Jean-Paul découvre les contraintes physiques
« Si après une gueule de bois, la brosse à dent ne rentre pas dans
la bouche,
C’est que c’est une brosse à cheveux ! »
Jean-Paul, un peu frustré :
« J’aime bien plaire…
Mais je suis quand même dégouté que ce soit
un radar qui ait flashé sur moi ! »
Le même à Jean-Marc, un peu colère…
« — Tu me dis que mes blagues sont parfois de mauvais goût…
— Oui, parfois…
— Mais je ne t’ai jamais forcé à les avaler, dis donc ! »
Germaine fait une confidence à Marie-Chantal :
« — J’ai un truc entre mes seins que je n’avais pas quand j’étais plus jeune…
— Ah oui ? Et c’est quoi ?
— Mon nombril… »
Jean-Marc demande un service à Jean-Paul :
« — Peux-tu me prêter ta moto ?
— C’est
pour aller loin ?
— Pourquoi
tu veux savoir ?
— Parce
que si c’est pour aller loin, ça ne sera pas possible !
— Non,
non, rassure-toi, ce n’est pas très loin, je t’assure.
— Alors,
dans ce cas, vas-y à pied ! »
Jean-Marc qui drague en boîte :
« — Dis donc ma belle, si tu
déchiffres l’énigme du soir, tu gagnes une nuit d’amour torride…
— Hum…
C’est quoi ta devinette ?
— Difficile…
— Vas-y,
dis toujours !!!
— Quel
est l’animal qui a quatre pattes, une queue poilue et qui miaule ?
— Hum…
difficile effectivement…
— Alors ?
— Alors
je dirai un crocodile !
— Non
mais ce n’est pas vrai ! Quelle chanceuse tu fais : c’est la bonne
réponse ! »
Jean-Charles papote avec Jean-Guy…
« — Fais chier… Le week-end est déjà terminé !
— Je
dirai même plus que demain, c’est déjà lundi… »
Jean-Marc qui les écoutait râler conclue :
« Non mais de quoi vous vous plaigniez, les vieux chnoques :
Vous êtes à la retraite oui ou non ? »
Jean-Paul, devant une bière, à Jean-Marc :
« — Tu sais, ce matin on m’a dit de passer une bonne journée…
— Très
bien…
— Non
mais tu ne te rends pas compte !!!
— De
quoi ?
— Je
ne comprendrai jamais que des gens te disent quoi faire à ta place…
— …
— Je
fais ce que je veux et que comme je le veux ! »
Leur quart d’heure « politique », commentant les récentes jacqueries
paysannes :
« — Finalement, et pour conclure, ce sont des paysans qui demandent du blé à des fumiers pour ne pas être sur la paille…
— C’est un peu ça ! »
De Dumè :
« Le FNLC annonce des actions fortes pour la chandeleur :
On va faire sauter des crêpes ! »
En parlant de crêpe, petit résumé de la recette, au whisky de Jean-Marc :
— Préparez la pâte.
— Buvez un fond de whisky
pour vérifier qu’il n’est pas éventé.
— Faites chauffer la poêle.
— Buvez encore deux lampées
de whisky pour vérifier qu’il est toujours bon.
— Ménagez une cuillère avec
la pâte.
— Vérifiez 3 whiskys encore
à buver…
— Mettez un peu de poêle dans
la pâte.
— Patelez bien l’étale.
— Cherchez une autre wouteille
de biskys…
— Crêpez la tourne.
— Vérifier le contenu de la
noubelle nouteille.
— Faites cuire le biscuit
encore une putute minite.
— Sortez la poêle de la
crêpe.
— La crêpe relevez de la
plancher.
— Verser du bisky sur pête.
— Beurrez du mettre cure de
la sêpe.
— Crêpez le sucre et
arrosez avec le reste de la vouteille.
— T’es la mable et voilà…
Jean-Marc se fait philosophe devant sa bière.
« — Tu sais, Jean-Paul…
— … Hum ?
— Quand
tu entends un bruit suspect la nuit quand tu as 5 ans, tu sais que c’est un
monstre.
— Oui,
oui !
— À 16
ans, c’est sûrement ta mère.
À 30 c’est un voleur.
Mais à 50, c’est forcément ton genou… »
À l’école :
« — Qu’y a-t-il après 69 ?
— 70,
M’dame !
— Alors
pourquoi tu as écrit ‘‘cracher les poils’’ ? »
Jean-Marc me demande de vous signaler que si les tôles ondulées,
Les vaches aussi !
Germaine se promène en forêt avec Marie-Chantal…
Elles se perdent et Marie-Chantal lui dit :
« — Appelle donc ton mari et dis-lui que nous sommes perdues : Pour une fois il va pouvoir servir à quelque chose…
— Tu
as raison… Je ne savais pas qui emmerder aujourd’hui, grâce à toi, je vais
réparer ça… »
Et elle se saisit de son téléphone portable et appelle Jean-Marc
:
« — Allo, chou !
— Oui…
— Voilà,
c’est moi et je suis avec Marie-Chantal…
— Oui…
et alors ?
— Nous
nous promenions en forêt et nous nous sommes perdues…
— Allons
bon… une fois de plus !
— Oui,
bon, on ne le fait pas exprès non plus. Peux-tu venir nous chercher ?
— Bien
sûr !!! Vous êtes où ?
— Euh… À côté d’un arbre… »
À propos d’arbre, Jean-Paul interpelle Jean-Marc :
« — Connais-tu le meilleur moyen d’échapper à une attaque de requin ?
— Non…
C’est quoi ?
— Tu
grimpes à un arbre !
— T’es con ou quoi, toi ? »
Dans leur intimité, Germaine avec Jean-Marc :
« — Tu te souviens le jour où tu m’as demandée en mariage ?
— Oh
oui !!!
— Je n’ai
pas plus parler pendant une heure, tellement j’étais émue…
— La
plus belle heure de ma vie ! »
Germaine et Marie-Chantal, philosophant devant une tasse de thé et
quelques madeleines :
« — Tu sais, un homme, c’est comme un radiateur, finalement…
— Comment
ça ? Ça tient chaud ?
— Pas
seulement… Quand c’est pas purgé de temps en temps, ça fonctionne mal ! »
Les mêmes, un peu plus tard…
« Tu sais, le fait que les méduses aient survécu durant 650 millions d’année sans cerveau…
Eh bien ça donne de l’espoir à de nombreuses personnes ! »
Jean-Paul à Jean-Marc :
« — Super bonne nouvelle mon pote !
— Quoi ?
— Je
viens d’apprendre que j’ai gagné à la loterie le super-gros lot.
— Ah
oui ?
— Je n’ai
pourtant pas joué, mais le courriel de mon avocat ivoirien est absolument formel ! »
Deux malfrats :
« — Tu fais dans quoi, dans la vie ?
— Je fais
dans le trafic d’organes !
— Oh
mon dieu !!! Le trafic d’organes. Mais tu n’as pas de cœur !
— C’est
une critique ou c’est une commande ? »
Marie-Chantal à Germaine :
« Il m’a dit : ‘‘Je peux vous faire la cour ?’’
Je lui ai répondu : ‘‘Bien sûr ! Je vais vous
chercher un balai ! »
Jean-Marc, devant une bière en compagnie de Jean-Paul :
« Hier je me suis disputé avec ma voisine du 6ème
étage.
Cette abrutie m’a bloqué Facebook et WhatsApp.
Alors ce matin, pour me venger, je lui ai bloqué l’ascenseur… »
Jean-Richard se joint à Jean-Marc et Jean-Paul en terrasse de café :
« — Cette fois c’est fait !
— Quoi
donc… ?
— J’ai
décidé de quitter ma meuf ! Bien débarrassé !
— Ah
bien ! Et pourquoi ?
— Non
mais tu ne te rends pas compte…
Cette fois-ci, c’est allé trop loin !
Elle s’est permise de jeter toutes mes affaires dans la rue par la fenêtre et en plus, comble du comble, elle a changé les serrures !
— Dingue… »
Plus tard, les mêmes, devant une bière fraîche :
« — Vous savez, l’univers est composé de protons, de neutrons et d’électrons…
— … Et
en majorité de couillons… »
Les mêmes, un peu plus avinés. Le ton monte :
« — T’es con toi ! T’es vraiment con ! C’est pas possible ce que t’es con ! J’ai jamais vu un con pareil !
Tiens, c’est simple, s’il existait un concours de cons, tu
finirais deuxième !
— Pourquoi deuxième ?
— Parce que t’es trop con pour finir premier ! »
Conjuguez donc :
Je bordelise,
Tu bordelises,
Il/elle bordélise,
Nous bordelisons
Vous bord’Élysée…
« Un pinailleurs n’est pas forcément un homme infidèle… »
Plus tard :
« Le problème avec la jeunesse d’aujourd’hui…
C’est surtout que je n’en fais plus partie ! »
Jean-Paul se fait draguer :
Elle : « J’ai un faible pour les hommes qui ont beaucoup souffert dans la vie… »
Lui : « Moi, j’ai déjà été marié une fois ! »
Jean-Marc à Germaine :
« — T’ai-je déjà dit que tu cuisinais
bien ?
— Non, jamais !
— Alors… Pourquoi tu continues ? »
Bon début de week-end (ce soir) à toutes et à tous !
I3
Pour
mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ
RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE «
NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
« J’aime bien plaire…
« — Tu me dis que mes blagues sont parfois de mauvais goût…
« — J’ai un truc entre mes seins que je n’avais pas quand j’étais plus jeune…
« — Fais chier… Le week-end est déjà terminé !
« — Tu sais, ce matin on m’a dit de passer une bonne journée…
« — Finalement, et pour conclure, ce sont des paysans qui demandent du blé à des fumiers pour ne pas être sur la paille…
— C’est un peu ça ! »
« Le FNLC annonce des actions fortes pour la chandeleur :
— Préparez la pâte.
Mais à 50, c’est forcément ton genou… »
« — Qu’y a-t-il après 69 ?
Elles se perdent et Marie-Chantal lui dit :
« — Appelle donc ton mari et dis-lui que nous sommes perdues : Pour une fois il va pouvoir servir à quelque chose…
« — Allo, chou !
« — Connais-tu le meilleur moyen d’échapper à une attaque de requin ?
« — Tu te souviens le jour où tu m’as demandée en mariage ?
« — Tu sais, un homme, c’est comme un radiateur, finalement…
« Tu sais, le fait que les méduses aient survécu durant 650 millions d’année sans cerveau…
« — Super bonne nouvelle mon pote !
« — Tu fais dans quoi, dans la vie ?
« Il m’a dit : ‘‘Je peux vous faire la cour ?’’
Alors ce matin, pour me venger, je lui ai bloqué l’ascenseur… »
« — Cette fois c’est fait !
Elle s’est permise de jeter toutes mes affaires dans la rue par la fenêtre et en plus, comble du comble, elle a changé les serrures !
— Dingue… »
« — Vous savez, l’univers est composé de protons, de neutrons et d’électrons…
« — T’es con toi ! T’es vraiment con ! C’est pas possible ce que t’es con ! J’ai jamais vu un con pareil !
— Pourquoi deuxième ?
Je bordelise,
Tu bordelises,
Il/elle bordélise,
Nous bordelisons
Vous bord’Élysée…
« Le problème avec la jeunesse d’aujourd’hui…
Elle : « J’ai un faible pour les hommes qui ont beaucoup souffert dans la vie… »
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
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