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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 12 mars 2024

Quand « Poux-tine » nous fait déjà la guerre…

Ça ne lui coûte rien et ça l’amuse beaucoup !
 
Ils sont déjà suspectés d’avoir été derrière des piratages dans le monde du sport. Voici pourquoi il est vraisemblable que Moscou tente à nouveau de semer le bazar lors des Jeux olympiques de « Paris-olympique ».
Il peut puisque de toute façon nous ne lui rendrons pas la pareille…
Si lui est en guerre, nous, nous ne le sommes pas !
 
Souvenez-vous, c’était le soir du vendredi 9 février 2018, six ans avant l’édition parigote, le cauchemar des experts de la sécurité informatique des Jeux olympiques se réalisait. Alors que la cérémonie d’ouverture des Jeux d’hiver de PyeongChang en Corée du Sud (en présence de « Princesse Yoyo », la sœur de « Kim-tout-fou », le dictateur du Nord) venait de commencer, quand tout d’un coup tous les clignotants de la sécurité informatique s’allument.
L’organisation vient d’être victime d’une sérieuse cyberattaque passée à la postérité sous le nom « d’Olympic Destroyer »…
Malgré des effets notables — le site officiel tombe et la vidéosurveillance flanche — les Jeux se poursuivent finalement sans trop de problèmes.
 
Mais qui se cachait derrière cette attaque informatique vacharde et pernicieuse ?
Après investigations, on remarque d’abord que le programme malveillant présente des similitudes avec l’un des programmes malveillants de Bluenoroff.
Ce sont des hackers du groupe Lazarurs, des pirates de la Corée du Nord.
Puis, on comprend que la Russie a manifestement tenté une audacieuse manœuvre sous faux drapeau.
Il s’agissait de faire croire que le mauvais coup venait de quelqu’un d’autre.
 
Il se trouve qu’en matière d’attaques informatiques, la fédération de Russie fait figure d’épouvantail. Chez eux, ça devient une manie : Ils ne savent pas peser, marquer leur présence, interférer sur le monde qu’en devenant nuisibles !
C’est comme ça…
Du coup, l’implication d’assaillants russes dans des piratages est souvent mise en avant à tort ou à raison.
Mais essayons de faire le tri entre ce qu’on me rapporte savoir être « authentique » et ce qu’on fantasme encore fréquemment.
 
Dans tous les cas, l’agressivité russe dans le domaine des attaques informatiques n’est guère remise en question, et un palmarès significatif est attribué au Kremlin.
La Russie a été accusée, par exemple, d’être responsable de NotPetya, ce programme malveillant qui visait initialement l’Ukraine.
En 2017, ce malware a causé des dégâts de plusieurs milliards de dollars dans le monde.
Le même groupe à la manœuvre, APT28, une unité du GRU, le service de renseignement militaire russe, est aussi accusé d’avoir été derrière le destructeur piratage de la chaîne de télé TV5 Monde deux ans plus tôt.
 
Dans le domaine du sport, la justice américaine a accusé des agents du GRU d’avoir piraté l’Agence mondiale antidopage (AMA) et le Comité international olympique (CIO).
Mais là, c’était probablement pour sauver la mise à quelques concitoyens adeptes des recherches biochimiques sur leur performances…
Des attaques informatiques menées de 2014 à 2018 pour délégitimer les efforts des organisations en charge de la lutte antidopage.
Ainsi, un comité indépendant de l’Agence mondiale antidopage a préconisé de très lourdes sanctions contre la Russie, soupçonnée d’avoir falsifié des données transmises aux enquêteurs de l’Agence d’antidopage.
 
Si les Russes sont autant à l’offensive en ce moment, c’est tout d’abord parce qu’ils sont manifestement très rancuniers. En effet, en décembre 2017, le CIO suspend la participation de la Russie aux Jeux olympiques d’hiver à cause de sa tricherie impliquant du dopage lors des Jeux de Londres et de Sotchi.
Or, la Russie avait déjà été privée de Jeux à Rio en 2016.
Puis, toujours à cause de son dopage institutionnalisé, Moscou est exclu pour deux ans en 2020 des Jeux olympiques.
L’année dernière, la Russie est enfin privée de Jeux parigots, mais cette fois-ci en raison de son invasion de l’Ukraine qui est contraire à la charte olympique.
La Russie a donc un beau mobile pour pirater les Jeux : Elle n’a pas été invitée !
Ses athlètes pourront certes venir, mais sous bannière neutre.
Alors, elle sabote, c’est tout ce qui reste aux nains du neurone qui ne savent pas faire autrement…
 
Du coup et en réaction à son exclusion, Moscou a lancé son contre-événement, les Jeux des BRICS, en référence aux puissances émergentes.
Ça c’est plus intelligent : Au moins les athlètes dopés à donf’ pourront éclater leurs adversaires venus faire de la figuration…  
Ils auront lieu en juin 2024 à Kazan, à 800 km à l’Est de Moscou.
« La Russie aura alors tout intérêt pour nourrir son narratif » — non, elle n’est pas isolée, et oui, elle fait partie des pays qui ont le vent en poupe dans le monde — « à pouvoir présenter une réussite éclatante de ces jeux face à une fête olympique complètement ratée », observe un universitaire de Paris-VIII, chargé de recherches au centre Géode (Géopolitique de la data-sphère).
On va probablement y avoir droit…
 
Si la Russie veut nuire aux Jeux olympiques de « Paris-olympique », c’est aussi évidemment à cause du contexte géopolitique.
La « Gauloisie-olympique » fait partie des nations qui soutiennent l’Ukraine dans la défense de son intégrité territoriale légitime et reconnue depuis plus de deux ans. Ce qui en fait une cible pour les attaques informationnelles du Kremlin.
Ces dernières sont dans le viseur du service de vigilance contre les ingérences numériques étrangères, Viginum qui nous aura récemment révélé, ce que nous savions tous (ou au moins supposions), que des agents russes ont « infiltré des systèmes d’informations critiques en France, en attendant de frapper le jour J ».
 
Portal Kombat, campagne RRN, affaire des étoiles de David à « Paris-olympique », et même les punaises de lit… Ces derniers mois, les rapports mettant en évidence cette stratégie visant « à semer la confusion et à créer des tensions » se sont succédé.
« Les Russes veulent peser sur nos esprits pour peser indirectement sur le gouvernement.
On voit bien que le soutien public à l’Ukraine s’est effrité en deux ans, même s’il reste majoritaire », analyse un ancien général qui fait désormais chercheur associé à la Fondation pour la recherche stratégique dans le civil.
 
C’est que ces attaques informationnelles ont l’avantage d’être peu coûteuses. Même quand il s’agit d’une cyberattaque plus sophistiquée.
L’espace numérique est en effet un bon moyen pour la Russie de réaffirmer à peu de frais sa puissance (supposée) : L’arme du pov’ ?
En tout cas, sans grand risque pour les troupes et le matériel, ni même pour les diplomates, finalement…
C’est depuis de nombreuses années l’un des objectifs de « Vlad-Poux-tine », qui inscrit son impérialisme dans le sillage de l’ex-grandeur soviétique, et en vient à ces facsimilés d’imperium.
À défaut de l’original, les copies restent reines…
« C’est une façon pas très coûteuse, économiquement et politiquement, de porter atteinte aux intérêts occidentaux, sans que cela n’entraîne de trop grosses conséquences », résume un analyste géopolitique.
 
La Russie s’est donc donné les moyens d’être à l’offensive cyber avec un ordre de bataille particulièrement garni. C’est d’ailleurs le seul pays qui entretien une vaste armée de hackers et de trolls actifs depuis années.
Avec autant de troupes qu’il faut faire travailler, pourquoi pas contre les Jeux olympiques de « Paris-olympique » ?
Et schématiquement, on retrouve les hackers de l’État russe dans deux groupes. APT28, aussi connu sous les sobriquets de Fancy Bear, FrozenLake, Sednit, Sofacy ou encore Pawn Storm. Il est apparenté, on l’a dit, au GRU.
APT29, suspecté dans l’affaire SolarWinds, est lui affilié au SVR, le service de renseignement extérieur. On le connaît sous les noms de Nobelium, Cozy Bear et The Dukes.
Mais le FSB mène également et par ailleurs ses propres opérations, avec des groupes visiblement spécialisés dans le vol de données ou la reconnaissance.
Ce service de sécurité intérieure est compétent pour le contre-espionnage.
 
La Russie a donc une armée de geeks dont elle n’hésite pas à se servir.
Le Kremlin a également l’habitude de demander un coup de main aux hackers de tous poils. Y compris des cybercriminels, relève un journaliste russe dans son livre « Une brève histoire des hackeurs russes » (Actes Sud).
À Saint-Pétersbourg, en 2017, « Vlad », le président russe, ironise : Les hackers qui ont « la fibre patriotique (…) savent faire ce qu’ils estiment juste : combattre ceux qui disent du mal de la Russie. Mais nous ne sommes pas impliqués au niveau étatique, c’est cela qui est important. »
Naturellement… dans un pays où l’on meurt en prison parce qu’on se permet d’avoir un avis divergent des maîtres du Kremlin, c’est d’une telle évidence !!!
Au moins ces geeks-là sont relativement bien payés et ne sont pas mobilisables sous l’uniforme pour aller mourir en Ukraine, puisqu’ils sont déjà mobilisés différemment.
 
Killnet est aussi l’un des groupes emblématiques de ce soutien bruyant au régime russe. « Ce ne sont pas des attaques très sophistiquées, mais elles ont un retentissement médiatique suffisant pour nourrir le champ informationnel », remarque-t-on à leur sujet.
Autant d’hacktivistes chauffés à blanc qui savent ce qu’il faut faire en « Gauloisie-olympique » dans les mois qui viennent, soyez-en sûrs…
 
Nous les verrons donc à l’œuvre dans les prochaines échéances : Il y a les élections européennes, mais c’est un chantier trop vaste pour espérer influer autant de pays et d’électeurs de façon significative.
Ce qui ne veut pas dire que ça ne se fera pas.
Puis les jeux des « BRICS »… qui seront donc le triomphe du muscle et de l’organisation des pays « libres et démocratiques » sous contrôle de « l’impérialisme mondial russe & tsariste ».
Le tour de la « Gauloisie-olympique » en vélocipède…
La « fête-nath » du 14 juillet, mais là, c’est tous les ans…
Et puis les JO des « parigots-olympiques » à rayonnement international garanti.
Qu’il faudra rendre le plus bordélique possible…
 
Je vais vous dire, il est possible qu’on n’ait pas besoin des hackers russes ci-avant identifiés… un peu de CGT, quelques FO, une pincée de CFDT, un doigt de CFTC et un autre de CGC-CFE, une sauce Sud ou FNSU devrait faire l’affaire, pour transformer la « fête du muscle » en pataquès mémorable !
On pourrait même en avoir de toutes les couleurs…
D’autant que si ça avait chauffer en 1998 et pour la finale européenne du ballon rond, la coupe du monde de l’ovalie n’aura pas été un bon cru pour les fouteurs de bordel : Ils ont manqué à leurs ambitions.
Ils pourraient avoir envie de se rattraper pour ne pas faiblir leur réputation…
 
Si avec ça on nous rajoute quelques patrons de PME-TPE et PMI en colère et au bord de la ruine, ce serait le bonheur.
Le tableau serait complet si, soit dans les transports, publics, privés, comme dans les « éf-forces-publiques », soit les poubelleurs, ou les services de soins et de sécurité, sinon le personnel du tourisme, les aiguilleurs du ciel et leurs collègues du personnel technique navigant (les pilotes ou seulement les PNC, les hôtesses) venaient à se joindre à la « grande-festia ».
Que l’on peut très bien envisager également d’accompagner toute ce joli monde par quelques « Bonnets-rouges », plusieurs « gilets-jaunes », un grand nombre de convois de tracteurs (et encore, je ne vous parle pas de la « Manif’ pour tous »), deux ou trois équipes de « Black-Bocks » défoncés à la mauvaise « m… », et quelques équipes de casseurs-rappeurs venus de nos go-zones, que ça devrait faire l’affaire.
 
Si en plus on se paye quelques « incidents techniques » indépendants de « notre volonté », ça sera la cerise sur le pancake.
Je n’ose d’ailleurs même pas imaginer quelques djihadistes venus jusque sur les bords de « Seine-sur-Paris-Olympique » soutenir la cause palestinienne, mais pourquoi pas : Car je suppute que nos « sinistres » de la sécurité « tous azimuts » et y compris au-delà des sites des épreuves (et même de nos frontières) et leurs services ne se laisseront pas déborder si facilement…
 
Comme je dis toujours, qui vivra verra, parce que la suite est à suivre…
Même si je serai déjà en Balagne (Corsica-Bella-Tchi-tchi) pour suivre et me tenir informé… avec la presse locale (celle qui arrive livrée par les corbeaux locaux, jamais pressés…)
On en reparlera à la rentrée de septembre, seulement si je reviens…
Mais je compte bien revenir, cette année : Je marie « ma Nichée » le mois suivant !
Pas question que je loupe ça, tout de même !
Ça lui ferait de la peine…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org) 

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