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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 1 mars 2024

Jean-Marc et Jean-Paul s’indignent

Question pour un champion :
 
« — Dis-donc, tu en connais beaucoup, toi, des gens qui se sont enfuis à l’Est au moment de la chute du mur de Berlin ?
— … aucun !
— Même pas un seul de « gôche » ?
— Non aucun ! »
 
Jean-Paul s’apitoie sur le sort de Jean-Marc, tout bosselé qu’il est en arrivant claudiquant au bar-tabac pour boire une bière :
« — Mon Dieu ! Dans quel état tu es !
Dire qu’hier soir je t’ai encore vu danser comme un jeune premier un slow langoureux avec cette magnifique blonde…
— Tu n’étais pas le seul : Germaine aussi m’a vu… »
 
Lu pour vous cette affichette :
« Salariés de la SNCF,
Si vos conditions de travail sont si déplorables,
Sachez que tous les métiers du bâtiment, l’hôtellerie, la restauration
Recrutent »
 
« — Sais-tu ce que fais le canard quand il a sauf ?
— Euh… non !
— Il se tape une canette ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc, chacun attablé devant une chope de bière :
« Il paraît que la perfection n’existe pas sur terre…
Mais alors, d’où je viens ? »
 
Marie-Chantal avec Germaine, au salon de thé, devant un thé et quelques pâtisseries :
« — Les hommes sont tout de même fascinants, sais-tu…
— Ah ?
— Oui, ils regardent un match de foot à la télévision.
Puis ils regardent ensuite un résumé du match qu’ils viennent de voir.
Et en plus, il regarde une émission où un expert leur explique ce qu’ils ont vu !
— Fascinants, en effet, quand on y songe ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc :
« — Tu m’as dit d’avoir une activité mon entretenir mon corps d’Appolon.
J’ai choisi Photoshop et ça marche !
— Ah bon ?
— Eh oui ! Et ça marche : J’ai perdu 5 kilos et j’ai rajeuni de 10 ans en 8 jours ! »
 
Les mêmes…
« — Moi, quand je serai vieux, je veux finir mes jours en prison.
— Quelle drôle d’idée !
— Tu plaisantes ? Tu ne te rends pas compte !
— De quoi ?
— En prison, on a maintenant le téléphone, la télé, la console, on y mange mieux et on est mieux traité qu’en maison de retraite.
Et en plus c’est gratuit ! »
 
Jean-Marc, au matin, de mauvaise humeur, invective germaine, son épouse :
« — Ne me parle pas avant mon premier café !
— Mais tu ne bois jamais de café ?!?
— Justement : voilà ! »
 
Un autre jour, question de Jean-Marc à Germaine :
« Tu es de bonne humeur ce matin !
Tu ne t’es pas pesée ? »
 
Les mêmes à la nuit tombée :
« — Ah non pas ce soir ! J’ai mal à la tête !
— Ah bé ça tombe bien : je me suis enduit d’aspirine…
Tu veux la prendre par voie orale ou en suppositoire ? »
 
Le soir de la Saint Valentin, Germaine, éructant :
« — C’est quoi ce minable cadeau en bout de ficelle ?
— Un string ma colombe… »
 
Jean-Marc et Germaine, dans la rue :
« — Jean-Marc, cet homme, là-bas, me suit du regard depuis tout-à-l’heure : Je suis inquiète !
— Laisse, ce doit être un brocanteur ! »
 
Les mêmes :
« — Tu m’as demandé quelque chose ?
— Oui ! Hier… »
 
Plus tard dans la soirée, Jean-Marc questionne :
« — Tu savais que mon signe astrologique chinois c’était le coq ?
— Oui ! Hier encore, une de tes poules a appelé ! »
 
Les mêmes, Germaine demande à Jean-Marc :
« — Tu crois que tu as déjà vécu une vie antérieure ?
— Oui… C’était avant de te rencontrer ! »
 
Jean-Marc à Germaine :
« — On aurait dû filmer notre nuit d’amour…
— Oh tu sais, moi, les court-métrage… »
 
Germaine à Jean-Marc, impérative :
« — Invite moi au restaurant !
— Je ne sors pas avec les femmes mariées !
— Mais justement, je suis ta femme !
— Je ne fais pas d’exception ! »
 
À l’école élémentaire :
« Quel est le métier de ton papa ?
— Moi, mon papa, il est pompeur !
— Ah non, on ne dit pas pompeur mais pompiste.
Et toi ?
— Moi, mon papa il est livriste… »
 
« — Allo ! Police ?
— Oui, allo !
— Je viens d’écraser un poulet. Je fais quoi ?
— On a autre chose à faire : Alors thermostat à 6 pendant deux heures. Ça ira !
— Ok ! Et pour la moto ? »
 
Jean-Marc faisant une leçon de diction à Jean-Paul :
« Quand dans une phrase, un mot qui commence par une voyelle suit une consonne, on fait la liaison.
Sauf l’habit à papa et l’achat à maman… »
 
Devant une énième bière, l’un demande à l’autre :
« — Tu as vu le discours de Macron, à la télé l’autre soir ?
— J’ai juste vu un condensé !
— Ah parce qu’il a dansé en plus ? »
 
Les mêmes :
« — Tu as vu l’histoire de ce gamin né dans un avion ?
— Non !
— Il voyagera gratuitement à vie !
— Ah merde ! J’aurai dû naître dans un bar ! »
 
Plus tard, à la serveuse :
« Mademoiselle, quand je vais commencer à vous trouver très belle, arrêtez de me servir de la bière, s’il vous plaît ! »
 
Jean-Paul et Jean-Marc :
« Finalement, quand on y réfléchit, tous les étrangers seraient bien mieux dans leur pays.
La preuve, nous on y va bien en vacances ! »
 
Après une nouvelle bière…
« — J’ai un truc imparable pour se rappeler d’un mot de passe sur un ordinateur…
— Ah oui !
— C’est « Incorrect » !
— Ah oui ? Et c’est quoi alors ?
— Bé « incorrect ». Quand ta machine te dit que ton mot de passe est incorrect, elle ne se trompe pas et te rappelle clairement lequel taper ! »
 
Plus tard :
« La vie de couple, c’est faire les choses à deux…
Elle décide, tu acceptes…
Elle parle, tu écoutes…
Elle se trompe, tu t’excuses. »
 
« Parfois, je rentre tard le soir et je dis alors à ma femme, « ce soir je vais te faire l’amour pendant des heures… »
Parce que c’est bien dans un couple de pouvoir la faire rire de temps en temps… » 
 
« Il y a deux catégories d’Ovni :
L’ovni tender et l’ovni true ! »
 
Jean-Marc à Jean-Paul, il y a longtemps :
« — Germaine a disparu depuis une semaine…
— Ouh lala ! Prépare-toi au pire !
— Oui, je sais… elle pourrait revenir ! »

Un peu de psychologie de comptoir de bar : On peut être doté d’une belle intelligence émotionnelle tout en paraissant faible d’esprit, surtout si l’on prononce certaines phrases à l’oral.
Selon l’experte, voici celles que vous devez bannir.
« Je ne changerai pas, je suis comme ça » : Cette phrase témoigne d’un manque de volonté d’évoluer et de s’améliorer.
« Je me fiche de ce que tu ressens » : Cela montre que vous ne comprenez pas de quelle façon vous affectez les autres et comment cela peut nuire à vos relations.
— « C’est de ta faute si je me sens comme ça » : Cela montre que vous avez tendance à blâmer les autres pour ce qui vous arrive et à ne pas reconnaître votre propre rôle ou vos erreurs.
« Tu as tort » montre que vous avez tendance à prendre des positions extrêmes et que votre approche n'est pas constructive.
« Arrête de faire le con » démontre que vous n’êtes pas disposé à écouter les autres, ni à travailler ensemble pour trouver des solutions.
« Je ne pourrai jamais te pardonner » montre un manque d’empathie, une incapacité à se mettre à la place de l’autre, ce qui peut se retourner contre vous lorsque vous vous retrouvez dans l’autre camp.
« Tu te laisses submerger par tes émotions ». Cela montre que vous n’êtes pas à l’écoute des autres et que vous ne savez pas d’où viennent leurs émotions et leurs sentiments.
 
VDM :
« Aujourd’hui, je travaille depuis 5 ans dans une agence immobilière sous enseigne « Laforêt ».
Mon fils a dit à sa maîtresse que je travaillais dans un bois et que j’avais plein de clients… »
 
Avertissement de Jean-Marc :
« Arrêtez de penser que parce que vous avez un diplôme de l’enseignement supérieur vous êtes intelligent !
Je connais plein de gens qui ont un permis de conduire et qui ne savent pas conduire… »
 
« Avez-vous déjà remarqué que les gens qui arrivent en retard sont souvent de meilleures humeurs que ceux qui les attendent ? »
 
Entendue pour vous, au guichet de la mairie.
«  Bonjour, je viens pour refaire ma carte d’identité !
— Bonjour. Avez-vous amené la vieille ?
— Non, je suis venu seul. Ma femme est restée à la maison ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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