Le quotidien de Jean-Marc ne change pas beaucoup.
« Je crois que cette année on va éviter la dinde ! »,
annonce Germaine à son mari.
« Ah bon… Ta mère ne vient pas pour Noël ? »
Plus tard, avec Jean-Paul, devant une bière en terrasse :
« — Dis donc, Jean-Marc, si tu apprends que ta femme te trompe avec un autre homme…
— …
— Ce n’est pas moi, je te rassure, tu fais quoi ?
— Je le tue, lui et son chien !
— Comment ça, son chien ?
— Si un mec couche avec ma femme, il est sûrement aveugle ! »
Lors d’une procédure de divorce, le juge aux affaires matrimoniales
demande à la requérante :
« Madame, vous êtes sûre de ce que vous avancez ?
Vous demandez le divorce pour compatibilité de caractères ?
Vous êtes sûre que ce n’est pas le contraire ? »
La dame répond :
« Oui, Monsieur le juge, c’est pour compatibilité et non incompatibilité.
Comprenez, Monsieur le juge.
Moi j’aime le cinéma, mon mari aussi.
J’aime aller à la mer et mon mari aussi.
J’aime le théâtre et lui aussi.
J’aime les hommes, et … lui aussi ! »
Le cœur : « Tu devrais lui dire ce que tu ressens… »
Le cerveau : « Ni penses même pas ! »
Alcool : « Message envoyé »
Exercice de conjugaison :
« — Je bois, tu bois, il boit, nous buvons…
— Très
bien. Au futur ?
— Je vomis, tu vomis, il vomit… »
« — Papa, pourquoi tu fumes…
— C’est à cause de ta mère : elle me stresse !
— Mais elle est partie !!!
— Justement j’ai peur qu’elle revienne ! »
C’est l’histoire de Jean-Marc, qui se plaint qu’en
qualité de chef de son service, il n’est pas suffisamment respecté par ses
collègues.
Le lendemain, il revient avec une pancarte sur laquelle est inscrit :
« Ici, le chef, c’est moi ! »
Et il l’accroche sur la porte de son bureau, bien en évidence.
Quand il revient de déjeuner, l’écriteau avait disparu et à sa place il y avait un post-il sur lequel était écrit :
« Votre femme est venue récupérer son panonceau ! »
Germaine se plaint auprès de Marie-Chantal, cette après-midi-là, à l’occasion
de leur thé :
« Je suis absolument en désaccord avec mon mari au sujet des prochaines vacances.
Moi, je veux aller aux Maldives.
Et lui veut venir avec moi… »
Jean-Marc à Jean-Paul :
« Tu sais, la vie d’un chien vaut mieux que l’avis d’un kon ! »
Jean-Paul lui raconte qu’il a un ami, Jean-Claude, qu’il est tellement
radin que lorsqu’il regarde la messe à la télévision, au moment de la quête, il
éteint son poste.
Jean-Marc à Jean-Paul :
« — Il existe deux types de femmes…
— Oui je sais : Celles qui disent « oui » et les autres…
— Non, tu n’y es pas.
— Ah ?
— Celles qui croient encore à l’amour et celle qui ont déjà acheté un chat… »
Germaine, un soir, à Jean-Marc :
« — Je me suis épilée…
— Wouah, cool ! On va pouvoir enfin faire des trucs !
— Tu penses à quoi, gros cochon ?
— Je ne sais pas… en faire un paillasson ! »
Germaine et Marie-Chantal :
« — Je vais le quitter. Je crois qu’il me trompe !
— Non, je ne pense pas !
— Et il est nul au lit !
— Ah non, je ne trouve pas… »
Jean-Paul en train de se faire draguer…
« — Tu fumes ?
— Non !
— Tu bois ?
— Non !
— Tu es un coureur de jupons ?
— Non !
— Non ? Alors tu n’as aucun défaut ?
— Non ! Juste un : Je mens beaucoup… »
Jean-Marc à Jean-Paul…
« Je crois qu’il n’y a rien de pire, après une nuit alcoolisée que
de se réveiller à côté de quelqu’un et de ne pas se rappeler de son nom…
Ni comment on l’a rencontré…
Ni de pourquoi elle est morte… »
C’est l’histoire d’une femme de 80 ans qui a été arrêtée pour vol dans un
supermarché.
Le juge lui demande :
« Qu’avez-vous volé ? »
Elle répond :
« — Une boîte de pêches !
— Pourquoi avez-vous volé cette boîte ?
— Parce que j’avais faim.
— Combien y-avait-il de pêches dans cette boîte ?
— Six !
— Très bien ! Vous aurez six jours d’emprisonnement. »
Là-dessus, le mari de la dame intervient vertement…
« — Puis-je dire quelque chose, Monsieur le juge ?
— De quoi s’agit-il ?
— Elle a aussi volé une boîte de petits pois … »
Dumè pose des affichettes sur poteaux des lampadaires d’éclairage public à
Bastia :
« À tous les cyclistes qui
passent au feu rouge et roulent sans éclairage, Jean-Paul s’explique :
« Je me suis baladé toute la journée d’hier avec la braguette ouverte.
Résultat, ce soir j’ai un rhume du cerveau ! »
Un gamin de 7 ans écrit à son père :
« Mon très cher Papa,
Je suis très heureux d’avoir la possibilité de t’écrire
cette lettre, parce que je veux juste te dire que ton secret est toujours bien
gardé.
Je n’ai pas dit à Maman que tu as embrassé son amie Amélie à la fête d’anniversaire, et je ne lui ai même pas dit que tu as couché avec elle dans votre lit !
Quoiqu’il en soit, tu pourras remercier Maman parce qu’elle m’a aidé à corriger les fautes de cette lettre… »
« C’est quoi le foot ?
22 milliardaires qui courent derrière un ballon applaudis par
des millions de pôvs’ »
Avertissement de Jean-Marc :
« Messieurs, attention !
Quand une femme vous invite à boire un café,
en réalité, elle veut juste vous mettre dans son lit !
Ne vous faites pas avoir… »
Question idiote :
« S’il fait zéro degré et que la météo annonce qu’il fera deux fois plus froid le lendemain…
Qu’elle sera la température ? »
C’est l’histoire d’un étudiant qui demande à son professeur de philosophie :
« Comment expliquer la notion de dilemme ? »
Le professeur répond :
« Très simplement et comme il n’y a rien de mieux qu’un bon exemple, imaginez, mon jeune Padawan, que vous êtes couché au milieu d’un grand lit.
D’un côté, une superbe jeune femme aguichante et de l’autre
un homme gay et entreprenant.
À qui allez-vous tourner le dos ? »
Je ne sais plus si ce sont des revenues ou non.
Je vous les livre tout de même :
Le prêcheur islamique Zakir Naik est monté dans un taxi à Londres et a dit
à haute voix au chauffeur de taxi :
« Frère, stp éteins la radio, car comme le Saint Coran l’ordonne, je n’ai pas le droit d’écouter de la musique, car au temps du Prophète il n’y avait pas de musique, surtout la musique occidentale, qui est la musique des mécréants. »
Le chauffeur de taxi a poliment éteint la radio, arrête le taxi et ouvre la porte de son taxi.
Zakir lui demanda :
« Qu’est-ce que tu fais frère… »
Le chauffeur de taxi lui répond poliment :
« À l’ère du Prophète :
Il n’y avait pas de taxi.
Il n’y avait pas de bombes.
Il n’y avait pas de raccourcis.
Il n’y avait pas de haut-parleurs dans les mosquées pour réveiller les nouveau-nés, les personnes âgées et les malades à des heures étranges.
Il n’y a pas eu de attentats suicide.
Il n’y avait pas d’AK 47.
Il y avait la paix partout…
Alors ferme-la, sors et attends un chameau, frère prêcheur… »
On continue :
« Comment cuire des carottes sans feu ?
Tu en mets neuf dans une casserole et tu en retires
une : Les carottes sont qu’huit ! »
« — Si tu insistes tant que ça, on va faire l’amour en position
carte de crédit.
— C’est quoi ça ?
— C’est sans contact. »
C’est un touriste breton dont la voiture est immatriculée 22 (Côte
d’Armor) qui est en vacances à Marseille.
Il descend le Boulevard d’Athènes pour se rendre sur le Vieux Port.
Il est 14 heures et comme d’habitude, c’est le grand embouteillage.
Devant la voiture du breton se trouve celle d’un papi marseillais.
Ledit papi change de file en permanence, un coup à droite, puis à gauche, puis il revient à droite et ainsi de suite.
Ulcéré, le breton s’énerve et parvient enfin à le dépasser.
Arrivé à la hauteur du papi, il se penche vers sa fenêtre de droite et hurle :
« Alors le vieux, vous arrêtez de changer de file sans arrêt ! On roule à droite un point c’est tout ! »
Le brave papi, qui a sa fenêtre ouverte, regarde le breton d’un air complètement étonné et lui répond :
« Oh fada ! Ici on est à Marseille ! On ne roule ni à droite ni à gauche ! »
Le conducteur breton n’en croit pas ses oreilles et enchaîne :
« Ah bon ! Et vous roulez où à Marseille ? »
Le papi lui rétorque alors :
« Eh, comme d’habitude couillon, on roule à l’ombre ! »
Bon week-end et surtout joyeux réveillon à toutes et tous !
I3
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A
ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA
DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE »
!
« Ah bon… Ta mère ne vient pas pour Noël ? »
« — Dis donc, Jean-Marc, si tu apprends que ta femme te trompe avec un autre homme…
— Ce n’est pas moi, je te rassure, tu fais quoi ?
— Je le tue, lui et son chien !
— Comment ça, son chien ?
— Si un mec couche avec ma femme, il est sûrement aveugle ! »
« Madame, vous êtes sûre de ce que vous avancez ?
Vous êtes sûre que ce n’est pas le contraire ? »
« Oui, Monsieur le juge, c’est pour compatibilité et non incompatibilité.
Moi j’aime le cinéma, mon mari aussi.
J’aime aller à la mer et mon mari aussi.
J’aime le théâtre et lui aussi.
J’aime les hommes, et … lui aussi ! »
Le cœur : « Tu devrais lui dire ce que tu ressens… »
Le cerveau : « Ni penses même pas ! »
Alcool : « Message envoyé »
« — Je bois, tu bois, il boit, nous buvons…
— Je vomis, tu vomis, il vomit… »
— Mais elle est partie !!!
— Justement j’ai peur qu’elle revienne ! »
Le lendemain, il revient avec une pancarte sur laquelle est inscrit :
« Ici, le chef, c’est moi ! »
Et il l’accroche sur la porte de son bureau, bien en évidence.
Quand il revient de déjeuner, l’écriteau avait disparu et à sa place il y avait un post-il sur lequel était écrit :
« Votre femme est venue récupérer son panonceau ! »
« Je suis absolument en désaccord avec mon mari au sujet des prochaines vacances.
Et lui veut venir avec moi… »
— Oui je sais : Celles qui disent « oui » et les autres…
— Non, tu n’y es pas.
— Ah ?
— Celles qui croient encore à l’amour et celle qui ont déjà acheté un chat… »
« — Je me suis épilée…
— Tu penses à quoi, gros cochon ?
— Je ne sais pas… en faire un paillasson ! »
« — Je vais le quitter. Je crois qu’il me trompe !
— Et il est nul au lit !
— Ah non, je ne trouve pas… »
« — Tu fumes ?
— Tu bois ?
— Non !
— Tu es un coureur de jupons ?
— Non !
— Non ? Alors tu n’as aucun défaut ?
— Non ! Juste un : Je mens beaucoup… »
Ni de pourquoi elle est morte… »
Le juge lui demande :
« Qu’avez-vous volé ? »
Elle répond :
« — Une boîte de pêches !
— Parce que j’avais faim.
— Combien y-avait-il de pêches dans cette boîte ?
— Six !
— Très bien ! Vous aurez six jours d’emprisonnement. »
« — Puis-je dire quelque chose, Monsieur le juge ?
— Elle a aussi volé une boîte de petits pois … »
Merci d’avoir sur vous l’autorisation
de don d’organe ! »
« Je me suis baladé toute la journée d’hier avec la braguette ouverte.
« Mon très cher Papa,
Je n’ai pas dit à Maman que tu as embrassé son amie Amélie à la fête d’anniversaire, et je ne lui ai même pas dit que tu as couché avec elle dans votre lit !
Quoiqu’il en soit, tu pourras remercier Maman parce qu’elle m’a aidé à corriger les fautes de cette lettre… »
« Messieurs, attention !
en réalité, elle veut juste vous mettre dans son lit !
Ne vous faites pas avoir… »
« S’il fait zéro degré et que la météo annonce qu’il fera deux fois plus froid le lendemain…
« Comment expliquer la notion de dilemme ? »
Le professeur répond :
« Très simplement et comme il n’y a rien de mieux qu’un bon exemple, imaginez, mon jeune Padawan, que vous êtes couché au milieu d’un grand lit.
À qui allez-vous tourner le dos ? »
Je vous les livre tout de même :
« Frère, stp éteins la radio, car comme le Saint Coran l’ordonne, je n’ai pas le droit d’écouter de la musique, car au temps du Prophète il n’y avait pas de musique, surtout la musique occidentale, qui est la musique des mécréants. »
Le chauffeur de taxi a poliment éteint la radio, arrête le taxi et ouvre la porte de son taxi.
Zakir lui demanda :
« Qu’est-ce que tu fais frère… »
Le chauffeur de taxi lui répond poliment :
« À l’ère du Prophète :
Il n’y avait pas de bombes.
Il n’y avait pas de raccourcis.
Il n’y avait pas de haut-parleurs dans les mosquées pour réveiller les nouveau-nés, les personnes âgées et les malades à des heures étranges.
Il n’y a pas eu de attentats suicide.
Il n’y avait pas d’AK 47.
Il y avait la paix partout…
Alors ferme-la, sors et attends un chameau, frère prêcheur… »
« Comment cuire des carottes sans feu ?
— C’est sans contact. »
Il descend le Boulevard d’Athènes pour se rendre sur le Vieux Port.
Il est 14 heures et comme d’habitude, c’est le grand embouteillage.
Devant la voiture du breton se trouve celle d’un papi marseillais.
Ledit papi change de file en permanence, un coup à droite, puis à gauche, puis il revient à droite et ainsi de suite.
Ulcéré, le breton s’énerve et parvient enfin à le dépasser.
Arrivé à la hauteur du papi, il se penche vers sa fenêtre de droite et hurle :
« Alors le vieux, vous arrêtez de changer de file sans arrêt ! On roule à droite un point c’est tout ! »
Le brave papi, qui a sa fenêtre ouverte, regarde le breton d’un air complètement étonné et lui répond :
« Oh fada ! Ici on est à Marseille ! On ne roule ni à droite ni à gauche ! »
Le conducteur breton n’en croit pas ses oreilles et enchaîne :
« Ah bon ! Et vous roulez où à Marseille ? »
Le papi lui rétorque alors :
« Eh, comme d’habitude couillon, on roule à l’ombre ! »
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