Suite de la controverse avignonnaise.
D’autres m’avancent que des enquêteurs auront découvert que le navire
militaire danois P524 Nymfen et plusieurs navires militaires russes se sont
approchés du lieu de la détonation à la même heure le 21 septembre, 5 cinq
jours avant les explosions du 26.
Étrangement, tous ont éteint leurs transpondeurs et ont donc échappé aux surveillances par satellite.
Mais pas aux radars en fonction dans les environs…
Le 22 septembre, un avion de reconnaissance suédois et une corvette suédoise ont également convergé vers la même zone.
Ouh lala le complot que voici poindre !
Les russes complices des suédois et des danois ?
Invraisemblable, naturellement…
Conséquence logique, l’enquête danoise semble favoriser la piste russe.
L’armée danoise dispose notamment de photographies du navire russe SS-750, incluant un sous-marin de poche, en mer Baltique, 4 jours avant le sabotage.
C’est plus sérieux, car il n’y a aucune explication logique à cette présence russe à cet endroit de la mer Baltique, alors que les navires de l’Otan fond mousser la mer au Nord la Baltique, au large de la Finlande, nouveau membre de l’alliance…
Mais de ça, on n’en parle pas trop dans la presse, pas plus que chez les trolls russes.
Pas plus – mais il faudra attendre octobre 2023 – qu’ils n’ont fait
mention de ce cargo brésilien armé par une compagnie chypriote (ou un autre
paradis fiscal) parti de Saint-Pétersbourg à destination de Lomé avec un
équipage russe qui arrache le gazoduc Lituanie-Suède avec son mouillage et
disparaît en mer de Barents, la route Nord, en direction potentielle de
Vladivostok.
Il y aurait comme un gros nettoyage des routes du gaz au moment où il est envisagé par Kiev de pas renouveler le droit de passage du gaz russe sur son territoire, puisqu’il ne sert plus à rien…
Mais à l’époque, on ne le savait pas encore.
En revanche, les trolls russes relayeront avec passion l’enfumage du prix
Pulitzer « ricain » qui dénonce son pays, de « sources sûres »,
allant jusqu’à affirmer plus tard que les « teutons » avaient été
prévenus du sabotage depuis des lustres…
J’en rigole encore : Les meks, ils claquent un pognon monstrueux pour avoir leur tuyau dont ils auraient su qu’il ne servirait jamais à rien !!!
C’est tellement logique…
Et, puis il y avait encore une autre piste, connue à ce moment-là,
celle-là, celle du Minerva Julie, un navire de 180 mètres battant pavillon grec
et chargé de pétrole russe qui au même moment se dirigeant vers Rotterdam,
s’est soudainement arrêté.
Il a navigué exactement dans la même zone pendant sept jours.
Il attendait officiellement des instructions de livraison. Mais le navire a finalement fait demi-tour et s’est dirigé vers Tallinn et Saint-Pétersbourg au lieu de Rotterdam.
Comme dans un roman d’espionnage bien fait, il y a donc de nombreux suspects avançant tous à la fois des mobiles convaincants et des alibis plausibles…
La confusion reste d’autant plus grande, et entretenue, que les trois enquêtes officielles ne partagent apparemment aucune information et évidemment ne sont pas, pour le moment, rendues publiques.
C’est donc forcément le règne de la manipulation…
Je reste même assez étonné que les « teutons » désignent les Ukrainiens, que les Danois désignent les Russes et que les russes et leurs trolls désignent les « ricains », les norvégiens et les « britishs » dans un « melting-pot » new-look, et que les ukrainiens ne désignent personne alors même que le pipeline qui traverse leur territoire est de toute façon fermé pour cause de guerre…
Pour ma part, j’en reste à la version du roman d’été qui déboule en ligne
depuis une poignée de jours, à savoir des véhicules sur roues qui empruntent l’intérieur
des tuyaux avec leur chargement d’explosif, lancés depuis les vannes de départ
en Russie, alors que d’ordinaire ils servent pour l’inspection de leurs tuyaux.
Très simple à réaliser.
Et ce qui m’a mis la puce à l’oreille, ce sont les premières photos suédoises du fameux tuyau éventré (qui sont devenues inaccessibles depuis) : On y voit nettement qu’au moins une explosion a eu lieu de l’intérieur, pulvérisant l’acier et le béton de protection.
Pas de débris épars ou de tuyau tordu, déplacé, mais une rupture franche…
Curieux, finalement.
Et puis la conversation s’anime autour des raisons. Si ce sont les
« Ricains », d’abord ils l’avaient annoncé et ensuite, ça met un
terme définitif à l’ambition de « composer » rapidement un accord de
cessez-le-feu souhaité par les « teutons » sauvant ainsi leur hiver
énergétique.
Justement, c’est une option qui favorise les russes : Ils mettent ainsi un coin entre les « teutons » et les « anglo-saxons », espérant un éclatement sinon de l’Otan au moins d’une position unanime à soutenir les ukrainiens.
En réduisant le flux d’aide reçu par Kiev, clairement la Russie peut espérer avoir finalement le dessus par simple épuisement rapide des forces vives ukrainiennes…
Et du coup, politiquement, la pertinence d’un sabotage ukrainien qui préserverait ainsi sa position d’intermédiaire obligé avec les gazoducs qui traversent son territoire (et par lequel a débuté, pour des raisons de redevance à verser, le conflit au moment de la révolution orange, qui aura été monté en mayonnaise par les séparatistes du Donbass) prend de l’épaisseur.
En même temps que de prendre le risque de se mettre à dos ses alliés dans ce conflit armé, ça peut paraître contre-productif…
Je finis, rincé, le neurone en patate par leur expliquer qu’autant les
Russes que les Ukrainiens ont chacun leurs faucons et leurs colombes, et qu’il
ne faut pas oublier que bien des ukrainiens sont d’origine russe, que la
plupart des ukrainiens sont russophones, que les mariages mixtes sont nombreux
(et souvent féconds) et qu’ils relevaient tous du patriarche orthodoxe
moscovite Cyril-machin…
En bref, que c’est bien plus compliqué qu’il n’y paraît.
Et ça se poursuit tard le soir avec un autre débat autour des
« Wagner ».
Même « roman » où les Wagner nous font un épisode, qu’il faut pouvoir suivre de très près, parce qu’il reste rocambolesque.
L’affaire aurait commencé alors que les troupes russes auraient bombardé les Wagner engagés dans l’Est de l’Ukraine.
Pas bien certain qu’il s’agisse d’une agression. Une erreur de tir, encore… mais ce n’est pas très probable non plus.
Bref, ça démarre comme d’une rébellion et ça veut foncer jusqu’à Moscou pour faire rendre gorge à leur « sinistre de la guerre » en commençant par Rostov sur le Don, là où se situe le quartier général des opérations de l’opération spéciale militaire.
Curieusement, l’état-major russe « tombe » sans tirer un coup de feu, nous fait-on savoir.
Tu le crois, toâ, là ?
Que tu es bien naïf, si c’est le cas !
Pas moâ : Il n’y a pas eu de combat parce qu’il n’y avait pas à en avoir.
Et évidement, les séditieux, probablement encouragés, font immédiatement route sur Moscou par l’autoroute.
Un petit Paris-Lyon…
Et de plus on nous raconte la panique des moscovites qui creusent à la
hâte des tranchées en travers des chaussées alors que les véhicules des Wagner
finissent par faire demi-tour à mi-chemin devant autant de trous et de
barricades, morts de trouille qu’ils en étaient.
La grosse rigolade que voilà : Pour des professionnels sanguinaires et sans pitié, c’est le grand cirque, quoi !
Parce qu’entre temps, une « paix des braves » aura été signée grâce au dictateur biélorusse.
Décidément, de qui se moque-t-on ?
Arrêt des poursuites judiciaires (elles n’avaient déjà même pas commencé)
exil en Biélorussie ou incorporation sous l’uniforme pour les mercenaires et on
retrouve leur patron à Saint-Pétersbourg qui se promène autour de son siège
social, là où « Poux-tine » veut y installer sa maîtresse (la
gymnaste) en qualité de dirigeante social afin de mieux démanteler le bidule…
RO-CAM-BO-LES-QUE vous dis-je !
Même moâ, je n’aurai pas pu imaginer un scénario aussi grotesque !
Que j’en dis qu’on va mettre du temps pour savoir ce qui s’est vraiment passé.
Mais à mon avis, on risque d’être surpris au bout du bout !
Ce qui sera vérifié quelques semaines plus tard : Le
« chef » se fait bêtement descendre dans son jet privé avec ses bras
droits et gauches réunis en un seul vol et c’est finalement un général russe
qui est chargé de démanteler le groupe Wagner et de reprendre les opérations en
Afrique pour le compte du « patron » sis à Moscou.
C’est que les opérations de sape de la présence « Gauloisienne » au Sahel, qui vont se traduire par un énième coup d’État, auront été longues à se terminer par le retrait des troupes tricolores, l’objectif recherché, et jusqu’au départ des ambassadeurs : Il n’est donc pas question de laisser le terrain libre aux « ricains » sous prétexte de lutte contre le terrorisme.
À Wagner de s’en occuper et de mettre en coupe réglée les pays concernés.
Ça durera quelques années, juste le temps de s’en mettre plein les poches, et le Sahel connaitra de nouvelles secousses politiques : Des gamins, incapables de stabilité, qu’on laisse jouer librement à la guéguerre civile dans le concert des nations « libres & démocratiques ».
De qui se moque-t-on une fois de plus ?
Fort drôle, finalement : Le chemin vers la démocratie post-moderne est long et tortueux.
Le lendemain, je poursuis jusqu’à Saint-Tropez, visiter encore d’autres
« correspondants » qui ne m’avaient pas vu depuis des années et qui
insistaient pour un déjeuner au Sénéquier.
Ça me fait plaisir de les revoir et ils sont toujours aussi chaleureux.
Tout cela dans l’improvisation de mon retard à l’allumage originel du premier BBQ de mon beauf’…
Ils ne se rendent compte de rien des « effets dominos » de leurs décisions, mes « écololos » bobos-post-modernes…
L’année prochaine, si je survis jusque-là, je refuserai : Probablement que je partirai avant tout le monde, sans prévenir personne.
Et on y refait les mêmes décomptes qu’à Avignon !
La saison commence là-bas aussi et ils restent optimistes.
Mais je suis déçu de Saint-Trop’. Décidément mal desservi, un urbanisme montmartrois sous-le-soleil en bord de mer, qui abîme ma macula quand je regarde vers Sainte-Maxime et le large et une spécialité pâtissière des plus classiques.
J’arrive par Port Grimaud et eux viennent de Ramatuelle.
Et je retourne sur Toulon par Cogolin et Bormes-les-Mimosas pour découvrir une piste d’aéroport inattendue, qui existe pourtant depuis des décennies, celui du Golfe de St-Trop’, code OACI : LFTZ.
Catégorie D avec ses 1.071 mètres de pistes orientée 062/242.
Quant aux yachts amarrés, même pas surpris : J’ai déjà vu mieux à Port Hercules.
On n’est pas encore au mois de juillet : Je dois louper quelque chose.
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT
BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR
UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT «
NON RUSSE » !
Étrangement, tous ont éteint leurs transpondeurs et ont donc échappé aux surveillances par satellite.
Mais pas aux radars en fonction dans les environs…
Le 22 septembre, un avion de reconnaissance suédois et une corvette suédoise ont également convergé vers la même zone.
Ouh lala le complot que voici poindre !
Les russes complices des suédois et des danois ?
Invraisemblable, naturellement…
L’armée danoise dispose notamment de photographies du navire russe SS-750, incluant un sous-marin de poche, en mer Baltique, 4 jours avant le sabotage.
C’est plus sérieux, car il n’y a aucune explication logique à cette présence russe à cet endroit de la mer Baltique, alors que les navires de l’Otan fond mousser la mer au Nord la Baltique, au large de la Finlande, nouveau membre de l’alliance…
Mais de ça, on n’en parle pas trop dans la presse, pas plus que chez les trolls russes.
Il y aurait comme un gros nettoyage des routes du gaz au moment où il est envisagé par Kiev de pas renouveler le droit de passage du gaz russe sur son territoire, puisqu’il ne sert plus à rien…
Mais à l’époque, on ne le savait pas encore.
J’en rigole encore : Les meks, ils claquent un pognon monstrueux pour avoir leur tuyau dont ils auraient su qu’il ne servirait jamais à rien !!!
C’est tellement logique…
Il a navigué exactement dans la même zone pendant sept jours.
Il attendait officiellement des instructions de livraison. Mais le navire a finalement fait demi-tour et s’est dirigé vers Tallinn et Saint-Pétersbourg au lieu de Rotterdam.
Comme dans un roman d’espionnage bien fait, il y a donc de nombreux suspects avançant tous à la fois des mobiles convaincants et des alibis plausibles…
La confusion reste d’autant plus grande, et entretenue, que les trois enquêtes officielles ne partagent apparemment aucune information et évidemment ne sont pas, pour le moment, rendues publiques.
C’est donc forcément le règne de la manipulation…
Je reste même assez étonné que les « teutons » désignent les Ukrainiens, que les Danois désignent les Russes et que les russes et leurs trolls désignent les « ricains », les norvégiens et les « britishs » dans un « melting-pot » new-look, et que les ukrainiens ne désignent personne alors même que le pipeline qui traverse leur territoire est de toute façon fermé pour cause de guerre…
Très simple à réaliser.
Et ce qui m’a mis la puce à l’oreille, ce sont les premières photos suédoises du fameux tuyau éventré (qui sont devenues inaccessibles depuis) : On y voit nettement qu’au moins une explosion a eu lieu de l’intérieur, pulvérisant l’acier et le béton de protection.
Pas de débris épars ou de tuyau tordu, déplacé, mais une rupture franche…
Curieux, finalement.
Justement, c’est une option qui favorise les russes : Ils mettent ainsi un coin entre les « teutons » et les « anglo-saxons », espérant un éclatement sinon de l’Otan au moins d’une position unanime à soutenir les ukrainiens.
En réduisant le flux d’aide reçu par Kiev, clairement la Russie peut espérer avoir finalement le dessus par simple épuisement rapide des forces vives ukrainiennes…
Et du coup, politiquement, la pertinence d’un sabotage ukrainien qui préserverait ainsi sa position d’intermédiaire obligé avec les gazoducs qui traversent son territoire (et par lequel a débuté, pour des raisons de redevance à verser, le conflit au moment de la révolution orange, qui aura été monté en mayonnaise par les séparatistes du Donbass) prend de l’épaisseur.
En même temps que de prendre le risque de se mettre à dos ses alliés dans ce conflit armé, ça peut paraître contre-productif…
En bref, que c’est bien plus compliqué qu’il n’y paraît.
Même « roman » où les Wagner nous font un épisode, qu’il faut pouvoir suivre de très près, parce qu’il reste rocambolesque.
L’affaire aurait commencé alors que les troupes russes auraient bombardé les Wagner engagés dans l’Est de l’Ukraine.
Pas bien certain qu’il s’agisse d’une agression. Une erreur de tir, encore… mais ce n’est pas très probable non plus.
Bref, ça démarre comme d’une rébellion et ça veut foncer jusqu’à Moscou pour faire rendre gorge à leur « sinistre de la guerre » en commençant par Rostov sur le Don, là où se situe le quartier général des opérations de l’opération spéciale militaire.
Curieusement, l’état-major russe « tombe » sans tirer un coup de feu, nous fait-on savoir.
Tu le crois, toâ, là ?
Que tu es bien naïf, si c’est le cas !
Pas moâ : Il n’y a pas eu de combat parce qu’il n’y avait pas à en avoir.
Et évidement, les séditieux, probablement encouragés, font immédiatement route sur Moscou par l’autoroute.
Un petit Paris-Lyon…
La grosse rigolade que voilà : Pour des professionnels sanguinaires et sans pitié, c’est le grand cirque, quoi !
Parce qu’entre temps, une « paix des braves » aura été signée grâce au dictateur biélorusse.
Décidément, de qui se moque-t-on ?
RO-CAM-BO-LES-QUE vous dis-je !
Même moâ, je n’aurai pas pu imaginer un scénario aussi grotesque !
Que j’en dis qu’on va mettre du temps pour savoir ce qui s’est vraiment passé.
Mais à mon avis, on risque d’être surpris au bout du bout !
C’est que les opérations de sape de la présence « Gauloisienne » au Sahel, qui vont se traduire par un énième coup d’État, auront été longues à se terminer par le retrait des troupes tricolores, l’objectif recherché, et jusqu’au départ des ambassadeurs : Il n’est donc pas question de laisser le terrain libre aux « ricains » sous prétexte de lutte contre le terrorisme.
À Wagner de s’en occuper et de mettre en coupe réglée les pays concernés.
Ça durera quelques années, juste le temps de s’en mettre plein les poches, et le Sahel connaitra de nouvelles secousses politiques : Des gamins, incapables de stabilité, qu’on laisse jouer librement à la guéguerre civile dans le concert des nations « libres & démocratiques ».
De qui se moque-t-on une fois de plus ?
Fort drôle, finalement : Le chemin vers la démocratie post-moderne est long et tortueux.
Ça me fait plaisir de les revoir et ils sont toujours aussi chaleureux.
Tout cela dans l’improvisation de mon retard à l’allumage originel du premier BBQ de mon beauf’…
Ils ne se rendent compte de rien des « effets dominos » de leurs décisions, mes « écololos » bobos-post-modernes…
L’année prochaine, si je survis jusque-là, je refuserai : Probablement que je partirai avant tout le monde, sans prévenir personne.
Et on y refait les mêmes décomptes qu’à Avignon !
Mais je suis déçu de Saint-Trop’. Décidément mal desservi, un urbanisme montmartrois sous-le-soleil en bord de mer, qui abîme ma macula quand je regarde vers Sainte-Maxime et le large et une spécialité pâtissière des plus classiques.
J’arrive par Port Grimaud et eux viennent de Ramatuelle.
Et je retourne sur Toulon par Cogolin et Bormes-les-Mimosas pour découvrir une piste d’aéroport inattendue, qui existe pourtant depuis des décennies, celui du Golfe de St-Trop’, code OACI : LFTZ.
Catégorie D avec ses 1.071 mètres de pistes orientée 062/242.
Quant aux yachts amarrés, même pas surpris : J’ai déjà vu mieux à Port Hercules.
On n’est pas encore au mois de juillet : Je dois louper quelque chose.
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