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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 12 juin 2024

Je ne connaissais pas le terme…

La kakistocratie
 
C’est que je reste un nain du neurone, un lilliputien du bulbe, qui sait à peine différencier un « trisomique » d’un « autiste », alors pensez qu’« avoir des lettres », pour un analphabète, formé exclusivement par l’ékole publique, de la maternelle aux ékoles superlatives, c’est une compétence à jamais perdue d’avance, même avant même d’avoir commencé.
En un mot comme en cent, j’en suis resté aux principes d’une bonne gestion d’affaires (celle des autres), toujours très étonné qu’elles puissent connaître des difficultés, mettant ça sur le compte du « Principe de Peter » et attribuant en général mes succès dans les redressements d’entreprise à mon syndrome de l’imposteur : Ce n’est pas moâ, c’est la conjoncture, c’est un coup de bol, etc.
 
J’ai donc découvert, ou plus exactement redécouvert, le terme de « cacacroatie », avec « McDo-Trompe », il y a quelques temps. Mais en fait, j’ai toujours été entouré d’incompétents qui se la pétaient et généraient un accumoncellement sévères de konneries de toutes tailles et densités dans leur sillage.
« Le terme de kakistocratie incarne, à l’inverse de l’aristocratie, le pouvoir des plus mauvais » nous dit d’emblée le dictionnaire des imparfaits (celui qui connaît tous les mots, même ceux qui n’existent pas encore).
Et de préciser qu’il est souvent employé de façon péjorative !
Mais il peut également signifier le pouvoir du mal. En effet il provient du grec ancien kakos (κακος), mauvais et mal, et kratos (κρατος), pouvoir.
 
Et je me rappelle qu’on l’avait employé à propos de Coluche, quand celui-ci souhaitait se présenter à l’élection présidentielle, comme étant une sorte de soutien à une forme de « politique du pire ». Pour lui, c’était un gag, rien qu’une blague, une façon de rire des prétentieux et autres « sachants » qui gouvernaient déjà (et avec un certain talent, il faut le reconnaître) le pays à l’époque.
Mais pour les intellos du moment, c’était le fait de porter au pouvoir le candidat le plus mauvais comme étant un moyen de provoquer un contrecoup révolutionnaire qui permettra de renverser le système : Une vieille tactique Trotskiste…
Qui n’a jamais fonctionné, d’ailleurs, peut-on reconnaître.
Il faut toutefois vous préciser que Coluche était crédité de plus de 10 % des intentions de vote et on a eu qui à la place ?
« Mythe-errant » !
Gag, n’est-ce pas…
 
Notez qu’un régime politique peut être à la fois une « stupidocratie » et une « kakistocratie » quand le pouvoir est aux mains de gens bêtes et méchants comme le journal « Hara-Kiri » qui soutenait justement la candidature de Coluche !
Des gens bêtes mais pas méchants aux manettes d’une « stupidocratie » seront certainement mauvais, ce qui en fera quand même une kakistocratie.
Inversement, une kakistocratie peut être aux mains de gens méchants, mais pas bêtes, ce qui peut lui assurer une certaine longévité.
« Mythe-errant » a tenu comme ça quelques années, la fleur au fusil…
 
S’il le terme a traversé les siècles, c’est en 2018 que le terme « kakistocratie » a été remis en lumière, aux États-Unis, lorsque qu’un conflit ouvert opposa « McDo-Trompe » et l’ex-directeur de la CIA John Brennan. Ce dernier écrit à l’ancien président américain : « Votre kakistocratie s’effondre. » Plusieurs articles de presse reprendront par la suite l’expression, jugée particulièrement adaptée à la manière de gouverner du président « ricain » du moment.
Mais finalement, c’est un terme qu’on peut appliquer un peu partout, et pas seulement dans le monde de nos politiques… même si ceux-là font finalement de plus en plus fort au fil du temps…
 
Le terme de « kakistocratie » aurait été employé pour la première fois en Grande-Bretagne, en 1644, dans un sermon d’un partisan du roi Charles Ier pendant la guerre civile, ai-je ainsi récemment appris.
Toutefois, « le sujet est d’actualité car le développement exponentiel du numérique, et tout particulièrement de l’intelligence artificielle, requalifie la notion d’incompétence », écrit une chercheuse qui n’a pas encore trouvé.
« Le développement des ressources en ligne, comme des propositions offertes par l’intelligence artificielle, peut donner ce que Michel Serres nommait la ‘‘présomption de compétences’’ : nous ‘‘savons’’. Mais avec quelle consistance ? Quelle profondeur ? L’illusion de connaissance comme l’illusion de compétence sont des sujets qui entrent dans l’équation de la kakistocratie. »
C’est très vrai et je n’en avais pas eu conscience jusque-là.
Comme quoi, j’ai bien fait de persister à vieillir malgré tout, sans ça je serai mort prématurément complètement kon…
 
C’est que la kakistocratie dans le monde de l’entreprise aurait de multiples effets néfastes sur les salariés : « La kakistocratie est peu propice à l’épanouissement personnel et professionnel. Avoir un manager incompétent se traduit par des tâches mal faites ou pas faites du tout. Or, quand son N+1 ne fait pas son travail, il faut faire à sa place, au prix de beaucoup de temps et d’énergie », peut-on en dire en sciences du management.
En outre, ce phénomène peut avoir pour conséquence de développer le sentiment d’injustice chez les subordonnés. « Avoir travaillé dur pour arriver au poste occupé et voir un incompétent rejoindre facilement le haut de la pyramide peut être insupportable ».
Un sentiment qui peut mener à terme à de l’incompréhension ou de la frustration, avec pour conséquences de l’absentéisme, du désengagement et des démissions.
Mais je crois que le pire, c’est que l’incompétent s’attribue vos propres mérites vis-à-vis des tiers, alors que le pôv’, il n’y connait rien…
C’est comme moâ avec mes propres romans (dans le temps mes rapports, mes instructions écrites, mes analyses) : Si je ne les écris pas moâ même, je suis complétement perdu…
Une habitude de bachotage aussi : Quand je faisais mes antisèches, le fait de les préparer me les faisait apprendre et je n’en avais plus besoin… Mais ne pas les faire, c’était prendre le risque de faire « un blanc »…
 
Pour illustrer le propos autour de la kakistocratie, on peut se référer au « Rhinocéros » d’Eugène Ionesco, où l’allégorie, qui porte sur la transformation de la population entière (à l’exception d’un seul homme) en rhinocéros, illustre bien la dynamique d’un totalitarisme qui gagne jusqu’aux esprits les moins dociles.
De ce point de vue, on citera également le monument qu’est « Le Dictateur », réalisé en 1940 par Charlie Chaplin.
Mais également le prix Nobel de littérature 1997 accordé à Dario Fo, dramaturge, comédien et metteur en scène italien, pour avoir, « dans la tradition des bateleurs médiévaux, fustigé le pouvoir et restauré la dignité des humiliés ». Sa pièce la plus célèbre, « Mort accidentelle d’un anarchiste » met en scène un fou échappé d’un hôpital psychiatrique, qui se saisit d’une affaire de décès inopiné et s’improvise premier président de la Cour de cassation.
S’ensuit une enquête délirante qui sème la confusion chez les policiers.
 
En fait, mais c’est un autre sujet, depuis Aristophane, la satire des puissants a toujours fait recette.
La bouffonnerie permet en effet de lever le voile sur l’indicible.
Sauf que les amuseurs se disent parfois tentés par l’exercice du pouvoir.
Dans les traces de Coluche, et avec la perte de crédibilité des « z’élites » au pouvoir depuis la crise financière et politique de 2007-2008, les humoristes ont eu le vent en poupe. En « Ritalie », la création en 2009 par le comédien Giuseppe (« Beppe ») Grillo du « Mouvement 5 étoiles » aura bouleversé le jeu habituel politique de la pénisule.
Même l’Ukrainien Volodymyr Zelensky, parfait néophyte en politique, surtout connu pour son rôle dans une série télévisée intitulée « Serviteur du peuple », s’y est fait prendre. Il y interprétait un professeur d’histoire propulsé à la présidence pour mettre fin à la corruption dans son pays.
En 2019, l’acteur se porte candidat à l’élection présidentielle ukrainienne. Il remporte une victoire écrasante et inattendues, et sera devenu entre-temps un chef de guerre historique par la magie « Poux-tinienne ».
 
Alfred Jarry (1873-1907) avait créé l’archétype du tyran avide et sanguinaire avec sa pièce « Ubu roi ». Ubu assassine Venceslas, le roi de Pologne, et prend sa place. Mais, une fois au pouvoir, il fait tuer tant de monde que ses partisans le lâchent et, avec l’aide du tsar de Russie, le chassent. Ubu s’embarque alors pour la « Gauloisie-olympique » et pourrait reprendre du service à Moscou pour se débarrasser d’un tsar plus méchant que bête.
Jarry avait compris les ressorts d’un pouvoir sans garde-fous.
Capable de tout, Ubu est un « enfant terrible » qui « dit des phrases stupides avec toute l’autorité du mufle ». C’est un être grotesque et ignoble (et Dieu sait si je le suis moâ-même) mais il ne s’en cache pas (alors que moâ je me cacherai bientôt au fond de mon maquis Corsu).
Mégalomane et autoritaire, il parle de lui à la première personne du pluriel : J’avais un subordonné qui me causait comme ça et je ne savais jamais de qui il s’agissait, la boîte, son équipe, sa femme, lui et môa ou lui tout seul.
 
Et ça aura continué comme ça tout au long du siècle dernier, les dirigeants ubuesques n’ont pas manqué. Par exemple, en Ouganda Idi Amin Dada au pouvoir de 1971 à 1979 (j’avais surnommé le chat de mon papa à moâ [celui qui me fait encore pleurer quand je l’évoque], « Sidi-Mohamed-Ben-Ami-El-dada », dit Moa [parce qu’à moitié siamois], tellement il était bête, cette brave bête) dont la tyrannie fit plusieurs centaines de milliers de victimes, et qui est entré dans la légende.
Celui-là était absolument extraordinaire : Je l’ai même vu entrainer ses troupes parachutistes à reprendre le Golan aux Israéliens dans un documentaire de notre télé publique qui n’a jamais été diffusé tellement c’était incroyable : Je l’ai vu au cinéma !
On a eu aussi le Roumain, Nicolae Ceauşescu qui aura incarné la folie puérile du pouvoir absolu, construisant des monuments pharaoniques à sa propre gloire et se décernant les titres de « génie des Carpates » et de « Danube de la pensée ».
« Beau-cassa » n’était pas mal non plus en empereur africain…
 
On peut également noter qu’avec le nouveau millénaire, un autre type d’Ubu est apparu, à l’intersection de l’idéologie néolibérale et du rôle grandissant de l’argent en politique. En 2002 déjà, le même Dario Fo cité ci-avant, s’inquiète des dérives de Silvio Berlusconi dit « la quéquette-sauvage-en-liberté » : « Nous sommes ici devant le paradoxe le plus insensé, digne d’Ubu roi, la farce de l’impossible : on fait les lois exprès pour le roi, on choisit des ministres dans sa cour, et ils défendent ses seuls intérêts. Et le public applaudit. Au mieux, quelqu’un émet un petit rot d’indignation. Tout cela exprime une claire conscience, chez le “Cavaliere” comme chez ses employés, d’avoir en main tous les pouvoirs, de jouir d’une totale impunité. »
Et naturellement la tendance s’accélère avec « McDo-Trompe » élu en 2016.
 
L’architecte de sa victoire, le sulfureux Steve Bannon, avait dès le départ exprimé son grand projet politique : « Déconstruire l’État administratif », c’est-à-dire détricoter les structures mises en place par le New Deal et étoffées dans les années 1960 avec les réformes de la Great Society (« grande société »).
Dans son ouvrage sur le « cinquième risque » (celui de périls imprévisibles auxquels seuls des fonctionnaires expérimentés sont en mesure faire face), l’essayiste Michael Lewis détaille les éléments de cette déconstruction : Ne pas pourvoir certains postes, ou alors à titre intérimaire, démanteler les administrations existantes, les vider de leur substance, leur couper les vivres, discréditer les experts et les accuser des plus noirs desseins (c’est ainsi que la structure chargée de gérer une éventuelle pandémie a été supprimée il y a deux ans).
Mais qu’aussi est née la contre-culture Woke, le complotisme alimenté et générant des « fakes », des mensonges, de mieux en mieux faits et toujours plus nombreux, sans aucun complexe ni demain aucune limite…
Et ça part dans tous les sens…
 
Constatez qu’arrivé à la plus haute magistrature de l’État sans aucune expérience du service public, « McDo-Trompe » n’aura eu de cesse de réclamer aux fonctionnaires et collaborateurs des preuves de leur inconditionnelle loyauté ! Et ses purges ont été incessantes, sous les prétextes les plus divers : Avoir été nommé par une administration précédente, appartenir à l’« État profond » (deep state) qui cherche à l’empêcher de gouverner (une idée désormais bien enracinée dans le rachis de ses électeurs…).
Ses ennemis font l’objet de tweets assassins ou de vexations diverses.
C’est là que lorsque M. John Brennan se voit retirer son habilitation secret-défense, l’ancien chef de la Central Intelligence Agency (CIA) devenu commentateur politique à la télévision exhume un vocable oublié lorsqu’il répond au président par un tweet : « Votre kakistocratie est en train de s’effondrer. »
 
Un journaliste, Alexander Nazaryan pour le nommer, aura analysé les qualifications des membres de l’administration « Trompe » et de l’élection de « Gère-Bol-à-sonar-haut », le brésilien. On y découvre une galerie de personnages loufoques, connues surtout pour leurs conflits d’intérêts et l’absence de compétences pour les postes qu’ils occupent, « une orgie pour les kleptocrates de première classe ».
Si, selon la formule du président d’une association de réfractaires à l’impôt, Americans for Tax Reform, l’objectif des zélateurs du marché consiste à réduire la taille de l’État afin de pouvoir le « noyer dans une baignoire », l’incompétence est même réclamée puisqu’elle contribue à discréditer l’idée de service public.
Souvenez-vous qu’à la veille de la Grande Dépression, les vertus de la kakistocratie étaient même célébrées : En 1928, l’ancien président de la Chambre de commerce américaine Homer Ferguson affirmait par exemple : « Le meilleur serviteur de l’État est le pire. Un homme de toute première classe dans le service public est corrosif. Il détruit nos libertés. Mieux il est et plus longtemps il reste au pouvoir, plus il est dangereux. »
On retrouve cette idée jusque dans quelques programmes de « nationaux-populistes », de droâte ou de gôche d’ailleurs, et en tout cas chez tous les eurosceptiques qui auront essayé d’aller y siéger en votre nom…
 
Vous aurez probablement noté comme moâ qu’heureusement que nous n’avons pas besoin de tels talents pour discréditer l’action publique, diplomatique, politique des acteurs de l’actualité de mon pays !
Entre les « sachants », souvent autistes, et/ou trisomique, nos élus transparents tels des ectoplasmes qui se promènent sous les ors des palais gouvernementaux avec des airs supérieurs (j’en ai un comme ça qui se déplace entre le Sénat et l’Hôtel Matignon avec 2 ou 3 motards pour lui ouvrir mon boulevard, une ou deux voitures de couverture devant lui, trois ou quatre voitures bourrés de flics armés jusqu’aux dents qui ferment le convois et désormais deux motos avec snipper à califourchon derrière le pilote) et qui passent toutes sirènes hurlantes et à toute allure, que forcément un jour, il va y avoir de l’hémoglobine sur la chaussée…
C’est même étonnant qu’ils ne se soient pas définitivement discrédités tout seuls depuis longtemps.
 
Remarquez, il suffit d’attendre le 7 juillet prochain au soir : Moâ, je ne serai plus là pour voir ça, mais normalement, s’il y a quelques « talents » capables d’encadrer les « petits-jeunes » qui ne font que des konneries en votre nom (et avec vos impôts, les actuels mais également les futurs), on peut même parier pour un retour de « Tagada-à-la-fraise-des-bois » dans le rôle de sa vie : Capitaine de pédalo !
(Qui avait tout de même réussi l’exploit de virer « Bling-bling », même si celui-là, il se serait fait battre par un cheval boiteux tellement il se la pétait « façon stratosphérique »…)
Je ne nous le souhaite vraiment pas, mais la parenthèse « jupitérienne » est longue.
Je me souviens encore de ce « Jupiter » sur le champ de Mars au soir de sa réélection assurer qu’il saura se souvenir aussi de ceux qui n’étaient pas ses électeurs mais qui lui ont permis de retrouver son fauteuil…
Il n’a pas tenu parole, la sanction est tombée.
Vous me direz que finalement, c’est parfaitement normal : Les « Jupitériens », ce n’est jamais qu’un rassemblement hétéroclite de renégats, de tous les bords et horizons, venus à la soupe, rien de plus…
Des gens dont la parole et les idées sont totalement inconsistantes…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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