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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 10 mars 2024

Florilège de découvertes scientifiques.

Sélection de la quinzaine (particulièrement riche…)
 
1 – On ne sait pas pourquoi… mais on vient de découvrir que plus vous regardez la télé ou un écran, plus vous vous relevez pour faire pipi la nuit.
C’est de la nycturie : J’en sais quelque chose…
Un trouble gênant qui, selon une étude parue le 21 février dernier dans la revue Neurourology and Urodynamics, serait due à la télévision et à tous les écrans auxquels vous vous exposez dans la journée !
Pourquoi pas…
 
Les « chercheurs » à l’université médicale de Wenzhou (province du Zhejiang, dans l’Est de la Chine), auteurs de leur publication ont repris des données concernant 13.294 adultes, recueillies entre 2011 et 2016 par l’agence fédérale américaine du National Center for Health Statistics. Dans cet échantillon, plus de 4.000 personnes souffraient de nycturie. L’équipe de scientifiques chinois s’est alors « télé-penchée » sur leur mode de vie et notamment sur leurs habitudes en matière d’usages de la télévision et des écrans.
Ce qui leur permet d’écrire que : « La consommation de télévision et de vidéos est devenue une partie intégrante du mode de vie moderne (« ricain »), avec des personnes qui passent de nombreuses heures chaque jour devant un écran, qu’il s'agisse de loisir ou de travail. (…) Cela est reconnu comme étant mauvais pour la santé, mais rien dans les publications scientifiques n’explorait un possible lien avec la nycturie. »
 
Il faut bien dire qu’à première vue, regarder la télé (ou tout autre écran) et effectuer une virée nocturne aux toilettes n’ont rien à voir. Pourtant, les résultats montrent en effet une statistique troublante : Les participants qui passent plus de cinq heures par jour devant les écrans ont 48 % de risque supplémentaire de se lever la nuit pour uriner.
Mais corrélation ne veut pas dire causalité !
D’ailleurs, n’est-ce pas plutôt la nycturie qui génère l’addiction aux écrans ?
(Je ne fais que poser la question…)
 
Car bien d’autres facteurs peuvent expliquer la nycturie, comme le fait de boire davantage le soir, ou de manger salé par exemple. Voire avoir une prostate qui enfle…
Des variables démographiques comme l’âge, le sexe, la présence de diabète (qui fait boire), l’état des reins, peuvent également entrer en jeu.
D’ailleurs ces scientifiques-là le reconnaissent : « Le mécanisme réel par lequel une exposition prolongée à la télé augmente le risque de nycturie n’est pas très bien compris. » En d’autres termes, il peut y avoir des facteurs cachés qui expliquent mieux pourquoi certaines personnes ont davantage tendance à se relever la nuit. Ou encore, ils font des annonces formidables mais en réalité ils sont totalement paumés et ne parviennent pas à expliquer leur découverte.
 
Pas banal, n’est-ce pas.
Mais ça méritait d’être signalé…
 
2 – L’astrobiologie s’explique enfin : C’est la discipline (qui bouffe de la subvention) consacrée à la recherche de la vie extraterrestre. Domaine en pleine évolution, qui combine plusieurs branches de la science, la biologie, la chimie, les sciences planétaires et l’astronomie.
Bref, tout est mis en place pour trouver des signes de vie sur d’autres planètes avec nos impôts.
Et ce qu’on en suppose, c’est que loin des petits bonhommes verts, la plupart des vies extraterrestres devraient être de type microbiennes unicellulaires (un peu comme les bactéries terrestres).
Cependant, il est également possible que certaines planètes abritent des formes de vie plus complexes, comme des plantes et des animaux.
Des avancées récentes ont renforcé l’optimisme des spécialistes : Nous serions sur le point de faire les premières découvertes spectaculaires.
 
Cet optimisme prend racine sur l’étude des extrémophiles, ces micro-organismes terrestres qui réussissent à s’adapter à des milieux aux conditions inhospitalières, comme des cheminées hydrothermales en ébullition ou des bassins d’eau volcanique acide. Plus on en apprend sur eux, plus ils renseignent les astrobiologistes sur les types d’environnements extraterrestres qui pourraient être habitables.
Aujourd’hui, nos télescopes ont découvert près de 5.400 exoplanètes (qui se trouvent dans un autre système solaire que le nôtre), ce qui augmente le nombre d’endroits potentiels où nous pourrions trouver des signes de vie.
« Les exoplanètes les plus intéressantes sont les petites planètes rocheuses, semblables à la Terre, qui orbitent à la bonne distance de leur étoile, de sorte que leurs températures de surface permettent la formation d’océans d’eau liquide » et pas en ébullition.
Enfin, les progrès en termes de robotique et d’instruments scientifiques augmentent considérablement les chances de découvertes.
 
On sait que sur Terre, toutes les formes de vie ont besoin d’eau liquide. Nous avons également besoin de molécules complexes basées sur des atomes de carbone. Mais les vies aliens pourraient reposer sur un autre type de chimie.
Le silicium aurait pu constituer une piste, mais il n’est pas aussi efficace pour former des liaisons chimiques stables.
En revanche, l’ammoniac laisse de l’espoir pour les spécialistes (qui cherchent et n’ont pas encore trouvé)…
 
Trouver de la vie dans notre propre système solaire est également une piste. Peu probable sur Vénus, tout autant que sur la surface de Mars qu’on commence à bien connaître.
Mais il existe des preuves de l’existence ancienne de lacs et de vallées fluviales sur la planète rouge. Des microbes martiens pourraient ainsi vivre profondément sous la surface.
Europe est une des lunes de Jupiter : Sa surface est constituée de glace, mais elle renferme un océan profond. Pour réussir à explorer la planète, il faudrait trouver une sonde capable de pénétrer dans la coquille glacée, afin de partir à la recherche de vie marine.
Encelade a environ la même structure et fait face au même défi.
Titan, le plus grand satellite de Saturne, abrite des lacs remplis d’éthane et de méthane liquide (un puissant gaz à effet de serre sur notre planète).
« La question de savoir si la vie pourrait être basée sur l’éthane plutôt que sur l’eau reste ouverte », précise un « chercheur pas encore trouveur ».
 
Un de ces astrobiologistes se concentre principalement sur la recherche de vie unicellulaire. Car pour l’instant, malgré plus de soixante années de recherche scientifique, aucune preuve convaincante de vie intelligente n’a été trouvée.
Il n’empêche, des « robots » autonomes et exogènes persistent à visiter notre planète de temps à autres, notamment à l’approche d’événements traumatiques…
Ce n’est probablement pas l’effet du hasard !
 
3 – Et puis, vous savez mes centres d’intérêt habituels : Après le « pipi-kaka » (cf. §1), les extraterrestres (cf. §2), j’hésitais entre l’annonce d’analyses pointues sur les seins de femmes (ceux des hommes ne me passionnent pas vraiment) avant de tomber sur quelques révélations sur l’orgasme…
Ça, au moins, c’est hautement exaltant !
Ce que je résume pour vous…
 
Car nous avons entendu, lu ou prononcé ce mot à de nombreuses reprises sans certainement nous arrêter tous pour réfléchir à sa signification. Son origine vient du mot grec orgasmos, qui dérive lui-même de orgé (« tempérament », « colère », « fureur »), et du suffixe -asmos, qui renvoie à l’idée de « résultat brusque », « coup ».
Bref, l’orgasme est étymologiquement le point culminant intense et agréable de l’excitation sexuelle. Cliniquement, il se caractérise par des contractions rythmiques des muscles du plancher pelvien, accompagnées d’un plaisir intense et suivies d’un sentiment de relaxation et de satisfaction.
« Techniquement », il s’agit de l’intensité maximale de l’excitation générée par la stimulation afférente des récepteurs sensoriels viscéraux et/ou somatiques activés de manière exogène et/ou endogène.
Cette intensité est associée à l’apparition de processus cognitifs d’ordre supérieur puis elle est suivie d’un relâchement et d’une résolution (diminution) de l’excitation.
 
Il se trouve que cette définition mécanique ressemble à du charabia. Mais derrière, les « chercheurs » restent persuadés qu’elle nous rapproche probablement du véritable architecte de cette symphonie d’activités neuronales : Le système nerveux !
Pour eux (et probablement pour moâ aussi tout autant que vous d’ailleurs) l’orgasme est en fait un événement complexe qui implique une interaction synergique entre le corps et l’esprit (Amen !).
Et quel meilleur chef d’orchestre que notre système nerveux pour jouer ce rôle ?
 
En effet, des études basées sur l’imagerie par résonance magnétique fonctionnelle montrent que pour atteindre un orgasme, de multiples structures nerveuses doivent être activées, ce qui entraîne une tempête sympathique hyperactive.
Il s’agit d’un état dans lequel le système nerveux sympathique – celui qui contrôle les actions involontaires du corps comme la respiration ou le rythme cardiaque – présente une activité excessive.
Cette frénésie provoque des changements physiologiques dans l’organisme, tels qu’une augmentation du rythme cardiaque, de la pression artérielle ou de la respiration (qui devient plus rapide et plus profonde).
 
Mais la symphonie ne s’arrêterait pas là. À cette réponse périphérique, s’ajoute une activation centrale impliquant plusieurs régions du cerveau.
Ainsi, le cortex sensoriel est responsable du traitement des informations tactiles et sensorielles telles que la stimulation du clitoris, du col de l’utérus ou du vagin chez les femmes, du gland et de la verge chez son mâle. Pendant l’orgasme, cette région du cerveau est activée, en réponse à la stimulation agréable qu’elle reçoit.
Les contractions rythmiques qui caractérisent l’orgasme sont le résultat de l’activation du cortex moteur, qui est responsable de la coordination de la réponse musculaire qui accompagne l’orgasme sexuel.
C’est comme si le cerveau dirigeait une succession de mouvements qui se terminent par un crescendo de plaisir, un peu comme le Boléro de Ravel.
Des études scientifiques ont montré que le cortex visuel est également activé. Ce qui suggère que, pendant l’orgasme, l’attention portée aux surfaces corporelles qui se trouvent stimulées ainsi qu'à l’imagerie visuelle est accrue. Mais c’est juste une supposition parce que de nombreux partenaires préfèrent fermer les yeux…
 
Même si tous les instruments sont importants dans un orchestre, au niveau du cerveau, la véritable star de cette symphonie est le système limbique qui constitue le centre des émotions et de la récompense.
C’est là que toute la musicalité de l’apogée sexuelle se déchaînerait. L’une des principales structures limbiques impliquées est l’hypothalamus. Il coordonne la libération des hormones sexuelles et des neurotransmetteurs essentiels au processus d’excitation sexuelle et au développement de l’orgasme.
 
Ainsi en suivant le rythme, l’amygdale apparaît comme un acteur de premier plan. Cette structure cérébrale est spécialisée dans le traitement des émotions, y compris celles associées à la sexualité, comme l’excitation et le plaisir.
Or, pendant l’orgasme, l’activité de l’amygdale augmente, ce qui contribue à intensifier notre réponse émotionnelle et notre sensation de plaisir.
Quant à l’hippocampe, connu pour son rôle dans la mémoire et l’apprentissage, il a également sa place dans cet orchestre neuronal : Il est responsable de l’encodage et de la consolidation des expériences sexuelles agréables.
Cela signifie que le système limbique peut influencer la manière dont nous nous souvenons et traitons nos expériences sexuelles, y compris les orgasmes.
Ces processus peuvent conditionner nos réponses émotionnelles et notre comportement sexuel futur.
 
Enfin, j’ai appris que d’autres structures cérébrales telles que le cervelet et sa projection vers le tegmentum pontique sont impliquées dans les composantes cardiovasculaires et motrices de l’orgasme. Il a ainsi été démontré que l’activation de la région ventrolatérale du tegmentum pontique produit les contractions du plancher pelvien qui sont responsables, chez la femme, (au moins en partie) de l’orgasme physique.
Chez l’homme, cette zone génère aussi des contractions du plancher pelvien responsables, cette fois, de l’éjaculation.
 
À la fin, tout repose sur les neurotransmetteurs, ces messagers chimiques qui créent une poussée de sensations agréables qui envahissent le cerveau.
Ainsi la dopamine, qui est connue comme le neurotransmetteur du plaisir et du bonheur, atteint des niveaux maximums pendant l’orgasme, ce qui génère une sensation d’extase et de récompense.
Souvent appelée « hormone de l’amour », l’ocytocine est également libérée en grandes quantités, ce qui favorise les liens émotionnels et l’intimité entre les partenaires sexuels : C’est comme si le cerveau était programmé pour renforcer les liens pendant cette période, favorisant ainsi une plus grande connexion entre les partenaires.
 
Pendant l’orgasme, le cerveau sécrète également de la sérotonine, une substance liée à la régulation de l’humeur et au bien-être émotionnel. Elle contribue à produire une sensation de satisfaction et de bonheur, ce qui nous amène à comprendre que l’orgasme n’est pas seulement un événement physique, mais aussi mental.
Dans ce contexte, l’expérience émotionnelle et phénoménologique de l’orgasme est liée à la désactivation de certaines zones du cerveau, telles que le cortex préfrontal, temporal et entorhinal : Cela est interprété par la science comme une augmentation de la perception de l’expérience agréable et de la sensation de satiété qui accompagne l’apogée sensorielle.
 
Toutefois, à la lumière de toutes ces recherches, il n’est peut-être pas évident de déterminer si c’est le cerveau qui contrôle l’orgasme ou si c’est l’inverse. En fait, certaines études démontrent que de nombreuses zones sont désactivées au moment même où l’acte sexuel est culminant, ce qui suggère que le cerveau « s’éteint » virtuellement, à l’exception du tronc cérébral – responsable de l’activité cardiovasculaire – et du cervelet – responsable des mouvements.
Quoique j’ai pu faire l’expérience d’une tétanie générale, respiration coupée, d’un sujet féminin particulièrement atteint, qu’il a fallu réanimer durement après coup…
 
En revanche, ce qui est prouvé, c’est que l’orgasme peut avoir des effets bénéfiques sur la santé (j’en suis même sûr et certain pour en être un exemple) : Il soulage le stress, améliore l’humeur et renforce le système immunitaire.
De plus, la libération d’endorphines et d’autres substances chimiques peut avoir des propriétés analgésiques et anti-inflammatoires, en soulageant la douleur et en favorisant un sentiment général de bien-être.
 
Après avoir lu ce post, je suis sûr que vous serez d’accord sur le fait d’avoir appris quelque chose en ce dimanche de repos (bien mérité) à visiter ce blog quelques minutes.
En attendant, j’ai bien rigolé en l’écrivant et en pensant aux têtes que vous pouviez faire en lisant ces lignes !
 
Merci d’être passé(e) et bonne fin de week-end à toutes et à tous !
 
I3  
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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