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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 15 décembre 2023

Tranches de vie…

Germaine se plaint
 
« — Cet homme, là-bas, n’arrête pas de reluquer…
— Ne t’inquiète pas Chérie », lui répond Jean-Marc, son mari.
« Ce doit être un brocanteur ! »
 
Jean-Marc et Jean-Paul, un peu plus tard, en terrasse, chacun devant une bière : « — Si un médecin doit prêter le serment d’Hippocrate, quel serment doit prêter une infirmière ?
— Celui d’Épicure, évidemment ! »
 
« Tu sais quoi, mon fils a commandé un train électrique pour Noël…
J’hésite à lui offrir le 27 décembre pour l’habituer aux retards de la SNCF.
Ou ne rien mettre sous le sapin pour qu’il intègre la notion d’annulation en raison des grèves…
Qu’en penses-tu ? »
 
« Chérie, tu pleurerais si je mourais ?
— Oh oui bien sûr chéri ! Tu sais bien que je pleure pour un rien… »
 
Le chat de la maison râle :
« Je ne peux pas grimper dans le sapin ;
Je ne peux pas casser les boules du sapin ;
Je ne peux pas faire tomber les santons de la crèche ;
Je ne peux pas jouer avec les guirlandes ;
Je ne peux pas déchiqueter les papiers-cadeaux ;
Mais c’est quoi ce Noël à la con ?! »
 
Aparté de Jean-Paul à Jean-Marc, après moult Picon-bières :
« Étrange destinée que celle de la gôche française…
Un siècle à bouffer du curée…
Pour finir pas sucer de l’iman… »
 
« — Manger chez les riches, ce n’est pas si facile…
— Comment ça ?
— Je suis allé rendre visite à une relation très riche, sise à Monaco.
Tu ne me croiras pas, mais son épouse m’a demandé si je désirais boire quelque chose. Elle me propose du jus de fruit, un soda, un thé ou un café.
Je réponds un thé.
Elle m’indique alors que je peux choisir entre un thé de Ceylan, indien, glacé ou vert.
Je lui réponds un thé de Ceylan.
Elle me dit alors noir ou blanc ?
Je préfère blanc.
Au lait ou à la crème fraîche me questionne-t-elle.
Au lait Madame…
Au lait de vache ou de chèvre ?
De vache dis-je.
Vache d’Afrique ou d’Europe ?
Hum… d’Afrique !
Avec du sucre ou du miel ?
Avec du sucre, Madame…
Du sucre de canne ou de betterave ?
De canne, naturellement s’il vous plait…
Sucre blanc ou brun ?
C’est très gentil, Madame. Donnez-moi plutôt un verre d’eau du robinet, ce sera plus simple… »
 
« Il y a une phrase qui m’énerve particulièrement, » annonce Jean-Paul tout de go.
« — Laquelle ?
   C’est quand on te dit qu’il faut toujours prendre le bon côtés des choses.
Genre, tu tombe dans un escalier et tu vas dire : Cool, je suis déjà en bas ! »


« Tu sais, un jour on rencontre une personne sans même le vouloir.
Et contrairement à ce qu’en chante Florent Pagny, elle devient la plus belle histoire konnerie de ta vie ! »
 
« — Je te rappelle que Victor Hugo a dit que si l’homme descend bien du singe, certains descendent plus vitre que d’autres…
Tu dis ça pourquoi ?
Pour rien… C’est un constat de pure forme… »
 
« Tu sais Jean-Paul, j’ai vu un vieil homme qui parlait à son chien, comme si son chien le comprenait…
   De la semoule dans le crâne, ton gâteux.
   J’en suis bien d’accord. J’ai raconté ça au chat de la maison.
Il a tellement ri… »
 
« Savais-tu que pour protester contre l’absurde guerre pain au chocolat/chocolatine, le chausson aux pommes à décider de se rebaptiser pantoufle aux pommes ! »
 
« — Tu as préparé des cartes de vœux ?
   Non, et toi ?
   Pas plus mais mes ustensiles sont déjà près !
   Ah ?
— Mais oui : Ils souhaitent tous une excellente à toutes les femmes, sans lesquelles ils n’existeraient !
   Ah oui ?
Et c’est signé : L’aspirateur, l’éponge, le Paic-citron, le fer à repasser, la paille de fer, Moulinex, le balai et la serpillière, le four et la cuisinière, plus belle la vie les Marseillais à Miami, les carrossiers, les cartes bleues, Zara, la mauvaise foi, les psys et les forfaits téléphoniques…
   Ah oui, ça fait du monde… »
 
« — La vie de couple, c’est simple, ça se fait à deux !
   Je n’en doute pas.
— Elle décide, tu acceptes,
Elle parle, tu écoutes,
Elle se trompe, tu t’excuses. »
 
 
Il est plus de minuit.
Les étoiles dans le ciel.
La température est douce et dans le fond d’un parc désert, une jeune fille est assise sur un banc tandis que son fiancé, agenouillé devant elle, à la tête enfouie dans ses jupes.
Soudain elle lui murmure : « Enlèves tes lunettes, elles me font mal ! »
Le garçon les retire et replonge dans ses jupes.
Quelques instants plus tard la fille lui dit : « Remets tes lunettes ! Tu es en train de lécher le banc »!
 
« Une femme ne s’excuse jamais, tu sais…
Elle se couche nue à côté de toi et te laisse décider si tu es toujours fâché ou non. »
 
« Si une femme t’attaque au couteau, reste calme.
Sors le pain, le beurre et le jambon.
Son instinct de femme prendra le dessus et elle te fera un délicieux sandwich ! »
 
C’est l’histoire d’un délégué CGT, pas content, qui gueulait : « Les chefs, c’est comme les poils ! J’en ai plein le cul ! »
Son patron qui passait par là répond : « Les primes, c’est comme les couilles ! Elles sont suspendues ! »
 
Entretien d’embauche de la secrétaire de Jean-Marc :
« — Vous avez une lettre de motivation, mademoiselle ?
Oui ! Le « Q » me motive beaucoup ! »
 
« Mais patates sont certainement mieux sautées que beaucoup de personnes râleuses… »
 
« — Il paraît qu’avoir une conversation de 5 minutes avec une femme donne aux hommes une meilleure santé mentale…
   Peut-être… Mais encore faut-il pouvoir en placer une… ! »
 
Jean-Marc raconte à Jean-Paul.
« À l’église, dimanche dernier, il y avait une femme qui a allumé sa clope !
Ça m’a tellement choqué que j’ai failli en laisser tomber ma canette de bière ! »
 
Deux bébés à la crèche…
« — Pourquoi tu fais la gueule ?
— Maman a refusé que je tète ses seins, pourtant, Papa et le voisin le font encore… »
 
« — Tu es jolie en débordeur, tu sais !
— On ne dit as « débordeur » mais débardeur…
— Ah bon… Pourtant il y a tout qui déborde ! »
 
Jean-Marc, préparant Noël, entre dans la boutique d’un parfumeur.
« — Je cherche un déodorant.
— Un déodorant à boule, Monsieur ? » questionne la vendeuse.
« Eh non… Pour mes aisselles ! »
 
« — Tu aimes sentir un corps contre toi ?
Sentir un souffle, une odeur ?
Essayer plein de positions ?
Entrer par l’avant, par l’arrière ?
Tu aimes vraiment ça ?
   Oui !
   Alors prends le bus ! »
 
« Une récente étude scientifique démontre qu’une femme ayant un léger embonpoint vit plus longtemps qu’un homme qui lui en a parlé… »
 
Jean-Paul :
« J’ai voulu prende un nain en stop.
Il m’a dit d’aller me faire foutre !
Alors j’ai refermé mon sac dos à dos et je suis parti… »
 
Marie-Chantal raconte à sa copine Germaine, devant une tasse de thé :
« Il y a un mec qui m’a envoyé une photo de son sexe.
Je lui ai demandé pourquoi il m’envoyait la photo de son petit doigt.
Eh bien, il m’a bloqué, le mufle ! »
 
Jean-Paul à Jean-Marc :
« As-tu déjà remarqué que toutes ces choses qu’on voulait manger en cachette sont emballées dans des trucs qui font un bruit épouvantable ? »
 
« — Dis maman, un ange, ça vole ?
— Ben oui.
— Mais pourquoi la voisine ne vole pas ?
— Pourquoi tu dis ça ?
— Parce que Papa a appelé la voisine « Mon ange »…
— Attends demain, tu vas voir qu’elle va voler ! »
 
Dumé est de retour :
« On dit que le siège que passager avant c’est la place du mort…
Je ne suis pas d’accord !
Moi je les mets plutôt dans le coffre. »
 
Jean-Marc donne un conseil à Jean-Paul :
« Quand je vais voir ma maîtresse, je gare toujours ma voiture sur l’emplacement, réservé à son mari.
Et je laisse un bout de papier sur ses essuies glace sur lequel j’inscris mon numéro de portable.
Il m’appelle toujours pour que je libère la place ! »
 
« — Papa, pourquoi tu fumes ?
— C’est à cause de ta mère : Elle me stresse !
— Mais elle est partie…
— Elle pourrait revenir ! »
 
Bon week-end (qui arrive) à toutes et tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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