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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 5 mars 2024

J’oscille entre immense tristesse et envie irrésistible d’en rire (2/2)

Sont-ils vraiment sérieux ?
 
Pour poursuivre avec « AOC » (cf. le post d’hier ; cliquez sur le lien « article plus ancien » en pied de ce post ou I-Cube (l'exilé): J’oscille entre immense tristesse et envie irrésistible d’en rire (1/2) (flibustier20260.blogspot.com)), qu’elle ait un rapport délirant à l’argent ne me gêne pas (moâ qui ai vécu une large partie de ma vie « dans le rouge » chaque fin de mois et souvent dès les 5 du mois précédent…).
On l’a dit : « AOC » est mariée à « Frédie-Ouadadadéa ».
Ce monsieur a longtemps dirigé la Société Générale. Il a été mêlé à l’affaire des Panama Papers, un énième scandale qui a révélé les pratiques fiscales de grandes fortunes et de banques « Gauloisiennes-olympiques », parmi lesquelles la Société Générale.
Quoique j’imagine qu’eux restent des enfants de chœur en comparaison à d’autres, notamment le « BN-Paris-Haut » qui aura su se gaver avec l’accord « pétrole contre nourriture » après la guerre en Irak, l’affaire Luchaire et quelques autres.
Quoique, également, chez ces derniers, ils sont probablement moins kons : Ils se sont toujours démerdés pour ne jamais se faire prendre…
 
En 2016, la presse s’est rendu compte que la Société Générale avait créé de nombreuses sociétés offshore (permettant l’évasion fiscale) avec l’aide d’un cabinet panaméen, alors que « Frédie » avait affirmé, 4 ans plus tôt, devant une Commission d’enquête sénatoriale, que sa banque n’avait plus de lien avec le Panama.
Un mensonge sous serment donc : On ne recule devant aucun parjure pour sauver sa peau, chez ces « gens-là ».
Et dans sa grande générosité (et immense sagesse), les sénateurs ont décidé de ne pas le poursuivre, solidarité de caste oblige, sans doute.
 
Sa participation à la dissimulation de mécanismes d’évasion fiscale de grande ampleur est d’autant plus choquante qu’à la base, il est un inspecteur des finances, c’est-à-dire un poste prestigieux dans la Haute fonction publique.
Il a été formé par des grandes écoles publiques, Polytechnique et l’ENÂ, pour servir l’État. Vous quoi !
Il a même été conseiller ministériel du ministre du budget, un certain « Bling-bling », époux de ma « cousine » ajaccienne (Perreti) dans les années 90… avant de mettre ses connaissances au service d’une banque privée qui a donc arnaqué l’État et le contribuable en prenant part à des montages de fraude fiscale.
Désormais il dirige Sanofi.
Quelqu’un voit le problème où il faut expliquer ?
 
En revanche, l’État a bien été là pour cette banque, la renflouant de plusieurs milliards d’euros après la crise financière de 2008… ce qui n’a pas empêché ses dirigeants, parmi lesquels « Oudadadéa », de tenter de s’octroyer de généreux stock-options sur le dos du contribuable.
Avant de devoir y renoncer sous la pression du gouvernement de « Bling-bling » qui trouvait peut-être qu’il poussait un peu trop loin le bouchon.
 
En tant qu’individu, les gens de « la caste » ont des parcours professionnels qui requiert de saisir toutes les opportunités, et de faire des allers-retours publics-privés.
En tant que « caste », il leur faut tenir à la fois l’État et la direction du secteur privé pour s’enrichir pleinement.
Ce qu’ils nomment d’ailleurs, avec un certain humour, une bonne maîtrise de la litote et probablement pour le folklore, « intérêt général », n’est en fait rien d’autre qu’un intérêt de caste bien compris.
 
« AOC » a suivi exactement le même parcours typique des « bobos-rive-gôche » (école, collège et lycée des beaux quartiers parisiens, Sciences Po, ENÂ – tout ça au frais du contribuable évidemment, mais entre semblables et fils & filles de semblables) et elle aura aussi fait des aller-retours entre public et privé.
Elle commence elle aussi sa carrière comme haut fonctionnaire, à la Cour des comptes, avant de partir travailler chez Axa, qui ne l’a pas gardée, puis chez Carrouf’, et de revenir dans le public comme « sinistre » donc.
On comprend bien l’intérêt pour le secteur privé de recruter des hauts fonctionnaires : Ils connaissent les rouages de l’État, y ont toujours des accointances (les annuaires et bottins cités hier) et savent parfois utiliser voire instrumentaliser la législation (et le législateur) ainsi que l’argent du contribuable pour le plus grand profit des actionnaires.
Quoique pour « Carrouf’ », on ne sait plus très bien pourquoi « Jupiter » a fait bloquer récemment, par « Pruneau-Le-Mère » la prise de possession du groupe par un courageux canadien (qui ne savait pas…) et qui aurait été une bonne affaire pour les actionnaires et les banquiers qui auraient financé l’opération…
Peut-être la peur de voir disparaître une « entreprise refuge » pour les refoulés des couloirs ministériels ?
 
On comprend aussi l’intérêt pour les jeunes-fils & filles de la caste d’aller vers la haute fonction publique : Quand ils partent dans le privé, ils restent des fonctionnaires détachés et peuvent donc retrouver un poste à tout moment, c’est un peu leur assurance-chômage à eux…
Mais quel intérêt pour le citoyen et contribuable d’avoir une ex-dirigeante de « Carrouf’ » comme ministre ?
Quelle sévérité peut-on par exemple attendre, sur des sujets comme l’inflation alimentaire, de « sinistres » qui pensent toujours à leurs anciennes entreprises (et, généralement, y retournent car cela paye mieux) ?
 
La séparation entre le public et le privé est donc une fable pour acéphales, servies par des « autistes-trisomiques » à laquelle le citoyen de base est le seul prié de croire.
Car la caste s’en moque. Ses membres ne font aucune différence, n’ont aucun « sens de l’État » comme ils aiment à se le raconter, et la notion « d’intérêt général » leur est probablement absolument inconnue, au moins depuis la fin du gaullisme et la disparition de ses derniers barons.
En tant qu’individu, leur parcours requiert de saisir toutes les opportunités, et les allers-retours publics-privés en sont.
En tant que caste, il leur faut tenir à la fois l’État et la direction du secteur privé pour s’enrichir pleinement.
Finalement ce qu’ils nomment, pour le folklore, « intérêt général », n’est rien d’autre qu’un intérêt de classe.
 
La caste est finalement la classe dirigeante dans notre système capitaliste.
Elle serait oligarque en Russie-unifiée, ou nomenklatura dans un pays communiste.
Elle cumule direction du travail via les entreprises, direction de l’État via le « politique » et direction des médias via ses réseaux.
Cette caste sociale regroupe également les personnes qui possèdent les moyens de production et leur famille. C’est-à-dire, tous ceux qui ont du patrimoine financier et immobilier.
Mais de l’immobilier productif : Posséder des logements que l’on loue à d’autres, et pas simplement le sien. Et quand le locataire ne peut pas payer, il est recueilli par le logement social celui financé par le denier public, puisque le locataire est réputé insolvable…
Il lui faut aussi posséder un nombre d’actions conséquent qui donne une place dans les orientations stratégiques d’une ou plusieurs entreprises. Au sein d’une même famille, certains sont ainsi les détenteurs actifs du capital – dans le cas de la famille d’AOC le mari, comme souvent – d’autres occupent les fonctions nécessaires à le valoriser ou le faire fructifier juridiquement ou symboliquement, comme la politique ou la présidence de fondations.
Il ne suffit pas d’être riche pour être membre de la caste : Un joueur de foot rapidement enrichi ou un gagnant du loto ne font partie de cette caste qu’au prix de longs efforts d’intégration sociale, de placements financiers ou de changement de mode de pensée.
Ils restent souvent toute leur vie des « nouveaux riches » juste bon à être plumés aux yeux de la caste.
 
Ainsi, « AOC » est donc une « sinistre » qui a un mari qui a menti devant le Sénat, qui a dirigé une banque qui s’est gavée de l’argent du contribuable, sans que cela ne dérange personne.
Désormais, il préside le conseil d’administration de Sanofi.
Il représente donc, pour la modique rémunération de 880.000 euros par an, les actionnaires de l’entreprise d’une entreprise pharmaceutique dont les profits dépendent largement de décisions étatiques, notamment la fixation des prix du médicament (qui est régulièrement négociée entre le ministère de la santé et les labos).
Et ça ne semble déranger absolument personne que son épouse fasse partie d’un gouvernement susceptible de faire grimper les profits de Sanofi.
En langage juridique, on appelle pourtant ça un « conflit d’intérêt ».
Mais ce serait faire comme si les intérêts du gouvernement et des grands groupes diffèrent. Nul conflit là-dedans, simplement une énorme entourloupe pour les citoyens.
 
Mieux, et là, franchement, j’ai pu en rire un long moment : Le 16 janvier dernier, Alain Duhamel était de passage sur le plateau de « France-Intox » et a cordialement été invité à commenter l’affaire des propos de la « sinistre »…
Rigolez donc avec moâ : Une polémique qui concerne sa propre nièce !!!
Si !
Avouez que ça ne manque pas de sel…
 
Et ce n’est pas le seul lien familial qui peut être utile à la bonne fortune des « Oudada-Castrera ».
La « sinistre » est aussi la nièce de deux piliers du monde médiatique « Gauloisien-olympique » : Alain, donc et Patrice Duhamel. Le premier est éditorialiste BFM TV après une longue carrière dans un grand nombre de chaînes TV et radio. Le second a longtemps dirigé le groupe France Télévision.
L’épouse de celui-là n’est autre que « Nath-à-lit-Sein-Cricq », ex-directrice du service politique de « TF-2 » et désormais éditorialiste.
Leur fils est Benjamin Duhamel, « étoile montante » de BFM TV et comme il se doit est « journaliste politique », ce qui veut dire « commentateur de politique politicienne », comme dans un bistrot mais sans Picon-bière de Jean-Marc (de la rubrique des « histoires d’en rire » du vendredi sur ce blog) : On va nous expliquer que cest l’effet d’un gène héréditaire, naturellement !
 
Ces « gens-là » sont des « éditocrates », c’est-à-dire des gens qui ont le pouvoir d’influence médiatique susceptible de dire si, oui ou non, cette affaire-là est un scandale, si cette loi-là est injuste, si les Français sont des kons, ou non, de ne pas aimer « Jupiter ».
Autrement dit ils pensent à votre place ce que vous devez penser…
Et non pas l’inverse.
Moâ, j’adore quand c’est poussé jusqu’à la caricature : Ça me fait rire aux éclats ! Et il y a si peu d’occasion d'en rire autrement.
Car ce sont ceux-là qui sont chargés de vous dire de circuler, il n’y a rien à voir…
Pour une polémique dans un verre d’eau qui concerne donc la nièce, tellement kon qu’elle est capable de raconter n’importe quoi pour sauver sa paye.
 
Comme l’ont bien montré les sociologues Monique et Michel Pinçon-Charlot dans leurs nombreux travaux sur la classe dominante, la famille est à la fois pour eux un moyen et une fin. Et « AOC » confirme en direct…
D’abord un moyen parce que les nombreux liens qu’elle crée, au sein de familles nombreuses (ils ont adeptes des « cousinades », des réunions familiales où les cousins et cousines s’échangent leurs bons plans), ce qui permet à tous ses membres de parvenir et de s’enrichir.
Les Mulliez (groupe Auchan) en est un exemple frappant.
Mais c’est aussi une fin en soi car, comme l’aristocratie la caste tient à faire fructifier et à transmettre son capital de génération en génération.
Encore aujourd’hui, des entreprises entières sont tenues par la même famille sur des générations : On ne peut ainsi pas posséder ou diriger une entreprise du groupe Mulliez si on ne fait pas partie de la famille.
 
Si « AOC » a été sous le feu des projecteurs (elle se fait silencieuse) c’est parce qu’elle a envoyé ses trois enfants dans le privé et a raconté des mensonges pour couvrir ce choix un poil contestable pour quelqu’un qui prétend diriger la plus grosse administration civile du pays. Et elle ne les a pas envoyés n’importe où… mais à Stanislas.
Stanislas, comme l’École Alsacienne où la plupart des politiques inscrivent leur progéniture et où « Gaby-le-magnifique » a pu devenir un « jeune homme brillant » est un établissement privé et sélectif qui permet d’abord à la caste d’assurer à leurs enfants un entre soi.
Bon, pour « Gaby », les efforts du corps enseignant auront été contrarié par son orientation sexuelle, pas vraiment bien vue chez les curetons… Mais il est devenu le premier sinistre le plus jeune du pays : Tout le monde a accès à la rédemption…
 
Se faisant, l’objectif est de faire en sorte que leurs gamins ne rencontrent que des gens de leur milieu social et, qu’ensemble, ils nouent des relations utiles pour l’avenir.
Le secteur privé permet cela même à « Paris-olympique » et pour d’autres dans toutes les autres villes de « Gauloisie-olympique » (J’ai une potesse qui a fait prof à « Stan-Nice » et un cousin qui fait pareil, mais derrière chez moâ à « Paris-Olympique », rue Notre-Dame-des-champs).
Il y a partout et toujours des collèges ou lycée « Sainte Marie des pauvres » où les gens respectables peuvent espérer s’assurer que leur marmaille fasse les bonnes rencontres : C’est une question de «frais de scolarité » à payer tous les ans, alors que la scolarité est gratuite, comme partout au pays, assumée par l'État (et vos impôts).
 
Car ces établissements n’ont de privé que le nom : En réalité, ils sont bel et bien financés par le contribuable – l’enseignement privé coûte 12 milliards d’euros par an aux finances publiques – et, dans le cas des lycées parisiens, de façon bien plus copieuse que les établissements publics équivalents.
Même que « Sœur-Âne » aura décidé de suspendre le paiement de la subvention due au collège et à l’école élémentaire, qui reste de sa compétence pour une délégation de service public. Si elle insiste, à mon avis, je vais encore être condamné à payer des indemnités au diocèse…
Sur les 30 lycées parigots, les mieux dotés par l’État, un seul est public.
Tous les autres sont « privés » et confessionnels, essentiellement catholiques ou juifs.
Pourtant, ce sont aussi eux qui concentrent les élèves les plus aisés.
 
C’est toute l’originalité et l’astuce de la caste par rapport à ses semblables britanniques ou Nord-américaines : Elle fait payer à l’ensemble des contribuables ses établissements privés d’exceptions dans le secondaire et ses grandes écoles dans le supérieur.
Elle a obtenu la concentration des moyens de l’État pour ses enfants et assiste, le sourire aux lèvres, à la dégradation des formations qui sont réservées aux restes de la population.
Après tout, pourquoi pas si les concernés y consentent ?
 
Là où on en rigole encore plus, c’est qu’un rapport d’inspecteur de l’Éducation Nationale est arrivé sur le bureau du ministre de l’époque, « Gaby-le-Magnifique ». Il montrait les dérives hallucinantes du groupe scolaire Stanislas, celui des enfants « d’AOC ».
D’abord, il montre que l’établissement sous contrat avec l’État ne respecte clairement pas la laïcité puisqu’il oblige tous ses élèves à assister à des séances de catéchisme.
En théorie, ce n’est pas légal, mais le député, corapporteur d’une mission parlementaire sur l’école privée, explique que les contrôles de l’État à Stanislas comme dans le reste du secteur privé sont très légers et qu’il y a une reconduction tacite des contrats…
 
Ensuite, il a un règlement intérieur complètement délirant qui commente point par point la tenue convenable pour les filles (interdiction des débardeurs, des sweats à capuche, de certains types de décolleté, de pantalons trop larges, etc.).
La non-mixité est possible, si les parents la choisissent pour leur enfant.
Pour finir, il accueille des intervenants homophobes et anti-avortement.
Mercredi 17 janvier, on nous aura révélé l’enregistrement d’un intervenant qui, devant des élèves de première, explique que le « désir homosexuel est un désir de viol ».
Il prône aussi la « guérison » pour les personnes gays, les appelant à faire « vœu d’abstinence ».
« Gaby-le-magnifique » était-il visé par le propos ?
 
Quand on pense qu’au moment où il a reçu ce rapport, le « sinistre » a déployé son énergie à combattre le port de l’Abaya à l’école, le faisant passer pour tenue religieuse à interdire au nom de la laïcité, avouez qu’on ne pouvait pas trouver mieux pour un sketch !
 
On comprend peut-être un peu mieux pourquoi « Jupiter », un temps célébré comme un type libéral et ouvert sur les mœurs, est en train de devenir un pétainiste qui rêve de politique nataliste et mise au travail forcée de la population.
On s’étonne moins de savoir que sa belle-fille (celle qu’il n’a pas faite) ait ouvert une école privée dotée d’un enseignant… néo-nazi.
Cette « caste » n’est pas seulement profiteuse, menteuse, perpétuellement dans la triche et la magouille : Elle est aussi autoritaire et décidément prête pour tous les fascismes.
Du beurre pour « Poux-tine » ?
 
Après avoir tant ri de ces turpitudes qui relèvent des fourberies de Scapin ou des « Pieds-nickelés », finalement, je vous le disais d’entrée : J’oscille aussi vers une immense tristesse !!!
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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