J’oscille entre immense tristesse et envie irrésistible d’en rire (1/2)

Sont-ils vraiment sérieux ?
 
D’avoir élu un président qui ne sait pas ce que c’est que les biberons de 4 heures du matin pour se les être épargnés, qui se prend en plus pour « Jupiter » et en profite pour bousculer nos institutions et ses « corps intermédiaires » avant d’en faire autant avec ses partenaires européens en menaçant directement « Poux-tine », passe encore : C’est le jeu de la politique-politicienne et de la diplomatie.
Après tout, qui veut la paix prépare la guerre, c’est bien connu.
 
Que le même se soit entouré dès après sa première élection de quelques « professionnels » relativement irréprochables, encadrant d’une flopée de guignols, comme « Si-Bête-la-Diarrhée », « Marre-Laine-Chia-pas » ou encore « Agnèle-buse-one » et quelques autres, passe encore : Il nous aura bien fait rire !
Mais qu’il parvienne à se dépouiller de compétences indispensables en virant des « Casse-tête », « Bas-bête-Borgne » et quelques autres pour s’entourer de « mignons » à peine dégrossis pour faire le show, j’en reste stupéfait…
 
D’abord l’ex-amant du « premier-sinistre », que dis-je amant, l’ex-pacsé, le truc qui se veut un mariage sexué entre adultes consentants en vue de fonder une famille mais sans se reproduire (et s’épargner les biberons de 4 heures du mat’), celui qui ne sait même pas parler le « francilien-académique », là, ça m’aura scié.
Pire : Il garde « Dupont-Moriarty » dit « acquittator » jugé « coupable mais pas responsable » d’un délit, par défaut d’intention délictueuse (que… ils nous auront vraiment tout fait après le « responsable mais pas coupable » du sang contaminé…) et aura rajouté « Rachi-dada-Minimi » à son « tableau de chasse », qu’il a assis dans le fauteuil de Malraux !
Un comble, me semble-t-il…
 
Passons : Durant ces deux jours, je voudrai m’attarder sur AOC (« Âme-élue-Ouadada-Castrera »), éphémère « sinistre de les ducs à Sion » des « chères têtes blondes ».
C’est sacré, les « têtes-blondes » (on ne s’est pas tamponné les biberons de 4 heures du mat’ pour rien…). D’ailleurs, elle l’aura compris, puisqu’elle veut le meilleur pour les siennes.
Même si elle n’a pas dû trop souvent s’inquiéter pour les « biberons de 4 heures du mat’ », les dents qui poussent et les maladies infantiles… mais je n’en sais rien : Je présume seulement.
 
Elle a le mérite de s’être reproduite avec son « spermateur » de banquier, celui qui aura essuyé la grosse bévue de l’affaire Kerviel…
L’éphémère partenaire de Mauresmo à une partie de tennis en double où elle n’a jamais rien gagné sauf que quand elle était toute « jeune », aura fini, « sinistre du sport » en pleine préparation des JO.
Pourquoi pas : « L’Amour » l’escrimeur, qui aura fait les JO à son époque, l’aura précédé dans ce fauteuil, du temps du « Chi »…
 
Sauf que là encore, celle-là, c’est une perle : Sitôt nommée, elle enchaîne les déclarations mensongères, voire stupides et de mauvaise foi, depuis qu’elle fait partie des gouvernements de « Jupiter ».
Épouse légitime d’un ex-PDG de la Société Générale qui fait actuellement PDG de Sanofi, nièce d’éditorialistes de « centre-droât » de « bon-teint » et ex-directeur de « Trans-télévision », multimillionnaire (en dollar), on pourrait dire, en étant polis, qu’elle est largement plongée dans un grand nombre de conflits d’intérêts.
Qu’on pourrait aussi s’indigner de son attitude face à la presse, de ses mensonges répétées (elle a prétendu qu’elle avait mis son fils dans le privé car les enseignants de l’école publique étaient trop souvent absents, ce qui s’est complètement faux : Ma « Nichée » aura été scolarisée dans le même collège qui porte le nom d’un auteur de dictionnaire de « francilien natif ») …

Heureusement, l’indécence n’aura pas duré trop longtemps : Elle a fini par passer le relai à « Belle-Loubet », « l’ex-garde des sots », ressortie illico presto de la naphtaline pour éteindre l’incendie !
 
Mais ce serait oublier qu’elle fait partie de cette caste invraisemblable, une classe sociale qui se veut dominante, sûre d’elle-même, persuadée par sa naissance étoilée d’être dans son bon droit et dont les idéaux et les façons de penser sont très différents des autres.
Chez ces gens-là, Monsieur, on se contente de naître…
Ce n’est pas la compétence qui fait faire carrière, ce sont la naissance et les connaissances de l’entre-soi !
Un privilège que « les castes » se partagent entre elles.
Nous avions eu la « Promotion Titanic », nous avons la « République des réseaux 2.0 ».
La première, on y reviendra, s’auto-légitimait à travers les « concours Républicains » dans les grandes ékoles du pays, ENÂ en premier (qui aura fourni une belle pelleté de ses membres), la seconde réseaute et il y en a pour tous les goûts.
Notez que ce n’est pas mieux, finalement…
 
Pour rappel, parce que celle-là, elle me fait encore rire, en novembre 2023, alors qu’elle n’était encore que « sinistre des sports », est auditionnée par la Commission d’enquête relative à l’identification des défaillances de fonctionnement au sein des fédérations françaises de sport sur son passé de directrice générale de la Fédération Française de Tennis, poste qu’elle a occupée à ne rien faire durant un peu plus d’un an entre mars 2021 et mai 2022 (moment où elle a été nommée « sinistre » du second quinquennat de « Jupiter »).
Interrogée par le député insoumis « Fanfan-Pique-mal » sur l’importance de sa rémunération à ce poste de direction – 500.000 euros par an, 35.000 net par mois, elle répondait en ces termes : « Je comprends très bien que 500.000 euros puisse paraître élevé au regard des standards de vie des Français… » (mais non mais non, « Jupiter » ne gagne que 20 % de mieux…) avant de justifier sa rémunération par la manne financière que représente le tournoi de Roland Garros, et d’affirmer « Cette institution ne touche pas le moindre euro de subvention publique ».
Naturellement, c’est totalement faux !
 
La commission d’enquête a établi depuis que la FFT touchait bien de l’argent du contribuable, au moins plus d’un million d’euros par an, comme quoi, elle n’était même pas au courant de comment l’organisme qu’elle dirigeait finançait son salaire, plus les charges : Un comble !

Une fois ce mensonge exprimé, la ministre s’est ensuite victimisée devant les députés, précisant que pour aller diriger la FFT, elle avait « divisé par X sa rémunération et que le sujet c’est la passion ».
Pov’ petite chérie que voilà !
Ce qu’elle évoque certainement, c’est sa précédente rémunération en tant que « directrice e-commerce, data et transformation digitale » du groupe Carrefour : 1,4 millions d’euros par an !
Carrouf’, je vous l’ai déjà dit : S’ils sont capables de payer se prix-là pour de l’esbrouffe et se rattraper sur le petit personnel payé au smic horaire avec des horaires découpés et réduit à temps partiel, il faut tout de suite vendre vos actions, parce qu’ils vont crever tôt ou tard.
J’ai un exemple similaire à vous proposer : Les épiciers Codec… des coopérateurs-détaillants.
Des entrepôts un peu partout dont un au siège à Longjumeau : Un beau navire mais avec un étage complet à nourrir rien que pour l’informatique ! Ils ont fini par disparaître atteint des maladies honteuses pour un commerçant : La faillite…
 
Mais « AOC » persiste à s’enfoncer : « Si je rapporte ma rémunération actuelle (celle de ministre, soit 10.000 euros + 100.000 euros de frais de représentation par an + chauffeur et avantages divers) au volume d’heure que chaque semaine je m’enfourne en bossant jour nuit week-end, je ne suis pas bien payée… c’est pas grave : j’ai une mission fondamentale dans un moment fondamentale pour le pays et je suis passionnée toute entière à mes responsabilités ».
Que c’est beau ce sacrifice patriotique : Elle ne fait tout ça, les sorties « en représentation » permanente, les cocktails, les déplacements à décalage horaire, les cours de fitness pour garder la forme et « paraître » (les salons de coiffure, les séances chez les meilleurs tailleurs, etc.), sacrifier sa famille et ses enfants (élevés par ailleurs par des nounous le ménage, la lessive, payés en sus pour avoir du personnel domestique à foison qui génèrent des crédits d’impôt), pour sa seule gloriole : Elle n’a pas besoin de ça pour être, pour exister.

Elle le fait comme d’une mission qui la transcende, bien évidemment…
Un véritable esclavage au service de sa fonction (tombée tout crue dans son bec alors qu’elle ne demandait rien) !
 
C’est la légende des PDG et des ministres qui bossent nuit et jour, week-end compris – ils comptent là-dedans les dîners, les soirées de gala et autres mondanités atrocement pénibles – devrait être comparée à la réalité du travail de nuit des intérimaires de la logistique, des journées à rallonge des agriculteurs, de la charge mentale des travailleuses et travailleurs de la santé… Et alors on pourrait discuter.
Notez que justement c’est l’argument choc de la caste quant à la « relative faiblesse » de leur rémunération : Ils sont forcément moins payés que le voisin.
Ce qui est parfaitement logique : On est tous pareil. Même chez le paysan qui passe 70 heures par semaine auprès de ses bêtes pour moins que le RSA…
Car dans le groupe des 1 % les plus riches (attention, je fais partie du décile le plus riche en termes de « stock » de richesse, mais du centile ayant les plus faibles revenus d’activité, sous le seuil de pôvreté : Je peux donc en parler librement !), les différences sont énormes.
Bien plus grandes qu’entre une personne qui touche le SMIC et un cadre moyen.
 
On fait partie des 1 % les plus riches quand on touche 10.000 euros net par mois, avant impôt, c’est-à-dire en gros le salaire d’un ministre ou d’un commandant de bord chez « Air-trans » (le second fait atterrir un Airbus, le premier fait crasher le pays, mais ils sont payés pareil, allez comprendre).
Ce n’est vraiment rien à côté de ce que touche « Nanard-Art-now » chaque minute (50.000 euros, dit-on).
Or, depuis leur tendre enfance, les membres de « la caste » se classent entre eux : La réputation est étroitement liée au revenu.
D’ailleurs, chaque année, le magazine des fans officiels de la bourgeoisie, Challenges, classe le patrimoine des 500 plus grandes fortunes.
Vous ne m’y trouverez pas.
 
Mais notez que chez les « sachants », ils se classent entre eux aux effectifs qu’ils ont à leurs ordres. Je sais, je les ai vus faire !
Un colonel, c’est un régiment. 1.200 personnes. C’est le tarif pour un « X », même le plus minable, qui finira « colon-5-sardines » de réserve « sans avoir tiré le moindre coup de feu ».
Alors évidemment, Pédégé d’une entreprise publique, c’est le panard… Au moins autant que « sinistre »…
 
Et puis il y a deux autres « bibles » avec lesquelles « la caste » est née : Le « Who’s Who »… Si tu n’es pas dedans, t’es qu’un plouc. Et le bottin administratif (qui « place » le quidam).
Mais la caste a aussi d’autres réseaux à activer régulièrement (et pas que ceux des « frères-trois-points » qui recoupent souvent les premiers) : Les bottins des anciens élèves, une carte « au Stade », une autre au « Golf » et si en plus tu montes, avec l’âge, un canasson en pension dans une écurie, du côté de Chantilly ou en Normandie, est du meilleur effet…
C’est bien mieux que la Rolex à cinquante balais !
 
À la limite, je comprends parfaitement cette fringale irrépressible : C’est la peur du manque.
Après tout, c’est « Bal-Qu’Annie » qui m’aura éclairé sur le sujet en jetant avec un large sourire cette imbécilité dantesque : « Nous les juifs, on sait ce que c’est que d’être dépouillés de tout ! On a l’habitude… »
Alors plus on en a, plus on en veut : On ne sait jamais et ça s’explique parfaitement.
 
Pour « AOC », on peut se convaincre que de passer son enfance dans les beaux quartiers de « Paris-olympique », son milieu social, ne la mettent qu’en contact avec des gens comme elles qui ne doutent jamais de la pertinence de leur rémunération et qui se jalousent mutuellement.
Normal, a-t-on dit…
La question reste néanmoins : Pourquoi ce sont des gens qui ont un tel rapport à l’argent qui sont chargés de prendre des décisions ayant des conséquences financières funestes pour nous tous à qui ils sollicitent de temps en temps un mandat de gestion en forme de « blanc-seing » à travers des élections… démocratiques ?
 
Je m’arrête, fais une pause, le temps que vous digériez ce premier post : Il faut que je parte à la recherche de mes posts anciens autour de la « promotion Titanic ».
Je dois avoir ça sur une disquette, mais reste à la retrouver dans mon fatras…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)