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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

dimanche 10 décembre 2023

Je suis bien embêté…

Mes recherches me réservent quelques surprises.
 
1 – Si vous avez lu le « roman » d’été de l’été dernier, soit sur ce blog, soit en ayant acheté le bouquin (voir en le « louant » : Achat et revente après lecture…), vous devez savoir que je prépare pour l’été prochain (ou peut-être le suivant : Question de timing mal anticipé de ma part…) le volume « La tête dans les étoiles » de la saga « Les enquêtes de Charlotte » (qui n’enquête plus rien, pour tout savoir) autour des vols spatiaux.
Paul de Bréveuil, alias « Charlotte », veut absolument s’envoyer en l’air avec la mère de ses enfants, en orbite !
Une lubie, un fantasme, pas vraiment partagé d’ailleurs. Donc je me documente sur les difficultés du vivre en apesanteur.
Et je découvre quoi ? Bé que l’apesanteur c’est mauvais pour les érections !
Imaginez donc combien j’en ressors catastrophé…
 
À l’origine de cette découverte, une étude publiée dans la revue scientifique The FASEB Journal, par un professeur de l’université d’État de Floride à Tallahassee et ses confrères de l’université de Wake Forest (Caroline du Nord).
Les « ricains », je vous jure, de vrais « tue l’amour », pas romantiques pour un cent !
Elle évoque les dysfonctionnements érectiles provoqués par les conditions d’un voyage spatial prolongé : L’exposition au rayonnement cosmique et, dans une moindre mesure, l’absence de gravité.
La première cause, ça ne rentre pas en compte dans un vol de courte durée en orbite circumterrestre, protégé par les ceintures de Van Allen. En revanche, la seconde raison m’inquiète bigrement.
Car les résultats sur quelques dizaines de rats « mis en condition » sont sans appel : Ils n’ont pas eu d’érections aussi spectaculaires que leurs congénères qu’on aura laissés tranquilles.
Et j’en suis navré, figurez-vous.
 
Cette étude est la première à mettre en lumière des dysfonctionnements, désormais identifiés, mais qui pourraient être inversés avec un traitement adéquat.
Le rayonnement cosmique qui nous ferait tant de misère dans l’espace est un bombardement de particules chargées, des noyaux d’atomes essentiellement, qui circulent dans la galaxie.
D’autres effets délétères de ces rayons ont déjà été identifiés, notamment leur capacité à détériorer notre ADN et provoquer des cancers ou des malformations génétiques.
Ce sont ces mêmes radiations qui rendent impossible un séjour prolongé sur Mars, de plus de quatre ans au maximum, d’après une étude révélée en 2021.
 
Ces soucis viennent s’ajouter aux conséquences néfastes de l’absence de gravité dans l’espace : Perte de masse musculaire et osseuse, accumulation du calcium dans le sang ce qui peut mener à l’apparition de calculs rénaux.
Si les astronautes font de la gym pendant leur voyage, c’est précisément pour ça, et pas seulement pour être prêts en cas de baston impromptue avec un extraterrestre.
Cette mise en garde survient alors que l’humeur est au retour des vols habités avec la perspective de poser le pied sur Mars d’ici à 2040. Avant d’aller plus loin et de s’imaginer expédier des colonies à des distances mobilisant plusieurs générations, ce sera le genre de détail qu’il faudra penser à régler (en plus des cancers et des malformations génétiques).
 
L’autre question qu’il faudra évoquer est celle de la raison qui a poussé l’équipe de scientifiques à s'inquiéter des érections de rats suspendus en « apesentauer artificielle » et irradiés, mais après tout… chacun son truc.
Peut-être devrait-on déjà se faire à l’idée que l’espace n’est pas fait pour nous…
 
2 – Ceci rapporté, en amont des fêtes de fin d’année toujours susceptibles, il était également important de vous signaler les vifs dangers de « la grande bouffe » qui se prépare pour les divers réveillons qui clôtureront l’année 2023.
Une année « impaire », pas bon pour « ma petite-sœur », qui en aura même été privée de vacances scolaires chez son mari grec, mon beauf’.
La chair est faible hélas, et les habitudes suffisent à aiguiser les appétits.
 
Figurez-vous que les couverts ont fini de racler les assiettes alors que le repas s’achève, et vous prend cette irrésistible et familière envie de pioncer, qui vous glisse progressivement hors des dernières conversations : C’est ainsi que s’achèvent les festins, où l’on est un peu trop rassasié, parce que quand même, on n’allait pas laisser ce si beau dessert.
Et le lendemain, curieusement, il faudra bien remanger : La faim est revenue, comme chaque jour, et comme par hasard.
C’est bien naturel.
 
Mais que se passe-t-il donc dans notre corps pour que ce sentiment de faim ne nous quitte pas – ou tout au plus une poignée d’heures seulement ?
Est-ce que manger de grandes quantités de nourriture « étire » notre estomac, comme on l’entend si souvent ?
Eh bien non !
Si l’estomac change de taille lors de la digestion, c’est parce qu’il se contracte afin de faciliter le déplacement des aliments ingérés vers les intestins, puis se dilate en prévision du prochain repas à accueillir.
Et la production de sucs gastriques qui ne s’arrête jamais fait le reste.
Cet organe creux est très élastique, et retrouve sa capacité de repos après un repas copieux : Sa capacité est d’ailleurs relativement similaire selon les individus, pouvant accueillir jusqu’à quatre litres de nourriture d’un coup.
En réalité, nous n’avons pas faim malgré tout ce que nous venons de manger, mais précisément à cause de tout ce que nous venons de manger.
 
Parce que la sensation de faim est liée à la libération d’hormones dans le système nerveux et l’estomac, qui règlent nos besoins et envies culinaires.
Toutefois, notre cerveau, cet abruti, est aussi conditionné par l’habitude : Si nous avons pris le pli de manger à un certain moment de la journée, ou dans un environnement particulier, nous ressentirons un sentiment de faim lorsque nous seront placés dans ce type de conditions.
« Si vous prenez à plusieurs reprises un morceau de chocolat ou des chips après le dîner lorsque vous êtes assis sur le canapé pour regarder la télévision, votre corps peut commencer à associer le fait de s’asseoir sur le canapé, la télévision et manger quelque chose de bon, et par conséquent, lorsque vous allez sur le canapé, vous ressentez cette faim », explique une « trouveuse » spécialisée dans l’étude du comportement des consommateurs.
Que vous soyez rassasié ou non, votre cerveau vous lancera ainsi des signaux de fringale.
Cette mémoire du temps et des aliments est d’ailleurs ce qui suscite notre désir à la vue ou à l’odeur de certains mets, et déclenche une réponse psychologique mais aussi physiologique, comme la salivation.
Je peux vous confirmer : L’odeur d’un poulet qui cuit au four me rend dingue à vouloir bouffer n’importe quoi, alors que je n’aime le poulet que froid avec de la mayonnaise.
 
Un premier pas pour se débarrasser de mauvaises habitudes alimentaires implique donc de prendre conscience de ces mécanismes pavloviens : « Lorsque nous essayons d’aider les gens à manger moins, nous nous efforçons de ‘‘désapprendre’’ leurs désirs alimentaires acquis. Nous essayons également de faire en sorte qu’ils comprennent que manger quelque chose de bon une fois ne signifie pas qu’il faut aussi le faire les jours suivants », explique la même « trouveuse ».
Sauf qu’on finit par y revenir…
Personnellement, je bois quantité d’eau froide, près d’un litre, à la fois pour remplir l’estomac et en même temps pour diluer les sucs gastriques : Ça apaise la sensation de faim…
 
Mais je crois que le pire des fêtes de fin d’année, ça reste, qu’après s’être rempli la panse à ras-bord pendant plusieurs heures, c’est de s’écrouler sur le canapé du salon. Parce que la métabolisation devient difficile, les glucides ingérés et une semaine de préparation épuisante seraient à l’origine de cette envie de dormir.
En effet, les glucides et le sucre contenus dans nos plats préférés de Noël se transforment en mélatonine et en sérotonine dans notre organisme. C’est ce qui donne cette sensation de somnolence, qu’on appelle communément un « coma alimentaire ».
À ne pas confondre avec le « coma éthylique » qui maltraite votre foie.
(Le mien résiste à tous les traitements extrêmes… Je ne connais pas !)
 
Le « coma alimentaire » a un nom plus scientifique : Il s’agit de somnolence postprandiale.
Selon un gastro-entérologue d’Orlando, en Floride, les repas de Noël et du Nouvel An réunissent tous les ingrédients pour que ce phénomène se produise.
Il explique que la consommation de sédatifs comme l’alcool, d’aliments riches en tryptophane (un acide précurseur de la sérotonine) ou d’un repas copieux peut déclencher un coma alimentaire.
On se sent somnolent parce que le sang est détourné du cerveau vers l’intestin pour traiter tout ce surplus de nourriture.
Un autre toubib, de Boston cette fois-ci, m’explique également : « Plus le repas est copieux, plus le sang est dirigé vers l’intestin pour faciliter la digestion. Le cerveau reçoit moins de sang, ce qui donne l’impression d’être plus endormi. »
Lui, il n’a pas peur de devenir plus kon…
 
Par ailleurs, il existerait une sixième saveur qui expliquerait pourquoi nous aimons les glucides : Des aliments comme la purée, la farce, le pain et les desserts sont chargés en glucides, qui influent sur notre glycémie : Tous ceux que j’évite, y compris les patates et le riz : « Les aliments dont l’indice glycémique est élevé ont tendance à provoquer davantage de pics et d’effondrements de la glycémie » (bé oui, c’est le principe).
Un effondrement de la glycémie se traduit souvent par une baisse de régime dans l’après-midi, après le repas.
Pour contrer cet effet léthargique des glucides, le « sachant » préconise l’ajout de fibres dans l’assiette, comme de la salade ou d’autres légumes. Je ne peux pas vous dire : Je ne mange pas d’herbe, mais seulement les bêtes qui mangent de l’herbe…
 
Bref, méfier vous des repas de réveillon et n’abusez pas d’alcools éthyliques et méthyliques : Ce n’est pas bon pour le cerveau, qui est rendu plus stupide que d’habitude par l’absence de sang dérivé vers l’estomac et l’intestin les soirs de bombance annuelle…
 
3 – Et puis, dans la foulée, se pose une question vespérale d’importance : Qui des lève-tôt ou des couche-tard sont les plus heureux, hors période de festivité ?
Posée autrement, la question pourrait être : Si l’avenir appartient peut-être à ceux qui se réveillent aux aurores, qu’en est-il de leur bonheur ?
Et je vous épargnerai de controverser autour de la notion de bonheur.
 
Juste pour constater que le monde n’est pas composé d’une moitié de couche-tard et d’une moitié de lève-tôt. En réalité, environ 60 % des « Sapiens-sapiens » de l’espèce Homo seraient un mélange des deux, m’aura affirmé un neuroscientifique.
En règle générale, ce sont les femmes qui ont tendance à être du matin, tandis que les hommes sont plutôt du soir.
L’âge est également un facteur important : Une fois l’adolescence passée, il deviendrait plus facile de se lever tôt.
 
Toutefois, de nombreuses études ont montré qu’il existe un lien entre le fait d’être matinal et le bonheur. En 2020, des recherches menées auprès de centaines d’étudiants en médecine de l’université du 9-Septembre, en Turquie, montraient que 26,6 % des oiseaux de nuit obtenaient un score de bonheur inférieur à celui des lève-tôt.
Mais selon une étude de l’université de Leipzig (« Teutonnie »), les personnes matinales seraient plus satisfaites de leur vie et seraient moins susceptibles d’avoir des problèmes de santé mentale.
Les noctambules, quant à eux, auraient plus de risques de présenter des symptômes de dépression, des troubles affectifs et des problèmes de toxicomanie.
Vous voilà prévenu.
Il faut dire que vivre la nuit… demandez donc aux Islandais en hiver…
Notez qu’en été, le soleil se lève et se couche avant eux et ça ne les rend pas plus gais…
 
Mais rien n’est gravé dans le marbre, car ces différences pourraient, au moins en partie, s’expliquer par le simple fait que les couche-tard ont tendance à dormir moins ou à être atteints de troubles du sommeil.
D’autres mécanismes pourraient également être à l’œuvre : Il est possible que les personnes matinales aient notamment de meilleures capacités de régulation émotionnelle et un rapport au temps plus sain.
Je ne suis pas convaincu…
Personnellement, je me lève tôt (question de taille de la vessie) et j’en ai profité longtemps pour faire une première journée de révision des cours de la journée du temps du lycée et de la fac et puis ça m’est resté.
Et pour compenser le manque de sommeil, j’ai pris l’habitude de faire « un petit somme » dans l’après-midi, juste dix à quinze minutes pour une seule phase de sommeil paradoxal parfaitement réparateur.
J’ai ainsi pu découvrir que nos 7 à 8 heures de sommeil profond et en position allongée, c’est juste pour reposer les organes et les muscles qui se nettoient quand ils sont au repos.
Le cerveau, lui, il a seulement besoin de 4 à 6 phases de sommeil paradoxal pour être en pleine forme…
 
Ainsi, on répond à la question suivante : Peut-on passer de noctambule à lève-tôt ? Et comme l’a montré une équipe de scientifiques de l’université anglaise de Warwick, le « chronotype » (la tendance d’une personne à être plus efficace tôt le matin, dans la journée ou le soir) est plutôt lié à la personnalité.
Le fait d’être matinal est associé à un caractère consciencieux, ordonné, discipliné, tandis que les oiseaux de nuit seraient plus souvent extravertis et ouverts d’esprit en disent les « chercheurs qui ne sont pas encore devenus des trouveurs ».
Sauf que la bonne nouvelle, que je peux vous confirmer personnellement, c’est que ni la personnalité ni le chronotype ne sont totalement figés, même s’ils partagent des influences génétiques sous-jacentes.
Tous les deux sont aussi façonnés par des facteurs extérieurs, comme les routines qu’exigent notre travail ou notre environnement familial.
Il est donc tout à fait possible de modifier son « chronotype ».
J’en suis l’exemple vivant, qui parfois s’accroche violemment à son volant pour ne pas s’endormir en conduisant.
 
Quoiqu’une seule fois, j’ai pu faire un rêve éveillé, dans la descente de Sépeaux-Saint-Romain sur l’A6, là où dans le temps il y a eu une catastrophe routière au moment du chantier de l’autoroute…
Ça aura duré quelques secondes qui m’ont paru, sur le moment être un bon quart d’heure où, sur ma vision de la route se superposaient de magnifiques fleurs gigantesques aux couleurs douces parmi lesquelles d’énormes papillons virevoltaient avec un vrai défilé sui racontait une histoire : Vraiment splendide, sauf que si une comète venait à s’effondrer sur la route, ou qu’un OVNI se posait sur mon chemin, pendant ce quart d’heure-là, j’étais bien incapable de faire le moindre mouvement, la plus petite manœuvre d’évitement, ce qui me paniquait pour me rendre compte de ma paralysie, en même que ces images paradisiaques s’empilaient sur ma rétine et me réjouissaient profondément !
Heureusement, ça n’a duré qu’une poignée de secondes et j’ai pu prendre le virage qui suivait sans difficulté et finir mon parcours sur Nice sans la moindre trace de somnolence.
Impressionnant…
 
Bonne fin de week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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