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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 9 juin 2023

Germaine et Marie-Chantal prennent le relai

Sais-tu pourquoi …
 
« ― Les hommes donnent un petit nom à leur pénis. Sais-tu pourquoi ?
― Oh, c’est bien simple.
― Oui…
― C’est parce qu’ils veulent appeler par son prénom la personne qui guide toutes leurs décisions, pardi ! »
 
« ― Pourquoi les asiles de vieux donnent-ils du viagra à leur petits vieux avant de les coucher ?
― Pour ne pas qu’ils roulent en bas de leur lit durant la nuit, voyons ! »
 
« ― Et pour quelle raison on en donne aussi aux grands-brûlés, dans les hôpitaux ?
― Pour tenir les draps éloignés des brûlures… »
 
« ― Marie-Chantal, connais-tu l’histoire de ce vieux monsieur qui se rend à la pharmacie et demande au pharmacien de lui donner du Viagra ?
― Non, dis-moi !
― Eh bien le pharmacien lui dit : Aucun problème, combien en voulez-vous ?
Seulement quelques-uns, peut-être 4, mais coupez-les en quatre parties répond le vieux monsieur.
Ça ne vous fera pas tellement d’effet lui précise alors le pharmacien.
Mais c’est très bien comme ça, insiste le vieux monsieur. Et de préciser : Je ne les utilise pas pour le sexe, après tout, j’ai 90 ans mais je veux que mon engin soit assez étiré pour ne pas pisser sur mes souliers. »
 
« ― Connais-tu la différence entre une tumeur et la vie ?
― Oui, bien sûr : quand on t’enlève la tumeur, tu vis.
Quand on t’enlève la vie, tu meurs ! »
 
« ― À ton avis, quel est le nerf le plus long du corps humain ?
― Euh… je ne vois pas…
― C’est le nerf optique !
― Ah, tu crois ?
― Naturellement : Quand tu te tires un poil de cul, ça te fait immanquablement pleurer.
― Ah oui… Je n’avais pas pensé à ça, jusque-là… »
 
« ― Germaine, sais-tu comment dit-on homosexuel en vietnamien ?
― Pas la moindre idée, figure-toi ! Tu sais toi ?
― Oui ! Y’aime la mienne. »
 
Puis, après avoir vidé sa tasse de thé, Marie-Chantal entreprend de raconter l’histoire de Jeanjean, un gérant de fast-food dans la région de Dunkerque.
Ce gars-là est toujours de bonne humeur. Il a toujours quelque chose de positif à dire.
Quand on lui demande comment il va, il répond toujours : « Si j’allais mieux que ça, nous serions deux, mon jumeau et moi ! »
Quand il déménage, plusieurs serveurs et serveuses sont prêts à lâcher leur job pour le suivre d’un restaurant à un autre pour la seule raison qu’ils admirent son attitude.
C’est un motivateur naturel.
Quand un employé file un mauvais coton, Jeanjean est toujours là pour lui faire voir le bon côté des choses.
Curieuse, Marie-Chantal est allé voir Jeanjean un jour pour lui demander : « Je ne comprends pas. Il n’est pas possible d’être toujours positif comme ça, partout, tout le temps. Comment fais-tu ? »
Et Jeanjean de répondre : « Tous les matins à mon réveil, je me dis que, aujourd’hui, ou bien je choisis d’être de bonne humeur, ou bien je choisis d’être de mauvaise humeur. Et je choisis toujours d’être de bonne humeur.
Quand il arrive quelque incident déplorable, ou bien je choisis d’en être la victime, ou bien je choisis d’en tirer une leçon.
Quand quelqu’un vient se plaindre à moi, ou bien je choisis d’entendre sa plainte, ou bien j’essaie de lui faire voir le bon côté de la chose. »
« Mais ce n’est pas toujours si facile » lui répond Jean-Pascal.
Et Jeanjean d’enchaîner alors : « La vie, c’est une question de choix.
On choisit sa façon de réagir aux situations.
On choisit de quelle façon les autres peuvent nous influencer ou non.
On choisit d’être de bonne humeur ou de mauvaise humeur.
On choisit de vivre sa vie de la manière qui nous convient. »
Or, plusieurs années plus tard, j’ai entendu dire que Jeanjean a fait incidemment ce qu’on ne doit jamais faire dans la restauration : Il a laissé déverrouillée la porte arrière du restaurant un bon matin et il s’est fait surprendre par trois voleurs armés.
En essayant d’ouvrir le coffre-fort, sa main tremblante de nervosité, il n’arrivait pas à faire la combinaison numérique.
Un des intrus a paniqué et a tiré.
Heureusement pour Jeanjean, les choses n’ont pas traîné et il a été vite transporté à l’hôpital.
Après dix-huit heures de chirurgie et des semaines de soins intensifs, Jeanjean a reçu son bon de sortie de l’hôpital avec des débris de la balle qu’on n’avait réussi à lui retirer du corps dans sa poche.
J’avais revu Jeanjean six mois après cet incident et je lui ai demandé comment il réagissait à tout ça.
Il m’a répondu : « Si j’allais mieux que ça, nous serions deux, mon jumeau et moi. Tu veux voir mes cicatrices ? »
Je n’ai pas voulu voir ses blessures mais je lui ai demandé ce qui lui avait passé par la tête au moment du vol.
Et Jeanjean de dire : « La première chose qui m’est venu à l’idée est que j’aurais dû fermer à clé la porte arrière du restaurant.
Et puis, étendu sur le plancher après m’être fait tirer une balle, je me suis souvenu que je pouvais encore faire un choix : ou bien de vivre ou bien de mourir. Et j’ai choisi de vivre. »
« Tu n’as pas eu peur ? » lui ai-je demandé.
Et lui de répondre : « Les secouristes ont été bien corrects. Ils n’ont pas cessé de me dire que tout allait bien. Mais en entrant dans le bloc opératoire de l’hôpital, j’ai vu l’expression faciale des médecins et des infirmières et, là, j’ai eu peur. J’ai vu dans leurs yeux que j’étais un homme mort et j’ai su que je devais agir vite. »
« Et alors, qu’as-tu fait ? »
« Eh bien, mon amie, il y avait une grosse infirmière qui me bombardait de questions. Elle voulait savoir si j’étais allergique à quelque chose.
Je lui ai dit oui, et les médecins et les infirmières se sont arrêtés pour entendre ce que j’allais leur dire.
J’ai pris une profonde respiration et je leur ai dit que j’étais allergique aux balles des armes à feu !
Quand ils ont eu cessé de rire, je leur ai dit que j’avais fait le choix de vivre et qu’ils feraient mieux de m’opérer comme si j’étais un homme vivant plutôt qu’un homme mort ! »
Jeanjean a survécu grâce à l’expertise des médecins mais aussi grâce à son attitude étonnante !
« J’ai appris de lui », finit par conclure Marie-Chantal, « que tous les jours, nous devons faire des choix : ou bien de profiter pleinement de la vie ou bien de s’y emmerder tant qu’on veut.
La seule chose qui nous appartient et que personne ne peut contrôler, ni nous enlever, ce sont nos attitudes.
Alors, quand on peut cultiver des attitudes positives, tout le reste est de la petite bière.
Une autre tasse de thé, Germaine ? »
 
« ― Tu sais, Germaine, les hommes ont tout de même beaucoup de chance !
― Ah bon ? Comment ça.
― Rends-toi compte, leurs conversations téléphoniques ne durent jamais plus de 30 secondes ;
La nudité dans les films ne s’applique qu’aux femmes.
Une seule valise leur suffit pour une semaine de vacances.
Le rugby le samedi soir, le tiercé le dimanche.
Il ne leur est pas nécessaire de mettre votre nez dans la vie sexuelle de leurs amis.
Dans les aires d’autoroute, la queue de la file d’attente pour les toilettes est beaucoup plus courte.
Ils peuvent ouvrir tous vos pots de conserves en un tour de main.
Leurs amis se foutent éperdument de savoir s’ils ont pris ou perdu quelques kilos.
Les coiffeurs et les garagistes ne les volent pas jusqu’à leur dernier centime.
Et lorsqu’ils zappent sur les chaînes de Télé, ils ne s’arrêtent pas sur chaque scène où quelqu’un est en pleurs !
Leur cul n’est jamais un critère lors d’un rendez-vous pour un emploi.
Leurs orgasmes sont toujours réels.
Quelques bières ne les rendent pas invisible aux yeux du sexe opposé.
Ils n’ont pas à traîner un plein sac de choses utiles partout où ils vont.
Leur patronyme ne change pas.
Ils peuvent laisser la chambre d’hôtel sans faire le lit.
Lorsqu’on critique leur travail, ils n’ont pas l’impression que tout le monde les déteste.
Ils peuvent abattre un gibier pour se nourrir.
― La chance… »
 
Germaine rapporte cette histoire à Marie-Chantal, qu’elle prétend absolument authentique.
C’est l’histoire d’un homme qui vient de mourir.
Et Germaine assiste à ses obsèques avec Jean-Marc.
Le curé, lors de la cérémonie funèbre, n’arrête pas de s’étendre en éloges :
« C’était un bon mari »
« Un excellent chrétien »
« Un père exemplaire… »
Etc. et pendant 10 bonnes minutes comme ça.
À tel point que la veuve se tourne alors vers un de ses enfants et lui dit à l’oreille :
« Va jusqu’au cercueil et essaye de regarder si c’est bien ton père qui est dedans. »
 
Germaine rapporte à Marie-Chantal l’histoire suivante :
Comme elle va fêter ses 25 ans de mariage avec Jean-Marc, elle lui demande un soir :
« Mon amour, que vas-tu m’offrir pour nos noces d’argent ? »
Et Jean-Marc de répondre du tac au tac :
« Un voyage en Chine ! »
Germaine avoue avoir été très surprise par ce cadeau magnifique, et rejoute à l’adresse de son mari :
« ― Mais mon amour, si pour nos 25 ans tu m’offres un tel présent, que feras-tu pour nos 50 ans ?
― J’irai te chercher. »
       
Pendant ce temps-là, à quelques rues de distance, Jean-Marc et Jean-Paul sirote chacun une bière en terrasse et finissent une nouvelle nomenclature de classement des genres de personne qu’ils croisent parfois.
Ils en ont trouvé le quart d’une centaine, façon… scatologique.
Par exemple :
Une personne vaniteuse : C’est quelqu'un qui aime l’odeur de ses pets.
Une personne aimable : C’est quelqu’un qui aime l’odeur des pets des autres.
Une personne orgueilleuse : C’est quelqu'un qui croit que ses pets sont raffinés.
Une personne gênée : C’est quelqu’un qui pète silencieusement et rougit.
Une personne insolente : C’est quelqu’un qui pète effrontément et rit.
Une personne scientifique : C’est quelqu’un qui pète régulièrement mais qui est concernée par la pollution.
Une personne malchanceuse : C’est quelqu’un qui essaie terriblement de péter mais qui chie à la place.
Une personne nerveuse : C’est quelqu’un qui arrête en plein milieu d’un pet.
Une personne honnête : C’est quelqu’un qui admet avoir pété mais nous donne une bonne raison médicale.
Une personne malhonnête : C’est quelqu’un qui pète et accuse le chien.
Une personne insensée : C’est quelqu’un qui retient ses pets pendant des heures.
Une personne économe : C’est quelqu’un qui a toujours plusieurs pets en réserve.
Une personne anti-sociale : C’est quelqu’un qui s’excuse et se retire pour péter.
Une personne stratégique : C’est quelqu’un qui accompagne son pet d’un rire sonore.
Une personne sadique : C’est quelqu’un qui pète dans son lit et ensuite secoue les couvertures vers son compagnon.
Une personne intellectuelle : C’est quelqu’un qui pète au moindre effort physique.
Une personne malheureuse : C’est quelqu’un qui aimerait sincèrement péter mais ne le peut pas.
Une personne athlétique : C’est quelqu’un qui d’après la senteur des pets de ses voisins, peut dire ce qu’ils ont mangé.
Une personne sensible : C’est quelqu’un qui pète et se met à pleurer.
Une personne enjouée : C’est quelqu’un qui pète dans sa baignoire et mord les bulles que ça fait.
Une personne oublieuse : C’est quelqu’un qui jure, entre deux pets, qu’elle ne pète jamais.
Une personne ignorante : C’est quelqu’un qui pense que ses pets ne puent pas.
Une personne ambitieuse : C’est quelqu’un qui souhaite que ses pets soient plus bruyants que ceux de ses voisins.
Une personne secrète : C’est quelqu’un qui se met un bouchon de liège afin que ses pets pètent par en dedans.
Une personne prévoyante : C’est quelqu’un qui s'excuse avant de péter.
Ils ont les occupations qu’ils peuvent, imbibés de bière qu’ils sont…
L’air de rien, un long travail de recherche… éthylique !
 
Bon week-end à toutes et tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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