Sur l’épaule Jean-Marc !
« ― Lorsque j’avais 14 ans, tout ce que je désirais, c’était
d’avoir une blonde avec une forte poitrine.
Au lycée, j’ai eu l’occasion de rencontrer une fille passionnée, mais elle avait trop d’émotions, tout était URGENT, elle était la reine de la dramatique, elle pleurait tout le temps et menaçait de se suicider.
J’ai alors opté pour une fille plus stable.
J’ai par la suite trouvé cette fille stable mais elle était ennuyante.
Elle était totalement prévisible et jamais elle ne s’excitait à propos de rien.
La vie est devenue tellement monotone que j’ai décidé de trouver une fille plus excitante.
À la faculté, j’ai finalement trouvé une fille très excitante, à un tel point que je ne pouvais plus la suivre. Elle me bousculait d’une chose à l’autre, ne s’arrêtant jamais sur rien.
Elle était de tout plaisir au début et très énergétique mais trop frivole.
Elle courtisait tous les hommes sous son passage.
Elle m’a rendu aussi souvent misérable qu’heureux. J’ai alors décidé de chercher une femme avec un peu plus d’ambition.
J’ai finalement trouvé une femme intelligente et ambitieuse, avec les deux pieds bien ancrés sur terre et je l’ai épousé.
Elle était tellement ambitieuse qu’elle m’a divorcé et parti avec tous mes biens.
Maintenant, tout ce que je cherche, c’est une femme avec une forte poitrine : Peu importe qu’elle soit brune, blonde ou rousse.
― Je comprends, mais je t’avertis tout de suite…
― Quoi ?
― Tu n’es pas sorti de l’auberge… »
Toujours Jean-Paul :
« L’autre jour, je me promenais avec ma petite sœur à l’épicerie.
Oh, regardes Jean-Paul… des graines de Donut ! »
C’est l’histoire d’une vieille dame qui vient de se coucher et qui voit
son mari se diriger vers la salle de bain.
Elle lui dit :
« ― Viens te coucher, Jean-Jacques.
Jean-Marc et Jean-Paul, chacun devant une bière, en terrasse parisienne.
― Une lueur d’espoir…
― Tu es sûr ? Ce n’est pas l’histoire de la blonde avec un mèche noire, plutôt ?
― Tout de suite, se moquer des blondes… »
La famille a demandé de ne pas envoyer de fleurs.
« J’ai envoyé une boîte de chocolat… » raconte-t-elle à Germaine qu’elle convoie dans sa voiture…
« ― En tous cas, moi non plus je ne veux pas de fleurs à ma mort. Je veux qu’on envoie de l’argent à l’association de la maladie qui m’aura emportée.
Dans la série des « revenues » :
C’est l’histoire des deux gars se font arrêter pour trafic de drogue.
Ils écoutent sagement le juge en comparution immédiate…
« Vu que c’est votre première offense, je vais vous laisser une chance. Vous n’irez pas en prison si vous arrivez à convaincre 25 jeunes de pas prendre de drogue. »
Le lendemain les deux gars vont dans une école et, le surlendemain, ils comparaissent devant le juge.
« Et aqlors, combien de jeunes avez-vous convaincus ? »
Le premier répond :
« ― 32.
― J’ai dessiné deux cercles, un grand et un petit : 0 o.
Je leur ai dit que le premier cercle, c’est leur cerveau avant de prendre de la drogue pis le deuxième, c’est celui de quelqu’un qui prend de la drogue.
― Bonne tactique. Et toi ? »
« ― J’en ai convaincu 265…
― J’ai utilisé presque le même dessin sauf que j’ai placé le o puis le O et je leur ai dit que s’ils prennent de la drogue ils vont se retrouver en prison.
J’ai ensuite expliqué que le o, c’est leur anus avant d’entrer en prison et que le O, c’est après quelques mois à l’intérieur. »
Une autre ?
Jean-Marc dit à sa femme :
― Comment ça ?
― Il me faudrait quelqu’un pour te remplacer.
― Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour faire et défaire ma lessive ?
― Oui !
― Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour passer la tondeuse l’été ?
― Oui !
― Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour promener mon chien ?
― Oui !
― Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour conduire ma voiture ?
― Oui !
― Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour utiliser mes clubs de golf.
― Non !
― Comment ça, non ?
― Il est gaucher. »
Jean-Marc et Jean-Paul :
― Crétin ! Et les 5 autres ?
― Je ne vois pas ! Ils n’existent pas…
― Avant-hier, Hier, Aujourd’hui, Demain et Après-demain… »
À propos de « revenues »
Quelles sont les dix qualités d’un pénis ?
1- Il a le sens de la famille, la preuve : Il est toujours prêt.
2- C’est un être intelligent : Il a la tête plus grosse que le corps.
3- C’est un individu plein de vaillance : Il se lève toujours debout quand on a besoin de lui.
4- C’est un dur de dur.
5- Il a un grand cœur : Il donne toujours du plaisir à sa partenaire.
6- Il peut travailler dans n’importe quelle position, aussi bien de jour que de nuit.
7- Plein de courage, il n’a pas peur d’aller au fond des choses.
8- Côté médical : Il a toujours une crème anti-gerçure à la portée de la main.
9- Il a la peau douce comme celle d’un bébé.
10- Côté pratique pour ces dames : Il peut servir de jouet ou comme outil à leur bonheur.
Néanmoins il a sept défauts :
1- Il a un trou dans la tête.
2- Il a un cerne autour du col.
3- Il a deux gosses à sa charge.
4- Son plus proche voisin est un trou du cul.
5- Il travaille au noir.
6- Il paye en liquide.
7- Il s’évanouit après son travail.
À propos de sexe, Marilyn Monroe en disait :
« Le sexe fait partie de la nature, j’obéis à la nature ! »
Catherine Millet assurait que :
« Beaucoup de femmes ont des fantasmes sexuels. Moi je les réalise ! »
Philosophe, Albert Samain prétendait que
« Le plus grand crime peut-être de la société, c’est d’avoir rendu l’amour honteux. »
Alors que Sharon Stone affirmait :
« Si vous avez un vagin et des idées, ça donne un mélange d’enfer ! »
Pendant qu’Angelina Jolie certifiait que :
« J’ai déjà aimé des femmes et couché avec elles aussi. Je pense que si vous êtes une femme et que vous voulez du plaisir, une autre femme saura parfaitement s’y prendre pour vous combler. »
Alors que pour Woody Allen :
« Le sexe entre deux personnes, c’est beau. Entre cinq personnes, c’est fantastique… »
Jamie Lee Curtis attestait que :
« Je continue à considérer la masturbation comme le meilleur passe-temps possible. »
Fin observateur, Frédéric Dard garantissait que :
« Le sexe masculin est ce qu’il y a de plus léger au monde, une seule pensée peut le soulever ! »
C’est l’histoire d’un amiral d’une flotte
militaire prestigieuse qui, avant de donner un ordre au timonier, filait dans
sa cabine, prenait la clé de son coffre, soulevait tous les documents qu’il y
avait à l’intérieur, puis lisait un petit bout de papier.
Puis, il refermait le coffre et commençait sa journée de navigation.
Plusieurs années ont passé et la maladie est venue chercher l’amiral.
Après l’enterrement, les membres d’équipage se sont regardés et à la course, se rendent au coffre du patron de la flotte.
L’un d’eux, ouvre le coffre, soulève tous les documents, puis s’écria à haute voix ce qui était inscrit sur le petit bout de papier :
« Bâbord à gauche, Tribord à droite. »
C’est un monsieur âgé avec les dents cariées qui se présente à la caisse
du resto pour payer son addition.
Une soucoupe pleine de cure-dents est disponible, alors il en prend un et se dépêche à curer ses dents tout en attendant sa monnaie de la caissière.
Une fois ses dents nettoyées, il replace le cure-dents dans la soucoupe et en s’adressant à la caissière, il lui dit tout bas :
« ― Vous devez vous en faire voler beaucoup !
C’est l’histoire authentique de quatre femmes qui se sont installées, les
seins dénudés, à la fenêtre de leur maison, en attendant qu’on leur fasse une
mammographie par satellite !
Une histoire qui se passe au Portugal, à San Bartholomeu de Messines, en Algarve.
Les quatre femmes ont toutes reçues un téléphone d’une personne se prétendant être un médecin qui leur demandait, dans le cadre d’un essai d’une nouvelle technologie révolutionnaire, de se placer, les seins nus, devant la fenêtre pour qu’on puisse prendre une mammographie par satellite.
« Bien entendu, l’examen ne vous coûtera rien et vous n’avez pas besoin de vous déplacer. Vous nous téléphonerez, un peu plus tard, pour obtenir les résultats. »
Lorsque les femmes ont téléphoné au médecin pour leur demander les résultats, elles sont tombées sur un voyeur qui leur a dit combien il les désirait, combien elles étaient belles et désirables.
Les victimes de ce « poisson de juin » sont âgées entre 19 et 45 ans et elles ont porté plainte.
Dans la rue, Jean-Marc croise un policier :
« ― J’ai trouvé ce pingouin… Qu’est-ce que je dois en faire ?
« ― Eh bien, vous ne l’avez pas emmené au zoo ?
Bon week-end à toutes et à tous !
I3
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A
ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA
DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE »
!
Au lycée, j’ai eu l’occasion de rencontrer une fille passionnée, mais elle avait trop d’émotions, tout était URGENT, elle était la reine de la dramatique, elle pleurait tout le temps et menaçait de se suicider.
J’ai alors opté pour une fille plus stable.
J’ai par la suite trouvé cette fille stable mais elle était ennuyante.
Elle était totalement prévisible et jamais elle ne s’excitait à propos de rien.
La vie est devenue tellement monotone que j’ai décidé de trouver une fille plus excitante.
À la faculté, j’ai finalement trouvé une fille très excitante, à un tel point que je ne pouvais plus la suivre. Elle me bousculait d’une chose à l’autre, ne s’arrêtant jamais sur rien.
Elle était de tout plaisir au début et très énergétique mais trop frivole.
Elle courtisait tous les hommes sous son passage.
Elle m’a rendu aussi souvent misérable qu’heureux. J’ai alors décidé de chercher une femme avec un peu plus d’ambition.
J’ai finalement trouvé une femme intelligente et ambitieuse, avec les deux pieds bien ancrés sur terre et je l’ai épousé.
Elle était tellement ambitieuse qu’elle m’a divorcé et parti avec tous mes biens.
Maintenant, tout ce que je cherche, c’est une femme avec une forte poitrine : Peu importe qu’elle soit brune, blonde ou rousse.
― Je comprends, mais je t’avertis tout de suite…
― Quoi ?
― Tu n’es pas sorti de l’auberge… »
« L’autre jour, je me promenais avec ma petite sœur à l’épicerie.
Oh, regardes Jean-Paul… des graines de Donut ! »
Elle lui dit :
« ― Viens te coucher, Jean-Jacques.
― Une lueur d’espoir…
― Tu es sûr ? Ce n’est pas l’histoire de la blonde avec un mèche noire, plutôt ?
― Tout de suite, se moquer des blondes… »
La famille a demandé de ne pas envoyer de fleurs.
« J’ai envoyé une boîte de chocolat… » raconte-t-elle à Germaine qu’elle convoie dans sa voiture…
« ― En tous cas, moi non plus je ne veux pas de fleurs à ma mort. Je veux qu’on envoie de l’argent à l’association de la maladie qui m’aura emportée.
C’est l’histoire des deux gars se font arrêter pour trafic de drogue.
Ils écoutent sagement le juge en comparution immédiate…
« Vu que c’est votre première offense, je vais vous laisser une chance. Vous n’irez pas en prison si vous arrivez à convaincre 25 jeunes de pas prendre de drogue. »
Le lendemain les deux gars vont dans une école et, le surlendemain, ils comparaissent devant le juge.
« Et aqlors, combien de jeunes avez-vous convaincus ? »
Le premier répond :
« ― 32.
― J’ai dessiné deux cercles, un grand et un petit : 0 o.
Je leur ai dit que le premier cercle, c’est leur cerveau avant de prendre de la drogue pis le deuxième, c’est celui de quelqu’un qui prend de la drogue.
― Bonne tactique. Et toi ? »
« ― J’en ai convaincu 265…
― J’ai utilisé presque le même dessin sauf que j’ai placé le o puis le O et je leur ai dit que s’ils prennent de la drogue ils vont se retrouver en prison.
J’ai ensuite expliqué que le o, c’est leur anus avant d’entrer en prison et que le O, c’est après quelques mois à l’intérieur. »
Jean-Marc dit à sa femme :
― Comment ça ?
― Il me faudrait quelqu’un pour te remplacer.
― Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour faire et défaire ma lessive ?
― Oui !
― Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour passer la tondeuse l’été ?
― Oui !
― Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour promener mon chien ?
― Oui !
― Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour conduire ma voiture ?
― Oui !
― Ça veut dire qu’un autre serait à ma place pour utiliser mes clubs de golf.
― Non !
― Comment ça, non ?
― Il est gaucher. »
― Crétin ! Et les 5 autres ?
― Je ne vois pas ! Ils n’existent pas…
― Avant-hier, Hier, Aujourd’hui, Demain et Après-demain… »
Quelles sont les dix qualités d’un pénis ?
1- Il a le sens de la famille, la preuve : Il est toujours prêt.
2- C’est un être intelligent : Il a la tête plus grosse que le corps.
3- C’est un individu plein de vaillance : Il se lève toujours debout quand on a besoin de lui.
4- C’est un dur de dur.
5- Il a un grand cœur : Il donne toujours du plaisir à sa partenaire.
6- Il peut travailler dans n’importe quelle position, aussi bien de jour que de nuit.
7- Plein de courage, il n’a pas peur d’aller au fond des choses.
8- Côté médical : Il a toujours une crème anti-gerçure à la portée de la main.
9- Il a la peau douce comme celle d’un bébé.
10- Côté pratique pour ces dames : Il peut servir de jouet ou comme outil à leur bonheur.
Néanmoins il a sept défauts :
1- Il a un trou dans la tête.
2- Il a un cerne autour du col.
3- Il a deux gosses à sa charge.
4- Son plus proche voisin est un trou du cul.
5- Il travaille au noir.
6- Il paye en liquide.
7- Il s’évanouit après son travail.
« Le sexe fait partie de la nature, j’obéis à la nature ! »
« Beaucoup de femmes ont des fantasmes sexuels. Moi je les réalise ! »
« Le plus grand crime peut-être de la société, c’est d’avoir rendu l’amour honteux. »
« Si vous avez un vagin et des idées, ça donne un mélange d’enfer ! »
« J’ai déjà aimé des femmes et couché avec elles aussi. Je pense que si vous êtes une femme et que vous voulez du plaisir, une autre femme saura parfaitement s’y prendre pour vous combler. »
« Le sexe entre deux personnes, c’est beau. Entre cinq personnes, c’est fantastique… »
« Je continue à considérer la masturbation comme le meilleur passe-temps possible. »
« Le sexe masculin est ce qu’il y a de plus léger au monde, une seule pensée peut le soulever ! »
Puis, il refermait le coffre et commençait sa journée de navigation.
Plusieurs années ont passé et la maladie est venue chercher l’amiral.
Après l’enterrement, les membres d’équipage se sont regardés et à la course, se rendent au coffre du patron de la flotte.
L’un d’eux, ouvre le coffre, soulève tous les documents, puis s’écria à haute voix ce qui était inscrit sur le petit bout de papier :
« Bâbord à gauche, Tribord à droite. »
Une soucoupe pleine de cure-dents est disponible, alors il en prend un et se dépêche à curer ses dents tout en attendant sa monnaie de la caissière.
Une fois ses dents nettoyées, il replace le cure-dents dans la soucoupe et en s’adressant à la caissière, il lui dit tout bas :
« ― Vous devez vous en faire voler beaucoup !
Une histoire qui se passe au Portugal, à San Bartholomeu de Messines, en Algarve.
Les quatre femmes ont toutes reçues un téléphone d’une personne se prétendant être un médecin qui leur demandait, dans le cadre d’un essai d’une nouvelle technologie révolutionnaire, de se placer, les seins nus, devant la fenêtre pour qu’on puisse prendre une mammographie par satellite.
« Bien entendu, l’examen ne vous coûtera rien et vous n’avez pas besoin de vous déplacer. Vous nous téléphonerez, un peu plus tard, pour obtenir les résultats. »
Lorsque les femmes ont téléphoné au médecin pour leur demander les résultats, elles sont tombées sur un voyeur qui leur a dit combien il les désirait, combien elles étaient belles et désirables.
Les victimes de ce « poisson de juin » sont âgées entre 19 et 45 ans et elles ont porté plainte.
« ― J’ai trouvé ce pingouin… Qu’est-ce que je dois en faire ?
« ― Eh bien, vous ne l’avez pas emmené au zoo ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire