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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 27 mars 2024

Attentat à Moscou : C’est la suite qui va être intéressante…

Et déjà, des hypothèses « complotistes »…
 
Dans ces cas-là, je me pose toujours (enfin…, fréquemment) la question de savoir ce qu’on bien vouloir nous faire avaler.
La communication est révélatrice de ce qu’elle veut cacher, un peu comme la publicité : Quand on vous vante un produit, un shampoing, une voiture, des vacances en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » par écrans interposés ou affiches dans les « métros-bus », c’est que ça ne se vend pas, qu’il reste des rossignols sur les bras, ou que les réservations dans les campings n’ont même pas l’étiage de la saison précédente…
Et inversement : Vous avez rarement de la pub pour le Nutella, qui se vend sans effort, pour de la moutarde (même quand on n’en avait plus) ou le château de Versailles, voire la visite du bureau privatif de Gustave Eiffel au troisième étage de sa tour parigote (olympique) qui se vendent tout seul.
J’espère que vous en conviendrez.
Il faut dire que j’étais un peu « un spécialiste » du décryptage des rapports annuels d’activité d’entreprise : Certifiés par les commissaires aux comptes, ce qui comptait c’est ce qui n’était pas dit !
 
Donc, la question du jour, après cet horrible attentat à Moscou, capitale de la « Sainte-Russie-éternelle » (et pas olympique du tout pour une fois), c’est quelles sont les tendances qui ressortent, alors que tout le monde sait à peu près tout sur tout quant aux terroristes (puisqu’ils ont été arrêtés) et de leurs motivations.
Eh bien, je ne suis pas vraiment déçu…
 
Rappel des faits (incontournables, ceux-là) : Vendredi 22 mars vers 20 heures, heure locale à Moscou, quatre terroristes (quatre, pas plus alors que les autorités locales auront arrêté 11 personnes, comme quoi, elles en savaient plus que ce que les caméras de surveillance voulaient bien montrer…) armés de fusils-mitrailleurs et de grenades incendiaires pénètrent dans une salle de concert, le Crocus City Hall.
Celle-ci est située dans la ville de Krasnogorsk, en banlieue de Moscou, à 20 kilomètres au Nord-ouest du centre de la capitale russe.
Là, 6.000 personnes s’étaient déplacées pour assister à un concert du groupe de rock Piknik.
À peine entrés, les terroristes abattent des agents de sécurités et tirent sur la foule.
La fusillade durera une vingtaine de minutes, puis, aussi incroyable que cela paraisse, ils s’enfuient.
Au Bataclan, au moins, il y avait des flics et même des patrouilles de l’armée : Toute fuite aurait été impossible.
Idem au Stade de Gauloisie-olympique, et dans les rues assaillies le même soir.
Le bilan moscovite est pour le moment de 137 morts et 180 blessés.
79,25 victimes par assaillant en 20 minutes : Ils auront épuisé leur stock de munitions, parce que ce « score-là », plus de 15 victimes par minute, ça fait mal…
Il s’agirait de la plus grosse attaque terroriste sur le sol russe depuis vingt ans.
 
Selon la chaîne Telegram Mash, la sécurité n’aurait opposé aucune résistance. Les détecteurs de métaux ne fonctionnaient pas, les issues de secours étaient fermées et les terroristes ont réussi à pénétrer dans la salle de concert, tirer sur les spectateurs avant de mettre le feu à la salle dont le toit s’est effondré.
Bon, ils ont eu la tâche plutôt facile finalement, et si quelques héros sortis de l’anonymat n’avait pas réussi à faire évacuer des gens, le bilan aurait pu être encore beaucoup plus lourd…
Et d’après d’autres informations, les forces de sécurité et les secours sont intervenus à peu près une heure plus tard et sont parvenus à éteindre le feu au bout de dix heures d’efforts.
Pas très rapides…
 
Peu après les faits, les Russes, notamment par l’intermédiaire de leur ex-président-marionnette, « Dimitri-Mevdevdev », également vice-président du Conseil de sécurité de Russie, celui qui menace régulièrement notre « Jupiter » National, son « mignon » de « premier-sinistre » et plus largement « Paris-Olympique », « La Ville-Lumière », sous-entendaient déjà que l’Ukraine était susceptible d’avoir perpétré cette attaque : Tellement logique quand on est paranoïaque !
Mais cette accusation a aussitôt été démentie par « Mykhaï-l’eau-pot-et-au-dodo-niak », l’un des conseillers du président ukrainien « Volvo-dit-mire-Z’aile-en-ski ».
Évidemment : Pour une fois qu’ils n’y sont pour rien… D’habitude, ils ne disent rien quand un dépôt de carburant, une raffinerie, un pont, un navire, un QG opérationnel saute bêtement…
Et dans la soirée Daech revendiquait cet attentat sur son compte Telegram, et plus précisément sa branche afghane, active en Asie centrale, l’État islamique au Khorassan (EI-K).
Croyez-vous que ce soit suffisant pour faire cesser toute exploitation hasardeuse de cette horreur ?
Eh bien pas du tout !
 
C’est au matin du samedi 23, que mon pote « Alex-Bord-nique-off », le directeur du FSB, le renseignement intérieur russe, l’équivalent de feux nos Renseignements généraux (absorbés par la DGSI, notre FBI à nous), qu’il annonçait l’arrestation de onze suspects dont les quatre assaillants, dans la région de Briansk, frontalière avec la Biélorussie et l’Ukraine, à plus de 300 kilomètres au Sud de Moscou.
Le même jour « Vlad-Poux-tine » sort enfin de son silence pour prononcer une allocution télévisée dans laquelle il ne fait aucunement référence à la revendication du groupe État islamique… (Autiste, lui aussi ? On le savait Asperger, mais tout de même… ce serait par conséquent évolutif !)
Mais, sans accuser directement Kiev, le président de toutes les Russies indique tout de même que les quatre suspects « se dirigeaient vers l’Ukraine », afin de retrouver des contacts censés les aider à passer la frontière.
Passer une frontière où se déroulent encore des combats, franchement, ce n’est pas l’idée lumineuse du siècle, mais passons : Là, il n’y a rien d’autre que la route de Kiev, ou alors il faut passer par la Biélorussie voisine…
 
Ce qui est curieux, c’est que selon les secouristes intervenus la veille auprès des nombreux blessés, les suspects seraient des étrangers. Et d’après le député « Alex-Jhing-Stein », ils seraient tous originaires du Tadjikistan, une république d’Asie centrale qui n’est pas dans la direction qu’ils prennent.
Ou alors, leur chemin passe aussi par Ankara et par ailleurs…
Enfin, en début de soirée du 23 mars, la chaîne Pervy Kanal montrait des images des suspects en train d’être gentiment interrogés et de reconnaître tranquillement leur culpabilité, sans revendication religieuse…
Affaire pliée ?
Que vous crûtes crussiez !
 
Car on les laisse fermenter du ciboulot 48 heures, et ils nous en lâchent plein.
D’abord, que le groupe islamiste veut fonder un califat s’étendant de l’Iran à l’Afghanistan en passant par des républiques d’Asie centrale.
Connu pour ses actions d’une violence inouïe (attentat de début janvier en Iran…), l’EI-K aura accentué sa propagande antirusse depuis deux ans : Il reprocherait au Kremlin son intervention de 2015 en Syrie, où il avait combattu puis défait l’organisation État islamique, mais aussi les interventions russes au Proche-Orient, en Afrique, et son historique d’oppression et de violence contre les peuples musulmans.
Un classique théologico-politique…
Sauf que si Daech a par le passé revendiqué des attentats qu’il n’avait pas commis, ses attaques contre la Russie, facilitées par la présence dans ses rangs d’anciens moudjahidines des républiques d’Asie centrale et du Caucase, n’ont rien de nouveau.
 
En octobre 2015, un avion commercial transportant des vacanciers russes a explosé au-dessus du Sinaï, en Égypte (vous vous souvenez, c’est ce qui a poussé « Poux-Tine » à intervenir en Syrie), avec 224 passagers à bord.
En 2017, un attentat à la bombe dans le métro de Saint-Pétersbourg avait causé la mort de quinze personnes et en blessait cinquante-trois autres.
En septembre 2022, l’ambassade de Russie en Afghanistan à Kaboul était la cible d’un attentat-suicide.
Enfin, le 7 mars 2024, le FSB annonçait avoir déjoué un projet d’attentat contre une synagogue dans la région de Kalouga, près de Moscou, comme je vous le rapportais hier.
D’ailleurs, le lendemain, l’ambassade des États-Unis en Russie recommandait à ses ressortissants d’éviter tous les lieux publics et les grands rassemblements comme les concerts, possibles cibles d’attaques par des extrémistes : Ils avaient eu le nez fin !
D’après CNN, le renseignement américain aurait alerté les Russes à plusieurs reprises sur la possibilité d’attaques de la part de l’EI-K.
Le mode opératoire, les « signaux » repérés par les Américains, la nationalité supposée des suspects, les précédents, la situation très ambigüe de la Russie vis-à-vis du monde musulman et du terrorisme islamiste en général, tout ceci pointerait vers l’EI-K.
 
Personnellement, je reste persuadé qu’il est nettement plus cohérent d’admettre que les services de renseignements US ont depuis belle lurette les moyens de « tracer » tous les quidams qui se promènent à la surface de la planète et d’en déduire ce qu’ils y font et y préparent…
On nous l’avait annoncé dans quelques fictions cinématographiques d’anticipation il y a une bonne dizaine d’années, sinon plus, ça a été même l’objet d’une série télévisée qui aura eu le temps de parvenir jusqu’en « Gauloisie-olympique » du doublage et encore, dans la foulée, notre « premier sinistre », « Gaby-le-magnifique » aura avoué à la face du monde que, sans bruit, nos propres services de sécurité auront empêché 45 tentatives d’attentat depuis l’élection de « Jupiter » en 2017, et encore 2 dans le mois dernier…
On compterait ainsi sur le territoire une tentative d’attentat terroriste déjouée tous les 15 jours, et, pour ma part, j’en compte déjà une bonne soixantaine « connue » depuis 2015.
Alors ne me dites pas que tout d’un coup nos flics tricolores seraient devenus super-intelligents sans disposer d’une « boule de cristal » qui lit mieux les projets djihadistes que la météo ne lit les nuages et les isobares…
Quitte à croire à des sornettes, faites donc votre choix : Moâ, j’ai fait celui que la raison me commande[1] !
 
Ce n’est pas tout : Depuis deux ans, l’Ukraine a mené de nombreuses opérations clandestines sur le territoire russe, dans le Donbass et ailleurs, en ne les revendiquant jamais ou presque : Attentat à la voiture piégée qui coûta la vie à Daria Douguina (la fille du gourou de « Poux-tine », dit le « mage du Kremlin »), le 20 août 2022 près de Moscou, nombreux assassinats ciblés menés par les forces d’opérations spéciales (SSO) ou par le renseignement militaire.
On fait même circuler, de « sources sûres », le bruit que le pays serait à l’origine du sabotage des gazoducs Nord Stream en août 2022, etc. même si on ne sait toujours pas comment avec des matériels de pointe qui traversent l’Europe et en principe ne passent pas inaperçus, mais qu’on n’a toujours pas ni identifié ni localisé…
 
Or, si le Kremlin et les nationalistes russes vont tout essayer pour impliquer les Ukrainiens dans cet attentat, ceci semble difficile à croire. En effet, jusqu’à maintenant, toutes les attaques ukrainiennes ont été très ciblées : Traîtres à la patrie, ultranationalistes anti-ukrainiens, officiers supérieurs, installations, infrastructures, etc.
Pourquoi risquer de perdre du jour au lendemain le soutien occidental en assassinant des dizaines d’innocents et en suivant un mode opératoire typique du terrorisme islamiste, probablement le dernier ennemi commun des Russes et des occidentaux ?
 
Par ailleurs, dans les délires complotistes, on peut également et naturellement penser aux attentats à la bombe contre des cibles civiles, comme ceux qui ont eu lieu entre le 31 août et le 16 septembre 1999 : Responsables de plusieurs centaines de morts sur une période de deux semaines, les attaques furent à l’origine de la seconde guerre de Tchétchénie puis de l’accession de « Vlad-Poux-tine » à la présidence quelques mois plus tard.
Bien que ceci ait toujours été nié par les Russes, il est maintenant admis que les attentats ont été organisés par le Service fédéral de sécurité (FSB), le renseignement intérieur russe, afin de provoquer un émoi populaire et subséquemment une nouvelle intervention militaire dans la petite république du Caucase. Ainsi, « Gué-m’a-dit-C’est-les-niovs », président de la Douma à l’époque, aurait mentionné l’un des attentats trois jours avant qu’il ait lieu et des agents du FSB ont été arrêtés avec des colis piégés par la police locale à Ryazan, avant d’être libérés.
Pourquoi pas également cette fois-ci alors que « Poux-tine » vient de se faire réélire avec un score d’empereur africain ?
En effet, selon des sources à Kiev, cette hypothèse serait privilégiée par le renseignement ukrainien.
Pourquoi ?
 
Bé d’une part l’absence de sécurité dans le Crocus City Hall (bien que situé en dehors de Moscou, une des cibles évidentes de la grande banlieue pour une attaque terroriste), d’autre part la lenteur relative des forces de l’ordre pour se rendre sur les lieux (on sait que c’est le foutoir en Russie, mais tout de même…), la facilité avec laquelle les suspects ont fui dans une Renault blanche et fait plus de 300 kilomètres sur une route en principe étroitement surveillée, l’absence supposée de résistance lors de leur arrestation une attitude atypique pour des « martyrs » du groupe État islamique.
Tout cela est effectivement suspect au plus haut point…
 
Mais dans ce cas, pourquoi ? Quel serait le mobile ?
Eh bien peut-être galvaniser la population russe et justifier des actions encore plus violentes contre l’Ukraine.
Sauf qu’à peine réélu avec 87 % des voix, le tsar « Vlad-Poux-tine 1er » a-t-il vraiment besoin d’assassiner plus de 130 de ses concitoyens pour justifier des attaques encore plus brutales contre le pays avec lequel la Russie est maintenant officiellement en guerre ?
À moins que le président russe prépare un autre grand coup, par exemple une mobilisation générale ou partielle, et ait besoin de la soumission absolue de la population…
Une hypothèse à suivre mais qui n’aura probablement pas lieu, en tout cas pas tout de suite : Parce que si la Russie se porte bien, paraît-il, elle est en réalité devenue une grande malade économique…
Elle pourrait basculer vers la ruine et l’inflation fatale en cas de mobilisation générale.
 
Dans l’esprit du moment, on peut toutefois penser que l’EI-K responsable de l’attentat, le FSB aurait su ce qu’il allait se passer et aurait décidé de laisser faire… C’est la combinaison de deux hypothèses précédentes avec l’alternative d’une opération sous faux drapeau.
Ici, le renseignement russe aurait été opportuniste et laissé faire des terroristes afin de maintenir la population russe sous sa coupe, tout en accusant les Ukrainiens et en arrêtant les coupables très rapidement.
Mais il existe encore une autre sous-hypothèse, également impossible à vérifier, mais qui apporterait un éclairage encore très différent sur la situation en Russie : Celle où le FSB aurait su mais décidé de laisser faire, non plus par opportunisme mais au contraire afin de contrarier le régime, en révélant sa faiblesse au grand jour !
Et ça, c’est intéressant…
 
Car si c'était le cas, cela pourrait évidemment indiquer que la mainmise du « Tsar Vlad-1er » sur le pouvoir ne serait pas aussi ferme que ce qu’il souhaiterait démontrer.
Et dans les deux cas, il existe aussi des précédents : Ainsi, début mars 2022, quelques jours après le commencement de la guerre en Ukraine, le FSB aurait livré les positions de combattants tchétchènes aux services secrets ukrainiens, conduisant à leur annihilation.
 
Mais si l’on se fie à l'hypothèse la plus vraisemblable, celle d’une attaque de l’EI-K, le FSB aurait encore failli dans sa mission de protection de la population russe.
Il aurait ignoré les avis des Américains et manqué les signaux évidents manifestés par l’EI-K, tels que le projet d’attentat contre la synagogue déjoué le 7 mars dernier : Car tous les efforts du FSB ont été redirigés sur l’Ukraine ou au contrôle de la population russe, au détriment de la lutte antiterroriste !
L’attaque serait ainsi donc le prix à payer d’une guerre absurde contre un pays européen qui ne représentait pas de menace militaire contre Moscou.
 
Ce qui reste certain, c’est que le renseignement américain, comme il l’a démontré avant la guerre et depuis le début de l’opération militaire spéciale, est devenu un expert incontournable dans l’identification et l’interprétation des « signaux faibles ».
Dans cette hypothèse, il est fort probable que la surveillance électronique américaine ait intercepté des conversations et en ait partagé des éléments avec leurs homologues du FSB.
Les Russes, à commencer par « Poux-tine », ont voulu ignorer leurs avertissements mais à leurs dépens.
 
Autre enseignement de l’épisode, c’est qu’en dépit d’un appareil sécuritaire de près de 3 millions de militaires, miliciens, policiers, la Russie reste donc une puissance extrêmement fragile, susceptible de vaciller à tout moment.
Après la mutinerie de « Gégène-Pris-go-Gin », l’attentat de Moscou, il y aura encore d’autres évènements qui suivront.
C’est désormais une certitude.
Et d’après d’autres sources, le renseignement ukrainien considère que les prochains jours vont infirmer ou pas leur hypothèse de travail.
À savoir que si les Russes augmentent l’intensité et la violence de leurs actions contre les populations civiles ukrainiennes (probablement dans le but de casser le moral de la population et de conduire les autorités de Kiev à accepter un cessez-le-feu défavorable), les Ukrainiens seront convaincus qu’il s’agissait d’une opération sous fausse bannière et que tout avait été préparé d’avance.
Ou, si la guerre revient à la « normale », ils souscriront probablement à l’hypothèse des Occidentaux, une attaque de l’EI-K « ratée » par le FSB (déjà coutumier de nombreux ratés depuis deux ans) et immédiatement récupérée par la propagande du Kremlin, pour à la fois blâmer les Ukrainiens et masquer leur incompétence.
C’est donc « à suivre », une fois de plus…
 
Enfin, soulignons pour tous ceux qui doutent de l’hypothèse EI-K en raison des conditions d’appréhension des suspects et de leur profil, il y a une réponse toute simple : Il est possible que les vrais auteurs de l’attentat aient disparu et que, pressés de montrer des résultats le plus vite possible, le FSB ait « trouvé » des suspects « maison ».
Et ce, pour deux raisons : Afin de paraître moins incompétents et ensuite afin de tisser un lien entre les soi-disant terroristes et les Ukrainiens pour faire rejaillir la faute sur Kiev.
Là encore, il existe des précédents.
 
Comme vous le voyez donc, cet épisode reste passionnant, et s’il n’avait pas fait plus de 300 victimes, morts ou souffrant dans leur chair, on pourrait presqu’en rire tellement tout cela frise le ridicule…
On verra bien tôt ou tard également à qui profite ce crime. Mais, hélas, sûrement pas à ceux qui sont tombés presque par hasard…
Mais c’est le propre de la guerre : Sort heureux ou sort funeste, personne ne choisit…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)
[1] Et j’en fais même des romans : La série « Les enquêtes de Charlotte », liens en colonne de droâte sur ce blog pour des bouquins édités, ou à gôche pour l’accès aux divers sommaires desdits opus en ligne…

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