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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 14 mars 2024

Ainsi, ce soir, « Jupiter » va causer…

Il l’évoquera peut-être.
 
Je veux parler de la « Corsica-Bella-Tchi-tchi » puisqu’un accord, qui reste à approuver, a été trouvé entre « Dard-à-la-main » et la CTC & Cie.
C’est que ça ne vous a pas échappé : Le gouvernement et des élus corses sont tombés d’accord dans la nuit de lundi à mardi de cette semaine (d’avant élection triomphale « Poux-tinienne ») sur un projet d’« écriture constitutionnelle » (attention les mots, là !) prévoyant « la reconnaissance d’un statut d’autonomie » de l’île « au sein de la République », paraît-il, le fruit d’un consensus « large mais pas sans réserves ».
Bref, on est loin, très loin d’une indépendance réclamée par les ancêtres des mômes qui ont pris le relai des mêmes…
 
Dans le détail ce projet vient parachever le « processus de Beauvau » et va désormais être transmis à l’Assemblée nationale territoriale de la nation corse pour qu’elle le vote…
(Attention, toujours… aux mots, SVP !)
Effectivement, si les élus de l’assemblée régionale locale ne l’approuvent finalement pas, on sera reparti pour un tour…
Premier tour de circuit pour rien, en somme, et retour aux nuits bleus des « cousins natio » (dont on attend la réaction…).
Et il y aurait des raisons : D’abord, le texte « respecte à la fois les lignes rouges fixées par le président de la République et moi-même, et également le temps imparti » par « Jupiter » en dit « Gégé-Dard-à-la-main », une période de six mois censée s’achever fin mars et déboucher sur un accord : C’est fait et dans les temps.
Entre « frangins-trois-points », on sait aussi donner du sens au poids des mots…
 
En fait, ils sont d’accord uniquement sur le premier alinéa du texte : « La présente écriture constitutionnelle prévoit la reconnaissance d’un statut d’autonomie pour la Corse au sein de la République qui tient compte de ses intérêts propres liés à son insularité méditerranéenne, à sa communauté historique, linguistique, culturelle ayant développé un lien singulier à sa terre » (Reprenez votre souffle…) : On cause de République Gauloisienne-&-olympique, de sa constitution et des son préambule – un incontournable pour les « fratries » – de l’insularité, mais seulement méditerranéenne, pas bretonne ni outre-mer, à son Histoire, sa langue, sa culture, et surtout de son « lien particulier avec sa terre »…
Vous savez une grosse montagne, par ailleurs splendide et sentant si bon, plongée au milieu de la mer, qui aura vu passer et repasser toutes les civilisations alentours depuis bien avant l’antiquité…
En fait, quand on parle de « civilisation », c’étaient surtout des barbares qui venaient piller les autochtones, mais bon… du moment qu’ils restaient sur les côtes, ça laissait le champ libre pour établir des liens particuliers avec la montagne (et ses châtaigniers…).
 
Et que par conséquent, ils sont donc tous d’accord sur le fait que « les lois et règlements peuvent faire l’objet d’adaptation » sur l'île, mais on ne sait pas si ça concerne seulement la loi montagne & littoral, ou si ça englobe aussi le code de la route (en passant par mille et un détails de la vie courante…)
« Gilou-Cimenterie » (le chef de l’exécutif local) a estimé ainsi qu’un « pas décisif » avait été franchi à l’issue de cette réunion — ce qui est vrai, même si ça n’est pas encore un « grand bond pour l’humanité » —, se félicitant que « le principe d’un pouvoir de nature législative, soumis à un contrôle du conseil constitutionnel, soit aujourd’hui clairement acté », qu’il ne se rend pas encore compte que ça ne va pas être facile de se faire censurer par ledit conseil : On va hurler à la République des juges (non élus…).
« L’étendu et les modalités d’exercice de ce pouvoir législatif (…) relèveront de la loi organique (…) Je dirais que ce soir nous sommes en demi-finale, reste à gagner la demi-finale, et la finale », a-t-il déclaré devant la presse.
En bref, le principe est acquis, mais il ne recouvre pour l’heure absolument rien…
« Je reste déterminé à penser que l’octroi du pouvoir législatif est un problème, mais je ne vais pas endosser le rôle du bourreau du processus », a réagi, « Jean-Tintin-Mundo-L’honni », (le patron de l’ATC) laissant donc planer un doute sur son soutien au texte à l’Assemblée de Corse.
 
D’ailleurs, sur la même ligne, le sénateur de Corse-du-Sud, « Jiji-Les-Annonces », (LRd), a répété être « farouchement opposé au pouvoir législatif » qui serait attribué à la collectivité (qui a déjà tout ce qu’il faut mais ne s’en sert pas…), bien que d’autres veuillent « aller beaucoup plus loin ».
Ainsi, le président du Sénat (le « Gauloisien-olympique », pas le Corsu : il n’y en a pas encore en « Corsica-Bella-Tchi-tchi »…), « Gégé-l’Archer », et son collègue président du groupe « Les Républicains-démocrates » au même Sénat national, « Pruneau-Le-taille-haut », sont « eux aussi farouchement opposés au pouvoir législatif », et la « loi reste et doit rester au parlement » affirment-ils.
Notez au passage, qu’ils sont élus et payés pour ça, justement…
Bref, pas sûr que cet accord aille plus loin, finalement.
 
Pourtant le « sinistre de l’intérieur, de l’ordre public, des territoires & des cultes » aura assuré que ce texte ne prévoyait en aucun cas qu’il y ait en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » « deux catégories de citoyens ».
Il n’a pas bien compris « Gégé » ou quoi ?
Parce que bon, il en appelle par ailleurs à un référendum populaire pour valider son accord, et là, il y aura bien des « Gauloisiens-olympiques » qui voteront et d’autres qui ne voteront pas…
Ou alors il a fumé « un truc » entre deux…
 
« Il n’y a pas de notion de peuple (corse) mais de communauté culturelle », a-t-il détaillé, écartant aussi tout « statut de résident » sur l’île (ceux qui votent et ceux qui n’ont pas le droit de voter, justement…)
C’est d’ailleurs là que le bât pourrait blesser l’animal…
« Nous avons avancé vers l’autonomie » et « il n’y a pas de séparation de la Corse avec la République » notamment puisqu’on « n’évoque ni le peuple, ni le statut de résident, ni la co-officialité de la langue », a déjà résumé le sinistre.
Aho : Une défaite sur toute la ligne et en rase campagne pour mes « cousins natio », alors ?
Et sans même faire parler la poudre ?
Je n’y crois pas une seule seconde…
Il n’y a que lui pour y penser, je suppose.
Les effets des substances illicites sur le rachis, suppose-je ?
 
Mais ça reste astucieusement monté : L’écriture constitutionnelle prévoit justement que ce sont les électeurs inscrits sur les listes électorales de « Corsica-Bella-Tchi-tchi » qui seront consultés sur ce projet, et uniquement eux !
Tu penses bien que si on avait également prévu de consulter toutes les électrices et tous les électeurs du pays, y compris celles et ceux de Bora-Bora, de Wallis-et-Futuna et autres terres découvertes à marée basse, le résultat était déjà plié…
 
On n’en est pas encore là : Après consultation de l’Assemblée de Corse, « le président de la République engagera, quand il voudra, la réforme constitutionnelle », a poursuivi le sinistre, en rappelant que le texte devra être voté par les deux chambres du Parlement dans les mêmes termes, puis adopté par le Congrès à la majorité des trois cinquièmes.
Le parcours du combattant ne fait donc que commencer.
 
Par conséquent, pour « Gilou », c’est une satisfaction d’avoir concrétisé par cet accord plusieurs « décennies de lutte ».
« Aujourd’hui, nous pensons à toutes ces femmes et tous ces hommes qui, par milliers, depuis des décennies, se sont battus pour cet idéal qui aura une première concrétisation. »
Mais, il en dit, avec une forte dose de lucidité, que « parce qu’il reste beaucoup de travail pour concrétiser la révision constitutionnelle et faire voter une loi organique cohérente par rapport à l’écriture constitutionnelle projetée.
Enfin, beaucoup de détermination parce que nous sommes portés par la conviction que ce combat est juste et qu’il faut le faire aboutir. »
Dont acte.
 
On note aussi que « large consensus », ce n’est pas « unanimité ».
On l’a vu.
Mais c’est d’après lui, « une large majorité sur la question de pouvoir législatif et une quasi-unanimité sur les autres questions, à l’exception du sénateur Panunzi (les « annonces » en francilien-natif pour les béotiens) qui exprime sa réserve à l’égard de l’ensemble de la démarche et donc du texte. »
« Nous sommes satisfaits de ce texte et du projet d’écritures constitutionnelles, même si nous avons conscience qu’il s’agit d’un pas qui en appelle d’autres. Mais, c’est un pas immense ! »
 
Mieux, à son avis, les acquis contenus dans ce texte sont d’ores et déjà irréversibles, et ce serait fondamental : « Pour reprendre une métaphore sportive, on s’est qualifié pour la demi-finale, reste maintenant à la gagner, c’est-à-dire après le débat et le vote de l’Assemblée de Corse, obtenir le vote par l’Assemblée nationale et le Sénat à la majorité simple de la révision constitutionnelle.
Enfin la finale, c’est-à-dire se mettre d’accord sur un texte de loi organique qui reprend, développe et précise les grands principes contenus dans le projet d’écritures constitutionnelles pour que le statut d’autonomie puisse effectivement être validé et entrer en vigueur. »
On avait compris : C’est si simple, n’est-ce pas…
 
Néanmoins, je reste surpris : Il n’est pas réglé la notion de « peuple corse », ni abordé le « statut de résident » (à la Kanak) ou de co-officialité de la langue corse…
Le cœur du sujet.
Il en dit que, sur ces différents points, « il faut répondre de façon claire pour une bonne compréhension. D’abord, sur la notion de peuple corse, on a toujours su depuis le début et depuis des années que la Constitution française ne peut pas reconnaître le peuple corse tout simplement parce qu’elle ne peut pas reconnaître un autre peuple que le peuple français. »
Si, si, elle reconnaît bien l’existence du peuple Ukrainien (et quelques autres qui nous font caguer jusque dans nos mosquées, temples, églises et synagogues, alors qu’en principe ça n’a rien à voir…) !  
Mais j’en dis : « Ah bé tout de même ! »
Enfin un peu de bon sens.
 
« Un exemple, y compris dans le statut de la Nouvelle-Calédonie qui organise pourtant la transition vers l’indépendance, il n’est jamais fait référence au peuple kanak, mais aux populations de Nouvelle-Calédonie. »
Pas plus pour les « Îles de la société » tahitiennes…
Au passage, l’indépendance, reconnaissons que même les kanaks n’en veulent pas, mais qu’il faudra aussi en réviser notre constitution sur ce sujet : L’avortement, la « Corsica-Bella-Tchi-tchi », la Nouvelle Calédonie… « Jupiter » a du boulot !
Et pourquoi ne pas supprimer l’interdiction de faire plus de deux mandats à l’Élysée, par la même occasion, parce qu’il n’y arrivera pas à ce rythme-là ?
 
« Nous proposons que cette notion (du peuple Corsu) soit intégrée dans un accord politique à conclure et éventuellement à mettre dans la loi organique. Donc le fait qu’il n’y ait pas la notion de peuple corse n’est, en aucun cas, une surprise et encore moins une concession ».
Bé voyons…
Cependant, il note à son profit qu’à travers sa formulation, « le premier alinéa du texte met la barre au niveau que nous considérons nécessaire, c’est-à-dire à la hauteur du combat symbolique, historique et politique que nous avons posé depuis des décennies. »
Il faut dire qu’on y retrouve tout ce qui fait « un peuple » : Des « intérêts propres, liés à son insularité méditerranéenne et à sa communauté historique, linguistique, culturelle, ayant développé un lien singulier à sa terre », exactement comme aux Comores…
D’ici à ce que l’ONU oblige la « Gauloisie-olympique » à une consultation sur l’autodétermination des peuples par eux-mêmes, il n’y a pas loin.
 
Car « la notion d’intérêts propres est très importante parce qu’elle montre que la Corse a des intérêts qui lui sont propres. » Ah oui ?
Ah oui ! Moâ je sais lesquels… (et probablement que « Poux-tine » aussi : Il le revendique très bien lui-même pour le Donbass, la Crimée, la Transnistrie…) : La TVA sur l’essence à la pompe et sur les tabacs…
« Il y a là tous les éléments constitutifs qui, intégrés dans la Constitution, vont permettre à la loi organique et aux normes de valeur législative et réglementaire, qui seront prises par la Collectivité autonome de Corse, de décliner de façon très opérationnelle des grands principes.
Par exemple, la communauté linguistique et culturelle donne une base constitutionnelle au statut de la langue corse et à la mise en œuvre de différentes politiques qui permettront d’atteindre le bilinguisme réel et efficace que nous avons validé de façon unanime ».
Ce n’est pas moâ qui l’affirme… On ne veut pas en parler, mais on en parle tout de même, n’est-ce pas…
 
« L’insularité méditerranéenne, c’est la dimension insulaire de la Corse et, au-delà de l’ancrage méditerranéen, sa traduction dans toutes les politiques publiques, y compris en faveur de l’intérieur.
Le lien singulier à sa terre, c’est bien sûr l’accroche constitutionnelle pour développer une politique foncière et immobilière importante.
C’est-à-dire le statut de résident dans le domaine foncier et immobilier, qualifié de statut de résidence, mais qui est bien, par son contenu, le statut de résident dans le principe avait été voté par la délibération de 2014, et que nous avons porté de façon constante depuis lors. »
Bref on lui ferme la porte, mais « Dard-à-la-main » aura grand-ouvert la fenêtre.
Conclusion : « C’est donc un sujet de satisfaction de ce côté-là. »
Il peut le dire, en espérant que ça calmera ses « cousins-clandestins »…
 
On se pose aussi la question de savoir pourquoi le texte ne liste pas les compétences dévolues à la Corse dans un statut d’autonomie.
Il y répond que c’est fait exprès : « Le fait que l’écriture constitutionnelle ne mentionne pas les matières, où le pouvoir législatif et réglementaire de la Collectivité autonome de Corse pourra s’exercer, est un principe normal dans la mesure où il appartiendra précisément à la loi organique de définir ces champs de compétences. »
C’était d’ailleurs l’erreur de Paoli qui mélangeait fonctionnement institutionnel et dispositions pénales dans sa constitution de 1755…
 
Et de rajouter : « On sait très bien depuis le début que l’écriture de la loi organique conditionne et conditionnera l’effectivité et la portée du statut. Il y a un combat en plusieurs étapes à mener.
La première étape était celle de l’écriture constitutionnelle, elle est franchie de façon satisfaisante et rassurante.
Le combat politique continue à la fois pour convaincre les députés et les sénateurs de ne pas édulcorer ou dénaturer le projet dans le contenu a été validé.
Dans un deuxième temps, il faudra, même en temps masqué, travailler à une loi qui reprenne, effectivement de façon plus précise et plus détaillée, en les développant, les principes qui ont vocation à être actés par l’écriture constitutionnelle. »
Pour préciser qu’il « y a donc un travail politique de fond à faire, à la fois de pédagogie, d’explication, de mise en perspective historique d’inscription de la demande d’autonomie projetée par la révision constitutionnelle, de réinscription de la Corse à la fois dans sa dimension historique, politique, géographique, donc méditerranéenne, en rappelant que l’autonomie est la règle dans toutes les grandes îles de l’Union européenne et particulièrement de Méditerranée et qu’elle a permis le développement économique, social et culturel dans ces grandes îles qui vivent toute l’autonomie de façon positive et apaisée. »
Naturellement et même jusqu’en Sicile… apaisée.
 
En bref, en fermant les yeux sur ce qui fâche, en polissant le poil dans le sens de l’Histoire (rêvée par les Lumières des franc-maçonneries de l’époque de Paoli, des fondamentaux, quoi…) en flagornant les institutions et leurs représentants, les autonomistes gagnent en respect et parviennent à forcer « la fenêtre ».
Se faisant fort, d’avancer, ou pas, dans l’avenir.
Mais la solution aux vrais problèmes n’avance pas pour autant…
L’insularité reste un handicap alors que la métropole est si proche. Et c’est vrai tant pour l’enseignement supérieur, les problèmes de santé que d’approvisionnement, de transport ou que d’ouverture économique. Le « culturel » s’en sort mieux, finalement.
 
Et l’insularité ça gangrène tout et ça dégénère en insécurité : Les « mafias » et autres gangs claniques président toujours aux destinées des villages, des bourgs et des faubourgs, et jusque dans « les quartiers » des villes.
Vous me direz, ça existe partout, mais en « Corsica-Bella-Tchi-tchi », pourtant un micromarché pour les truands et les trafics, la concurrence peut rapidement prendre des proportions démesurées.
Comme on a pu le voir ici[1] ou là[2] et encore ailleurs[3]
Mais il y en a d’autres que je ne vous narre pas non plus.
 
S’ils sont contents d’eux-mêmes, je reste très satisfait : Avec ce processus qui va demander des générations pour aboutir, ce n’est pas de mon vivant que j’aurai à choisir entre ma Nationalité de « Gauloisien-olympique » (à laquelle je tiens, puisque mon pays, celui que j’aime tant, commence à me le restituer) et ma Patrie de cœur (et génétique) !
Et c’est tant mieux…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] https://flibustier20260.blogspot.com/2016/01/noel-2015-ajacciu.html
[2] https://flibustier20260.blogspot.com/2016/09/siscu.html
[3] https://flibustier20260.blogspot.com/2024/01/estives-2023-1011.html

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