Au confessionnal…

Jean-Marc écoute aux portes !
 
Une vieille-fille en bas résille en termine.
Le père Jean-Luc Lesmouches :
« — Avec tous ces péchés de chair, ma fille, pour votre pénitence vous me ferez trois Pater et deux Ave !
— Euh… mon père… Je ne pourrais pas avoir plutôt une bonne fessée ? »
 
C’est l’histoire des deux femmes qui arrivent ensemble aux portes du paradis de Saint-Pierre…
« — Comment es-tu morte, toi ?
— Congelée !
— Aïe ! Mais quelle horreur ! Ça doit être horrible de périr congelée !!!
— Et toi, comment es-tu morte ?
— Moi ? D’une attaque cardiaque !
— Et comment est-ce arrivé ?
— Par surprise. Quoique… je me méfiais de mon mari, parce que je le soupçonnais de me tromper…
— Et alors ?
— Eh bien hier, je suis rentré plus tôt que d’habitude du travail, j’ai couru jusque dans la chambre et je l’ai trouvé nu sur le lit défait en train de regarder la télévision…
— Quoi ? Et c’est tout ?
— Non, bien sûr ! Méfiante, j’ai ouvert l’armoire pour voir s’il y avait une femme nue, mais rien !
Alors j’ai fouillé partout. Je me suis précipité dans toutes les pièces, ouvert tous les placards, mais toujours personne !
Et puis je suis descendue en courant jusqu’à la cave et c’est en remontant précipitamment vers le grenier, toujours bredouille, que j’ai fait mon attaque cardiaque et que je suis morte !
— Pauvre andouille !!! Si tu avais regardé dans le congélateur, nous serions encore vivantes toutes les deux ! »
 
Jean-Marc, participant à la dernière ligne droite de la campagne électorale en cours :
« Une étude scientifique vient de révéler qu’un électeur écologique sur trois est aussi con que les deux autres !
Sérieux ! » 
 
Le même, en compagnie de Jean-Paul, tous les deux installés en terrasse de leur abreuvoir préféré sur les boulevards, chacun devant une chope de bière.
« — Tu te rends compte, il y a mille ans, au Moyen-âge, on avait inventé des « gens-d’arme » pour protéger les voyageurs des bandits de grands chemins qui les détroussaient au coin des bois…
— Eh oui, ça aura même été un puissant moteur du progrès civilisationnel qui aura permis des échanges commerciaux entre les marchands vénitiens et ceux des Flandres et même inventé des outils bancaires qui existent toujours aujourd’hui…
— Eh oui, mais 1.000 ans de progrès sont passés par là et nous avons fait un immense pas en avant…
— Comment ça ?
— Désormais ce sont les gendarmes qui se cachent au coin des bois pour rançonner les voyageurs avec leurs radars et les bandits de grands chemins qui courent toujours !
Franchement, c’est vraiment trop beau le progrès, tu ne trouves pas ? »
 
Jean-Paul raconte sa dernière tentative de drague :
« — Je rentrais chez moi hier soir, après notre bière vespérale, et comme j’étais pressé d’aller faire pipi, je suis passé par le raccourci le long du cimetière pour me soulager discrètement.
Seulement voilà…
— Quoi ?
— Il y avait là trois jeunes-filles qui se sont approchées de moi et m’ont expliqué qu’elles avaient peur de passer par le cimetière la nuit. Alors elles m’ont demandé de les accompagner…
Et tu sais quoi ?
— Non…
— Bé ce n’était pas dans mes plans.
Alors, je leur ai dit que je comprenais : ‘‘ Moi aussi je craignais de passer par là quand j’étais encore en vie !’’…
— …
— Dis donc, je n’ai jamais vu quelqu’un courir aussi vite ! »
 
Germaine et Marie-Chantal prennent un thé avec quelques pâtisseries dans un salon plutôt huppé, en milieu d’après-midi…
« — Tu sais quoi, très chère… On m’a toujours dit de porter du noir parce que ça amincit…
— Et ?
— Et ça fait trois semaines que je ne m’habille qu’en noir, et je n’ai pas perdu un seul petit gramme ! »
 
Scène de ménage :
« — Tu sais chérie, demain, c’est la Saint Valentin et…
— … Et tu t’appelles Valentin ?
— Non !
— Bon alors ferme ta gueule ! »
 
« — Tu fais quoi à la Saint Valentin ?
— Ça tombe quel jour ?
— Mardi !
— Des pâtes… »
 
Germaine qui apostrophe Jean-Marc :
« — Quand je te vois arriver comme ça, subrepticement… ça fait comme pour une mise à jour !
— …
— Je me dis ‘‘ Oh non, pas maintenant’’ ! »
 
Une « revenue » pour changer ?
La maîtresse en cours de grammaire :
« — Qui peut me dire à quel le temps sont conjugués les verbes dans la phrase : ‘‘Ils ne voulaient pas d’enfant et ils en eurent six’’ !
— C’est le préservatif imparfait, m’dame ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc :
« — Tu savais que quand il te manque un sens, un autre est renforcé ?
— Oui, quand tu es aveugle, tu te guides aux bruits…
— Et quand tu manques du sens de l’humour ?
— Bé t’es vachement plus con que les autres… »
 
Les mêmes, mais devant une autre paire de bières :
« — Tu sais qu’on vit dans un monde vraiment extraordinaire !
— Oui, si on veut…
— Non mais te rends-tu compte que tu fais 5 ans d’études supérieures post-bac pour finalement gagner moins qu’une gamine de 14 ans qui se maquille sur Youtube ?
— … 
— Je crois que j’ai loupé ma vocation dès avant d’avoir été conçu par mes parents !»
 
Jean-Luc se joint à Jean-Paul pour lui faire part d’une découverte…
« — Tu sais que d’user une banane par jour, ça nettoie le colon !
— Oui, il paraît…
— Bé moi, je viens de comprendre que c’était en les mangeant… »
 
C’est l’histoire de cette petite-fille qui s’adresse à sa maman :
« — Dis maman, pourquoi j’ai des poils qui poussent entre les cuisses ?
— C’est ton petit singe qui commence à avoir des cheveux sur la tête ! »
Le soir à table, la gamine se vante auprès de sa grande-sœur :
« —Tu sais, mon petit-singe commence à avoir des cheveux sur la tête !
— Le mien commence à manger des bananes… »
 
Une ridicule :
C’est l’histoire d’une dame qui entre chez un parfumeur et s’adresse à la vendeuse :
« — Je voudrais un déodorant pour ma mari…
— Un déodorant à boule ?
— Mais non, voyons ! Un déodorant pour les dessous de bras ! »
 
C’est au moins la troisième tournée de bière et Jean-Marc philosophe avec Jean-Paul :
« — Tu sais que les femmes sont parfois de véritables énigmes mathématiques, finalement…
— Ah bon ?
— Même si tu penses avoir la solution, elles peuvent encore te surprendre avec une nouvelle variable… »
 
Jean-Paul lui répond :
« Si le ski alpin, qui a le beurre et la confiture ? »
 
« — Il parait que Durex lance des nouveaux préservatifs !
— Ah oui ? À quoi ? Fraise ? Chocolat ? Vanille ?
— Non pas du tout : Ça s’est déjà fait.
— Alors ? Quel goût ?
— Mayonnaise pour baiser des thons !
Marron pour fourrer les dindes !
Frolic pour les chiennes affamées !
Pomme pour baiser les boudins !
Wiskas pour les chattes difficiles ! »
 
Avant de séparer, devant une nouvelle tournée de bières :
« — Tu savais qu’on peut détecter l’humeur d’une femme rien qu’en regardant ses mains ?
— Ah non, je ne savais pas ça…
— Par exemple, si elle tient un fusil, elle est sûrement très énervée… »
 
« — Jean-Christophe s’est fait larguer par sa femme…
— Normal aussi : Il spermait tout et n’importe quoi ! »
 
C’est l’histoire de cette petite-fille qui contemple le ventre arrondi de sa mère, arrivée presque au terme, la sacoche « d’urgence maternité » déjà prête au pied de la porte :
« — C’est quoi que tu as dans le ventre !
— Mais je te l’ai déjà dit : Ton petit-frère… Il va bientôt arriver.
— Maman, moi je l’aimais bien, mon petit-frère…
Mais alors pourquoi tu l’as mangé ? »
 
Conversation entre une arrière-grand-mère et son arrière-petite-fille…
« — Tu sais, moi, à ton âge, je travaillais déjà…
— Tu sais Mamy, moi à ton âge, je travaillerai encore… »
 
Questions métaphysiques pour votre prochain week-end (d’élection) :
« Pourquoi dit-on qu’il y a un embarras de voitures quand il y en a trop et…
Un embarras d’argent quand il n’y en a pas assez ? »
 
« Pourquoi dit-on d’un homme qui se meurt qu’il s’éteint et…
Quand il est mort on l’appelle ‘‘feu’’… ? »
 
« Pourquoi appelle-t-on le coup de grâce le coup qui tue ? »
 
« Pourquoi remercie-t-on un employé quand on n’est pas content de ses services ? »
 
« Comment distingue-t-on le propriétaire du locataire d’un local quand ces deux personnes vous disent en même temps^® : ‘‘ Je viens de louer un appartement’’ ? »
 
« Pourquoi dit-on d’un pauvre malheureux ruiné qui n’a même plus de lit dans lequel se coucher qu’il est dans de beaux draps ? »
 
« Pourquoi, quand on veut avoir un peu d’argent devant soi, il faut le mettre de côté ? »
 
« Pourquoi un bruit transpire-t-il avant même d’avoir couru ? »
 
« Pourquoi passe-t-on souvent des nuits blanches quand on a des idées noires ? »
 
« Pourquoi lave-t-on une injure et essuie-t-on un affront ? »
 
« Pourquoi, quand on ne partage pas l’opinion de quelqu’un on dit justement ‘‘les avis sont partagés’’ ? »
 
« Pourquoi parle-t-on toujours des ‘‘quatre coins de la terre’’ alors qu’elle est ronde ? »  
 
Une petite dernière (pour vous rappeler de bons souvenirs) ?
C’est l’histoire d’une petite fille qui questionne sa maman qui vient de lui expliquer comment les cigognes vont chercher les petites-filles dans les roses et les petits-garçons dans les choux et viennent les livrer dans les chambres des maternités.
« Oui Maman… Mais elle fait quoi la cigogne, une fois qu’elle a livré le bébé ?
Elle se vautre sur le canapé, siffle de la bière avachie devant la télévision, et elle pète et rote de temps en temps ! »
 
Bon début de week-end (ce soir) à toutes et à tous : On vote dimanche !
 
I³
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)