L’unique « va-t’en-guerre », c’est lui et
son régime !
Même si les socio-traitres qui œuvrent dans l’ombre restent
des adversaires déclarés de l’accord bilatéral entre « Paris-olympique »
et « Kiev-la-violentée » estiment que nous ne devons pas mourir pour
l’Ukraine.
Naturellement que personne ne mourra en « Gauloisie-pacifiste » pour l’Ukraine : Il n’y aura même pas besoin d’engager de la troupe…
Mais la propagande et les fakes-news font leurs effets.
Ils sont persuadés, et le disent, l’affirment et veulent vous le faire rentrer
dans le crâne une bonne fois pour toutes, que c’est l’OTAN qui a provoqué les
Russes.
C’est complètement stupide et faux, même si les « chefs-militaires » otaniens regardent avec stupéfaction « l’opération militaire spéciale » des russes persister à affaiblir jour après jour le pays de « Poux-tine ».
L’accord signé et adopté par le Parlement comprend un renforcement de la coopération militaire entre nos deux pays, notamment concernant l’artillerie et l’aérien, et court sur 10 ans.
Alors que ses détracteurs accusent « Jupiter » d’utiliser la question ukrainienne dans un but électoraliste en vue des européennes de juin, les députés de l’opposition « Insoumis » ont voté contre, et le « Air-Haine » s’est abstenu.
La « Gauloisie-impériale-et-olympique » octroie généreusement 3 milliards d’euros d’aide à l’Ukraine en 2024 au moment où son « sinistre des phi-rances » appelle à la fin du « tout et n’importe quoi ». Une somme que certains dans l’opposition estiment déraisonnable.
C’est pourtant lilliputien…
Quant au rôle passé de l’OTAN vis-à-vis de la Russie, il est sans cesse décrié, voulant nous faire croire que l’OTAN fait toujours la pluie et le beau temps sur toute la planète au gré de ses envies, alors que je rappelle que l’organisation était réputée en état de « mort cérébrale » il n’y qu’une poignée d’années de ça…
En réalité, « les États-Unis en premier lieu, ont
joué, durant ces trois dernières décennies, une partition géopolitique navrante
vis-à-vis des dirigeants et du peuple russes qui se sont sentis humiliés par
des États pensant les avoir réduits à faire de la figuration sur la scène
internationale après la chute de l’empire soviétique ».
Non, même pas : Ils terminaient la guerre froide sans tirer le moindre coup de fusil et par un « KO-debout » d’un régime communiste à bout de souffle qui avait toujours eu l’ambition d’écraser sans vergogne l’Occident.
Ils n’en ont d’ailleurs tiré aucune gloire, ni même gloriole, pour ne pas aller chercher de « compensations » comme ça aura été l’erreur de le faire à l’issue des précédentes guerres mondiales…
Il s’agissait seulement de l’élargissement de l’OTAN
vers l’Est de l’Europe sur la base du volontariat, pour y inclure des anciennes
RSS (les trois Républiques baltes) ainsi que d’anciens membres du « pacte
de Varsovie ».
Les arguments avancés s’appuient sur des interprétations des différents échanges et négociations entre Américains (et Occidentaux) et Russes.
Deux exemples : Un ex-président de l’Assemblée parlementaire de l’OTAN, a rappelé officiellement comment la Russie avait demandé à la mi-décembre 2021 que soit entérinée, en échange du maintien de la souveraineté ukrainienne et de l’ouverture de négociations pour sortir de la crise du Donbass, la non-adhésion de l’Ukraine à l’OTAN.
Américains et Européens avaient alors décidé d’ignorer purement et simplement cette requête, en n’y répondant pas (c’était le problème de Kiev) et en laissant planer le doute, ce qui avait, paraît-il, humilié la diplomatie Russe, alors qu’il s’agissait surtout de ne pas obérer l’avenir en le figeant : C’aurait été l’insulter.
Le 24 février 2022, les troupes russes pénètrent en
Ukraine : Une agression en bonne et due forme, sans motif raisonnable :
La prétendue « dénazification » du pays date d’une autre époque, est
complètement absurde et manifestement, à première vue, uniquement à vocation de
politique interne.
Le reste ne sont que des bruits de couloir diplomatiques présentés comme la seule vérité révélée pour étayer le discours et se donner une « bonne conscience ».
En revanche, il est quasiment certain, bien avant mi-décembre 2021, que la Russie se prépare à envahir l’Ukraine.
C’est pour cette raison que le chef de la CIA a été envoyé à Moscou début novembre 2021 pour en parler directement avec « Poux-tine ».
Cette visite et son objectif sont des faits incontestables, indéniables…
Quant à la motivation de l’invasion, « Poux-tine »
lui-même l’avait expliquée dans un article qu’il a publié le 12 juillet 2021
sur le site du gouvernement russe pour préparer les esprits à Moscou.
Dans l’essai titré « De l’unité historique des Russes et des Ukrainiens », il remet déjà en question l’existence même de l’Ukraine en tant que nation distincte et soutient que son gouvernement actuel est contrôlé par les Occidentaux.
Les électeurs locaux ne comptent que pour même pas le beurre qu’on met habituellement dans les épinards…
Il ne met d’ailleurs pas en avant la question des alliances et oublie totalement l’instance de sa diplomatie concernant le respect de la souveraineté des États et son opposition au droit d’ingérence évoqué dans les années 1990 et 2000 pour justifier des intentions militaires dans les Balkans ou en Syrie.
Mais ce n’est pas bien grave : Justement, les occidentaux avaient fait les premiers « précédents »… souvenez-vous, pour des raisons humanitaires et accessoirement de droit international visant à éviter les boucheries de Kotor et autres, les crimes de guerre et les épurations ethniques… en fait la « dé-Mahométisation » de la Serbie « slave et orthodoxe » et de ses voisins.
Quant à la demande de s’engager à ce que l’Ukraine
n’intègre pas l’OTAN, cet engagement a déjà été donné à « Poux-tine »
en 2008-2009 par les « Gauloisiens-olympiques » et les « Teutons »
après la crise géorgienne.
Pas la peine d’y revenir…
Et en signe d’amitié et de bienveillance, en 2009 le projet de bouclier antimissile, décrié par la Russie, a été abandonné par les États-Unis.
En 2009 également, l’administration « Haut-Bas-Mât » avait déjà annoncé son virage vers l’Indopacifique (pour contrer la Chine) aux dépens de l’Alliance atlantique.
Et ces annonces ont été accompagnées de faits : Après le démantèlement du Pacte de Varsovie, le nombre de soldats américains a chuté de 300.000 à 100.000 en 1995, et à 63.000 à partir de 2008. La présence de troupes otaniennes dans les trois Républiques baltes à la fin des années 2020 était de quelques 3.000 hommes (1.000 pour chaque pays seulement), un format « symbolique ».
Quant au matériel, le tableau est identique : En 1989, il y avait 5.000 chars de l’armée américaine en « « Teutonnie ». Au cours des 25 années suivantes, les forces américaines en Europe ont été progressivement réduites. En 2013, la dernière brigade blindée américaine basée en « Teutonnie » a été fermée, ne laissant plus un seul char de l’armée américaine sur le sol européen.
Alors de quelle menace au juste parle « Poux-tine » ?
À croire qu’il regrette infiniment d’en avoir terminé avec la guerre froide et qu’il fait tout pour la ranimer… ce qui justifierait de sa propre existence d’ex-agent du KGB.
Un autre point contentieux souvent évoqué était
justement le projet de boucliers antimissiles balistiques. L’idée surgit en
2002 et consistait à déployer sur le sol européen, notamment en Pologne, des
éléments permettant de détecter et intercepter des missiles lancés à partir de
l’Iran.
Moâ, ça me rappelle la polémique autour du déploiement des SS-20, puis des Pershing…
Probablement un faux nez…
Après sept ans de débats et face à une opposition russe soutenue par la « Gauloisie-olympique » et la « Teutonnie-gazière », le président US a décidé en 2009 d’abandonner le projet. Et la crise et la guerre en Géorgie pendant l’été 2008 ont abouti à un engagement « Teuton-gauloisien » d’arrêter l’élargissement de l’OTAN.
En bref, les soutiens de « Poux-tine » dans
notre personnel politique d’aujourd’hui s’aveuglent de la propagande de Moscou,
persuadé que le dictateur russe (et tchékiste) est dans son bon droit de
plaider pour l’auto-défense agressive de son pays.
Exactement les mêmes qui refuseraient à Israël le droit et surtout l’occasion de poursuivre ses opérations militaires à Gaza à la recherche de leurs otages du 7 octobre…
Deux poids, deux mesures, mais un seul point commun : La détestation de ce que nous sommes, et de nos alliés US, qui le sont depuis avant sa propre guerre d’indépendance (époque où personne n’était né… même pas moâ-même, mais moâ je me souviens tout de même…)
Il faut également remettre les pendules à l’heure, car
pour ce qui concerne l’aide militaire à l’Ukraine, les informations publiées
par le Congrès des États-Unis dressent le même tableau.
En 2016 la valeur de l’aide (matériel et entraînement) s’est élevée à 310 millions de dollars, en 2017 à 250 M$, en 2018 à 290 M$, en 2019 à 230 M$, en 2020 à 370 M$, et en 2021, dernière année avant l’invasion, à 390 M$.
Pour pouvoir contextualiser ces chiffres, en 2023, une année pleine de guerre et d’aide américaine, la valeur de celle-ci s’est élevée à 12,6 milliards $.
On ne joue plus dans la même colonne des triples-zéros…
Ces données sont claires : Les USA n’ont pas été engagés dans un effort massif et urgent de transformer l’armée ukrainienne. Il s’agissait essentiellement de la formation des troupes d’élite et des missiles antichar portatifs Javelin.
L’envoi de pièces d’artillerie n’a été annoncé, annoncé seulement, que six semaines après l’invasion.
Et comme il a été bien annoncé au président ukrainien
le 19 février 2022, pendant la 58ème conférence sur la sécurité de
Munich, Washington et l’OTAN estimaient, tout comme « Poux-tine » d’ailleurs,
que la Russie allait battre l’Ukraine et la soumettre en une paire de semaines
et qu’ils n’avaient pas l’intention d’intervenir pour l’empêcher.
Tout le monde aura commis la même erreur : C’est seulement l’échec russe et le succès ukrainien qui ont changé la donne.
Le tableau est tout d’un coup devenu nettement plus clair
: Si un certain nombre d’initiatives, de mesures et de déclarations auraient pu
légitimement inquiéter les Russes, rien, strictement rien sur le terrain ne
pouvait soutenir l’hypothèse qu’une alliance militaire puissante était en train
de les encercler.
Au contraire, les Américains retiraient leurs hommes et leurs équipements lourds. Au contraire, les différents pays membres de l’OTAN négligeaient sérieusement leurs armées.
Au contraire, la « Gauloisie-olympique » vendait des armes (les Mistral) à Moscou.
Au contraire, mon pays a mis fin à la conscription et avait consciemment laissé dépérir ses capacités à mener une guerre conventionnelle de haute intensité.
Au contraire, l’armée de sa royale Majesté britannique n’a cessé de diminuer ses effectifs ainsi que celle de la « Teutonnie-gazière ».
En fait, aux
yeux de nombreux leaders européens, l’OTAN était devenue une structure
essentiellement politique.
Ce fut le cas du « Chi » où on peut rappeler qu’en décembre 1995, avant le retour de la « Gauloisie-Gaulliste » au Comité militaire de l’OTAN, Chirac avait déclaré qu’il était « évident que l’OTAN (devait) s’élargir vers l’Est ».
Mais, il avait immédiatement ajouté que « nous devions veiller à conclure avec les Russes un accord qui permette cet engagement sans les menacer ni les humilier ».
Nonobstant tous les « patriotes » sont déjà
prêts à cracher sur leurs alliés et partenaires pour se jeter dans les bras d’un
éventuel agresseur en la personne de « Poux-tine », alors que
celui-ci n’a encore rien demandé, pour éviter de perdre la paix.
Ils sont prêts à se soumettre, du moment que les salaires et les pensions de retraite seront versés…
Tant pis si le pays est pillé et qu’il n’y a plus de pain, faute de blé : Il faut bien nourrir la troupe libératrice du grand Satan capitaliste et impérialiste américain, n’est-ce pas…
C’est un post un peu long…
Je vous laisse réfléchir à tous ces éléments factuels et vérifiables ailleurs que dans ma mémoire (qui parfois commence à défaillir).
On se retrouve plus tard.
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT
BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR
UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT «
NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
Naturellement que personne ne mourra en « Gauloisie-pacifiste » pour l’Ukraine : Il n’y aura même pas besoin d’engager de la troupe…
C’est complètement stupide et faux, même si les « chefs-militaires » otaniens regardent avec stupéfaction « l’opération militaire spéciale » des russes persister à affaiblir jour après jour le pays de « Poux-tine ».
L’accord signé et adopté par le Parlement comprend un renforcement de la coopération militaire entre nos deux pays, notamment concernant l’artillerie et l’aérien, et court sur 10 ans.
Alors que ses détracteurs accusent « Jupiter » d’utiliser la question ukrainienne dans un but électoraliste en vue des européennes de juin, les députés de l’opposition « Insoumis » ont voté contre, et le « Air-Haine » s’est abstenu.
La « Gauloisie-impériale-et-olympique » octroie généreusement 3 milliards d’euros d’aide à l’Ukraine en 2024 au moment où son « sinistre des phi-rances » appelle à la fin du « tout et n’importe quoi ». Une somme que certains dans l’opposition estiment déraisonnable.
C’est pourtant lilliputien…
Quant au rôle passé de l’OTAN vis-à-vis de la Russie, il est sans cesse décrié, voulant nous faire croire que l’OTAN fait toujours la pluie et le beau temps sur toute la planète au gré de ses envies, alors que je rappelle que l’organisation était réputée en état de « mort cérébrale » il n’y qu’une poignée d’années de ça…
Non, même pas : Ils terminaient la guerre froide sans tirer le moindre coup de fusil et par un « KO-debout » d’un régime communiste à bout de souffle qui avait toujours eu l’ambition d’écraser sans vergogne l’Occident.
Ils n’en ont d’ailleurs tiré aucune gloire, ni même gloriole, pour ne pas aller chercher de « compensations » comme ça aura été l’erreur de le faire à l’issue des précédentes guerres mondiales…
Les arguments avancés s’appuient sur des interprétations des différents échanges et négociations entre Américains (et Occidentaux) et Russes.
Deux exemples : Un ex-président de l’Assemblée parlementaire de l’OTAN, a rappelé officiellement comment la Russie avait demandé à la mi-décembre 2021 que soit entérinée, en échange du maintien de la souveraineté ukrainienne et de l’ouverture de négociations pour sortir de la crise du Donbass, la non-adhésion de l’Ukraine à l’OTAN.
Américains et Européens avaient alors décidé d’ignorer purement et simplement cette requête, en n’y répondant pas (c’était le problème de Kiev) et en laissant planer le doute, ce qui avait, paraît-il, humilié la diplomatie Russe, alors qu’il s’agissait surtout de ne pas obérer l’avenir en le figeant : C’aurait été l’insulter.
Le reste ne sont que des bruits de couloir diplomatiques présentés comme la seule vérité révélée pour étayer le discours et se donner une « bonne conscience ».
En revanche, il est quasiment certain, bien avant mi-décembre 2021, que la Russie se prépare à envahir l’Ukraine.
C’est pour cette raison que le chef de la CIA a été envoyé à Moscou début novembre 2021 pour en parler directement avec « Poux-tine ».
Cette visite et son objectif sont des faits incontestables, indéniables…
Dans l’essai titré « De l’unité historique des Russes et des Ukrainiens », il remet déjà en question l’existence même de l’Ukraine en tant que nation distincte et soutient que son gouvernement actuel est contrôlé par les Occidentaux.
Les électeurs locaux ne comptent que pour même pas le beurre qu’on met habituellement dans les épinards…
Il ne met d’ailleurs pas en avant la question des alliances et oublie totalement l’instance de sa diplomatie concernant le respect de la souveraineté des États et son opposition au droit d’ingérence évoqué dans les années 1990 et 2000 pour justifier des intentions militaires dans les Balkans ou en Syrie.
Mais ce n’est pas bien grave : Justement, les occidentaux avaient fait les premiers « précédents »… souvenez-vous, pour des raisons humanitaires et accessoirement de droit international visant à éviter les boucheries de Kotor et autres, les crimes de guerre et les épurations ethniques… en fait la « dé-Mahométisation » de la Serbie « slave et orthodoxe » et de ses voisins.
Pas la peine d’y revenir…
Et en signe d’amitié et de bienveillance, en 2009 le projet de bouclier antimissile, décrié par la Russie, a été abandonné par les États-Unis.
En 2009 également, l’administration « Haut-Bas-Mât » avait déjà annoncé son virage vers l’Indopacifique (pour contrer la Chine) aux dépens de l’Alliance atlantique.
Et ces annonces ont été accompagnées de faits : Après le démantèlement du Pacte de Varsovie, le nombre de soldats américains a chuté de 300.000 à 100.000 en 1995, et à 63.000 à partir de 2008. La présence de troupes otaniennes dans les trois Républiques baltes à la fin des années 2020 était de quelques 3.000 hommes (1.000 pour chaque pays seulement), un format « symbolique ».
Quant au matériel, le tableau est identique : En 1989, il y avait 5.000 chars de l’armée américaine en « « Teutonnie ». Au cours des 25 années suivantes, les forces américaines en Europe ont été progressivement réduites. En 2013, la dernière brigade blindée américaine basée en « Teutonnie » a été fermée, ne laissant plus un seul char de l’armée américaine sur le sol européen.
Alors de quelle menace au juste parle « Poux-tine » ?
À croire qu’il regrette infiniment d’en avoir terminé avec la guerre froide et qu’il fait tout pour la ranimer… ce qui justifierait de sa propre existence d’ex-agent du KGB.
Moâ, ça me rappelle la polémique autour du déploiement des SS-20, puis des Pershing…
Probablement un faux nez…
Après sept ans de débats et face à une opposition russe soutenue par la « Gauloisie-olympique » et la « Teutonnie-gazière », le président US a décidé en 2009 d’abandonner le projet. Et la crise et la guerre en Géorgie pendant l’été 2008 ont abouti à un engagement « Teuton-gauloisien » d’arrêter l’élargissement de l’OTAN.
Exactement les mêmes qui refuseraient à Israël le droit et surtout l’occasion de poursuivre ses opérations militaires à Gaza à la recherche de leurs otages du 7 octobre…
Deux poids, deux mesures, mais un seul point commun : La détestation de ce que nous sommes, et de nos alliés US, qui le sont depuis avant sa propre guerre d’indépendance (époque où personne n’était né… même pas moâ-même, mais moâ je me souviens tout de même…)
En 2016 la valeur de l’aide (matériel et entraînement) s’est élevée à 310 millions de dollars, en 2017 à 250 M$, en 2018 à 290 M$, en 2019 à 230 M$, en 2020 à 370 M$, et en 2021, dernière année avant l’invasion, à 390 M$.
Pour pouvoir contextualiser ces chiffres, en 2023, une année pleine de guerre et d’aide américaine, la valeur de celle-ci s’est élevée à 12,6 milliards $.
On ne joue plus dans la même colonne des triples-zéros…
Ces données sont claires : Les USA n’ont pas été engagés dans un effort massif et urgent de transformer l’armée ukrainienne. Il s’agissait essentiellement de la formation des troupes d’élite et des missiles antichar portatifs Javelin.
L’envoi de pièces d’artillerie n’a été annoncé, annoncé seulement, que six semaines après l’invasion.
Tout le monde aura commis la même erreur : C’est seulement l’échec russe et le succès ukrainien qui ont changé la donne.
Au contraire, les Américains retiraient leurs hommes et leurs équipements lourds. Au contraire, les différents pays membres de l’OTAN négligeaient sérieusement leurs armées.
Au contraire, la « Gauloisie-olympique » vendait des armes (les Mistral) à Moscou.
Au contraire, mon pays a mis fin à la conscription et avait consciemment laissé dépérir ses capacités à mener une guerre conventionnelle de haute intensité.
Au contraire, l’armée de sa royale Majesté britannique n’a cessé de diminuer ses effectifs ainsi que celle de la « Teutonnie-gazière ».
Ce fut le cas du « Chi » où on peut rappeler qu’en décembre 1995, avant le retour de la « Gauloisie-Gaulliste » au Comité militaire de l’OTAN, Chirac avait déclaré qu’il était « évident que l’OTAN (devait) s’élargir vers l’Est ».
Mais, il avait immédiatement ajouté que « nous devions veiller à conclure avec les Russes un accord qui permette cet engagement sans les menacer ni les humilier ».
Ils sont prêts à se soumettre, du moment que les salaires et les pensions de retraite seront versés…
Tant pis si le pays est pillé et qu’il n’y a plus de pain, faute de blé : Il faut bien nourrir la troupe libératrice du grand Satan capitaliste et impérialiste américain, n’est-ce pas…
Je vous laisse réfléchir à tous ces éléments factuels et vérifiables ailleurs que dans ma mémoire (qui parfois commence à défaillir).
On se retrouve plus tard.
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
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