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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 1 juin 2023

Les « parigots » sont aux anges !

Nouvelle discipline olympique : La migration forcée des SDF !
 
Les parigots vont enfin espérer avoir une ville propre, nettoyée de ses détritus et autres racailles qui encombrent leurs trottoirs.
Car les prochains Jeux olympiques doivent se tenir en 2024 et, comme d’une répétition générale, la coupe du monde de « Rubis à 15 » au mois septembre de cette année et qu’il faut dès maintenant (et même bien avant) prendre la mesure des mesures nécessaires !
L’un dans l’autre, après le cauchemar du fiasco total de la finale de la coupe d’Europe du ballon rond, les « autorités » font tout pour que ça se passe bien et la répétition générale de l’automne 2023 va être un maxi-test sur la capacité de nos « sachants » à être à la hauteur.
Même si de nouveaux obstacles s’amoncèlent dans l’organisation de cet événement citoyen et festif qui permettra à la « Kapitale de Gauloisie » de briller de mille feux… et autant sinon plus de rats (et autres rongeurs…), c’est que vous allez voir que ça vient de loin.
 
Déjà, quantité de billets ont été vendus, ce qui renfloue les caisses, à des prix dirimants (mais pourquoi se montrer pingre en pareille occasion ?), les restes étant raflés par les fédérations et autres « institutionnels » qui ne vont pas savoir quoi en faire.
Passons, tout sera prêt pour le « grand spectacle » de « Paris-sur-sa-plage » en berges de Seine, la ville vidée de ses étudiants pour loger les « petites-mains » qui assureront les « menues-tâches » de « ramasseurs de balles » ou de « coupeurs de citron » sur les bancs de touche : Tout doit être parfait !
Ce sera l’heure de gloire de « Sœur-Âne » entourée de ses invités…
 
La brillante équipe municipale, menée de main de maître par notre « mairesse-municipale », avait dès le départ tous les atouts pour faire de ces événements une réjouissance internationale impressionnante de professionnalisme et d’organisation, tant il est vrai que ma ville a jusqu’à présent été, sous la houlette des mêmes pilotes, une véritable vitrine de ce qui se fait de mieux en matière de somptuosité et de luxe superfétatoire dans un lit de crasse.
D’ailleurs, l’ambiance est manifestement excellente dans les équipes en charge de ces Jeux olympiques, à tel point que la présidente du Comité olympique Gauloisien vient de démissionner pour « apaiser les (quelques) tensions internes » qui y régnaient.
 
En outre, outre une fête des cinq sens et du muscle pour les participants, mais également les spectateurs (y’a pas de raison), il semble que l’organisation de ces jeux ait probablement envisagé d’assurer une solide rentabilité financière de l’événement, en tarifant les billets de ces spectacles d’une façon diablement ciblée : 2.700 euros pour la cérémonie d’ouverture, 980 euros pour les grandes finales par tête de pipe, voilà qui permettra de filtrer habilement le public présent dans les stades.
Déjà qu’avec les mouvements de grève à prévoir dans les transports (et l’hôtellerie), il faudra être sacrément friqué pour arriver jusque-là : Pas à la portée de n’importe quel gueux les petites « festivités de sœur-Âne »…
C’est probablement le nouveau dogme des « soces-parigots » : Même l’élitisme se mérite !
Car à défaut d’autre chose, ce qui fonctionne bien, ça reste la discrimination par le fric.
Il y aura les « in » et les losers, « out », derrière les barrières des péages.
 
Progressivement, à l’approche de la date de lancement de cette réjouissante performance organisationnelle franco-gauloisienne, tous les indicateurs se mettent donc au vert (prudents, ils préfèrent eux aussi s’éloigner de la Kapitale puisque la Kapitale n’a pas encore pu se mettre au cœur des verts pâturages, et autres forêts, bois et guérets).
En parallèle, les préparatifs, notamment hôteliers, continuent donc de bon train : C’est qu’un nombre considérable d’athlètes est à prévoir à proximité des principaux lieux de rencontre.
 
Les accommodements sont donc en cours de préparation, quitte à, comme indiqué, expulser des étudiants de leurs logements, sur initiative du CROUS.
On en vient même à décaler la rentrée scolaire et la rentrée universitaire, parce qu’en septembre, il y aura les jeux « paralympiques » pour une seconde session de rattrapage de celle de juillet…
La Mairie de Paris, décidément fort inventive et quelque peu bizarre dans son approche, mise donc à la fois sur l’adaptabilité aux exigences sportives de ces logements étudiants, tous naturellement construits avec à l’esprit les plus hautes exigences en matière de solidité et de confort, et à la fois sur l’abnégation et la compréhension des étudiants concernés qui, pas du tout endoctrinés par des associations gôchistes lucratives sans but (sauf à détruire ce que leurs membres ne comprennent pas pour le remplacer par ils ne savent même pas quoi), n’auront probablement pas l’idée de faire l’une ou l’autre manifestation d’opposition à cette idée lumineuse.
Celle-là, je la trouve géniale : Les étudiants, dehors. On n’a pas besoin de suceurs de roues dans la kapitale de ma patrie, voyons donc…
Des « petites-mains » qui feront esclave de la conciergerie, alors là oui…
 
Du reste, comme l’initiative n’a guère rencontré d’opposition, cette même idée a prestement été transposée à d’autres populations, notamment la faune festive et enrichissante des quartiers les plus vibrants d’un « Paris-sur-la-Seine » accueillant toutes les diversités : Dans un malin jeu de vases communicants, des SDF de passage en Île-de-Gauloisie vont être saupoudrés dans les autres régions du pays !
Au passage, on notera la disparition de l’information pourtant intéressante (mais politiquement plus dangereuse) que l’écrasante majorité (pour ne pas dire la totalité) de ces « sans abris » sont des immigrés clandestins qui seront ainsi répartis dans toutes les autres régions du pays.
Enfin « toutes » les régions, non, pas tout-à-fait : Le saupoudrage n’aura pas lieu en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » (pour « des raisons logistiques » ou disons plus probablement une raison plastique, celui que mes « cousins » appliquent parfois sur des bâtiments officiels), ni à Tahiti (qui accueille les épreuves de surf, parce qu’à Biarritz, n’est-ce pas…), d’autant qu’ils râlent une fois encore d’accueillir trop de monde l’été avec leurs maigres ressources en eau et en foncier (bâti ou de « toile »).
Ça aurait été l’hiver, encore… ou à la saison des récoltes, mais en plein mois de juillet, soyons raisonnables…
Et surtout pas dans les Hauts-de-Gauloisie… qui ont mentionné avoir pris de l’avance avec les « futurs Britanniques » en attente de Ferry et qui occupent un espace et des ressources publiques considérables…
 
Je ne suis pas le seul à admirer les effets de cette nouvelle discipline olympique qui consiste à semer et pousser les petits soucis sécuritaires et de propreté hors d’un territoire afin de les répartir, à égalité, chez les voisins sur le reste du pays qui sera heureux de participer ainsi à l’heure de gloire olympique.
Pas pris vraiment pour des décharges publiques, mais presque…
Nos régions vont pouvoir faire preuve de leur légendaire hospitalité, comme le lui impose gentiment l’élite autoproclamée des « sachants » parigots avec une pertinence et un à-propos rares qui lui permettront d’éviter tous débordements futurs.
Moâ, j’admire…
D’autant qu’on apprend avec un étonnement modéré que les « Franciliens » récemment déplacés l’ont été dans des structures locales précédemment occupées par des migrants installés depuis quelques temps.
Cet intéressant jeu de bonneteau assez peu humanitaire promet d’intéressantes tensions entre les nouveaux et les anciens occupants.
Sans compter que de temps à autres, un maire rural en rend son écharpe, ferme son cabinet et s’exile vers un ailleurs anonyme après avoir vu sa maison brûler, sa famille encore à l’intérieur…
 
Il ne fait plus le moindre doute qu’à l’occasion de ces Jeux olympiques, nous allons vibrer comme jamais : Pour répondre aux petits problèmes de personnel qui semblaient pointer leur nez et afin d’assurer la sécurité des biens et des personnes pendant cette période, il est dorénavant prévu un déplacement sensible d’un bon nombre de fonctionnaires des Forces de l’Ordre vers la kapitale (on évoque 22.000 agents sur les 35.000 promis), qu’il va falloir loger, nourrir et soigner (des coups de soleil).
Parallèlement, l’application intelligente, humaine et bien organisée de ce saupoudrage olympique de migrants de la capitale vers nos régions dont on aura préalablement retiré les Forces de l’Ordre garantit un été 2024 particulièrement calme et serein, personne n’en doute.
D’autant que, naturellement, tout le monde en pense que les trafiquants de substances illicites seront du voyage…
On pourra même suivre leurs traces en direct sur les vidéos installées tout plein partout, armé de logiciels de reconnaissance faciale… pour votre sécurité !
C’est sûr qu’ils ne viennent pas jusqu’en Balagne, où même les marseillais se faisaient régulièrement « massacrer » par la pègre locale : Ils se contentent de Bastia et d’Ajacciu.
Comme quoi, la migration des trafiquants ira peut-être à rebours des flux de SDF.
Le préfet va en perdre son latin (si jamais il en a eu…)
 
Le problème, en revanche reste entier pour… 1° les rats et 2° le retour à la normale.
Nos élites font appel à des CDD saisonniers (qui dans le temps faisait la saison sur la côte ou dans les champs et vignobles) pour assurer la « petite-intendance » en les logeant chez les étudiants, priés d’étudier ailleurs…
Et pour faire propre sur soi, on vire nos SDF qui sont évacués dans les centres d’accueil pour migrants.
Mais les migrants, ils vont où ?
En Angleterre ou on les laisse crever dans nos rues vidées de nos SDF et autres trafiquants à la petite-journée ?
Et puis une fois les para-olympiques terminés, tout le monde reprend ses habitudes comme si de rien n’était en revenant à son point de départ ?
Question subsidiaire : Les rats parigots suivent le mouvement ou ils restent sur place pour accueillir les champions du muscle et la presse internationale et montrer combien ils adorent une ville gérée par des « soces » ?
 
Naturellement, je n’ai absolument aucun doute sur le fait que ces « grandes migrations » là vont être une superbe réussite qui touchera à l’excellence.
Au moins, on aura parfaitement mérité la médaille d’or du « Grand remplacement » !
Et c’est tant mieux, parce qu’il s’agit d’en tirer les conclusions… justement pour ma Balagne estivale.
 
Parce que vous ne le saviez pas, mais la « Corsica-Bella-Tchi-tchi » devait servir de laboratoire à l’expérimentation d’un contrat de travail inédit, pour faire face au casse-tête du recrutement.
« Le CDI saisonnier ».
Une vingtaine de structures avaient été sélectionnées pour expérimenter ce dispositif novateur dans le monde du travail. Depuis, silence radio. « Cela aurait peut-être permis de régler des problèmes incessants de recrutement. C’est bien dommage que cette mesure soit restée dans les cartons… »
Il faut dire que des contrats saisonniers, on en a déjà plein dans le code du travail, et jusque dans les clubs de foot : Tous dérogatoires au droit commun du CDI (et des CDD autorisés).
 
Cette année, la saison touristique débute dans l’île avec plus de 15 % d’emplois saisonniers non pourvus et autant d’offres en souffrance.
Ma « cafetière » sur le port de plaisance de Calvi n’aura ouvert qu’à l’Ascension, faute de personnel… très en retard sur Pâques qui marque l’arrivée de la saison.
L’annonce du CDI saisonnier avait été faite en grande pompe à Ajaccio en avril 2021 par le secrétaire d’État au Tourisme d’alors, justement en prévision des JO de 2024.
Sauf qu’au terme d’une année de crise sanitaire, éprouvante pour le secteur touristique, l’île devait servir de laboratoire à l’expérimentation de ce contrat à durée indéterminée inédit. Objectif : Tester les conditions d’une annualisation du temps de travail pour les salariés du secteur.
Un concept simple : Pour les employés, elle était censée garantir la conservation de leur emploi toute l’année, y compris durant les périodes de non-activité, en leur permettant de retrouver leur poste au moment de la réouverture des établissements. Pour les entreprises, elle devait offrir une alternative aux recrutements saisonniers dans un secteur qui peine à trouver des bras et leur permettre de compter sur une équipe déjà bien en place et formée.
 
La « Corsica-Bella-Tchi-tchi » n’avait pas été choisie au hasard par les « sachants-parigots ». À travers ce dispositif, il s’agissait de répondre aux besoins de la région de métropole la plus dépendante du tourisme (39 % du PIB), présentant la plus forte saisonnalité de l’emploi – 19 % des contrats privés, contre 3 % pour la moyenne nationale – et surtout soumise à d’insolubles difficultés de recrutement, accrues depuis la crise sanitaire.
Au point que les « natios » voudraient bien instituer des quotas : Je me marre parce qu’ils existent déjà avec les rotations des navires et avions…
Mais ces élus-locaux-là doivent être les seuls à ne pas savoir que la Corsica-Bella-Tchi-tchi est une île, tout ce qu’il y a de plus ceinte de flotte…
 
À la clé, une économie d’argent public estimée par les services de l’État à 2 % de l’ensemble des allocations versées annuellement par « Paul-en-ploie » dans le pays, rendue possible en faisant sortir une partie de ces saisonniers de la boucle « CDD-chômage. »
Qui leur convient bien, dans l’ensemble : Le choix du travail « à la carte »…
Sauf que si ce projet est désormais au point mort (et n’intéresse plus les « sachants-parigots »), c’est aussi parce qu’il soulève de nombreuses questions s’agissant du cadre réglementaire de ce nouveau type de contrat : Lissage des congés payés, volume horaire amplifié pendant la haute saison, définition d’un statut juridique spécifique pour les employés…
Sauf que le fonctionnement de ce CDI saisonnier suppose au moins sept mois de travail, ce qui n’est déjà pas le cas dans toutes les entreprises du secteur touristique sur l’Île-de-Beauté.
Et encore moins pour les JO…
 
C’est en effet là où le bât blesse en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » : Selon « Lyne-sait-tout », en 2019, année de référence avant la crise sanitaire, seuls 7 % des contrats saisonniers avaient une durée supérieure à sept mois dans l’île.
Rien n’est pourtant perdu : « L’État reste engagé pour trouver des solutions aux difficultés des entreprises et des salariés. Nous essayons de mobiliser des fonds auprès de partenaires dans le but de poursuivre la démarche. Nous espérons relancer l’expérimentation en 2024. »
Car là où l’expérimentation aura apporté ses leçons indispensables pour les JO, c’est justement sur la question du logement des saisonniers.
Pas de logement (décent et à prix abordable dans une zone déjà « tendue » par le tourisme, ce n’est pas gagné) à proposer, pas de main-d’œuvre, donc pas de business, mais des charges fixes à couvrir…
Et devinez par quoi les organisateurs des JO ont commencé ?
Par les logements !
Toute une ville olympique sortie de terre au forceps pour les « princes du muscle », les étudiants virés de leurs campus, les SDF de leurs logements d’urgence, pour les « petites-mains » et les casernes rééquipées pour accueillir la flicaille du pays…
Seuls les rats auront été les cocus de ce « Grand remplacement ».
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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