Projets
Pour l’heure, ce sont les travaux de « colmatage » qui ont
débuté : Sympathiques les vacances au milieu des perceuses, des scies, des
clous et des marteaux.
Quand je pense que dans ma jeunesse, ma grand-mère débarquait avec moâ dès la fin des ékoles et on passait déjà notre première quinzaine à boucher les trous de la plomberie, raccommoder les fils électriques, remonter les barrières, retaper le jardin, réempiler les murs écroulés par les ânes, débroussailler, écobuer et semer la récolte du mois d’août qui pointait son nez avant de faire les bagages du retour.
Quand les parents arrivaient, c’était le chantier : Une année c’était
les volets et les fenêtres à repeindre, une année c’était la ferronnerie et les
portes.
Il fallait démonter, gratter, poncer, étaler deux couches puis vernir deux fois !
L’enfer c’était les volets et les circonvolutions des grilles ouvragées.
Parce qu’elles, il fallait donner du poignet et qu’en plus on l’enduisait d’antirouille !
Et puis quand mon père (celui qui me fait toujours frémir quand je l’évoque…) était là, il fallait aussi charrier des sacs de ciment, des brouettes de gravier et de sable, pelleter l’ensemble trois fois avant de mélanger avec de l’eau, recommencer trois fois et étaler l’ensemble sous les dalles de pierre qui te bouffaient les mains et te cassait les reins et les ongles…
Ce qui n’évitait pas, l’année suivante, les mauvaises herbes de pousser entre les joints…
Mais c’était moins « la jungle ».
La seconde moitié du mois d’août était sympa : À force d’arroser au matin
à la fraîche et au soir à la nuit tombée, tout était propre, on pouvait alors repartir
sur le continent !
Il suffisait de récolter ce qui avait été semé en début de saison (les radis poussaient bien : De jolies herbes bien hautes pour de toutes petites racines ridicules : Ils profitaient), les premières grappes de la treille et la fin des quetsches.
Les cerises, je n’en ai jamais vu, quant aux figues du figuier, elles n’ont jamais mûri en ma présence. Et puis elles étaient toutes petites : Même pas de quoi en faire des confitures.
Il n’y avait que les pruniers qui, en attirant les guêpes arrivaient à nous en fournir quelques pots de confiture qu’on ramenait religieusement à « Paris-sur-la-plage » entre deux bonbonnes de pinard local, ou qu’on gardait pour l’année suivante… et qui vieillissaient sans être dérangés, à l’abri des rats.
Bref, j’ai toujours pensé que tu n’étais jamais « propriétaire »
de « ta » maison. C’est l’inverse : Une maison choisit son
propriétaire, celui qui lui appartient et qui va passer sa belle jeunesse à
l’entretenir a minima voire l’embellir (s’il en a les ressources… préalablement
fiscalisées et « socialisées »).
Quel esclavage, finalement…
Et c’est donc à mon tour d’embaucher « mes jeunes » pour
« entretenir ».
Sauf que ma « nichée » n’étant pas présente et moâ ayant passé l’âge des konneries, je paye des bras-cassés pour faire à ma place.
C’est peut-être plus cher, mais c’est moins fatigant et c’est mieux fait.
Peut-être que d’ici la fin de mon séjour, j’achèterai des pinceaux et des couleurs, pour faire disparaître les trainées des travaux en cours.
Mais tout juste à peine, n’est-ce pas…
Car pour l’heure, on change toutes les serrures : « Ma Nichée » s’est retrouvée à défoncer une porte pour l’ouvrir, tellement la poignée de la serrure s’est retrouvée inerte dans sa pogne, au mois de mai dernier…
Or, selon où se trouvent les outils, parfois il n’y a pas d’autre solution.
Et il faut encore que je dégote un chauffagiste, mais c’est une denrée rare et surtout surbookée !
Mon ambition du moment est de réinstaller une chaudière pour pouvoir venir à Noël.
Le fou : À Noël, il n’y a rien en Balagne. Les punis et quelques
légionnaires. Même le maire et ses conseillers sont sur le continent, les
profs’ des ékoles sont en vacances, leurs élèves aussi, et le pizzaïolo fait
des crêpes en station alpine.
Le chauffagiste, il est à Miami (ou ailleurs, à Bali, aux Seychelles…) à installer des climatisations et justement, le mien, un peu débordé m’explique que j’aurai intérêt à abandonner mon idée de chaudière au gaz (j’ai pourtant le réservoir sécurisé, l’emplacement, la cheminée, les tuyaux encastrés, le ballon d’expansion et les radiateurs en place) pour installer un chauffage réversible : C’est subventionné !
Et de devoir trouver un gars qui déposerait tout ça l’été prochain…
Tu parles : Pour toucher un sou du « sinistre de la transition
écolologiste », il faut d’abord réaliser un bilan énergétique, pratiquer
une isolation thermique et seulement après, après de longs mois et de
nombreuses démarches et attestations, on te file globalement 50 % du fric que
tu auras dépensé auprès de ton chauffagiste (qui en profite pour doubler son
prix et prendre son temps pour finir son chantier la faute à « faute de
Main-d’œuvre Qualifiée »).
Ça n’a pas de sens, finalement, même pour une vieille maison aux murs épais qui gardent la fraîcheur l’été et la chaleur l’hiver…
Mais j’y reviendrai probablement, parce que cette année, j’ai eu chaud et qu’avant de mourir, j’aimerai bien passer Noël en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » : Or, en vieillissant, on devient frileux, ai-je remarqué.
Et les stères de bois de chauffage, c’est cher quand c’est normalisé.
À part ça, on aura donc appris que le patron des Wagner s’est rendu au
Kremlin pour une visite de courtoisie avec « ses commandants » :
Quand je vous disais que c’était une vaste konnerie, on y est et en plein
dedans !
Mon Gardien serait sur Calvi, mais on n’a pas encore trouvé l’occasion de se croiser.
En revanche, Dumè est descendu en ville avec « JoJo », son épouse.
Très drôle : Il imaginait que j’étais également descendu au port siroter un déca et il voulait me faire la surprise de sa nouvelle voiture : Une BM Mini-Cooper.
Qui n’a plus rien de mini : Un vrai char d’assaut avec toutes les options !
Bé on se croise à l’entrée du parking et on finit chez son lui calvais à picoler des sodas.
C’est mieux qu’au café, parce que le chemin sur le port est en général encombré de camions de livraison : Tu passes une fois en matinée et après le chemin devient piéton jusqu’au ramassage des ordures du lendemain matin aux aurores.
D’ailleurs, ils font moins de bruit les « poubelleurs ».
Tout comme l’aspirateur, car à Calvi, ils aspirent les chaussées (mais pas
le terrain de foot dont le revêtement artificiel se dégrade en marée de petites
billes noires en plastique, qui se répandent partout à la première averse un
peu sérieuse : Vachement intéressant !)
Avant le lever du soleil que ça s’entendait dans tout le canton.
Et ça n’empêchait pas les égouts de se boucher au moindre orage…
Et comme il a plu tous les jours jusqu’à mon arrivée, tout est propre et verdoyant.
Là, j’attends de voir avec la prochaine tempête tropicale pour juger de la qualité du nouveau dispositif…
D’ailleurs, question orage, c’est dans l’Est du pays que ça secoue :
Chez nous, la brume de chaleur persistante a fini par se transformer en nuée
compacte. On voit qu’il fait jour mais pas où est le soleil !
Il paraît que c’est à cause du sable du Sahara… Moâ je pense que c’est la nappe phréatique qui s’évapore doucement pour avoir été chargée à raz-bord…
Mais bon, ça ne va pas durer : On aura rapidement un coup de vent qui va nettoyer le ciel et contenter les surfeurs.
Pour le reste, le monde persiste à tourner autour de sa folie du moment.
L’Otan est à Vilnius, « Bail-Dan » ne participe décidément pas à
l’amélioration de l’espèce pour aligner les âneries les unes derrière les
autres : Ce n’est pas grave, il se fera réélire, à n’en pas douter,
puisqu’ils n’ont rien de mieux à proposer en dit « Dumè » qui reste
également persuadé que notre « Jupiter » national fera un troisième
mandat, par la force des choses, puisque là non plus, on n’a rien de mieux à
proposer…
Même si les sondages font les yeux doux à « Kung-fu-panda »… Sauf qu’il a désormais une tronche de mort-vivant : Pas très avenant.
Et les russes vont copier des missiles occidentaux pour améliorer leur
arsenal.
Je ne sais pas comment ils vont faire : C’est comme pour nos bagnoles (dont celle de Dumè, et la mienne toute neuve et à essence pour revoir miss « Sœur-Âne » en ma ville… dont il est déjà question de me faire savoir que je me suis précipité pour rien à me séparer de mon veau-diesel).
Ils ne sont pas capables de faire des engins sans puces électroniques.
Alors des missiles…
Ma bagnole toute neuve, bardées de tous ses puces, sait même tout mieux
que moâ de comment je conduis ou pas. Elle me dit quand il faut que je passe
une vitesse (en se plantant quand la pente est rude ou que je recherche du
frein-moteur pour soulager les patins de freinage).
Elle sait si je dois tourner mon volant et de quel côté, quelle route je dois prendre, combien de temps je vais mettre pour arriver là où je veux aller, combien de kilomètres il me reste à faire, le temps de parcours à y consacrer, elle allume même mes feux de position et mes phares plus rapidement que moâ, etc.
Je ne sais pas encore pour l’essuie-glace, parce je n’ai pas rencontré de pluie, mais ça doit être pareil.
(En fait, ça fait pareil, mais il me faudra attendre l’automne parigot pour le vérifier : Ils se mettent en marche tout seuls dès avant que tu détectes une goutte de flotte !).
Équipé de la sorte, avec en plus un « gendarme embarqué » sur le
siège passager, qui applaudit bruyamment pour se foutre de ma tronche quand je
dépasse par hasard la vitesse autorisée (pas facile à faire avec le pilote
automatique du régulateur de vitesse) et me traite méchamment de « gamin
de 3 ans » avec « son joujou entre les mains », le plaisir de
conduire s’estompe cordialement…
D’autant que je ne peux plus mettre mes CD-Rom de Patricia Kaas ni des Pink-Floyd faute de lecteur, et que je joue donc avec la roulette du commodo pour trouver une radio sans publicité.
Que c’est source de vertes critiques : En montagne, tu prends un tournant et tu te retrouves avec des radios « ritales » qui parlent et ne chantent pas et tu te fais engueuler parce que tu ne regardes pas la route à chercher une nouvelle porteuse… sans pub.
Que sur la route du retour, j’envisage, l’année prochaine, de faire le trajet en solo : Ce sera mieux pour mon palpitant et l’humeur à bord.
Et au moins je pourrai mettre ma musique « de merde » aussi longtemps que je voudrai sans me faire engueuler.
Et encore, je suis sûr que ma nouvelle bagnole contrôle la pression des
pneus et qu’elle cherche toute seule la longueur d’onde de la radio pour que je
poursuive mon écoute sur 107.7, c’est impeccable pour ça.
On ne sait plus faire une bagnole avec juste un moteur, un embrayage, une boite 3 vitesses, 4 roues, un volant, un frein et un réservoir d’essence.
Il leur faut désormais tout un tas de gadgets qui ne servent à rien, y compris jusque dans ton siège qui devient plus high-tech que mon fauteuil de notaire et ils paniquent à pleurer quand ils n’ont pas leurs puces pour les faire fonctionner.
Alors je demande à voir les russes face à la crise des puces qu’ils en étaient encore obligés de démonter les machines à laver des moscovites pour récupérer quelques pièces pour faire fonctionner leurs orgues de Staline.
On vit décidément une époque des plus curieuses…
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT
BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR
UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT «
NON RUSSE » !
Quand je pense que dans ma jeunesse, ma grand-mère débarquait avec moâ dès la fin des ékoles et on passait déjà notre première quinzaine à boucher les trous de la plomberie, raccommoder les fils électriques, remonter les barrières, retaper le jardin, réempiler les murs écroulés par les ânes, débroussailler, écobuer et semer la récolte du mois d’août qui pointait son nez avant de faire les bagages du retour.
Il fallait démonter, gratter, poncer, étaler deux couches puis vernir deux fois !
L’enfer c’était les volets et les circonvolutions des grilles ouvragées.
Parce qu’elles, il fallait donner du poignet et qu’en plus on l’enduisait d’antirouille !
Et puis quand mon père (celui qui me fait toujours frémir quand je l’évoque…) était là, il fallait aussi charrier des sacs de ciment, des brouettes de gravier et de sable, pelleter l’ensemble trois fois avant de mélanger avec de l’eau, recommencer trois fois et étaler l’ensemble sous les dalles de pierre qui te bouffaient les mains et te cassait les reins et les ongles…
Ce qui n’évitait pas, l’année suivante, les mauvaises herbes de pousser entre les joints…
Mais c’était moins « la jungle ».
Il suffisait de récolter ce qui avait été semé en début de saison (les radis poussaient bien : De jolies herbes bien hautes pour de toutes petites racines ridicules : Ils profitaient), les premières grappes de la treille et la fin des quetsches.
Les cerises, je n’en ai jamais vu, quant aux figues du figuier, elles n’ont jamais mûri en ma présence. Et puis elles étaient toutes petites : Même pas de quoi en faire des confitures.
Il n’y avait que les pruniers qui, en attirant les guêpes arrivaient à nous en fournir quelques pots de confiture qu’on ramenait religieusement à « Paris-sur-la-plage » entre deux bonbonnes de pinard local, ou qu’on gardait pour l’année suivante… et qui vieillissaient sans être dérangés, à l’abri des rats.
Quel esclavage, finalement…
Sauf que ma « nichée » n’étant pas présente et moâ ayant passé l’âge des konneries, je paye des bras-cassés pour faire à ma place.
C’est peut-être plus cher, mais c’est moins fatigant et c’est mieux fait.
Peut-être que d’ici la fin de mon séjour, j’achèterai des pinceaux et des couleurs, pour faire disparaître les trainées des travaux en cours.
Mais tout juste à peine, n’est-ce pas…
Car pour l’heure, on change toutes les serrures : « Ma Nichée » s’est retrouvée à défoncer une porte pour l’ouvrir, tellement la poignée de la serrure s’est retrouvée inerte dans sa pogne, au mois de mai dernier…
Or, selon où se trouvent les outils, parfois il n’y a pas d’autre solution.
Et il faut encore que je dégote un chauffagiste, mais c’est une denrée rare et surtout surbookée !
Mon ambition du moment est de réinstaller une chaudière pour pouvoir venir à Noël.
Le chauffagiste, il est à Miami (ou ailleurs, à Bali, aux Seychelles…) à installer des climatisations et justement, le mien, un peu débordé m’explique que j’aurai intérêt à abandonner mon idée de chaudière au gaz (j’ai pourtant le réservoir sécurisé, l’emplacement, la cheminée, les tuyaux encastrés, le ballon d’expansion et les radiateurs en place) pour installer un chauffage réversible : C’est subventionné !
Et de devoir trouver un gars qui déposerait tout ça l’été prochain…
Ça n’a pas de sens, finalement, même pour une vieille maison aux murs épais qui gardent la fraîcheur l’été et la chaleur l’hiver…
Mais j’y reviendrai probablement, parce que cette année, j’ai eu chaud et qu’avant de mourir, j’aimerai bien passer Noël en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » : Or, en vieillissant, on devient frileux, ai-je remarqué.
Et les stères de bois de chauffage, c’est cher quand c’est normalisé.
Mon Gardien serait sur Calvi, mais on n’a pas encore trouvé l’occasion de se croiser.
En revanche, Dumè est descendu en ville avec « JoJo », son épouse.
Très drôle : Il imaginait que j’étais également descendu au port siroter un déca et il voulait me faire la surprise de sa nouvelle voiture : Une BM Mini-Cooper.
Qui n’a plus rien de mini : Un vrai char d’assaut avec toutes les options !
Bé on se croise à l’entrée du parking et on finit chez son lui calvais à picoler des sodas.
C’est mieux qu’au café, parce que le chemin sur le port est en général encombré de camions de livraison : Tu passes une fois en matinée et après le chemin devient piéton jusqu’au ramassage des ordures du lendemain matin aux aurores.
D’ailleurs, ils font moins de bruit les « poubelleurs ».
Avant le lever du soleil que ça s’entendait dans tout le canton.
Et ça n’empêchait pas les égouts de se boucher au moindre orage…
Et comme il a plu tous les jours jusqu’à mon arrivée, tout est propre et verdoyant.
Là, j’attends de voir avec la prochaine tempête tropicale pour juger de la qualité du nouveau dispositif…
Il paraît que c’est à cause du sable du Sahara… Moâ je pense que c’est la nappe phréatique qui s’évapore doucement pour avoir été chargée à raz-bord…
Mais bon, ça ne va pas durer : On aura rapidement un coup de vent qui va nettoyer le ciel et contenter les surfeurs.
Même si les sondages font les yeux doux à « Kung-fu-panda »… Sauf qu’il a désormais une tronche de mort-vivant : Pas très avenant.
Je ne sais pas comment ils vont faire : C’est comme pour nos bagnoles (dont celle de Dumè, et la mienne toute neuve et à essence pour revoir miss « Sœur-Âne » en ma ville… dont il est déjà question de me faire savoir que je me suis précipité pour rien à me séparer de mon veau-diesel).
Ils ne sont pas capables de faire des engins sans puces électroniques.
Alors des missiles…
Elle sait si je dois tourner mon volant et de quel côté, quelle route je dois prendre, combien de temps je vais mettre pour arriver là où je veux aller, combien de kilomètres il me reste à faire, le temps de parcours à y consacrer, elle allume même mes feux de position et mes phares plus rapidement que moâ, etc.
Je ne sais pas encore pour l’essuie-glace, parce je n’ai pas rencontré de pluie, mais ça doit être pareil.
(En fait, ça fait pareil, mais il me faudra attendre l’automne parigot pour le vérifier : Ils se mettent en marche tout seuls dès avant que tu détectes une goutte de flotte !).
D’autant que je ne peux plus mettre mes CD-Rom de Patricia Kaas ni des Pink-Floyd faute de lecteur, et que je joue donc avec la roulette du commodo pour trouver une radio sans publicité.
Que c’est source de vertes critiques : En montagne, tu prends un tournant et tu te retrouves avec des radios « ritales » qui parlent et ne chantent pas et tu te fais engueuler parce que tu ne regardes pas la route à chercher une nouvelle porteuse… sans pub.
Que sur la route du retour, j’envisage, l’année prochaine, de faire le trajet en solo : Ce sera mieux pour mon palpitant et l’humeur à bord.
Et au moins je pourrai mettre ma musique « de merde » aussi longtemps que je voudrai sans me faire engueuler.
On ne sait plus faire une bagnole avec juste un moteur, un embrayage, une boite 3 vitesses, 4 roues, un volant, un frein et un réservoir d’essence.
Il leur faut désormais tout un tas de gadgets qui ne servent à rien, y compris jusque dans ton siège qui devient plus high-tech que mon fauteuil de notaire et ils paniquent à pleurer quand ils n’ont pas leurs puces pour les faire fonctionner.
Alors je demande à voir les russes face à la crise des puces qu’ils en étaient encore obligés de démonter les machines à laver des moscovites pour récupérer quelques pièces pour faire fonctionner leurs orgues de Staline.
On vit décidément une époque des plus curieuses…
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