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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 6 mars 2024

La promotion Titanic (1) !

Une collection improbable…
 
Je vous l’avais promise en début de semaine (dans deux posts écrits la semaine précédente) et j’ai donc farfouillé mon amoncèlement disparate d’éléments d’archive stockées sur disquettes, disques durs amovibles, clés USB, CD-Rom, DVD et mémoires flash…
Ces messieurs-dames de l’Institut Français de Recherche sur les Administrations Publiques, usent de leurs talents divers et variés pour quelques affaires notoirement connues et faire, à l’occasion, du lobbying, pas toujours très réussi, mais c’est à eux qu’on doit cet inventaire.
Volontairement tronqué aujourd’hui : On y reviendra peut-être cet été…
 
L’un de leurs plus vieux papiers, a été de faire l’inventaire d’une promotion fictive mais unique de « technocrates » (qui servent avec servilité nos « sachants-trisomiques ») et parfois en font partie (ou quand le Vizir devient Calife à la place du Calife), purs produits de la technostructure étatique de notre beau pays de « Gauloisie-olympique », formées aux meilleures écoles ouvertes à quelques brillants cerveaux.
 
Une promotion virtuelle, mais qui regroupe de bien réelles pertes sèches que le kontribuable assume malgré lui avec une régularité déconcertante.
Quarante-deux personnages au total (mais on n’en voit qu’une partie aujoujrd’hui, pour vous mettre en bouche) sont ainsi distingués pour avoir l’honneur de faire partie de cette « élite précieuse » que « le monde entier nous envie ».
Loin de se contenter d’administrer, les énârques ont une véritable capacité d’obstruction et de manipulation dont ils usent et abusent.
Certes, leur grande ékole aura été plusieurs fois réformée, mais elle est née d’une idée assez simple qui germa dans le crâne de « Michou-Deux-Braies », grand penseur de la pensée Gaulliste après-guerre, quand il s’est rendu compte que chaque « grands-corps » (qui soi-disant viennent de disparaître par la volonté d’un seul d’entre eux) recrutait dans son coin par voie de concours !
Et si on faisait un concours unique ?
Ce qui fut dit, fut fait et, est ainsi née l’ENÂ.
 
Il paraît que le plus dur, c’est d’y rentrer.
Admettons : Moâ, quand j’ai vu la tronche des filles qui y prétendaient, je ne me suis même pas déplacé pour le grand-oral ! Enfin, si, j’y étais, mais j’ai fait faux bond au dernier moment, au grand dam de ma parentèle et d’une partie de ma famille déjà ravie de m’accueillir dans leurs effectifs.
Je n’allais quand même pas passer plusieurs de mes jeunes années de bachotage avec ces gueuzes-là. Un coup à devenir moine énucléé ou carrément eunuque…
À l’ékole de la magistrature, au moins, il y en avait de plus aguichantes.
Et puis la « petite-blonde » échouée de Teutonnie de l’Est jusque sur les bancs de ma fac de droit, elle a fait expertise comptable…
Et j’ai fait autre chose.
La vie, vous savez, elle vous emmène là où elle veut.
 
Je reprends donc mon billet d’antan : « Les énârques représentent près de la moitié des postes à responsabilité dans les administrations clés de Bercy. Si cette situation est problématique, c’est d’une part car elle engendre une culture de caste dans ces administrations, et d’autre part ce sont surtout des gestionnaires calamiteux, ainsi qu’en attestent les nombreux exemples de la « promotion Titanic ».
Ainsi, nous reproduisons ci-dessous un bref résumé du Dossier Noir de l’ENÂ publié par la Fondation iFRAP en 2005, ceci afin d’en rappeler le constat tout à fait essentiel : Le pouvoir dévolu aux énarques est tout à fait disproportionné par rapport à leurs compétences réelles. En l’espace de 15 ans, une trentaine d’énarques à la tête d’entreprises privées ou publiques ont réussi à faire perdre à eux seuls plus de 200 milliards d’euros à leurs actionnaires. »
 
C’était il y a 20 ans…
Depuis, ils en ont fait d’autres et se sont régénérés avec l’arrivée de nouvelles générations qui ne sont décidément pas meilleures que les précédentes, mais personne n’en a encore fait l’inventaire complet.
Pourtant, « Jupiter » en fait partie…
Ce qui veut tout dire !
 
Remarques préliminaires :
Pour chacun des énârques cités, on nous donne l’entreprise, les raisons des pertes et le montant de la perte imputable à l’énarque.
Le terme IF indique que l’énarque est Inspecteur des Finances, c’est-à-dire qu’il est sorti parmi les premiers lors du classement de sortie de l’ENÂ et appartient au corps de l’État le plus prestigieux.
Mais je vous rappelle qu’il y a d’autres « corps », notamment celui des ingénieurs (X, Mines, Ponts…) et quelques perles chez les normaliens, la magistrature, Saint-Cyr, etc.
Le terme gestion « désastreuse » concerne une mauvaise gestion au sens strict (mauvais choix d’investissement, etc.), quand il y a eu des malhonnêtetés ou malversations, le détail est donné.
 
Signalons que les pertes financières d’un énârque à l’autre peuvent atteindre des ordres de grandeur très différents mais on remarquera que les pertes sont souvent plus ou moins proportionnelles à la taille de l’organisme géré par l’énârque…
Pour chaque énârque ont été ajoutées les décorations reçues le cas échéant.
Et il faut vraiment être plouc pour ne pas en décrocher une ou deux, chez « ces gens-là » !
Et vous noterez aussi que pour l’essentiel, ces personnages auront disparu des mémoires vives des millenium qui n’auront pas eu à les supporter ni à les « gérer ».
Mais avouez, si vous en êtes, que nous, boomers, nous n’avions pas vraiment eu de chance et qu’il a fallu ramer pour sortir la tête hors de l’eau : La rançon à payer du fait de nos parents (qui ont cru bien faire)…
 
— Pierre Bilger, IF, Alstom, gestion désastreuse, a amené Alstom au bord du dépôt de bilan et à une renationalisation partielle par injection massive de capitaux publics.
 
— Pierre Blayau, IF, Moulinex (le mek très fier de fabriquer en « Gauloisie-olympique », pour vendre à prix soviétique…), pratique des sociétés écrans pour (mieux) rémunérer les dirigeants, dépôt de bilan, mise au chômage de 5.000 personnes et mise en examen pour « banqueroute par emploi ruineux et banqueroute par détournement d’actifs ».
Chevalier de la Légion d’honneur, officier de l’ordre national du Mérite.
 
— Jean-Marie Messier (dit « J6M » : Jean-Marie Messier Maître du Monde et de Moi-Même) et Guillaume Hannezo, IF tous les deux, Vivendi Universal, gestion désastreuse, diffusion, au nom de la société d’informations inexactes et abusivement optimistes, tromperie du public 3,72 milliards d’euros de pertes.
 
— Guy de Panafieu (le sensualisateur de la « panaf’-à-roulette » comme la surnommait ma « cousine » Xavière… Casanova-di-Corti, épouse Jean Tiberi-di-Corti), IF, Bull (qui devait bouffer IBM, qui a raté l’ère des PC portables, Windows et même le Minitel…), démantèlement progressif de l’entreprise pour combler les déficits, cet exercice se solde néanmoins par une perte annuelle de 253 millions d’euros en 2001 et une réduction cumulée d’effectifs de 15.000 personnes (sur un total de 21.000). Chevalier de la Légion d’honneur et de l’ordre national du Mérite.
 
— André Tarallo, Elf Gabon, soupçonné de recel d’abus de biens sociaux à hauteur de 300 millions de francs, dont 84 millions prouvés, quatre ans de prison ferme et deux millions d’euros d’amende.
Il aura précipité la chute de la maison-mère et des traces durables de carambouilles de la « France-Afrique ».
 
— « Nanard-@tali », le frère jumeau de « D’jack », conseiller référendaire à la Cour des comptes, Air France, gestion désastreuse et politique d’investissement douteuse (notamment rachat d’actions à un proche de « Mythe-errant » à un prix très supérieur à leur cours de bourse : Les cendres d’UTA), 8 milliards de francs de francs de déficit en 1993, aide de l’État de 4 milliards de francs et suppression de plus de 4.000 emplois.
 
— Michel Bon, IF, le fossoyeur de « Trans-Télécom », gestion désastreuse, 68 milliards d’euros de pertes. Officier de la Légion d’honneur et de l’ordre national du Mérite, chevalier du Mérite agricole.
 
— Jean-François Cirelli, Gaz de France, artifice comptable et collusion politique afin de dissimuler 12 milliards de dette de charges de retraite des salariés.
 
— Louis Gallois, SNCF. Il a fait de ce qui était à ses débuts une des gloires françaises, le réseau le moins productif d’Occident en termes de km-voyageur par agent, associé à des taux de grève record (18 fois plus que dans le privé), des retards devenus célèbres comme d’une marque de fabrique et un déficit considérable. Chevalier de Légion d’honneur et de l’ordre national du Mérite.
 
— Alain Minc (celui qui est adoré des « gôchistes-bobos »), IF, Cérus, mauvaise gestion, 4 milliards de francs d’addition. Officier de la Légion d’honneur.
 
— Yves Roland-Billecart, IF, Air Afrique, gestion désastreuse et mise en faillite de la compagnie, dette de 183 milliards de francs CFA. Officier de la Légion d’honneur, commandeur de l’ordre national du Mérite.
 
— François Roussely, conseiller référendaire à la Cour des comptes, EDF, investissements hasardeux et catastrophiques, 25,8 milliards d’euros d’endettement. Officier de la Légion d’honneur, de l’ordre national du Mérite et des Arts et des Lettres.
 
— Michel Albert, IF, Assurances générales de France, gestion désastreuse, 6 milliards de francs de pertes. Officier de la Légion d’honneur, grand officier de l’ordre national du Mérite.
 
— « D’jack-@tali » le frère jumeau de l’autre (concours général des lycées), maitre des requêtes au Conseil d’État, Banque européenne pour la Reconstruction et le Développement. Dépenses somptuaires de 560 millions de francs pour refaire le siège de la BERD, soit un dépassement de budget supérieur à la totalité des prêts consentis par la BERD aux pays de l’Est[1]. En deux ans, soixante vols en jets privés pour 1,4 million de livres, notes de frais exorbitantes assorties de rémunérations interdites par le règlement de la Banque.
 
— Jean-Michel Bloch-Lainé, IF, Worms, gestion désastreuse, 14,9 milliards de francs de pertes. Commandeur de la Légion d’honneur et de l’ordre national du Mérite.
 
— Georges Bonin et Patrice Chevallier, Crédit Foncier de France (disparu depuis), gestion désastreuse, pouvoir discrétionnaire, avantages suspects accordés à certains clients, 10,8 milliards de francs de pertes en 1995, nationalisation puis liquidation.
 
— Patrick Careil, IF, Banque Hervet (absorbée depuis), gestion désastreuse, 1,2 milliard de francs de perte en 1993. Chevalier de la Légion d’honneur et de l’ordre national du Mérite.
 
— Jean Dromer, IF, Banque Internationale pour l’Afrique de l’Ouest, gestion désastreuse, déficit de 393 millions de francs en 1988.
 
— Jacques Friedmann, IF, Union des Assurances de Paris (avalé par plus gros), mauvaise gestion, 2 milliards de francs de pertes, Commandeur de la Légion d’honneur. Chevalier de l’ordre national du Mérite.
 
— Michel Gallot, IF, Société de banque occidentale (Quelle banque ?), gestion désastreuse, 4 milliards de francs de pertes. Officier de la Légion d’honneur et de l’ordre national du Mérite.
 
— Jean-Yves Haberer, IF, Crédit lyonnais, gestion désastreuse, dépenses somptuaires exorbitantes, publication de faux bilans, 15 milliards d’euros de pertes, condamné à 18 mois de prison avec sursis.
L’homme qui s’est fait arnaquer comme au coin d’un bois par notre « Nanar-national », le Tapis…
 
— Jean-Maxime Lévêque, IF, Crédit Commercial de France et International Bankers Incorporated, mis en examen pour complicité d’abus de confiance, recel, complicité de présentation de comptes inexacts et complicité de distribution de dividendes fictifs, 1,5 milliard d’euros de pertes, incarcéré 4 mois à la Santé.
CCF, dont on finit seulement de faire disparaître les dernières enseignes… et clients.
 
— Robert Lion, IF, Caisse des dépôts et consignations, gestion douteuse : Il a fait construire un nouveau restaurant en prenant sa femme pour architecte. Le premier, c’était mon grand-père qui l’avait créé, avant-guerre…Officier de la Légion d’honneur et de l’ordre national du Mérite.
Mais globalement, l’organisme a un contrôle interne au top de sa forme…
 
— Pierre Moussa, IF, Pallas Stern (encore une étoile transformée en trou noir sans être passée par la phase supernova), gestion désastreuse, 8 milliards de pertes puis dépôt de bilan en 1995. Officier de la Légion d’honneur et officier de l’ordre national du Mérite.
 
— Roger Prain, IF, Banque Verne (une belle « boutique » pourtant : J’y ai audité les comptes, une partie seulement, pour mon boss du moment qui était un de ses deux commissaires aux comptes), mauvaise gestion, recapitalisation de 300 millions de francs en 1996. Officier de la Légion d’honneur, chevalier de l’ordre national du Mérite.
 
— Jean-Claude Jolain et Raymond Fekik, Mutuelle du Mans Assurances, gestion désastreuse, attribution d’indemnités retraites dans des conditions controversées, 4,5 milliards de francs de pertes.
 
À suivre…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Mais j’ai une autre version : c’étaient ses sous à lui, acquis frauduleusement et détournés à l’occasion de la Guerre du Golfe. Il y en avait pour 2 milliards de dollars de commissions à se partager avec le « sinistre » des finances et de l’industrie de l’époque, un dénommé « Déesse-Khâ » qui lui devait renflouer avec sa part, après avoir été fusillé à New-York, la banque d’un coreligionnaire prématurément décédé du haut de son balcon à Tel-Aviv…
Vous pouvez retrouver les détails de mon enquête – forcément romancée pour éviter des poursuites judiciaires ou de trahir des secrets d’État – en librairie chez Amazon ou encore sous ce lien : I-Cube (l'exilé): Opération Juliette-Siéra (00/33) (flibustier20260.blogspot.com)

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