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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 20 décembre 2023

Estives 2023 (3/11)

Premiers tours de roue « au pays »
 
Bref, j’embarque comme prévu à Toulon, non sans avoir pris un verre dans la galerie commercial de Mayol avec d’autres « correspondants » qui ont pris sur eux et leur emploi-du-temps surchargé de fin de saison pour me croiser, mais accompagné de ma crève que j’oublie de soigner.
Il fait chaud et beau, ça passera bien tout seul.
Sauf que ça ne passe pas et je poireaute une bonne demi-heure au deuxième sous-sol des garages « du yacht » pour m’extraire sur les quais de Bastia.
L’embarquement était impeccable : Le port de Toulon phagocyté par trois navires jaune et bleu, tu te pointes et au lieu de te faire patienter sur le quai et sous le soleil pendant des plombes, tu embarques immédiatement après les contrôles de sécurité.
Le temps de se poser et de grimper au 10ème pont pour se faire servir un petit apéro bien frais en assistant au décollage, et ça démarre par une visite du cimetière des frégates désarmées de la Royale.
 
Et puis un dîner dans l’un des restaurants du bord… Cher (tarif autoroute) mais pas mauvais finalement (presqu’une surprise), pas comme au retour sur la même compagnie… où ce sera de la même veine, dans d’immenses salons confortables avec le Cap Corse qui défile par les baies vitrées dans la nuit : Magnifique.
Mais l’escalope milanaise c’était du vrai carton et les frites servies de la guimauve à peine réchauffée : Dommage !
Du coup j’ai jeûné je me suis rattrapé avec deux portions de tiramisu que j’ai « allongé » avec ma fiole de rhum (celle pour mieux dormir en mer…)
 
Pour l’aller et vu le vent qui décornait jusque-là les bœufs, tu redoutes que la mer soit un peu malmenée : Eh bien pas du tout, un lac jusqu’au petit-matin du lendemain en face du Cap Corse !
Même anomalie au retour : Je n’ai ressenti aucune houle.
Pourtant, jusqu’à la veille, ça soufflait fort autour de la « Corsica-Bella-Tchi-tchi ».
 
Et après le petit-déj’ à bord pas trop bousculé et la libération des soutes, cavalcade jusqu’à la maison en Balagne.
Il faut que j’apprenne les routes et mes chemins à la voiture, tout neuve, pour qu’elle sache y revenir sans moâ plus tard…
C’est que « Sœur-Âne » ne veut plus de mon veau diesel à 5,5 L/100, alors j’en ai une qui fait 6,5 L/100 pour mieux l’emmerder…
C’est ça qu’on appelle probablement la « sauvegarde de la planète ».
Mais bon, rien d’étonnant : Quand on est « soce » et qu’on le reste, il est probable qu’on est né kon et qu’on le reste…
 
Petit inventaire des dégâts de l’hiver : Je vais passer mes deux premières semaines chez le quincailler du coin à devoir rafistoler tout ce qui a pu ou va casser, et je découvre même à l’improviste un nid de tourterelles dans le dressing, sur les bobines de PQ et autres sopalins.
Bé c’est moche un poussin-tourterelle, ça pue, c’est sale, mais je n’ai pas le cœur à virer les oisillons.
Quand ils seront partis, il faudra que je cloue un grillage qui n’avait jamais existé en 60 ans sur les ouvertures : Comme quoi, même les oiseaux deviennent de plus en plus intelligents au fil des générations !
Je ne vous raconte pas demain les robots et leur intelligence artificielle…
 
Bref, je finis par prendre le temps de passer chez un pharmacien qui me vend de la poudre de perlimpinpin pour soigner ma toux (que je trainerai encore plusieurs semaines : Il faudra que j’aille voir un toubib dans la nouvelle maison de santé, installée entre le supermarché et le Trésor public à Calvi et qu’il me file 8 jours d’antibiotiques… ce n’est pas automatique, mais c’est comme ça, vues mes autres pathologies durables…).
Il faut dire que je crois qu’il fait chaud, alors j’en dors la fenêtre ouverte et sans drap ni couverture : Le réchauffement climatique, ce n’est pas encore ça en Balagne !
Il y a même de larges plaques de « neiges éternelles » sur les pentes du Monte Cinto, qui vont mettre un peu de temps à disparaître.
Ça faisait longtemps qu’elles n’avaient pas trainé autant durant l’été…
 
En revanche, fin juin, je suis accueilli par deux orages et beaucoup de vent d’Ouest.
La nature est verte et les nappes phréatiques remplies à raz-bord !
Ce n’est pas qu’il fasse très chaud, même en journée ― il faudra attendre la première semaine de juillet pour ça ― mais l’eau de mer reste à des températures praticables : 24 à 25°, très agréable.
Plus tard dans la saison, elle montera jusqu’à 26/27° : Pas tout-à-fait aussi chaude que l’année dernière, mais c’est bien bon de se rafraîchir alors que la sonde du « tas-de-boue-à-roulettes » indique 30/35°.
Mais ça reste à 6 à 8° pour le rosé !
 
À cause du vent, qui soulève les embruns et du sable (pas encore les cailloux), je suis obligé tout de même de me rabattre plusieurs fois sur les plages de Calvi (où j’ai signalé mon arrivée, mais ça ne secoue pas les foules…) où cogne et contre-cogne le festival de « Calvi on the Rocks ».
 
Eux ils sont contents : ils se comptent au moins deux cents à s’agiter aux rythmes des basses, des drums et des batteries.
On les reconnaît facile : Ils ont un verre à la main…
C’est marrant la jeunesse : Du moment que c’est rythmé, même si c’est de la m… (étron), qu’ils ont les pieds dans l’eau, ils sont ravis d’avoir claqué leur pognon dans un billet pour venir dormir sur le sable gris des calvais (le cerveau le voit jaune-clair, couleur sable, mais en fait il est gris pierreux dès que tu le sors de son contexte…) qu’ils se croient déjà au paradis.
Parce que bon, le « petit-commerce » local n’est pas totalement ravi.
Je comprends : Les rues sont vides, les terrasses également et il n’y a pas d’embouteillage ni sur les routes ni sur les parkings.
C’est l’heure des « ritaux » et des « teutons » (ils reviendront fin août) : Les « Gauloisiens » et les locaux ont encore leurs gamins à l’ékole et puis ils se remettent à peine des émeutes urbaines qui ont secoué le pays à cause d’un flic qui se croyait abusivement en danger de mort.
 
Là encore, de qui se fout-on au juste ?
Qu’on se comprenne bien : La mort d’un ado, même si c’était la pire des crapules, ne se justifie d’aucune manière dans les circonstances filmées qui nous ont été rapportées.
Même si elles n’avaient pas été filmées et quelles que soient les circonstances d’ailleurs (hors urgence létale).
Le flic, manifestement, c’est un recrutement « erreur de casting » (ou alors il avait le neurone ravagé par de la poudre) : Celui-là, jamais on n’aurait dû lui confier un flingue. Je serai sa hiérarchie, je ne serai pas très fier.
Toutefois, il ne faut pas non plus oublier qu’à 17 balais, forcément on n’a pas son permis de conduire.
Pas plus que de légitimement posséder une « grosse berline » de luxe teutonne qui plus est immatriculée en Pologne et « tombée du camion » sur la route de Nanterre, même mise en location.
 
Ou alors, si on est fils de Nabab, on a un chauffeur qui fait gaffe au code de la route (parce que ça emmerde l’ambassadeur qui a d’autres païens à fouetter), ne fait pas d’excès de vitesse sauf sur les circuits professionnels et de toute façon on a assez de cervelle pour savoir qu’on n’a jamais le dessus sur les forces de l’ordre : Elles sont déjà prépositionnées avant même qu’on n’y arrive, où qu’on aille, même à la vitesse de la lumière !
C’est même fait exprès…
En bref, ce gamin aura probablement été allumé à de la substance qui lui aura radicalement vrillé le neurone (ce qui paye la berline et son carburant), à n’en pas douter.
C’est tout de même dommage.
Notez que lui en est mort, alors que « Pâle-mal-de » sort en boîte de nuit en fin de semaine…
On vit décidément dans un monde de fous !
Et je reste très triste pour ce gamin de la zone : Il n’avait pas à naître pour ce tragique destin-là.
En plus, ça se passe dans mon pays, la patrie des droits de l’homme (et de la femme)…
 
Mais là où j’ai bien rigolé (parce qu’il faut pouvoir rire de tout) et sans me forcer, c’est d’apprendre qu’après les quelques nuits d’émeute, salement récupérées par quelques leaders politiques qui croyaient jusque fin février 2022, encore au « Grand Soir » (globalement les mêmes qui avait craché-juré en pleine campagne électorale que « Poux-Tine » bluffait en menaçant l’Ukraine, c’est dire leur incapacité à anticiper les problème de mon pays…), sans se douter qu’ils faisaient ainsi le lit des « Gauloisiens rancis » de la droâte la plus écœurante du pays (pour s’être trompée de millénaire et n’avoir rien appris du passé même récent), que le calme est soudainement revenu.
La raison ?
 
Devinez un peu…
Les mots tendres de « Jupiter » qui préparerait son remaniement ministériel post-retraite (qu’on attend toujours après le tir nourri de 49.3) ?
Ceux de Miss « Lili-Bête-Borgne » qui se sent pousser des ailes dans le dos ?
La vigueur retrouvée de « Dard-à-la-main », « sinistre de l’intérieur & des cultes » qui se voit déjà mis en orbite (et ira s’effondrer avec sa loi « migration », mais ça, on ne savait pas encore) ?
Le mauvais caractère de « Riton-du-Pont-Moriarty » (qui fera la honte du pays juridique plus tard : Objectivement coupable mais pas condamnable) ou les bons copains arrosés de « Mare-laine-chia-pas » avec le pognon du « kon-tribuable » ?
Pas du tout, pas du tout !
Vous n’y êtes décidément pas du tout…
 
Juste les dealers des quartiers qui ne parvenaient plus à refourguer leur saloperie de poudre, d’autant qu’elle n’est pas chère en ce moment, qu’il y en a des quantités industrielles à écouler auprès de nouveaux clients, mais il se trouve qu’avec des flics partout et de la main-d’œuvre pas trop disponible et partiellement embastillée, les affaires faiblissaient que ça ne pouvait pas durer.
Aussi, ni une ni deux, exigence des barons des banlieues et accessoirement de la drogue : Retour au business « as usual » !
Donc au calme favorisant « les affaires ».
Et ça a marché !
Résultat : « Jupiter » sauvé par les dealers, je la trouve excellente, celle-là !
 
La vie poursuit son train-train quotidien : Début juillet arrive enfin et il commence à faire beau…
À mon avis, la première vague des touristes va débouler.
 
Presque trop beau finalement : Déjà le ciel se remplit de « brume de chaleur » dès potron-minet. Il n’est jamais bleu, même par grand vent. Une sorte de crème laiteuse qui adoucit les ombres et permet à la peau de brûler tranquillement sans faire souffrir.
Quant aux touristes, on ne les voit pas bien : Pas trop de plaques exogènes et peu de voitures de location (immatriculées en « G » et/ou « 2A »).
Il n’y a que moâ qui fait « toutou-riste » avec mes chemisettes hawaïennes : Des cadeaux de Noël dernier de « ma Nichée »…
Il fallait bien que je les sauve de mes mites parigotes…
Il ne me manque plus que le Nikon en bandoulière et mon Stetson (resté konnement à « Paris-sur-la-Plage »), un vrai acheté à Washington et j’aurai pu signer des autographes dans les rues et sur les plages.
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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