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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 25 mars 2024

L’occident peut-il se laisser berner par « Poux-tine » (2/2) ?

L’unique « va-t’en-guerre », c’est lui et son régime !
 
Je vous rappelais l’autre jour (jeudi dernier : I-Cube (l'exilé): L’occident peut-il se laisser berner par « Poux-tine » (1/2) ? (flibustier20260.blogspot.com)), qu’en fait, aux yeux de nombreux leaders européens de la fin du millénaire et des deux premières décennies du XXIème siècle, Dieu pourra en témoigner au Tribunal de l’histoire, que l’OTAN était devenue une structure essentiellement politique.
Je vous disais d’ailleurs (dans le post 1/2 sur le sujet) que ce fut déjà le cas du « Chi » où on peut rappeler qu’en décembre 1995, avant le retour de la « Gauloisie-Gaulliste » au Comité militaire de l’OTAN, Chirac avait déclaré qu’il était « évident que l’OTAN (devait) s’élargir vers l’Est ». (Probablement jusqu’à Mourmansk…)
Mais, il avait immédiatement ajouté que « nous devions veiller à conclure avec les Russes un accord qui permette cet engagement sans les menacer ni les humilier ».
 
Et effectivement Chirac a tenu parole.
Quelques jours plus tard, lors d’une rencontre avec le Premier ministre russe Viktor Tchernomyrdine, le président « Gauloisien-olympique » aurait décrit « l’élargissement progressif » de l’OTAN comme « une clé de la stabilité en Europe » (lui l’ancien militant pacifiste…) dont l’architecture de sécurité devait reposer, comme auparavant, sur… « l’Alliance atlantique, le pilier européen et la Russie ».
Dans cette logique pacifique, en septembre 1996, dans un discours devant le parlement polonais, note « Chi » réitère son souhait de voir la Pologne entrer dans l’OTAN et promet son aide pour une entrée dans l’Union européenne dès l’an 2000.
 
Quelques mois plus tard, en janvier 1997, il livre également un vibrant plaidoyer pour l’adhésion de la Hongrie à l’UE mais aussi à une OTAN « rénovée et élargie, facteur essentiel de la nouvelle architecture de sécurité européenne ».
Et ce n’est pas fini !
En février 1997, Chirac affirme sa conviction que la Roumanie ferait partie de la première vague d’entrants dans l’OTAN, malgré – tenez-vous bien – …« l’obstacle américain » !
« La France sera l’avocate de la Roumanie », va-t-il promettre lors d’une visite d’État à Bucarest que ça démangeait déjà de faire partie du Club.
Oui : Les Américains n’en voulaient pas !
Mais le « Chi », alors avec le feu vert des Russes, voulait élargir encore l’OTAN, pour diluer l’influence américaine et pour créer un espace de manœuvre élargi pour son pays (qui est aussi le mien).
 
Et Chirac ne cache pas sa logique : Lors d’une visite en République tchèque en avril 1997, il explique au président Vaclav Havel que « l’Alliance est une priorité qui facilitera l’adhésion à l’UE et que l’entrée dans l’OTAN sera donc prioritaire par rapport à l’entrée dans l’Union ».
Quelques semaines plus tard, en mai 1997, lors de la visite en « Gauloisie-olympique » du président bulgare, Chirac déclare que la « Gauloisie-olympique » « soutiendra activement l’entrée de la Bulgarie dans l’Union européenne autant que son entrée dans l’OTAN ».
 
UE/OTAN – dans l’esprit de Chirac – et très probablement des Russes avec lesquels il est en contact permanent pour vérifier que sa politique d’élargissement ne leur pose pas de problème – c’est presque la même chose car l’Alliance atlantique est en train de perdre son objectif militaire !
La « Gauloisie-chi-rat-quienne » « est passée d’une position de réticence à l’égard de l’élargissement à une position de soutien total à une expansion qui ne serait limitée ni par la préférence américaine pour la Pologne, la République tchèque et la Hongrie, ni par le désir de l’Allemagne de s’arrêter avec ses voisins » en disent des chercheurs-trouveurs historiens (parce que c’est déjà dans les livres d’histoire)…
« Les responsables français ayant rejeté la nécessité de définir les limites de l’élargissement à ce stade, l’accent a été mis sur l’article 10 du traité de Washington, qui invite ’’tout autre État européen capable d’aider au développement des principes du présent traité et de contribuer à la sécurité de la région de l’Atlantique Nord’’ – une définition qui pourrait potentiellement s’appliquer à tous les candidats potentiels à l’adhésion à l’OTAN » analysait-on dans les universités du moment…
 
D’autant que non seulement « Pine-tonne » (Bill), le président « ricain de l’époque » n’a pas un plan antirusse dans ses cartons, et que dans le contexte de la fin des années 1990, parmi ceux qui dirigeaient l’Europe, les États-Unis et la Russie, l’OTAN, sans changer de nom, était en train de changer de sens.
Et ce sont Chirac, Charrette et probablement « Vil-lapin » qui sont à la manœuvre.
Mais c’est d’abord et surtout « Poux-tine » qui refuse la négociation !
Contrairement à ce qu’il raconte partout et sur tous les tons !!!
(Je vous avais promis la reprise « critique » de l’interview de « Poux-tine » par le journaliste « ricain » Tucker-Carlson, qui a fait polémique récemment : Il est en ligne pour le début avril, moment où je serai « en vadrouille » : Vous allez pouvoir découvrir le délire maladif que ça représente…)
Car il n’y a rien à faire : Le bonhomme est dangereux, pour lui-même, pour son entourage, pour son pays et même pour les pays voisins…
En plus, avec des munitions nucléaires, il est dangereux pour la planète et les « petits-oiseaux » des écololos…
 
Pour parfaire ces analyses, il y a aussi, pour l’exemple de sa dangerosité, l’histoire authentiques des négociations de paix entre Ukrainiens et Russes dans les jours et les semaines après l’invasion russe.
La version russe est la suivant : « Un mois après le début des hostilités, alors que Volodomyr Zelensky se dit prêt à négocier directement avec Vladimir Poutine, le petit télégraphiste de Washington, Boris Johnson, se rend à Kiev pour demander au président ukrainien de ne rien négocier du tout, l’assurant du soutien inconditionnel, en armes et en argent, des Américains et des Britanniques.
Dès le début, les Américains voient dans ce conflit un moyen radical pour séparer l’Europe occidentale, surtout l’Allemagne, de la Russie ».
Le problème avec ce conte pour enfant, cette légende, est qu’il s’agit au mieux d’une interprétation, une hypothèse et non pas un fait du même ordre que le retrait de tous les chars américains du sol européen !
C’est effectivement incomparable…
 
Ainsi, selon une information publiée par l’agence Reuters, l’homme politique russe Dmitri Kozak (un proche de « Poux-tine » basé à Saint Pétersbourg, ancien ministre et vice Premier ministre jusqu’en 2020, et ensuite haut fonctionnaire au Kremlin) a un avis complétement différent de cette affaire…
En septembre 2022, Kozak (né dans la RSS d’Ukraine) déclare que « au début de la guerre, (il) avait conclu un accord provisoire avec Kiev qui satisferait la demande de la Russie que l’Ukraine reste en dehors de l’OTAN. Il l’avait dit à Poutine mais ce dernier a rejeté l’accord ».
Mais si : Ça reste historique ! Le va-t’en-guerre, c’est uniquement « Poux-tine »…
 
Kozak pensait que l’accord qu’il avait conclu éliminait la nécessité pour la Russie de poursuivre la guerre et l’occupation à grande échelle de l’Ukraine.
Ainsi, bien que « Poux-tine » ait soutenu les négociations auparavant, le président russe a clairement fait savoir à Kozak, que les concessions négociées par lui n’allaient pas assez loin et qu’il avait élargi ses objectifs pour y inclure l’annexion de pans entiers du territoire ukrainien.
Et on ne parle plus de dénazification, mais seulement, entre et les lignes, de rouvrir les voies d’alimentation en eau douce de la Crimée…
Résultat, l’accord a été abandonné. Encore un fait vérifiable et incontournable !
CQFD : C’est « Poux-tine » qui poursuit « sa » guerre…
 
Cette version a été corroborée par des informations publiées fin mars 2022 selon lesquelles, lors des pourparlers avec la Russie en Turquie, l’Ukraine aurait proposé d’adopter un statut de neutralité en échange de garanties de sécurité, ce qui signifie qu’elle ne rejoindrait pas d’alliances militaires et n’accueillerait pas de bases militaires.
Les Ukrainiens proposaient également une période de consultation de 15 ans sur le statut de la Crimée annexée.
Le négociateur ukrainien, Oleksander Chaly, a déclaré que si l’Ukraine parvenait « à consolider ces dispositions clés, qui sont pour nous les plus fondamentales, l’Ukraine serait en mesure de fixer son statut actuel d’État non-membre d’un bloc et non nucléaire sous la forme d’une neutralité permanente ».
On ne peut être plus clair…
 
Et pour mieux comprendre le contexte, il convient de s’arrêter sur le calendrier des négociations entre les deux parties : Pendant les premières heures de l’invasion, la partie russe a proclamé qu’elle était toujours « disposée à discuter ».
Cependant, ses conditions pour mettre fin à la guerre équivalaient à une capitulation totale et à la dissolution de l’État ukrainien avec les fameuses « dénazification » et « démilitarisation ».
En d’autres termes, l’Ukraine devait changer de régime selon le goût de Moscou !
Kiev a naturellement refusé, conditionnant les pourparlers à un cessez-le-feu.
Zelensky a ensuite demandé à « Poux-tine » d’accepter des pourparlers directs et immédiats.
Finalement, la partie ukrainienne a accepté d’envoyer une délégation à Gomel, en Biélorussie, le 28 février.
D’autres réunions ont eu lieu, les 3 et 7 mars.
 
Par la suite, ces pourparlers se sont poursuivis en ligne : Le 10 mars, les deux ministres des Affaires étrangères, Dmytro Kuleba et Sergueï Lavrov, se sont rencontrés à Ankara.
Le 29 mars, les délégations se sont retrouvées à Istanbul et la partie ukrainienne y a présenté le « communiqué d’Istanbul », un plan en dix points pour un cessez-le-feu, avec l’engagement d’une neutralité ukrainienne permanente.
Les points de désaccord restants à ce moment-là devaient être résolus lors d’une réunion du Conseil de l’Europe au cours d’une rencontre entre les deux présidents.
Ce texte par ailleurs n’inclut pas la demande ukrainienne d’un retrait des forces russes derrière la ligne de contact à compter du 23 février 2022 : Kiev abandonne le retour des territoires conquis…
Des participants aux pourparlers ont également souligné – corroborant ainsi les propos attribués à Dmitry Kozak – que les dix points avaient fait l’objet d’un accord préalable entre les parties et qu’il aurait pu constituer la base d’un règlement négocié.
Autrement dit, les négociateurs ont réussi et un accord a été rédigé.
Il ne restait plus que le feu vert de « Poux-tine » à obtenir… qu’il n’a pas octroyé !
 
Or, au lendemain de la réunion d’Istanbul (le 30 mars), le Kremlin a catégoriquement rejeté le document et effectivement, le lendemain, lors d’un appel téléphonique avec le Premier ministre italien Mario Draghi, « Poux-tine » a déclaré que les conditions d’un cessez-le-feu en Ukraine n’étaient pas encore réunies !!!
La première visite de Boris Johnson à Kiev n’a eu lieu qu’une semaine plus tard, le 7 avril, quand les négociations avaient déjà échoué par la seule volonté de « Poux-tine »…
 
Pas de « télégraphiste » donc, mais plutôt un dirigeant russe qui aurait utilisé les négociations pour semer la confusion chez ses adversaires et gagner du temps pour son armée qui était en train de redéployer ses forces et se remettre de l’échec de la première phase de l’opération spéciale qui avait foiré dans les grandes largeurs.
Et bien sûr, on peut supposer qu’en ce début de printemps 2022, « Poux-tine » ne voulait pas arrêter l’opération et rester sur un échec à un an de ses élections triomphales, ce qui aurait constitué un risque politique important pour lui.
 
On peut donc en dire sans prendre de risque de se tromper que l’objectif était et reste toujours la transformation de l’Ukraine en Biélorussie, version XXIème siècle d’une RSS.
Derrière cet objectif, il y a probablement une idée : Les Empires ont un « droit de glacis », et les voisins des États-Unis, de la Chine et de la Russie doivent se soumettre.
Autrement dit, contrairement à l’Espagne, l’Ukraine n’est pas libre de choisir son camp et de décider de sa défense nationale.
Ce principe est bien évidement fondé sur le rapport de force et ne définit pas quel niveau de soumission est acceptable.
Ainsi en 1940, la Finlande a négocié par les armes une soumission plus douce que les pays du Sud Caucase en 1920 ou le bloc soviétique après 1945. Et si les Finlandais l’ont fait, c’est parce que les Russes ont un point aveugle : Le sentiment national des autres.
 
Comme les Tzars, Lénine et Staline, pour « Poux-tine » les peuples n’existent pas, ce ne sont que des manipulations des services secrets.
Le Printemps arabe ? Un coup monté par la CIA et George Soros.
Maïdan ? Victoria Nuland, la sous-secrétaire d’État pour les Affaires politiques, bien sûr !
Et enfin, l’Ukraine : Ce n’est qu’une province russe et les Ukrainiens ne sont qu’une sorte d’Alsaciens qui ne savent plus qu’elle est leur place…
Or, contrairement à ce que croit « Poux-tine », ce n’est pas un débat d’historiens ou d’anthropologues, et le problème n’est pas de prouver que l’Ukraine n’existe pas.
L’Ukraine existe car 31.000 Ukrainiens sont morts sur les champs de bataille au Nord, au Sud et à l’Est de leur pays pour leur drapeau.
Comme les Finlandais ils ne veulent pas se soumettre à la Russie.
Ils sont prêts à des compromis à définir et l’ont démontré pendant les négociations en 2022.
Mais les Russes de « Poux-tine » se sont déjà lourdement trompés en 1945 – le glacis créé par Staline contre la volonté des petites nations s’est écroulé 45 ans plus tard – et ils persistent dans leur erreur.
 
Et alors, en quoi tout cela nous regarde ?
C’est assez simple : Notre défense nationale s’appuie sur deux principaux piliers.
Le premier est composé du nucléaire et de nos armées, le deuxième de nos alliances.
Or, notre principale alliance, l’OTAN, est composée entre autres, des pays baltes, de la Pologne, de la Tchéquie, de la Roumanie et de quelques autres.
Et le problème est que la guerre en Ukraine apporte des éléments très convaincants démontrant que « Poux-tine » souhaite retrouver l’entièreté du fameux glacis de l’URSS, aux dépens des alliés que nous avons librement choisis pour notre propre sécurité.
 
L’hypothèse prudente et responsable est donc de penser que « Poux-tine », une fois l’Ukraine « belarussifiée », déstabiliserait la Roumanie (par la Moldovie et la Transnistrie), puis les pays baltes par leurs minorités russophones et enfin la Pologne par tous les moyens possibles.
Dans ce sens, la demande russe de décembre 2021 à ce que l’OTAN retrouve son périmètre de 1997 – date de l’invitation de la Pologne, la Tchéquie et la Hongrie à rejoindre l’Alliance – n’a rien de rassurant quant à l’avenir des anciens « malgré-nous » du pacte de Varsovie.
 
Mais « Poux-tine » a commis au moins une erreur : Il a donné des éléments suffisants pour dévoiler ses véritables objectifs en lançant le 24 février 2022 ce qui devait être un coup de maître.
Et il a aussitôt après raté son affaire et nous a donné le temps et l’opportunité de relever le défi dans des circonstances qu’il n’a pas choisies et avec, à nos côtés, un peuple ukrainien prêt à se battre jusqu’au bout.
 
Si nous faisons confiance à « Poux-tine » et aux discours de ses propres propagandistes occidentaux, si nous commettons l’erreur de jugement de lui faire confiance, nous nous retrouverons sans les Ukrainiens face à une Russie victorieuse qui choisira alors les conditions des prochaines crises.
Autant élire tout de suite « Mes-Luches », « Zézé-Amour » ou « Marinella-tchi-tchi » qui se chargera de lui donner la clé de nos ogives nucléaires qui se retourneraient alors contre nos alliés (qui ont été aussi nos libérateurs de l’emprise nazie)…
Au moins, si la paix n’était même pas sauvée au prix de notre servage, on épargnerait peut-être quelques vies (et souffrances) dans l’immédiat à toute la planète, n’est-ce pas ?
C’est exactement ce qu’ils veulent nous vendre…
Et tant pis pour les générations suivantes si, dans un grand moment d’aveuglement et de lâcheté, nous aurons ainsi insulté leur avenir !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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