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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 19 juin 2024

Le programme budgétaire du « Air-haine »

Il risque de faire très mal à ses cocus d’électeurs…
 
Mais pour l’heure, personne ne s’en rend compte. Rien n’y fait ! Ils sont désormais plusieurs millions à en avoir marre de « Jupiter » et de sa bande d’amateurs…
Certains sont d’ailleurs plus méchants que moâ : Personnellement, j’en reste à l’idée que les deux têtes de notre exécutif sont des « hommes incomplets », pas finis.
Je résume la formule par ce constat (qui n’est pas un jugement de valeur, ni même une condamnation de quoique ce soit) : « Tant qu’on ne connaît pas le biberon de 4 heures du matin, on n’est pas fini ! »
Et c’est vrai que c’est formateur de ce que c’est d’être un adulte responsable, mieux que de tenir un fusil !
Résultat du chamboule-tout de « Jupiter », ils sont au moins les deux tiers des électeurs qui n’aspirent qu’à le virer ou lui couper les ailes.
 
Dont un gros tiers qui veulent tenter enfin l’aventure du « Air-Haine » (la seule hypothèse de gouvernement qui n’aura pas été tentée depuis la Libération)…
Un autre tiers qui rêve d’un nouveau Front Populaire. Le premier n’aura pas su empêcher ni la seconde guerre mondiale, ni le régime de Vichy, ni l’occupation, ni l’exode, ni les rafles, ni…, ni…
Le second, celui du « programme commun », aura remis le pays à genoux en un peu plus de 2 ans, entre 81 et 83. Et il n’est jamais sorti de l’ornière dans laquelle il a été jeté.
La troisième finira de le détruire dans le chaos.
Enfin le troisième tiers, le plus étroit, rêve de ne pas disparaître alors qu’il s’est déjà discrédité à l’infini depuis 7 ans.
Bref, l’impasse et probablement l’arrivée de mes « petits-kamarades » du GUD (et autres) de la fac d’Assas, qui auront vieilli comme moâ, ravis d’avoir eu finalement raison contre toutes raisons…
Gloire à l’abomination des arbitraires et du sectarisme d’exclusion, soutenu par la police, la gendarmerie, l’armée qui arrive aux manettes.
Adieu les mêmes passés sous le bandeau, des frères-trois-points et autres (à moins qu’ils soient justement « aux manettes » pour accomplir le « grand-œuvre »)…
Ça me rappelle l’arrivée de la « gôche » en 1981 : Ses dirigeants promettaient de tout renverser et de rebâtir une société plus juste où « chacun aurait selon ses besoins »…
On a vu…
 
Même chose avec le « Air-haine » : Ils promettent beaucoup pour appâter l’électeur, mais en même temps avertissent sur le fait qu’ils ne feront pas toutes les réformes coûteuses promises : « La situation économique dont nous hériterons est tellement catastrophique que nous ne pourrons pas, dans un premier temps, faire les réformes économiques nécessaires ».
Out donc la retraite à 60 ans, on attend « l’audit des finances publiques ».
Dont on sait déjà les résultats : C’est juste une question de gagner un peu de temps.
Une sorte de tradition à chaque alternance…
Mais ils proposent quand même un feu d’artifice de dépenses, de la baisse de l’électricité à l’exonération d’impôts pour les moins de 30 ans.
Et surtout la baisse de la TVA.
Du côté financement, on joue le flou total.
Pas de mesures précises annoncées : On ne veut pas effrayer ni trop tôt ni trop fort…
 
Pourtant on sait déjà…
Car toutes les études d’opinion soulignent que le vote « Air-haine » est un vote de colère et de mécontentement (comme l’aura été celui de de 1981) alimenté par les débats sur l’immigration et l’insécurité, mais aussi et surtout par la baisse du pouvoir d’achat.
Virer ceux qui auront « été trop intelligents »…
Ce ressentiment est encore ravivé par la hausse du prix du gaz de 12 % en moyenne décidée par la Commission de régulation de l’électricité (indépendante du gouvernement), annoncée au lendemain de la dissolution et qui entrera en vigueur au lendemain du premier tour…
Gros gag, quoi !
 
La doctrine de justice fiscale du « Air-haine » reste fondée sur la préférence nationale. Mais les velléités d’un retour de la souveraineté nationale se heurteraient aux traités Européens, qu’il faudrait alors renégocier… Ce qui va demander du temps et n’aboutira probablement pas avant des années : On l’a vu avec le Brexit !
On aura le temps d’y renoncer… pas bien grave.
Le programme social du « Air-haine » prévoit de revenir en partie sur l’emblématique réforme des retraites qui s’avère moins efficace qu’espérée avec un déficit attendu de 5,8 milliards en 2024 et de 14 milliards en 2030.
Je vous avais dit qu’elle n’était pas suffisante… Mais là, ce sera pire encore.
Le parti a finalement abandonné l’idée d’un retour de l’âge légal pour tous à 60 ans, mais il veut toujours ramener le nombre d’annuités requises de 42 à 40 ans, ce qui coûterait au bas mot 25 milliards par an.
Cela mettrait gravement en péril l’équilibre financier déjà précaire du système de retraites : Une catastrophe pour le montant des retraites à verser ! Une véritable spoliation à venir…
Le « Air-haine » prétend également revenir sur la hausse de la participation des assurés sociaux aux frais de santé et sur la limitation des arrêts maladie, alors même que le déficit de la branche maladie à plus de 10 milliards d’euros en 2023 ne montre pas de signe de réduction.
 
La taxation des « surdividendes », surprofits et « surachat d’actions » que « Marinella-tchi-tchi » avait été la première à proposer avant l’élection présidentielle de 2022, le remplacement de l’IFI par un ISF ciblant la « spéculation financière » et la limitation de la « flat tax » aux revenus inférieurs à 60.000 euros ne rapporteraient au mieux que quelques milliards d’euros.
Leurs effets pervers, comme le retour d’une vague de délocalisations d’entreprises mais aussi de particuliers refusant le retour de l’ISF, risqueraient même d’être supérieurs aux gains annoncés.
Mais ça reste hypothétique…
 
En tout cas, ces recettes seraient très loin de compenser l’instauration d'une TVA à 0 % sur les produits de première nécessité ainsi que la réduction de la TVA sur les prix de l'énergie à 5,5 %, d’un coût d'au moins 10 milliards, tout en étant selon le Conseil des prélèvements obligatoires deux fois moins efficace que le défunt bouclier tarifaire.
Dans ces conditions, il est clair que les ambitions budgétaires et fiscales du « Air-haine » seraient très largement revues à la baisse en cas de victoire. 
 
Toujours côté dépenses, l’augmentation de 10 % des salaires sans charges patronales jusqu’à trois fois le smic coûterait également 10 milliards par an tout en réduisant les recettes sociales. Quant à l’exonération de l’impôt sur le revenu pour tous les actifs jusqu’à 30 ans, il ferait perdre 4 milliards de recettes fiscales.
Pas grand-chose dans l’habituel tsunami des « dépenses fiscales » des « alternances ».
 
Si la suppression totale de la cotisation foncière des entreprises, qui était pertinemment programmée pour réduire le poids des impôts de production, est une bonne piste pour améliorer la compétitivité des entreprises, l’idée de supprimer la contribution sociale de solidarité des sociétés (C3S) pour aider les PME est totalement baroque (et indicatif du niveau de préparation et de compétence de l’équipe qui va gouverner) : Cette dernière n’est acquittée que par les entreprises dont le chiffre d’affaires est supérieur à 19 millions d’euros, alors que la petite entreprise est définie comme ayant un chiffre d’affaires inférieur à 15 millions…
C’est vous dire que si le reste est de la même qualité…
Et le tout représente un manque à gagner d’environ 11 milliards d’euros par an.
 
En fait, les marges de manœuvre des finances publiques sont désormais nulles. À l’exception de la fin de la subvention au service public radiophonique et audiovisuel via sa privatisation, qui pourrait assez vite économiser 3,5 milliards d’euros, les pistes d’économies budgétaires proposées par le « Air-haine » sont insignifiantes.
La réforme de l'État, visant en particulier la suradministration, la lutte contre les fraudes, fiscale et sociale, sont des chantiers de long terme et leur rendement sera, au vu de l’histoire, très éloigné des 15 milliards attendus.
Quant à l’interdiction stricte des bons du Trésor indexés sur l’inflation, elle ne présente aucun intérêt et n’aura strictement aucun impact à court ou à long terme. Les 10 à 14 milliards d’euros d'économie sur ce poste sont donc totalement illusoires.
 
C’est d'ailleurs sur le front des taux d’intérêt des obligations d’État que va se jouer la crédibilité du programme du « Air-Haine ». L’annonce de la dissolution aura ouvert une forte période d’incertitudes : La Bourse de « Paris-olympique » a accusé le coup, perdant 3 % en 3 jours (quelques dizaines de milliards disparus et définitivement non-taxables…), les valeurs bancaires étant les plus touchées par une éventuelle hausse des coûts d’emprunt.
Si l’euro qui sert d’amortisseur (ç’aurait été le « franc-Pinay », il aurait dévissé, parachute en torche) est resté à peu près stable, l’indicateur le plus instructif sera dans les prochaines semaines le spread de taux d’intérêt avec la « Teutonnie » qui est passé de 50 points de base à 64 points et va probablement augmenter.
Cette hausse a une conséquence : Elle renchérit mécaniquement à moyen terme le coût d’une dette publique parmi les plus élevées de la zone euro.
 
Mais il y a pire, puisque l’État emprunte depuis le 12 juin à un taux supérieur à celui du Portugal, pourtant noté A, soit 3 crans en-dessous de notre pays (AA–), ce qui paraissait inimaginable il y a encore quelques jours !
Tout est déjà dit, finalement…
Dans ces conditions, il est clair que les ambitions budgétaires et fiscales du « Air-haine » seraient très largement revues à la baisse en cas de victoire.
Pas de quoi s’inquiéter, sauf s’ils passent en force malgré tout avec des mesures non financées…
 
Les inévitables dérapages supplémentaires des comptes publics de la nouvelle politique se heurteront très vite aux réalités économiques : Quelques mois qui vont coûter très chaud durant des années.
Certes, la protection de la monnaie unique évitera un scénario à la « Lizon-Troussée », l’éphémère « Première sinistre » britannique de l’automne 2022 : Après l’annonce de son programme fiscal et budgétaire, la livre s’était en effet effondrée et les taux d’intérêt envolés l’avaient contrainte à démissionner moins de deux mois après sa nomination.
Mais elle reste à la charge des finances de la couronne avec le maintien de son salaire, de sa protection policière et la charge financière d’un secrétariat minimal, à vie…
 
L’heureuse appartenance de la « Gauloisie-olympique » à la zone euro interdira la solution de facilité de la dévaluation, qui fut utilisée jadis par des gouvernements désireux de s’affranchir des contraintes internationales, car les « Gauloisiens-olympiques » refuseront toute sortie de l’euro.
Le seul moyen de rétablir les comptes publics sera alors de procéder à des ajustements budgétaires d’ores et déjà inéluctables, mais qui devront s’effectuer brutalement et dans l’urgence.
Ces ajustements devraient être certes moins violents que ce qu’a connu la Grèce ou l’Irlande au cours de la dernière décennie, mais ils entraîneront une hausse du chômage – notamment des jeunes des non-qualifiés et des analphabètes –, une baisse du pouvoir d’achat des fonctionnaires et des retraités, c’est-à-dire précisément des électeurs que le parti a attirés récemment, et surtout des classes populaires qui constituent traditionnellement son socle électoral.
Avouez que c’est finalement assez drôle.
 
Ne vous inquiétez pas trop pour les « faiseurs d’opinion » qui tournent dans la galaxie « Beau-l’Orée » et les autres vedettes des « grands-patrons » : Eux sont déjà à l’abri depuis fort longtemps et font leur business ailleurs qu’en « Gauloisie-olympique ».
En revanche, ils appliquent leur programme imposé à « Jupiter » par toute une série de relais occultes et même opaques, qui semblent vouloir au moins réduire, sinon détruire, la réputation de la « Patrie-des-droits-de-l’homme » : Elle doit disparaître en tant que porte-drapeau (une vieille rancune des têtes couronnées et de l’aristocratie financière mondiale et pas seulement anglo-saxonne), après avoir fait rentrer dans le rang la « Patrie de la Liberté » (la Grèce des philosophes occidentaux) dans un chaos et si possible devant les caméras du monde entier à l’occasion des JO 2024.
Tout y concoure !
Et « Jupiter » sera recasé à la tête de l’UE pour en faire autant à Bruxelles, mais seulement après avoir fait mordre la poussière à « Poux-tine », naturellement…
« Marinella-tchi-tchi » sera alors à l’Élysée, mais les mains liées derrière le dos…
Pensent-ils prévoir…
 
Parce que le très court délai d’organisation des scrutins des 30 juin et 7 juillet prochains favorise d’ailleurs indéniablement le « Air-haine » en forte dynamique aujourd’hui à la droâte de l’échiquier politique face à une gôche minée par ses querelles intestines difficilement escamotable, malgré une unité de façade purement électorale, des « Républicains-démocrates » en plein divorce qui vont mourir avant espérer de renaître de leurs cendres derrière leurs ex-barons encore vivants (« Berre-Trans », « Jupette », par exemple, « Barre-oint » ou quelques autres) et une majorité présidentielle victime entre autres, du rejet de la réforme des retraites, de l’inflation, mais surtout de sa cuistrerie, de sa suffisance au point d’en avoir « perdu les pédales » si après avoir perdu Matignon elle perd l’Élysée.
Et pis le scrutin uninominal à deux tours est un accélérateur à la force dominante : Il n’y a donc pas beaucoup d’autres alternatives…
 
L’épisode va faire de nombreuses victimes : La soi-disant urgence climatique, bien sûr, mais surtout l’épineux problème calédonien, le processus de Matignon autour de l’avenir de la « Corsica-Bella-Tchi-tchi », la réforme des institutions repoussée une fois de plus, et peut-être la politique énergétique.
Et puis les réformes imposantes de la fonction publique, de notre système de santé, de notre politique familiale souffreteuse, de l’assurance-chômage, de la redéfinition d’une politique du logement, d’un aménagement du territoire cohérent et surtout de la réindustrialisation du pays qui doit marcher à « marche forcée » vers une souveraineté dans bien des secteurs…
Si en revanche « les domaines réservés » restent sur les lignes tracées durant encore trois années en matière de diplomatie et de politique de défense, ce qui devrait rassurer nos partenaires, en revanche il y a lieu d’anticiper des bouleversements dans tous les autres aspects de la vie quotidienne des électeurs.
Qu’ils soient ou non soutien du « Air-haine ».
 
Autrement dit, RDV dans trois ans !
D’ici-là, qui vivra verra…
Les autres, ma foi…
Quant à moâ, je change une fois de plus mes plans, contraint par quelques impératifs imprévisibles depuis le début de cette semaine…  
Quelle époque, décidément !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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