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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 24 décembre 2023

En cette fin d’année 2023

À force de chercher, ils ont fini par trouver !
 
1 – Ainsi, on aura trouvé quelques particularités au cerveau des gôchers. Les gôchers sont rares, seulement 10 % des êtres humains environ : Une minorité invisible et silencieuse mais souvent stugmatisée.
Mais comment cette particularité s’exprime dans le cerveau ?
Des chercheurs ont analysé plusieurs milliers d’images cérébrales pour identifier les différences entre gôcher et droâtier.
Et justement il y en aurait !
 
Les gôchers utilisent préférentiellement leur main gôche pour écrire et pour toutes les autres tâches courantes.
J’en connais même qui visent avec l’œil gôche mais se servent préférentiellement de leur main droâte.
Plus fréquemment, on trouve des droâtiers qui restent avoir le cœur à gôche…
Quant aux gôchistes qui votent extrême-centre, ils sont légion…
Mais notez que depuis longtemps, les scientifiques s’intéressent aux différences entre le cerveau des droâtiers et des gôchers. Jusque-là, les observations sont contradictoires et aucune différence claire n’émergeait.
Les échantillons testés, seulement quelques centaines de gôchers, sont trop petits. Et c’est là qu’une équipe internationale de chercheurs, sous la direction du Max-Planck Institute for Psycholinguistics, aura comparé le cerveau de 31.864 individus, dont 3.062 gôchers.
Sur les images cérébrales, ils ont comparé 8.681 points sur tout le cortex pour comparer les asymétries entre le cerveau des droâtiers et des gôchers.
 
Il apert que le cerveau humain est asymétrique, que chaque hémisphère est spécialisé dans des fonctions différentes.
Par exemple, c’est l’hémisphère gôche qui contrôle la main des droâtiers et le droit qui contrôle celle des gôchers.
Mais cela concerne aussi d’autres fonctions comme le langage.
Chez 95 % des droâtiers, c’est l'hémisphère droit qui domine le langage, mais c'est seulement le cas pour 70 % des gôchers selon les auteurs de l’étude.
Des dyslexiques en puissance ?
 
Ce n’est pas tout : À quel point la gôcherie est-elle liée à cette asymétrie du cerveau ?
C’est ce que les chercheurs ont voulu savoir. Ils se sont aussi intéressés aux rôles de certains gènes déjà connus pour être associés à la gôcherie.
Mais analyser tous ces cerveaux ne fut pas une mince affaire. « Il a fallu environ trois mois de traitement sur douze ordinateurs fonctionnant en parallèle », se rappelle une post-doctorante ayant travaillé sur le projet (la cheville ouvrière des « trouveurs »).
De toutes ces heures de calcul, les scientifiques en ont tiré des informations intéressantes : Ils ont ainsi identifié dix régions où il y a une différence d’asymétrie entre droâtiers et gôchers. Ces dix régions sont localisées tout au long du cortex cérébral et sont caractérisées par une couche de matière grise plus épaisse, et donc plus de connexions entre neurones, dans l’hémisphère droit chez les gôchers que chez les droâtiers.
 
Ça colle puisque chez les gôchers, c’est l’hémisphère droit qui contrôle les mouvements de la main dominante. « C’est la première fois que des zones spécifiques de l’anatomie cérébrale ont été reliées avec confiance à la gôcherie », explique le directeur de cette recherche.
Admettons, mais de là à confondre la cause avec les effets, à mon sens il n’y a pas loin.
 
Et puis ces recherches n’expliquent toujours pas pourquoi il existe également 10 % de « gôchistes », qui ne sont pas tous des « droâtiers » mais qui s’assemblent assez souvent avec des « démocratouilles-soces » de gôche pour faire ou défaire des majorités politiques.
Qu’on a même voulu m’expliquer qu’être de « gôche », c’est penser d’abord le monde, l’espèce, puis son pays, sa famille, et enfin soi-même.
Que je n’ai pas compris pourquoi les gôchistes ne sont pas tous des chrétiens qui se retrouveraient dans la prière universelle dominicale…
Mais je dois être né kon.
Parce qu’à ce moment-là, être de droâte serait de penser d’abord à soi, puis aux siens, enfin au pays et in fine à l’espèce et la planète.
Ce que je trouve totalement réducteur, d’autant qu’il est une règle incontournable, qu’on applique sans mollir en mer : « Une main pour toa, une autre pour le navire ».
L’un sans l’autre, ça ne fonctionne pas et c’est même assez fréquemment fatal pour les deux.
Est-ce être droâtier ou gôcher que d’en en faire son credo quotidien ?
 
Question restée sans réponse et études à suivre…
 
2 – Autre facteur d’avancée scientifique : Les fluctuation de pression sanguine serait à l’origine de la démence précoce !
Rien de moins…
Et moâ qui pensais que la démence précoce était seulement engendrée par des dogmes absurdes qu’on croise encore quotidiennement, quand ils se heurtaient au « principe de réalité »…
 
L’hypertension artérielle est donc un facteur de risque connu de démence. Ce que l’on sait moins en revanche, c’est que la variabilité de la tension artérielle pourrait présager une détérioration des fonctions cognitives.
Des chercheurs australiens, cette fois-ci, expliquent leur découverte dans une étude parue dans la revue Cerebral Circulation – Cognition and Behaviour.
 
En « Gauloisie-de-la-dékonne », près de 12 millions de personnes sont traitées pour de l’hypertension artérielle, selon l’Assurance maladie. Cette maladie chronique, caractérisée par une élévation anormale de la pression sanguine sur la paroi des artères, constitue un facteur de risque connu de maladies cardiovasculaires.
Mais l’hypertension artérielle, non prise en charge, nuit également au cerveau en créant un terrain favorable à certaines maladies neurodégénératives.
Plusieurs études ont donc associé une pression excessive dans les artères au risque de démence, comme la maladie d’Alzheimer.
 
Des travaux parus en 2018 dans la revue European Heart Journal ont révélé que les personnes qui souffraient d’une hypertension artérielle développée à 50 ans étaient plus à risque de souffrir d’une démence plus tard dans la vie.
À l’origine de ce phénomène, des petits accidents vasculaires cérébraux (AVC), causés par cette pression artérielle élevée, qui endommageraient le cerveau et entraîneraient à terme un déclin dans le fonctionnement cérébral, selon les chercheurs de l’Inserm, qui avaient co-participé à l’étude.
Moâ je veux bien, mais je pense plutôt que ça agit sur le caractère qui devient intolérant (chez les « gôchistes » comme les « droâtistes », d’ailleurs) jusqu’à devenir insupportable.
Je peux même vous dire qu’en durcissant les artères à coup de cholestérol, les électeurs deviennent de plus en plus radicaux dans leurs choix, que leur cerveau s’épuise ensuite à justifier après coup…
D’où la démence précoce.
 
Mais une nouvelle étude, australienne celle-là, éclaire d’un nouveau jour cette relation entre la pression artérielle et le cerveau : Des « trouveurs » de l’Université d’Australie-Méridionale (UniSA) ont découvert que les fluctuations de la pression artérielle pourraient prédire le risque de démence et de problèmes vasculaires chez les personnes âgées.
Les auteurs de l’étude, parue ce 1er septembre 2023, dans la revue Cerebral Circulation – Cognition and Behaviour, incitent à accorder plus d’importance aux variations de la tension artérielle, comme marqueur précoce de déclin cognitif.
« Les traitements cliniques se concentrent sur l’hypertension, tout en ignorant la variabilité de la pression artérielle », remarque dans un communiqué, la doctorante du Laboratoire de neurosciences du vieillissement cognitif et des déficiences de l’Université d’Australie-Méridionale (la « petite-main » qui use ses doigts sur les claviers de ses professeurs).
 
Ces scientifiques australiens ont découvert que de courtes fluctuations de la pression artérielle, dans les 24 heures, sur plusieurs jours et plusieurs semaines, sont associées à une altération des performances cognitives.
Les oscillations importantes de la pression artérielle systolique (le chiffre le plus élevé qui mesure la pression dans les artères, au moment de la contraction du cœur, la systole, et de l’éjection du sang dans les artères) auraient également un impact sur la rigidification des artères (athérosclérose), facteur de vieillissement artériel, associé aux maladies cardiaques.
Là encore, ne confond-on pas la cause et les effets ?
 
Pour constater l’influence des fluctuations de la pression artérielle sur la démence, les « trouveurs » ont recruté un panel de 70 personnes âgées de 60 à 80 ans, en bonne santé, ne présentant aucun signe de démence ou de déficience cognitive.
Les volontaires ont passé une série d’examens : Mesure de la tension artérielle, test cognitif. La rigidité artérielle du cerveau et celle de leurs artères ont été évaluées à l’aide d’une échographie Doppler transcrânienne et analyse de l’onde de pouls.
Et les résultats sont éloquents : « Nous avons constaté qu’une plus grande variabilité de la pression artérielle au cours d’une journée, ainsi que d’une journée à l’autre, était liée à une réduction des performances cognitives », expliquent les auteurs de l’étude. « Nous avons également constaté que des variations plus importantes de la pression artérielle systolique étaient liées à une plus grande rigidité des vaisseaux sanguins dans les artères ».
Ou l’art d’enfoncer les portes ouvertes…
 
Selon ces « trouveurs », ces conclusions tendent à montrer que les variations de la pression artérielle sont des paramètres importants qui interviennent dans la cognition des personnes âgées.
« Ces résultats indiquent que les différents types de variabilité de la pression artérielle reflètent probablement différents mécanismes biologiques sous-jacents et que les variations de la pression artérielle systolique et diastolique sont toutes deux importantes pour le fonctionnement cognitif des personnes âgées ».
Autrement dit, chez les personnes âgées ne présentant pas de déficience cognitive cliniquement pertinente, les fluctuations de la pression artérielle pourraient servir de symptôme avant-coureur de trouble cognitif potentiel.
Cette variation de la pression artérielle pourrait également offrir une « cible de traitement » du déclin cognitif, avancent les « trouveurs » à la recherche de fonds supplémentaires.
 
Ce serait presque drôle si plus de 55 millions de personnes n’étaient pas atteintes de démence dans le monde, selon l’Organisation mondiale de la Santé, et qu’on ne comptait pas 10 millions de nouveaux cas par an.
D’autant que c’est le genre de maladie où on en meurt, ou on en reste idiot !
Comme disait mon « Papa à moâ » (celui qui me fait frémir quand je l’évoque), « Je peux vous l’affirmer : Je l’ai eue et j’ai survécu ! »
 
3 – Enfin, pour terminer l’année sur un note d’optimisme : Une femme survit après avoir été congelée !
Si…
En temps normal, la température du corps humain est d’environ 37 °C.
Pour moâ, c’est plutôt 36 et quelques. À 37,01 ° je suis malade comme un chien, à l’article de la mort (ou guère mieux).
Mais à 40, je pète une forme olympique du tonnerre de Dieu !
Or on note le cas glaçant d’une jeune femme qui a survécu pendant six heures à — 30 °C !
 
C’est un « cold case », forcément.
Mais on se rappelle que la nuit du 20 au 21 décembre 1981 fut particulièrement rigoureuse dans le Minnesota, où après une soirée festive une jeune femme de 19 ans aura pu le constater à ses dépens.
Elle prend sa voiture pour rentrer chez elle, mais sur la route sa voiture tombe en panne. Vêtue d’un manteau, d’une paire de gants et des bottes de cow-boy aux pieds, elle sort du véhicule pour chercher de l’aide auprès d’un ami. Elle pensait qu’il n’habitait pas loin.
La nuit est froide, glaciale même : Le thermomètre indique — 30 °C.
 
Après cinq kilomètres de marche, elle approche enfin de la maison de son ami, mais elle trébuche et tombe dans la neige, inconsciente.
Elle restera là dans le froid pendant six heures, jusqu’à ce que son pote sorte de chez lui au petit matin et la découvre, inanimée et « congelée ».
« J’ai cru qu'elle était morte, mais des bulles sortaient de son nez », raconte-t-il.
En la tirant par le col pour la ramener à l’intérieur de sa maison, puis en l’emmenant aux urgences de Fosston, il lui a sauvé la vie.
Car elle a survécu à sa « congélation », un mystère médical qui, plus de trente ans après, qui reste encore partiellement inexpliqué, avec ses 20 pulsations minutes.
Moâ, à 30 pour abuser des bêta-bloquants mal dosé, je me traine comme une loque, alors 20, je ne tiens pas debout…
 
Ce que je ne comprends pas très bien, c’est que personne ne s’est inquiété de savoir si la jeune fille était ou non consentante à se faire ainsi enlever pour être enfermée chez un tiers qui la regardait baver et seulement ensuite être évacuée aux urgences.
À notre époque de konnerie sans nom sur ces sujets dans la droâte ligne de « #meetoo » ou « #balancetonporc », le gamin n’aurait peut-être pas pris autant de risques de poursuite judiciaire…
À mon sens, il aurait mieux fait d’appeler les flics et les aurait laissé se démerder du problème au lieu d’user ses pneus neiges en polluant un peu plus la planète.
 
Autre époque, autre mœurs, n’est-ce pas…
 
Bonne fin de week-end et joyeux réveillon à toutes et à tous !
Ne vous en faites pas, on remet ça la semaine prochaine…
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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