Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 22 juin 2023

On y vient doucement…

Premier test pour le 3ème mandat de « Jupiter » !
 
L’info aura d’abord été publiée « le Figue-à-rots » (cet autre « torchon »), reprise par le Huffington post, puis par l’Obs mais délaissée par le reste des médias. Donc, pas vraiment encore dans toute la presse à débat, et en tout cas à « bas-bruit » et présentée comme un « coup à deux bandes » (alors qu’il y en au moins trois).
C’est venu de l’ancien président de l’Assemblée nationale « Riche-Hard-Fer-rang », bien étrangement silencieux depuis sa raclée aux élections législatives, qui tout d’un coup reprend la parole un an après.
On le croyait éteint, bé il marche encore… même si c’est pour dire des konneries.
Des konneries, des konneries, pas tant que ça finalement.
Il est en service commandé, mais commandé pour quel objectif ?
Un peu comme nos Ukrainiens qui te font leur « grande offensive » de printemps, mais à petits-pas, juste le minimum syndical, comme pour faire semblant…
 
Je vous raconte : Interrogé, comme par hasard, sur le fait que le chef de l’État ne peut pas se présenter pour un troisième mandat, le « Jupitérien » ex-soc’ (depuis ses 18 ans et jusqu’en 2017) de la première heure dit « regretter tout ce qui bride la libre expression de la souveraineté populaire. »
Le grand comique, né journaliste et grand-communicateur devant l’Éternel celui-là…
« La limitation du mandat présidentiel dans le temps, le non-cumul des mandats, etc… Tout cela corsète notre vie publique dans des règles qui limitent le libre choix des citoyens. Ça affaiblit notre vie politique en qualité et en densité, et la rend moins attractive », assure-t-il.
Ah bon, il veut en rendre son tablier tellement « ça ne paye plus » ?
Ça tombe bien, ses électeurs n’en voulaient plus et il est le premier président de la chambre basse à se faire virer dans les urnes depuis au moins 1849 : Bel effort !
 
Et d’ajouter : « Changeons tout cela en préservant le bicamérisme et le Conseil constitutionnel, gardien vigilant des principes républicains et des libertés publiques ». Vigilant, vigilant, il en a de bien bonne, mais passons…
Ou l’art de brosser dans le sens du poil, parce que bon, son « bon maître » nous promet à intervalle régulier de mener une révision constitutionnelle.
Première bande.
En fait, souvenez-vous, dès le premier jour de son premier quinquennat, comme d’une urgence urgentissime !
Même que quand son « sinistre de l’intérieur & des cultes », le « frangin trois points » à qui il doit sa première élection, « Gégé-Colombe », s’est rendu compte de ses ambitions, il s’est tiré et aura averti toutes les loges du danger que représentait « Jupiter » pour la Nation et les institutions.
C’est à ce moment-là que ça a dérapé, après les cacophonies des premiers mois du premier quinquennat qui avait pu être « gérées » malgré tout par les équipes en place de « Kung-fu-Panda ».
 
Un an après la réélection de « Jupiter », on n’aura toujours pas touché à la moindre virgule du texte fondamental et notre « Manu » ne dispose que d’une majorité relative à l’Assemblée, insuffisante pour censurer son gouvernement.
Et, sauf à trouver pour chaque texte des alliés de circonstance, ou à gouverner par voie de décret, finalement l’exécutif concentre toujours tous les pouvoirs et fait à peu près ce qu’il veut, n’en déplaise aux oppositions éparpillées, incapables de former une majorité de remplacement.
On a pourtant jusque-là vécu 3 cohabitations sans crise institutionnelle : Comme quoi, la Constitution est un texte plutôt bien écrit…
Mais « Jupiter » pourrait-il nouer un accord avec « Les Républicains-démocrates », comme certains dans son camp lui suggèrent ?
« Toutes les forces politiques qui se définissent comme républicaines sont des partenaires du président de la République. Nous avons besoin de ressaisissement collectif et de débats apaisés », répond le godillot.
Deuxième bande : Je suis disponible et ma porte est ouverte à tous les républicains !
« Ceux qui parient sur leur seule capacité à nuire à l’action du président et du gouvernement se sabordent. Cela vaut pour Les Républicains comme pour les réformistes de tous horizons », prévient-il également, égratignant « ceux qui imaginent préparer la suite sans agir, au présent, au service du pays ».
Que c’est beau, même si ça manque tout de même de panache…
Quand on n’a pas « la classe », il n’y a rien à faire : Ce n’est pas suffisant que de péter dans de la soie…
 
Donc, là, plutôt une manœuvre en vue du prochain remaniement ministériel annoncé depuis plusieurs semaines ?
Car son nom serait revenu dans la presse récemment, en remplacement de « Lili-Bête-Borgne » à Matignon (qui s’accroche, la bête…).
Il faut dire qu’elle, elle peut se recaser à l’AN, alors que lui y est « out ».
Mais ce serait une hypothèse géante : La « Jupitérie » qui se fout de la tronche des députés en nommant à Matignon un exclu qui aura été leur président, j’adore l’hypothèse…
Mais, « je suis plutôt un vétéran qu’un aspirant », observe-t-il ajoutant « s’agissant des rumeurs, tout ce qui flatte l’ego doit être considéré avec circonspection et reconnaissance ».
Rhôôôô, le gros malin que voilà !
 
Pour revenir au fond de son laïus, j’avoue que j’avais trouvé la mesure de non-cumul et de limitation à deux mandats successifs une bonne idée contre le carriérisme politique qui figeait un peu trop les rentes de situation acquise.
Mais vu que d’excellents talents ont dû faire des choix et ont du coup disparu de la vitrine nationale pour préférer rester Maire ou Conseiller (territorial), voire s’exiler jusqu’à Strasbourg, loin des projecteurs parigots, la « relève » attendue pour être au moins aussi talentueuse a fait défaut.
À part quelques figures médiatiques, l’Assemblée du peuple aura porté de parfaits médiocres amateurs, sans saveur, sous les ors de la République.
Quand ceux-là étaient sortis du lot pour se promener dans les salons ministériels, on ne peut pas dire qu’ils ont beaucoup brillé, sauf à faire ressortir leurs propres limites : On a eu droit à tellement « d’erreur de casting », qu’on peut même légitimement se demander si les « deux recruteurs officieux » (« Grand-Jean » et « Beau-raie-l’eau ») ont réellement quelques talents de chasseurs de tête !
Quand on lit les premiers statuts du parti, on peut en douter puisqu’une partie non-négligeable des membres de soutien de la direction étaient « nommés » par ceux-là et les autres tirés au sort : Ce n’était même pas la cotisation qui faisait l’adhérent !
« Jupiter » ne sait pas s’entourer et ça s’est retrouvé dans les législatives de juin dernier, jusqu’à en devenir plus que criant : Ingouvernable !
 
Alors effectivement, pourquoi pas revenir à des « valeurs sûres » et autoriser, voire encourager certains cumul des mandats, notamment « député/maire » ou « sénateur/maire », qui permettait d’envoyer au Parlement des personnes qui au moins savent ce que c’est que de diriger une ville et les contraintes locales de la vraie vie des « gens d’en bas » (les ceux-ce, sans dents qui puent la clope et le diesel).
Mais la question se pose aussi du renouvellement au-delà de deux mandats.
D’un côté, il est peut-être fondamental de maintenir cette limite à deux mandats pour tout le monde et notamment le Président, car 10 ans avec le même, c’est sclérosant et l’alternance, le renouvellement des personnels est une respiration nécessaire pour la démocratie et le bon fonctionnement de n’importe quelle organisation.
Il faut aussi former la relève et on l’a vu avec « Jupiter », ça demande une année entière pour qu’il se débarrasse de ses « Ben-Allah » et compagnie, ses habitudes de vieux garçon et ses autres travers…
(Quoique, on ne sait pas tout, notamment comment un mek qui est payé 810 K€ en 5 ans, net de tout et tous frais payés, il va falloir m’expliquer comment on n’a pas pu abonder son compte-épargne de quelques picaillons sans rien avoir augmenté son patrimoine… : Il y a comme un mystère, ou un « trou noir »… un puits sans fonds).
 
Ce qui tombe sous le sens, c’est que la limitation de la durée du pouvoir d’un président dans le temps est également un contrepouvoir à l’influence d’un seul individu.
Les ricains ont été les premiers à s’en rendre compte. Mais leur régime est « Présidentiel », le nôtre « présidentialiste » mâtiné de « parlementarisme-primaire ».
D’un autre côté, si lors d’un premier mandat, l’élu a de toute façon en tête sa réélection dès le premier jour de son premier mandat et va être guidée par la perspective de son renouvellement, au second sans espoir d’un troisième mandat, il n’en a plus rien à foutre, tel qu’il peut en faire n’importe quoi…
Et sans contre-pouvoir parlementaire, ça peut mener à des délires comme cette réforme des retraites qui n’en est pas une, qui ne règle aucun de problèmes futurs et qui aura fâché inutilement tout le monde.
Il n’y a plus de garde-fou dans son inconscient et c’est la porte ouverte à l’hubris qui martyrise l’Ukraine et les russes !
Et effectivement, s’il ne peut plus défendre un bilan, façon « Tagada-à-la-fraise-des-bois » qui en aurait été bien incapable, ne pas limiter le nombre de mandats présidentiels c’est permettre la naissance d’un pouvoir autocratique à la Russe (ou à la chinoise).
 
Finalement, ces propos ont très vite suscité des critiques à gôche comme à droâte.
« Et pourquoi pas restaurer l’Empire avec Macron 1er ? Richard Ferrand, le visage de la dérive autocratique de la macronie », a réagi la cheffe de file des députés LFI « Mathilde Pas-nous ».
Elle a tort : Ce sera « Manu 1er » et ça aurait été le IIIème empire, exactement à la façon du neveu de mon cousin (celui qui dort aux invalides dans son septuple cercueil).
« Proposition désastreuse de Richard Ferrand (on suppose avec le regard bienveillant de Macron) », aura twisté « Raclette-Gare-ris-do » LFI).
Quant à « Olive-Fort », le patron des soces, il aura simplement abondé : « Pour certains la VIème République ressemble plutôt à la restauration ou l’empire ».
Alors que pour lui et pour « Mes-Luches » elle devrait correspondre à leur regrettée IVème !
Personnellement, je note que tous ces modèles du passé ont su échouer lamentablement pour certains et sans gloire pour celui du « neveu »…
« Modifier la Constitution pour permettre de rester au pouvoir… les deux derniers à l’avoir fait s’appellent Xi Jinping et Vladimir Poutine… voilà donc le plan “démocratique” d’Emmanuel Macron ? », s’est demandé un sénateur « LRd »
 
Face aux vaguelettes de protestation de toute la classe politique, « Fer-Rang » soi-même a tenu à préciser ses propos. Dans un twist du lendemain, il a jugé « consternant de voir s’agiter réseaux sociaux et médias paresseux sur une proposition stupide que je ne fais pas dans un entretien au “Figaro” : modifier la Constitution pour la présidentielle de 2027 ».
Et son « ultime explication », il l’a donné sur Sud Radio où il a assuré qu’« on ne change pas les règles en cours de match. Ça n’a aucun sens ».
« Mon propos ne consistait pas à dire qu’il fallait changer des règles en vue de 2027 mais que, d’une manière générale, il fallait permettre à notre démocratie, à mon avis, de respirer mieux, en laissant en toutes circonstances, le dernier mot aux électrices et aux électeurs », s’est-il répété.
« C’est une position que j’ai toujours tenue, que je tiens toujours aujourd’hui, mais qui n’est pas de circonstance, qui est une conviction », a-t-il assuré main sur le cœur.
Mais bien sûr, c’est certain.
 
Alors admettons, mais alors pourquoi en parler ? Quelles sont ses motivations ?
L’ancien député explique défendre une idée qui lui tient à cœur. Mais certains estiment que c’est une manière de marquer son retour médiatique et de plaire au président.
Admettons aussi.
Mais je ne serai pas surpris qu’il s’agisse seulement d’un ballon d’essai alors qu’une révision constitutionnelle est toujours dans les tuyaux.
La troisième bande.
Un autre encore suggère une analyse différente, une quatrième bande : S’il évoque ce sujet, « c’est aussi pour calmer François Bayrou », désireux d’être candidat de la « Jupitérie » en 2027.
Une manière de dire à l’actuel haut-commissaire au plan que son ambition ne fait pas l’unanimité et que les proches du président sont « capables de tout ».
J’avoue que cette dernière hypothèse est ridicule à mes yeux : Franchement, vous voyez le maire de Pau, « sinistre de la planification », se lancer dans une campagne, électorale loin de ses chevaux à 76 balais ?
Le pov’ : Le cœur ne tiendra pas la distance avec tout ce qu’il métabolise.
Et de se proposer pour un deuxième mandat à 81 ans…
Non mais : On n’est pas ni en Russie, ni aux USA, ni en Chine !
 
Je m’en tiens donc encore et toujours à ma troisième bande qui aura existé dès le premier jour du premier quinquennat.
Mais là encore, ça n’a pas encore bien pris et l’été verra si l’idée progresse ou est remisée à des jours plus opportuns…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire