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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 18 décembre 2023

Estives 2023 (1/11)

Un départ contrarié
 
C’est l’heure de se rappeler des chaudes heures de l’été (et de les partager un peu avec vous à l’occasion de la trêve hivernale des confiseurs : Je ne suis plus joignable jusqu’à l’année prochaine, alors les billets que vous trouverez sur ce blog pendant ce temps, son programmés pour s’incrémenter tout seuls au fil des jours).
 
Pour en revenir à mes estives 2023, j’avais prévu de décamper le plus tôt possible et au moins dès l’après-midi du samedi depuis Le Bourget, après la clôture du show aérien. (C’est que j’ai un roman à préparer pour l’été 2024, moâ).
Et puis ça ne s’est pas fait comme ça.
Il aura fallu que je récupère ma « Nichée » pour l’emmener chez mon beauf’ qui recevait avant le départ en estives de tout le monde : Une tradition qui se passe plutôt début juin qu’à la fin du mois.
Mais pas cette année comme pour me contrarier : Je sens que je vais encore rater « Jazz in Calvi »… un festival de sons rythmés…
Ce n’est pas que je sois un fan, mais ça fait des années que je me dis que j’y participerai un jour ou l’autre. Et comme le nombre de jours qui me restent à compter s’amenuisent drastiquement…
Enfin passons : Un acte manqué depuis que ça existe.
 
Il reçoit dans une sorte de cousinade agrandie aux adultes dans son « immense » jardin, son coin « apéro » près du potager et sa longue table sur la pelouse devant le BBQ (électrique car il est écololo dans sa tête… et tant pis si c’est de l’électricité nucléaire, voire produite au gaz algérien ou au fioul lourd saoudien, alors que le charbon de bois, ça reste « durable » pour être « renouvelable » naturellement et pas polluant du tout malgré les suies qui s’en dégagent : On n’est plus à une contradiction près, du moment que le compost fermente à en dégager ses « fumets remarquables » et que l’eau de pluie [qui pue également, qu’un jour il faut que je lui achète des grenouilles] est récupérée pour arroser les fleurs !)
Donc je retarde d’une journée.
Et Le Bourget, ce sera finalement le dimanche.
 
Le début d’un immense regret : Ce jour-là, au lieu d’être sur les bords de la grande-bleue, je campe sous un arbre à mirer les voltiges des avions qui font beaucoup de bruit pour pas grand-chose.
Le temps est beau, le vent rafraichit le soleil ardent à le rendre supportable, la « Nichée » s’est démultipliée avec ses « + 1 » et les potes de potes, mais la butte sur laquelle on pique-nique habituellement n’a pas été tondue et les arbres ne sont pas élagués.
En 4 ans, ils auraient pu faire un effort, d’autant que c’est tout de même 30 euros par bagnole… Et que je viens à trois voitures…
Dément.
 
Pour un spectacle aérien bâclé. Un seul chasseur moderne étranger, le F 35, pas un seul russe (on peut comprendre, ils ne les sortent plus de peur de se les faire descendre par les ukrainiens), donc pas de cobra de Pougatchev, un Eurofighter sur le retour, un A 400 et un Rafale.
Même la PAF fait un show a minima !
En revanche, on a droit à plein d’hélicoptères, à des avions électriques en pagaille et à quelques airbus.
Le seul moment iconoclaste, c’est d’écouter (et voir quand on le peut) un Rafale plein gaz faire un boucan de tous les diables en post-combustion à tournoyer autour d’un petit jet civil pour le forcer à se poser sur la piste du Bourget : Remarquable les capacités d’évolution de ce chasseur quasi-bi-sonique !
 
Mais le pire c’est après : Deux heures pour sortir du parking !
Oui, deux heures par 45° C sous le soleil avec la climatisation rendant heureusement l’épreuve supportable !
Parce que si les pompiers devaient faire une extraction en urgence, ils auraient dû faire un hélitreuillage de haute voltige… pas possible autrement.
Promis, je n’y reviens plus !
D’autant que puisque je partais avec 24 heures de retard, bé je pouvais donc assister à une représentation de comédie musicale à laquelle ma « Nichée » participait en soirée, n’y avait pas de raison…
Bé voyons : 15 euros de parking, 35 euros la place pour une séance de 2 heures où je n’ai rien compris de l’histoire qu’on tentait de me raconter !
Mais il paraît que c’était très bien.
Oui, c’est vrai, les tableaux étaient pas mal du tout, la mise en scène avec plus d’une centaine de choristes qui dansaient, ça avait de la gueule, mais pas au point de retarder mon arrivée à Avignon, ma première escale de l’année.
Et puis, pour aller pisser à l’entracte, porte Maillot, franchement c’est limite : J’ai failli me soulager contre un poteau sur le parvis…
 
Impeccable, le lendemain ça roule comme sur du velours, je débarque dans la cité des Papes au GPS non sans me perdre dans les parkings sous les remparts, mais bon, l’accueil est agréable et la ville se prépare déjà pour son festival du mois de juillet.
Mes « correspondants », invitants sont là : On déguste un nouveau BBQ (au charbon de bois, cette fois-ci, traditionnel quoi) sur la rive-droâte du Rhône, en banlieue parce que le centre-ville, il paraît que c’est devenu une « no-go-zone » à l’inverse de la Kapitale, dans une propriété de maître avec plein de bungalows de plain-pied où je passerai la nuit entre les cyprès (mais sans les cigales).
Et ce malgré le vent qui forcit.
 
On picole plus que de raison pour se donner du courage à tel point que j’attrape la crève la nuit avec la climatisation mal réglée…
Et on cause encore de la guerre en Ukraine.
Mes analyses de l’année dernière n’auront pas beaucoup évolué, sauf que cette guerre est désormais assurée de durer un bon moment : L’objectif d’épuisement des forces russes n’est pas encore atteint.
C’est qu’ils ont de la ressource les « Popovs ».
Mais on aura aussi appris dans l’intervalle que le monde peut survivre en se passant durablement des ressources naturelles russes et que l’industrie US est inépuisable à fournir des munitions aux Ukrainiens…
 
D’autant qu’il faut rajouter qu’à ce moment-là, « Wagner » nous joue une partition inattendue : Comment se fait-ce que ce voyou crache dans la main qui le nourrit ?
Et encore, cracher, ce n’est rien : Il va pour la mordre…
Complètement délirant !
Certains y voient la main de la CIA ou des SIS britanniques : N’importe quoi !
D’autres une lueur d’espoir… Là encore, n’importe quoi.
Au contraire, « Poux-tine » au lieu d’être affaibli ressort à mon sens renforcé par l’épisode et moâ je vois de la « matière » nouvelle à exploiter pour mon futur roman d’été (2024).
Que peut-être, je vais devoir en changer de sujet, d’ailleurs, pense-je à ce moment-là…
 
Et puis nous nous prenons le bec autour de l’attentat contre le gazoduc Nord-Stream.
Pour les uns, et ils n’en démordent pas, c’est un coup des « ricains » qui ont piégé les tuyaux à l’occasion des manœuvres de l’Otan en Mer Baltique qui ont eu lieu quelques mois plutôt.
Argument rejeté : Il y avait une dizaine de nations présentes (toutes complices ?) et plusieurs dizaines de navires hyper-équipés de moyen de détection air/mer.
Personne ne pouvait passer inaperçu, sans se faire repérer et tracer.
Je dois être entouré de kouillons qui ne savent qu’on peut accéder gratuitement à des sites qui géolocalisent de tout ce qui flotte, un peu comme pour les avions.
Et qui gardent en mémoire les évolutions : On sait tout de tout le monde, même pour les voitures, les camions et les autocars en circulation, mais là, seulement à l’usage des « autorités ».
Quant aux trains… C’est une évidence.
L’exploitant du réseau le sait à la minute près et ceux qui suivent leurs « boîtes » de 40 pieds à travers le monde également…
Même les routeurs comme Amazon ou Chronopost peuvent te dire dans l’heure où se trouve le colis, un simple paquet, que tu as commandé.
Alors des navires militaires en manœuvre…
Soyons sérieux.
 
De plus, ces manœuvres de l’Otan auront eu lieu au Nord de la Mer Baltique, autour du plus court chemin entre la Finlande et la Suède, et l’attentat a eu lieu au Sud, près des côtes danoises et « teutonnes ».
Et naturellement, partout des « observateurs » Russes qui faisaient des ronds dans l’eau à observer les uns et les autres du Nord au Sud avec les mêmes moyens ultrasophistiqués de détection.
 
Pour d’autres, si ce ne sont pas les « ricains » aidés des britanniques voire des norvégiens spécialistes des grandes profondeurs, ce sont des Ukrainiens depuis leur navire de location, l’Andromeda.
Un voilier de 15 mètres qui a navigué près du lieu de l’explosion à peu près au moment où l’on suppose que les explosifs ont été mis en place quelques jours avant les sabotages.
C’est que les six membres de l’équipage voyageaient apparemment avec des passeports falsifiés et les enquêteurs allemands ont trouvé à bord des traces d’un explosif, l’octogène, qui fonctionne sous l’eau et dont on se sert pour faire des amorces d’explosif (des balles de fusil et des obus de canon), mais on ne le savait pas encore à ce moment-là.
Il semble que le navire ait été loué à Rostock par une société polonaise dirigée par une Ukrainienne. Suspecte cette Ukrainienne ?
Forcément, puisque son pays est d’emblée considéré comme étant en guerre !
Sauf qu’il s’agit d’un banal bateau de plaisance loué à la demande, avec ou sans skipper, dans les mers septentrionales européennes.
 
Le Washington Post a écrit par ailleurs qu’un projet ukrainien de sabotage était connu de la CIA avant les faits, dès le mois de juin 2022.
Une agence de renseignement européenne aurait transmis l’information aux services américains.
(Moâ, j’aime bien l’emploi du conditionnel quand il s’agit de fonder des certitudes…)
L’ancien patron de Naftogaz, la société nationale de gaz ukrainienne, n’avait-il pas prédit que quand la construction de NordStream 2 serait terminée, la Russie envahirait l’Ukraine !
Quel rapport ?
Moâ, à ce jeu-là, je peux vous prédire que Noël 2024 devrait tomber le 25 décembre en Occident, parce que la Toussaint pourrait être programmée pour le 1er novembre et que du coup Noël sera fêté le 14 janvier suivant chez les orthodoxes, ce qui déclenchera mécaniquement un tir de feu d’artifice autour de la Tour Eiffel exactement 6 mois plus tard : On prend les paris ?
 
Le problème avec la piste Andromeda est que d’après plusieurs experts, la mise en place des explosifs aurait été techniquement très difficile à mener par une petite équipe de six personnes sur un tel (petit) bateau de plaisance sans une aide significative de navires militaires à proximité qui n’a pas été rapportée ni même détectée.
Il faut tout de même savoir que pour descendre travailler quelques minutes seulement à 80 mètres de profondeur, des plongeurs doivent rester jusqu’à 8 heures en immersion avec des paliers de décompression et respirer un mélange spécial, d’oxygène et d’hélium, l’héliox. Qui d’ailleurs reste dangereux mais donne à la voix des sonorités dans les aigus.
Au-delà de 130 mètres, tout le monde sait le risque de syndrome nerveux des hautes pressions, et on remplace le mélange gazeux soit par du trimix, soit par de l’hydreliox.
Or, sauf à disposer de caissons hyperbares sur le navire de soutien, de scaphandre rigide et de toute façon d’une grosse pompe à air, c’est, dans la pratique, infaisable sans navire spécialisé…
Bref, incompatible avec un voilier de plaisance de 15 mètres avec 6 personnes qui caguent au moins une fois par jour à bord.
Et puis ce n’est pas très discret que de se promener avec plusieurs dizaines de kilo d’octogène, qui finalement n’est pas un explosif très puissant et qui reste cher.
Par conséquent, exit aussi cette piste-là pour cause d’incohérences multiples.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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