J’ai toujours dit que c’était un torchon…

Mais pour d’autres raisons…
 
Très personnelles en ce qui me concerne : Il s’agissait de l’assassinat de « mon papa à moâ » (celui qui me fait encore monter la larme à l’œil quand je l’évoque).
Un assassin avait été (mal) payé pour l’abattre au croisement d’un chemin en « Corsica-Bella-Tchi-tchi » qu’il aimait tant, parce qu’il dérangeait les « petites affaires » de ces messieurs (francs-maçons) du milieu judiciaire parigot !
(Il y a prescription…)
Je n’ai pas vu mon père vieillir à cause de leurs konneries.
Qui les ont tous emmenés vers leurs tombes : Fin programmée de toutes les ambitions des fats (et autres « sachants ») de toutes les espèces qui grenouillaient dans « les temples » à cette époque-là (et encore ailleurs)…
Et j’ai vu ma mère, la sienne, ma « petite-sœur » et tout le monde pleurer durant des années et des années, le cœur déchiré…
Or, ils étaient quelques-uns, sans savoir, à avoir fait un « papier » autour de ce drame.
Tous les grands quotidiens du pays, sont restés relativement neutres.
Mais le pire aura été « Libé, ce torchon » pour avoir fait une colonne entière sur la célébration des plates-bandes de l’assassin : Presque un héros de la mythologie grecque…
Quel torchon !!!
Assassiné deux fois, « mon papa à moâ ! »
 
Eh bien, il n’y a plus « Plaine-aile », mais ses successeurs ne sont pas bien meilleurs dans leur haine (ou dans le mépris, je ne sais pas) de leur métier !
« Henri d’Arc, un héros chez Bolloré » ont-ils osé titrer !
N’importe quoi, franchement !
À 24 ans, Henri d’Anselme est devenu le 8 juin le « héros au sac à dos » après avoir tenté de stopper l’assaillant d’Annecy.
Henri, 24 ans, fait partie de ceux qui « se sont interposés sans se poser de question », a salué « Jupiter » lors d’une cérémonie, bienvenue, de remerciement organisée vendredi à la préfecture de la Haute-Savoie.
En quelques heures, son portrait a été dressé dans la presse à la faveur d’entretiens avec plusieurs médias.
Le jeune homme, qui refuse de se présenter comme un héros, parle de sa foi catholique comme la raison de son intervention. « Quand j’ai agi au square, ce qui m’a poussé, c’est cette grandeur dont je me nourris », a-t-il notamment déclaré sur CNews le 9 juin.
Ils ne sont pas nombreux à avoir noté que c’est cette même foi dans le Christ ressuscité qui aura poussé l’agresseur à poignarder ses petites victimes…
Le kon, Henri : Il aurait mieux fait d’affirmer que sa carte de la Cégété en main et son expérience de colleur d’affiche de « Mes-Luches » l’ont naturellement porté à aider le réfugié syrien manifestement désemparé pour le calmer et le désarmer…
Qui plus l’agresseur n’est même pas musulman, mais copte, probablement orthodoxe, bref, un hérétique « non-papiste », que du coup on a échappé à sa « mise en gloire » d’avoir été la victime des péchés du monde occidental.
Mais il s’en est fallu de peu…
 
C’est à cette interview que le plumitif du « torchon » consacre une chronique pleine d’ironie. Ainsi, alors que le jeune homme évoque le « tour des cathédrales » (et pourquoi il n’a pas eu l’idée de faire la tournée des mosquées ou des cimetières ?) qui l’a conduit à Annecy, le journaliste écrit : « Sur le plateau de la chaîne du catho-tradi Bolloré, passe une sorte de frisson incrédule, un souffle de grâce devant tant de fraîcheur et de sincérité, quelque chose comme ’’c’est trop beau pour être vrai’’ ».
Ça l’ennuie tant que ça que « Beau-L’Orée » se confesse toutes les semaines ?
Moâ qui ne l’ai pas fait depuis ma première communion, ça ne m’empêche pas de dormir.
De toute façon, de jouer au délateur ou de savoir si j’avais ou non des « pensées impures », j’en ai eu marre assez rapidement…
 
Ou alors, c’est le fait d’être feuj, frère trois points ou seulement journaliste « de gôche », « soce et bien-pensante », qui lui permet de moquer les convictions d’autrui ?
Je croyais que la laïcité (concept de « gôche-avancée ») imposait à tout le monde, peu importe les croyances, les origines, les convictions, le genre ou la sexualité, d’être respecté pleinement et entièrement…
Mais un peu plus loin, il traduit à sa façon une question de Pascal Praud : « En termes profanes, Henri, avez-vous vu la Vierge ? Entendu des voix ? ». Avant de conclure, imaginant une réplique du présentateur de CNews : « Peut-être que Vincent Bolloré va vous confier une émission, pourrait ajouter Pascal Praud, Dieu sait quelle pudeur l’en empêche. »
Mais quel konnard ce « journaleux-là »…
J’en reste outré, même si je ne suis pas très surpris…
 
En revanche, aucun doute sur « la suite ». Ils restent tous égaux à eux-mêmes.
À droâte, le ton du texte ne passe pas. « Idiot, minable, à vomir », fustige le 10 juin sur « Twister » « Riton-Chiotti » pour qui « le journal d’extrême gauche Libération (jette) en pâture Henri. »
« Ce n’est peut-être pas le profil de héros que recherche Libé ! », ajoute-t-il.
Pour sûr… S’il avait pu être camé… même un peu…
Le maire de Cannes, ose de son côté un jeu de mots ― « Libérabjection » ― pour dire sa colère.
J’ai toujours affirmé que c’était un torchon, rien de plus…
 
Et puis quand on va du côté de « l’extrême-droâte », celle qui pue, elle trouve là une occasion de s’acheter une virginité. Le député « Air-Haine » du Var y voit lui la preuve du « gauchisme » du journal et fustige « son immigrationnisme mortifère, son étroitesse d’esprit et son incapacité à comprendre, voire à concevoir, ce qui le dépasse ».
Il aurait pu rajouter « Bienvenue au club ! », mais non…
(Vous savez, la paille dans l’œil du voisin, la poutre dans le sien : Passons…)
« Rarement vu article aussi minable. En plus d’être débile », tacle ainsi une journaliste et chroniqueuse pour le site Boulevard Voltaire.
Et que du coup, le pôv’ journaleux de devoir rétropédaler en urgence : Il a démenti s’être attaqué personnellement au jeune homme de 24 ans (qu’il ne connaissait même pas), dont « la réaction à Annecy suscite mon admiration ».
Arf, j’en rigole encore.
Ce sont « les vautours bolloréens et zemmouroïdes qui tournent autour de lui » qui constituent en réalité le cœur de sa chronique.
Toujours tout ramener à des foutaises, et plus c’est gros, plus ça passe.
 
Le Dégé du torchon, du coup obligé de prendre lui aussi ses distances avec la position du chroniqueur tout en défendant la liberté d’expression du journal dont il est responsable : « Les opinions de Daniel Schneidermann n’engagent que lui. Pas de censure à Libé. Moi personnellement, n’étant pas sûr d’avoir un dixième du courage de ce jeune Henri, et n’ayant jamais rien fait d’héroïque, je me garderai bien de le railler. Mieux, j’ai une profonde admiration pour lui », écrit-il.
Ô punaise de gourgandine !
Même le « Dégé » du torchon qui tresse des lauriers au « catho-de-passage »…
La « liberté d’expression » a bon dos : Justement, je crois que pour être protégée elle est encadrée.
Un directeur de publication est pénalement (et civilement) responsable de ce qu’il imprime.
Tous les jours des « grincheux » s’essayent à faire payer moults indemnités à des pôv’ meks qui égratignent les uns ou les autres et c’est même la spécialité de « Beau-l’Orée » de trainer devant les tribunaux ses confrères de la presse…
En revanche, le dirlo n’est jamais « politiquement responsable » : Il peut raconter n’importe quelle konnerie (des fakes) qu’il veut, du moment que ça ne nuit à personne…
Et quand ça nuit politiquement, ça s’appelle « Fifi-le-souteneur », ou encore quelques autres…
Passons.
 
Personnellement, je reste étonné de plusieurs choses.
Qu’un réfugié se soit vu refuser le statut de réfugié politique, qui a manifestement été le « déclencheur » de son passage à l’acte, passe encore, puisqu’il avait déjà le statut de réfugié politique en Suède.
Il y a même fait un gosse.
Bon d’accord, les suédois, ce sont des chrétiens, mais « hérétiques-Luthériens » : On peut comprendre…
En revanche, je ne comprends comment un copte peut s’attaquer à des gamins en bas-âge.
Un musulman, je ne dis pas : Ils accèdent comme ça plus rapidement au paradis d’Allah, et les terroristes djihadistes ne se gênent de sacrifier des gamins dans leur « croisade anti croisés ».
Et puis encore : Qu’est-ce que foutait le mek qui filmait la séquence ? Que faisaient les autres témoins ?
Pourquoi Henri était-il tout seul durant la poursuite qui aura duré plusieurs minutes ?
 
Pas bien courageux les gars du patelin…
Peut-être déjà contaminés par « l’esprit de neutralité » des voisins helvètes…
Je ne te vous dis pas, le jour où il faudra faire face aux chars russes… ah bé non, suis-je kon, les Ukrainiens sont chargés de les démolir consciencieusement !
Rien à craindre : On pourra faire des images avec nos téléphones portables (fabriqués en Chine, sur plans coréens) à diffuser en mondovision pour s’arrondir quelques fins de mois, sans aucun risque.
En attendant, on n’entend pas les cris des mères ou nounous dont les gamins ont été attaqués, mais je trouve Henri bien seul à poursuivre notre cinglé de service.
Presque la honte.
Au moins autant que la « sortie » du torchon qui ne devrait même plus exister depuis des années…
 
Passons : Ce n’est que mon opinion (qui n’en vaut pas plus pas mieux que d’autres) et je suis en droit de l’émettre librement parce que ce n’est pas pour nuire, mais je constate que ce n’est même plus moâ qui fait la démonstration de son bienfondé…
J’admire !
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !