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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 8 mars 2024

Petite annonce de Jean-Paul…

Pantouflard cherche charentaise pour prendre son pied.
 
Marie-Chantal, attablée dans un salon de thé avec Germaine :
« En fait, je cherche un homme, un vrai.
Un qui rentre le soir et tape du poing sur la table en disant : Chérie, remplit l’évier d’eau chaude. 
Je vais faire la vaisselle ! »
 
Jean-Marc : « Quelle différence y’a-t-il entre exciter et énerver ? »
Germaine : « Il y a 20 ans, tu m’excitais. Aujourd’hui tu m’énerves ! »
 
Germaine : « Tu as vu le voisin ? »
Jean-Marc : « Quoi ? Eh bien, qu’est-ce qu’il a ? »
Germaine : « Tous les matins en partant au travail, il embrasse tendrement sa femme… »
Jean-Marc : « Oui, bon bé alors ? »
Germaine : « Tu pourrais en faire autant ! »
Jean-Marc : « Mais tu sais… je ne la connais pas très bien, sa femme, moi ! »
 
Les mêmes alors que Germaine rame sur l’ordinateur de la maison pour passer une commande sur Internet :
Jean-Marc : « Chou ! J’ai installé une nouvelle application qui fonctionne comme le contrôle parental, mais pour les achats en ligne.
Une sorte de contrôle marital… »
 
Germaine : « Qu’est-ce qu’elle a de plus que moi cette nouvelle console ? »
Jean-Marc : « D’abord c’est une radio et ensuite elle a un interrupteur… »
 
Germaine : « Alors, elle est bien cette nouvelle série télé ? »
Jean-Marc : « Oui tu adorerais ! Dommage que tu sois occupée à la vaisselle… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, chacun devant sa chope de bière :
« Tu te rends compte, dans certain pays les hommes peuvent être mariés à plusieurs femmes en même temps…
Heureusement, en France la loi protège les hommes ! »
 
Un peu plus tard, Jean-Paul à Jean-Marc :
« J’ai le vague anal…
C’est la même chose que le vague à l’âme, sauf qu’en plus j’en ai plein le cul ! »
 
Jean-Marc à Jean-Paul :
« — Quelle est la différence entre un pilier de bar et un pilier de rugby ?
Bé… je ne sais pas : il y en a plein.
La forme du ballon suffira ! »
 
« — Sais-tu ce que c’est qu’un buceron ?
Non… Ça n’existe pas…
Pas du tout : C’est un bucheron sans hache ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc :
« — Je suis en plein burn-mars…
C’est quoi encore ça ?
C’est comme un burn-août, mais en avance…
Pfff ! On a bien raison de dire qu’il n’y a plus de saison… »
 
Germaine à un carrefour :
« Quatre points pour un feu rouge ! 
Qu’est-ce que ça veut dire, ça, Monsieur le gendarme… Vous donnez des points maintenant ?
Eh oui, et avec 12 points vous gagnez un vélo ma petite-dame… »
 
Jean-Marc et son gamin :
« — Papa…
Oui ?
C’est quoi un castrat ?
C’est un chanteur.
Et il a quoi de spécial ?
C’est un chanteur hors paire. »
 
C’est l’histoire d’une vieille dame qui se promène avec son chien.
Quand tout à coup, elle se fait agresser et voler son sac à main.
Jean-Marc ne peut pas rattraper son voleur parce qu’elle le retient en souriant.
« Merci, Monsieur ! Mais ce n’est pas grave. N’allez pas attraper un mauvais coup pour ce sac !
Je prends toujours un vieux sac avec moi pour ramasser les crottes de mon chien et les jeter à la maison… »
 
Jean-Paul, un soir, devant sa bière, à Jean-Marc :
« Je suis né sans le vouloir.
Je vais mourir sans le demander.
Alors laisse-moi boire sans m’emmerder… »
 
Le même racontant ses déboires :
« J’avais demandé sa main à son père, il m’a répondu que je devais continuer à utiliser la mienne ».
 
Germaine et sa fille :
« — Dis Maman, à quel âge j’aurai le droit de sortir le soir et de revenir quand je veux ?
Ne rêve pas : Même ton père n’a pas atteint cet âge-là ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc
« L’autre fois, au restaurant, il y avait une petite fille qui n’arrêtait pas de pleurer.
J’ai eu beau lui expliquer que ce n’est pas avec ce genre de comportement que je lui dirai dans quelle poubelle j’ai jeté son doudou, il n’y avait rien à faire : Butée la gamine ! »
 
Les mêmes, un peu plus tard :
« Tu sais, il y a des couples qui restent ensemble des années parce qu’ils ont des crédits maison, des crédits voiture, des crédits ameublement…
C’est probablement ça qu’on appelle « l’amour est dans le prêt ! ». »
 
La température aura baissé de 15 degrés en moins d’une semaine, le mois dernier :
« Bravo aux écologistes pour ces résultats concrets et rapides ! »
 
Germaine à Jean-Marc :
« — Chou ! Si je te dis que je suis encore enceinte, t’aimerais que ce soit quoi ?
Une blague ! »
 
Les mêmes :
« — Mais arrête de me demandez d’être galant avec ta mère, Germaine ! Je le suis et je lui ouvre même la porte de la voiture pour qu’elle n’ait pas à le faire…
Oui, mais, désolé, pas à 130 km/h ! »
 
Une vieille histoire qui nous revient :
C’est Jean-Marc qui roule tranquillement sur une route départementale qu’il ne connaît pas.
Soudain, au détour d’un tournant, il découvre un panneau où il est écrit « Les Sœurs Saint-François, maison de prostitution. 5 km »
Il n’en croit pas ses yeux et continue son chemin…
Deux kilomètres plus loin, s’ouvre un chemin avec un panneau orné d’une flèche indiquant de tourner à droite où il est écrit : « Les Sœurs Saint-François, maison de prostitution. 3 km »
Curieux, il tourne à droite, parcoure 3 km sur un chemin cahoteux qui mène à une grande bâtisse qui ressemble bien à un couvent et il gare sa voiture devant la porte d’entrée qui annonce fièrement sur un écriteau « Les Sœurs Saint-François, maison de prostitution ».
Il descend de son véhicule et sonne à la porte.
Celle-ci s’ouvre sur une très jolie none à la poitrine généreuse qui lui demande ce qu’il veut en ces termes :
« — Que pouvons-nous faire pour vous, mon fils ?
« — J’ai vu vos panneaux et je suis intéressé… »
« — Très bien mon fils ! » lui répond la none.
Elle ouvre la porte et dit :
« Mettez 50 euros dans cette corbeille et allez à la porte qui est au fond du couloir ! »
Jean-Marc s’exécute, met 50 euros dans la corbeille posée sur la table voisine et se dirige vers la porte au fond du couloir qu’on vient de lui indiquer…
Il l’atteint, l’ouvre et franchit le seuil de la porte…
Alors qu’elle se referme sur lui, il découvre un panneau en face de lui où il est indiqué :
« Allez en Paix mon fils : Vous venez de vous faire baiser de 50 euros par Les sœurs de Saint-François !
À bientôt… »
 
Sur la porte du voisin de Jean-Marc, celui-ci colle une affichette manuscrite :
« Monsieur, votre chien hurle à la mort quand vous n’êtes pas là ».
Le soir, il découvre que son affichette est complétée par la mention :
« Ta femme aussi quand tu n’es pas là ! »
 
Jean-Paul, légèrement éméché, demande à Jean-Marc :
« — Dis donc, tu sais ce que c’est, toi, la relativité générale d’Einstein ?
Oui… c’est simple…
Comment t’expliquer ça pour que tu comprennes…
C’est comme, par exemple, de chez moi jusqu’à ce bar, il y a 5 minutes à pieds.
Alors que du bar jusque chez moi, il y a bien 1 h 30… »
 
Jean-Marc avec Germaine :
« — Tu as eu beaucoup d’hommes ?
Cinq et avec toi ça fait six…
C’est pas beaucoup pour une femme de 50 ans…
C’est vrai que c’était une semaine plutôt calme… »
 
Jean-Paul :
« Si ta couette fait de l’électricité statique, faut pas en conclure que tu fais des étincelles au lit ! »
 
Le même :
« On n’apprécie jamais autant ce que l’on a jusqu’à ce qu’on ne l’ait plus…
Le papier toilette en est un excellent exemple ! »
 
Toujours le même, mais un peu plus tard :
« Si sucer le sein est un instinct de survie que les hommes ont appris dès la naissance, où et comment les femmes ont-elles appris à sucer un pénis ? Là ça me dépasse ! »
 
« Tu sais, » fait-il à Jean-Marc… « j’ai d’énormes courbatures aux abdominaux…
Ça m’apprendra à ramasser la télécommande sans échauffement préalable… »
 
Jean-Paul, à la drague. Il s’adresse à une fille : 
« — Tu aimes chanter ?
Oui, bien sûr ! Pourquoi ?
Parce que ça tombe bien j’ai un micro-pénis ? »
 
Jean-Marc se remémorant ce que pouvait être l’humour soviétique (d’antan) :
« Le pessimiste, c’est celui qui dit : « Ça ne peut pas être pire ».
Et l’optimiste, c’est celui qui va lui répondre : « Mais si, mais si ! ». »
 
L’un pose une question à l’autre (en fin de soirée…)
« — Dis donc, à part les zanimaux, les zoiseaux, les zéléphants, les zhommes et les zalumettes, quel autre mot commence par z ?
Zèbre, Zimbabwe…
Ah oui ! »
 
Avant de se séparer, cette évidence :
« Les filles attendent le mec parfait…
C’est la faute de Disney !
Et les mecs attendent la fille parfaite…
C’est la faute à Playboy ! »
 
Pour finir, une « revenue » :
C’est Germaine qui consulte son médecin…
« — Docteur, j’aimerais que vous fassiez quelque chose pour que mon mari soit de nouveau comme un taureau !
Facile : Déshabillez-vous ! On va commencer par les cornes ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !
Post-scriptum : Alexeï Navalny est mort en détention pour ses opinions politiques. Les Russes se condamnent à perpétuité à en supporter toute la honte !
Постскриптум: Алексей Навальный умер в заключении за свои политические взгляды. Россияне обрекают себя на всю жизнь нести весь позор!
Parrainez Renommez la rue de l'ambassade de Russie à Paris en rue Alexeï Navalny (change.org)

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