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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 5 décembre 2023

Les JO au pays des déficits et dérapages budgétaires perpétuels…

Comment voulez-vous que ça se termine ?
 
Alors que les retards et autres déconvenues s’accumulent dans l’organisation des JO de « Paris 2024 », on a appris la semaine dernière que la candidature Gauloisienne « Alpes 2030 » était la seule retenue par le CIO…
Les pôv’ !
Je te vous jure : On ne peut pas interdire les JO sur notre territoire, une fois pour toutes, s’il vous plaît ?
Ni mes gamins ni les vôtres ne pourront tout payer, figurez-vous !
 
D’ailleurs, en examinant l’histoire des Jeux Olympiques, on constate que les budgets ont, presque toujours, été dépassés en moyenne de 176 % (presqu’un doublement de coût).
À l’exception des Jeux de 1984 de Los Angeles, aucune ville hôte n’a jamais enregistré de bénéfices dits « économiques » ni même aura autofinancé l’opération.
Ça aura toujours creusé les déficits et donc l’endettement public…
Je me rappelle même que ceux d’Athènes avaient mis en quasi-faillite les grecs et qu’on a failli en perdre, plus tard, l’Euro et même l’unité européenne !
Un coup des « ricains » ?
Probablement même pas…
 
Concernant « Paris 2024 », on évoquait des retombées de 11 milliards d’ici 2035. Or, de nombreuses villes ont fait des promesses similaires pour mobiliser la population en faveur des Jeux.
Cependant, à l’exception relative de Barcelone en 1992, aucun pays n’a véritablement évalué la réalisation de ces promesses pour surtout ne pas savoir…
Ça ferait trop peur.
Mais quand on est « soce » en mon pays, on n’a peur de rien : Ils s’en foutent, ce n’est pas eux qui payent, mais les gueux qui ont pu croire à leurs mirages…
Une raison de plus pour hurler, haut et fort, que le socialisme en Gauloisie, c’est une hérésie, un mirage. La preuve, c’était un « mythe-errant » !
 
En ce qui concerne « Paris 2024 », on promet des Jeux équilibrés économiquement et socialement, responsables sur le plan environnemental, spectaculaires, inédits et éthiques.
Bin voyons : N’en jetez plus !
Car bien que d’importants efforts aient été déployés, on peut douter de la responsabilité environnementale d’avoir décidé des épreuves de surf à Tahiti et non pas à Biarritz.
D’ailleurs, il est probable que les épreuves seront rapatriées sur la côte basque dans un « plan B » décidé au dernier moment, tellement l’intendance ne suit pas sur le site pressenti.
Car cette décision a un coût de transformation du site et implique un déplacement des athlètes, à l’instar du seul déplacement de « Sœur-Âne », une des personnalités clés dudit événement planétaire.
Pourtant la doxa recuite qu’on nous impose avec « Paris 2024 », c’est que « les Jeux payent les Jeux » !
Sauf qu’il reste à le vérifier, étant donné les nombreux défis auxquels leurs responsables sont confrontés.
 
Et c’est avec cette invraisemblable mentalité du « cochon de payeur » sollicité racketté sans que surtout il donne son avis, toujours dans l’urgence et au dernier moment, pour combler l’incurie des « sachants » « trisomiques & autistes » qui décident à notre place que ça fonctionne encore.
Personnellement, je ne pensais pas voir l’événement, mais vu que je fais du rab, je m’inquiète de plus en plus vivement à la fois de l’été prochain, et de cette démocrature qui s’avance avec ses « QRcode », ces restrictions de liberté et cette censure permanente qui nous fige dans l’effroi…
 
Prenez donc le dernier exemple de l’incurie généralisée : Les transports publics devaient être gratuits, résultats les prix auront quasiment doublé !
Le pire, c’est qu’après avoir bien entravé les locations de meublés, en faisant flipper tout le monde par l’annonce de diverses mesures de rétorsion et les histoires mondialement connues de « puces de lit » (importées des USA…), de toute façon on s’arrange pour bloquer les automobilistes autour de la ville et on bloque les sorties de métro tout autour des sites : Tout va bien !
 
Les dépassements de budget sont monnaie courante lors de l’organisation des JO.
Et à « Paris-2024 » ce n’est ni l’inflation ni le « Conard-virus » qui peuvent être mis en avant comme prétexte pour être les sources principales de l'augmentation des coûts.
Le budget initial de était de 5,5 à 6 milliards en 2017. Comme pour tout budget de candidature, il a été largement sous-évalué, tel que le reconnaît à plusieurs reprises la Cour des Comptes.
Incurie de nos décideurs et de ceux chargés de la gestion du dernier public : Votre pognon !
Si voue en vouliez une démonstration supplémentaire, celle-là est flagrante : Des incompétents…
Car actuellement, le coût estimé se situe entre 8,8 et 9 milliards, ce qui, en soi, n'est pas si catastrophique (quoique…), mais ça va augmenter.
On vire les étudiants de leurs chambres dans les cités, mais on les embauche quasiment manu militari pour assurer la sécurité, payés avec un tire-bouchon, parce qu’on va manquer des bras (et ils iront crécher sous les ponts en espérant que la Seine ne déborde pas avec ses fameuses crues d’été) : J’y serai bien allé, histoire de constater la pagaille, mais je suis retenu en Balagne…
 
C’est que le coût de la sécurité n’a justement pas encore été évalué et devrait être plus que substantiel.
À terme, ces Jeux pourraient atteindre un coût de 10 à 12 milliards, qu’on va vous présenter comme un investissement « politique » pour le bien être des riverains, et pas autre chose.
On prend les paris ?
Bref, un doublement, comme d’habitude.
Et la question subsidiaire est de savoir quelle est la part de ce coût qui sera à la charge du contribuable en comparaison des recettes privées obtenues (billetterie, droits de télévision…) ou dit autrement, combien de bénéfices vont définitivement être fait par les « sponsors » qui vont pouvoir se gaver… ?
À titre de comparaison, lors des Jeux de Tokyo, le budget était de 5 milliards au départ, avant de s’envoler à 12 milliards, notamment à cause du report des Jeux de 2020 à 2021 pour cause de « Conard-virus ».
Nous servira-t-on une nouvelle fois l’excuse de la guerre en Ukraine ou celle contre le Hamas ?
Peut-être même que Caracas aura fait son « anschluss » entre temps que forcément ça aura un impact sur le prix du baril d’énergie…
 
Car, le problème prédominant sera aussi d’assurer la sécurité du pays et des Jeux.
C’est une question de moyens et de ressources, et les « sachants » de mon pays semble enfin aborder la question de manière organisée : Il n’est jamais trop tard pour tenter de bien faire.
D’autant que si les menaces existent (un radicalisé vient de frapper sur le pont Bir Hakeim), les signes avant-coureurs d’action de cinglés de la touffe ne sont pas aussi visibles, pertinents, qu’à Londres il y a 12 ans.
Et encore, les forces de l’ordre de sa très gracieuse Majesté s’étaient débrouillées pour qu’il n’y ait pas eu de débordements qui auraient pu endeuiller l’événement sportif.
À titre de comparaison, Londres, justement avait initialement prévu 400 millions pour la sécurité, mais la facture a finalement dépassé le milliard…
 
Cette situation constitue un problème majeur, notamment en considération des risques potentiels tels que ceux qui sont inhérents à toute préparation des Jeux (grèves, incidents techniques) et maintenant, ce qui est sans doute le plus important, les cyberattaques, qui concernent l’ensemble des dispositifs des Jeux.
Or, en la matière, les hackers ont toujours et forcément un temps d’avance sur les défenseurs du système.
Le ministère de l’Intérieur prévoit 12 milliards de cyberattaques durant la préparation et l’organisation des Jeux.
Une augmentation qui est exponentielle par rapport aux Jeux de Tokyo et de Rio…
 
On venait de le dire : Les transports sont également un défi majeur.
Un, on constate un gros retard dans la mise à disposition de nouvelles lignes de métro nécessaires aux Jeux. Et certaines ne seront pas prêtes.
Deux, de plus, la gratuité promise des transports envisagée n’est plus de mise, puisque la facturation d’un seul ticket de métro est fixée à 4 euros (un prix dément), pour des raisons d’économies.
Trois, la billetterie, la cérémonie d’ouverture et les modalités opérationnelles des sites de compétition suscitent elles aussi des inquiétudes. D’abord, les tarifs pratiqués sont hors d’atteinte d’une famille de smicards, sauf s’ils mangent des « patate-beure-sans-beure » pour le reste de l’année.
Ensuite, qautre, franchement, a-t-on d’ailleurs idée de défiler non pas dans une arène, mais sur un fleuve ?
Et d’en bloquer l’espace aérien, des fois que ça déborde jusque dans la stratosphère…
Enfin, cinq, ce dispositif de sécurité prévoit un QRcode pour accéder à certaines zones de la capitale, ce qui est une entrave manifeste en matière de liberté de circulation et va générer un boxon dément dans la circulation pédestre et motorisée.
Sans compte le six, nos « sachants autistes et trisomiques » n’ont pas encore pensé que ce sera l’occasion rêvée pour les éboueurs, les traminots, les cheminots, les contrôleurs du ciel, les gilets-jaunes, le bonnets-rouges, les cagoules noires et quelques autres, de fermer boutique et d’aller casser du touriste sur les boulevards quand ce n’est pas du « prince du muscle » !
Après tout, nous sommes les champions olympiques des mouvements sociaux : Il faut bien défendre ce titre-là !
Si en plus les taxis prennent des vacances parce que leurs tarifs ne sont pas revalorisés et qu’on interdit les Uber, je ne vous raconte même pas combien on va regretter nos « bouquinistes-sur-quai-de-Seine » !
 
Et ce qui me faire rire – pour en rajouter – ce sont les promesses environnementales formulées pour gagner les Jeux avant qu’ils ne nous soient attribués. Il a été promis de diviser par deux l’empreinte carbone de « Paris 2024 » par rapport aux Jeux de Londres.
Et cette promesse, on le sait déjà, ne sera pas tenue !
Il a été également beaucoup promis que le sport sera plus développé, notamment dans les écoles. Au profit des petits-parigots, exclusivement ?
Malin…
Il avait été promis d’intégrer complètement les personnes en situation de handicap, notamment en termes d’accessibilité.
Il sera impossible de tenir toutes ces promesses démagogiques dans les délais impartis, mais pas avant l’arrivée de l’automne et seulement sur les sites olympiques : Pas question de poser des ascenseurs dans tous les stations de métro non plus…
 
À noter qu’après les Jeux de Londres en 2012, toute la partie Est de la ville devait se transformer en appartements à louer. Mais en raison des prix de l’immobilier, cela ne s’est jamais, jamais concrétisé.
Ces quartiers de Londres étaient censés offrir des opportunités à toutes les couches sociales de la société, et pas seulement aux individus les plus aisés.
Seulement voilà, c’est très « british-bobo » d’habiter dans ce qui était, dans le temps, une décharge contaminée…
 
À Rio en 2016, les autorités avaient promis de dépolluer toute la baie de Guanabara, une promesse qui n’a jamais été tenue.
De nombreuses structures construites n’ont pas été correctement entretenues et sont aujourd’hui dans un état lamentable, laissées à l’abandon.
 
En règle générale, l’entretien des infrastructures liées aux Jeux pose problème, comme cela a été le cas à Athènes.
Il en sera probablement autant pour « Paris-2024 » qui n’a d’ailleurs pas imaginé qu’il faille de « l’air refroidi » (même pas conditionné, seulement rafraîchi) dans les logements du village olympique…
La météo sera-t-elle exécrable ?
Si c’est déjà prévu, aucune raison de sacrifier au confort des athlètes. Et s’il fait trop chaud, ils péteront les plombs avec de la clim’ installée « à la sauvage » sur les prises électriques disponibles…
Ainsi le sort du village des athlètes, destiné à se transformer en logements sociaux, demeure très incertain.
De toute façon, je ne te vous raconte pas dans quel état ils seront rendus, tout comme ceux des étudiants, réquisitionnés ici et là comme on vient de le dire…
 
Lors des Jeux d’Hiver de Sotchi, on avait promis le retour du Lynx dans les forêts environnantes, mais sur le plan environnemental, ces Jeux ont été considérés comme un fiasco total par de nombreux « écolologistes ».
Les autorités russes ont entrepris la construction d’aéroports, de gares, le déplacement de montagnes et l’abattage de forêts, avec la promesse que tout serait rétabli par la suite. Cependant, il est évident que cela n’a pas été réalisé.
Et le lynx n’est pas revenu.
En Chine, mais constat. En plus, pour les jeux d’été, les populations déplacées, celles qui ont vu leur habitat détruit, ne seront jamais revenues.
Pour les jeux d’hiver, les installations de neige artificielle, les détournements de cours d’eau, ne servent plus, ne sont pas entretenues et la montagne ne retrouvera jamais sa flore et sa faune.
Chez nous, notons avec Reggiani qui le chantait, les loups sont déjà entrés dans les ministères.
De toute façon, jusque-là, il n’y avait que des ânes qui y campaient…
 
Comme à Rio ou à Londres, nous ne savons pas si la Seine sera réellement dépolluée et si les Parisiens pourront s’y baigner, mais franchement, je n’y crois pas une seule seconde.
Il ne faut pas dékonner : Quand tu chopes un poisson depuis les berges, tu le refiles au fleuve tellement tu risques de t’empoisonner aux métaux lourds si tu vas pour le bouffer.
Déjà, ceux de Rungis ne sont pas toujours de la meilleure fraîcheur…
 
In fine, l’objectif des Jeux Olympiques de Paris 2024 en termes de retombées économiques et de créations d’emplois ne seront atteints que si les entreprises concernées par les emplois créés continuent de jouer le jeu après 2024.
Le pourront-elles ?
Pour quel marché en perspective au juste ?
Car elles aussi seront confrontées à des problèmes de sécurité, de liberté d’embauche et de gestion du personnel.
 
En résumé, ces Jeux, basés sur la loi d’exemption olympique, peuvent susciter des changements, mais une fois terminés, le climat économique revient bien souvent à son niveau d’antan, son étiage naturel.
Et le mek qui va te raconter que ça aura créé tant et tant d’emploi, il se fout de ta tronche, soit sciemment ce qui est grave, soit par ignorance et on peut se demander ce qu’il fait là : Il vaudrait mieux pour lui qu’il réapprenne à compter à l’occasion des cohortes de chômeurs supplémentaires qu’il faudra bien compter !
 
Les jeux, c’est seulement un ensemble d’opérations de prestige, qui ripoline les égos des élus, qui coûte une blinde et font plaisir à quelques « happy-few » qui ont les moyens financiers pour dire « j’y étais »…
C’est sûr que si ça revient tous les 4 ans (en plus des jeux d’hiver), c’est nettement plus commun que d’avoir été avec ma « poubelle-sur-roues » jusqu’au pied du Mur (de Berlin) avec mon marteau et mon burin : Là, ça c’était un moment unique.
Et historique, même si parfois l’Histoire bégaye tristement…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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