — Moi, sentimentalement, je suis plutôt « épipurien » !
— Épipurien ? Tu veux dire épicurien !
— Non, non, épipurien ! Je rencontre des femmes, je les invite à prendre un pot, je discute, je fais parfois une toile avec elles, et pi pu rien ! »
 
« — Sais-tu qu’en faisant frire des salsifis au lieu de le faire avec des frites, tu peux perdre jusqu’à 97 % de ta joie de vivre ce qu’il te reste dans cette vie ?
— C’est bon, les salsifis, pourtant… essaye les choux-fleurs… »
 
Les mêmes :
« — Tu sais quoi ?
— Non !
— L’autre jour, tout-à-fait par hasard, j’ai ouvert un dictionnaire et je suis tombé sur le mot indéfinissable…
— Et alors ?
— Eh bien, je n’aime pas qu’on se foute de ma tronche…
— Pourquoi tu dis ça ?
— Parce qu’il avait une définition ! »
 
Germaine sortant de la douche et se plaignant auprès de Jean-Marc :
« — J’ai la peau toute sèche et elle fait des écailles !
— C’est assez courant chez les dragons ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, chacun devant sa bière vespérale en terrasse de leur café préféré :
« Sais-tu que le 14 février, le jour de la Saint Valentin, les hommes racontent encore plus de conneries qu’un premier avril ! »
 
« La plus grosse connerie, c’est encore d’annoncer sur les réseaux que tu es à louer pour le Saint-Valentin.
Personne n’a voulu jamais de toi gratuitement…
Alors si en plus il faut payer ! »
 
« — À propos, tu me fais penser à ce mec qui a dit ‘‘ Bienheureux celui qui a appris à rire de lui-même, il n’a pas fini de s’amuser ! ’’
— C’est de Folliet… Joseph je crois ! »
 
Germaine à Marie-Chantal :
« — Ce matin, quand j’ai vu Jean-Marc étaler de la moutarde sur sa tartine, je le lui ai fait remarquer…
Et tu sais ce qu’il m’a répondu ?
— Non, je n’y étais pas…
— Qu’il voudrait bien, si je le lui permettais de dijonnais en paix !
Tu penses bien que je la lui ai fichue… la paix. »
 
Questionnaire pour collégien :
« Préciser l’arbre correspondant en face du fruit :
Les pommes : Le pommier.
Les poires : Le poirier.
Les fraises : Le fraisier.
Les cerises : Le cerisier.
Les olives : L’olivier.

Les amendes : Le radar… »
 
Germaine rapporte qu’elle n’en peut plus avec son mari.
« À chaque fois que j’ouvre le frigo, je constate qu’il a laissé la lumière allumée ! » 
 
« — Et toi tu sais pourquoi les films commencent désormais à 21 h 10 à la télé !
— Oui…
— Et c’est pourquoi ?
— Pour laisser le temps à nos femmes de lancer le lave-vaisselle ! »
 
« Finalement, vieillir, c’est embêtant…
Mais c’est la seule façon de vivre longtemps… »
 
Jean-Charles fait une confidence à Jean-Paul :
« — Ma copine m’a quitté hier…
— Oh ! Pas de chance…
— Ne t’inquiète pas : Je sais qu’elle va revenir en rampant !
— Ah bon ?
— Eh, malin : J’ai gardé son fauteuil roulant ! »
 
Marie-Chantal fait à son tour une confidence à Germaine…
« — Tu sais, en privé, je suis tellement cochonne que je prends ma douche toute nue !
— … »
 
La même :
« Parfois, je pense sérieusement à arrêter le vin…
Et puis je me souviens de tous ces viticulteurs et à leurs familles qui comptent sur moi… »
 
Germaine à Marie-Chantal :
« Il y a des gens, au début tu ne les trouves pas très beau…
Et puis tu apprends à les connaître.
Et tu te rends comptes qu’en plus ils sont complétement cons ! »
 
« — Dis papa, pourquoi ma petite sœur s’appelle Rose…
— Parce que ta maman adore les roses…
— Ah… Merci papa !
— De rien, Ricard ! »
 
Drague de Jean-Paul, à une collègue de bureau…
« — Est-ce que tu me baiserais pour 5.000 euros…
— Euh… Laisse-moi y réfléchir ! Juste une seule fois ?
— Oui bien sûr…
— Pourquoi pas ?
— Bien ! Fais-moi signe quand tu auras l’argent… »
 
« Certains n’ont pas la lumière à tous les étages…
Et vu le prix de l’énergie… ils font des économies ! »
 
Germaine et Marie-Chantal :
« Finalement, ce que je préfère dans les préliminaires, c’est le restaurant ! »
 
Scène de ménage chez Jean-Marc et Germaine :
« — De toute façon, vous les femmes, ça s’écrit avec un « e » et ça se prononce « a » !
Dès le début on sait que vous êtes compliquées…
— Et vous les hommes, vous commencez par un « h » qui ne se prononce même pas !
Dès le début on sait que vous ne servez à rien ! »
 
Germaine éduque son fils…
« Toi, tu ne craches pas dans la nourriture !
Tu finis ce que tu as commencé !
Et tu avales ce que tu as dans sa bouche… »
Puis se tournant vers Jean-Marc :
« Et toi ta gueule ! »
 
Réflexion de Jean-Paul :
« Il paraît que faire l’amour trois fois par semaine prolonge l’espérance de vie de 10 ans…
Je n’ai plus qu’à parier sur les progrès de la médecine ! »
 
Germaine chez sa gynécologue :
« — Mon mari dit vouloir des relations sexuelles tous les jours et plusieurs fois par jour !
Que dois-je faire ?
— Vous lui donnez mon numéro de téléphone : je vais le soigner ! »
 
Jean-Marc, en fin d’après-midi, devant sa dernière bière, à Jean-Paul
« Après 20 ans de mariage ma femme me fait penser à un vieil aspirateur
Ça hurle de plus en plus et ça suce de moins en moins ! »
 
Les mêmes :
« A quoi bon savoir qui porte la culotte dans un couple…
Un couple fonctionne mieux sans culotte, finalement ! »
 
« Pour tous ceux qui ne savent pas où se trouve le point « G »…
Il se situe entre le point « F » et le point « H » !
Facile ! » 
 
Bon début de week-end (ce soir) à toutes et à tous !
 
I³
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)