0.1 – Préface
Avertissement : Vous l’aviez compris, ceci n’est qu’un
roman, une fiction, une « pure construction intellectuelle », du pur jus de
neurone garanti 100 % bio, sortie tout droit de l’imaginaire de son auteur.
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
Ce roman-là, c’est tout un roman en soi. Je n’en reviens pas moi-même…
Pensez-y quand vous le lirez. En qualité d’auteur, d’inventeur du personnage principal et de la saga qui suivra, inspiré je ne sais pas comment par le piratage de mon ancien blog qui voit se substituer mes photos de vacances précédentes par un texte mal écrit pendant mes estives de 2008, j’en suis à être dépassé par ma création.
Les billets de 2008, j’étais et je reste incapable de les effacer. De tout
façon, j’ai perdu les codes d’accès. Car j’ai abandonné la plateforme Overblog
et ces « posts » je les ai dupliqués par ailleurs.
Je vais vous dire, je les ai même « complétés » neuf ans plus tard[1] : il fallait l’oser !
Et cette affaire-là attire la curiosité de quelques personnages que je n’ai jamais rencontrés mais qui me joignent par Internet interposé (quelle invention, le Web !). C’est notamment le cas de J-C Dubosc, dit aussi le « Capitaine Haddock », pilote chevronné alors retraité de la compagnie Air-France.
Un de mes clients, Air-France… C’est d’ailleurs très drôle : je connaissais son patron, le « cousin » Spinetta originaire d’un village Corse en face du mien, la plupart des directeurs du back-office, mais personne de la « production »…
On en vient à sympathiser et à échanger des informations.
Des informations incroyables, inédites, scandaleuses, époustouflantes.
Et je mets le doigt dans une des plus sombres et ténébreuses affaires de la République, comme elle sait les générer !
Lui en fait un bouquin.
Que je lis et même corrige avant sa parution.
Il l’aura enrichi à plusieurs reprises avant que ses cendres ne soient dispersées dans la Manche.
De mon côté je poursuis mes propres recherches à mes heures de loisirs (peu nombreuses à l’époque) et entre en contact avec pratiquement tous les acteurs de l’ombre qui tentent de crier leur vérité.
Sauf, naturellement les ministres et les financiers qui carambouillaient dans le dos des citoyens dans les années 90 du millénaire précédent.
À cette époque reculée-là, je pars parfois à 2 heures du matin, râlant de
devoir prendre ma douche matinale à l’eau froide (ma concierge a trop chaud,
alors elle coupe le fonctionnement de la chaudière de mon immeuble…) et je
rentre parfois tard en espérant pouvoir faire la bise nocturne à ma
« Nichée ».
Je bosse comme un damné, je paye beaucoup d’impôts, beaucoup de charges sociales, des tombereaux de frais tels que la fin de mois commencent systématiquement dès la première semaine de chaque mois et en plus je suis traité comme un chien la plupart du temps…
Il fallait avoir la foi et la santé et je n’avais guère de loisir de réfléchir à tout ce qui fait l’actualité mondiale du moment.
Mais dès que j’allège ce rythme infernal, je me retrouve à blogguer, assumant mal de remplir mes journées de rien.
Ou de pas grand-chose par rapport à précédemment…
Or, j’ai dans mes archives, à la cave, un vieux manuscrit qui n’a jamais
été terminé[2],
plus les synopsis de quelques autres qui attendent des jours meilleurs.
Alors, pour répondre à « Haddock » et à quelques autres, je propose « une solution » qui me paraît conforme à la fois à leur histoire et à l’Histoire comme elle s’est ensuite passée.
L’affaire de mes « fils rouges » que j’apprends au fil de la vie à repérer dans le courant de l’actualité ― d’abord la mienne professionnelle ― puis la générale qui appartient à tout le monde.
Encore faut-il savoir « lire entre les lignes » et interpréter les « silences », les non-dits, les absences, les carences distinguer le faux du vrai et les mettre en relation pour mieux comprendre ce qui se passe.
Et je ponds, comme illuminé, « Opération Juliette-Siéra[3] » avec des personnages qu’il me suffisait d’adapter.
Qu’est-ce que je n’avais pas fait : je m’en suis pris plein en travers de mon chemin, chutant du piédestal de mon enthousiasme du moment, croisant des personnages pas très recommandables qui vont jusqu’à devenir très menaçants.
Mais pas seulement et il y avait de quoi faire peur, notamment pour mon entourage direct.
Le récit et d’abord mis en ligne sur un blog dépassé, il est même bloqué de lecture, le texte est supprimé, les accès sont ensuite corrompus, effacés : une catastrophe !
Je touchais donc juste.
Et puis c’est passé : aucun scandale n’a été déclenché par la suite,
et je suis resté en vie.
Avec l’envie d’en refaire d’autres[4]. C’est comme ça que ma vocation de plumitif est née.
Elle aura pris de l’épaisseur au fil du temps.
Sauf que je vieillis, ma santé se dégrade, et le monde devient de plus en plus complexe à décrypter.
C’est d’ailleurs relaté dans le présent volume : j’ai failli mourir d’un infarctus du myocarde tellement je trainais la patte durant mon premier été de juilletiste, depuis mon baccalauréat où j’avais fini mon année en avance pour avoir eu directement une mention très bien totalement inattendue…
L’année dernière, je rentre en septembre et c’est juste pour filer aux urgences cardiaques en pleine nuit.
Et je ressors de là complètement épuisé, rincé, vidé, anéanti.
Ce n’est que vers Noël que je peux recommencer à avoir une vie à peu près « normale », même si j’ai pris sur moi pour avoir un semblant d’activité entre-temps.
Mais en abandonnant toute activité professionnelle : trop fatigué pour prendre le volant et parcourir le pays dans tous les sens comme je le faisais jusque-là pour remplir la cambuse.
Et là, je me retrouve avec un thème de « prochain roman
estival » déjà arrêté durant l’été précédent, avec un synopsis qui
commençait le 19 septembre 2022, qui fait à peine 30 chapitres pour se terminer
au sommet du G20 de Bali en novembre de la même année.
Or, Noël passe et je n’ai rien écrit.
Pas beaucoup plus après d’ailleurs. Parce qu’un manuscrit me tombe pratiquement du ciel, tout fin prêt, via internet et « mon Gardien », là, avant Pâques.
Une histoire que je lis avec avidité, même si je ne l’aurai pas écrit tout-à-fait comme ça, et que je modifie parfois sur quelques tournures de phrase pour que ça fasse « que comme si c’était moi » qui l’écrivais.
D’ailleurs, je ne sais même pas si ces modifications auront été retenues ou non.
Peu importe : ça correspond grosso modo avec ce que j’avais en tête depuis mai-juin 2022.
Comme de la suite du précédent roman[5].
Que j’ai eu tant de mal à mettre en ligne (37 chapitres…).
Là, on en a 52, mais chacun un peu plus courts, plus lisibles pour ne pas épuiser le lecteur !!!
Et c’est extrêmement bien articulé avec des évènements d’actualité que je
n’aurai pas pu anticiper : vous allez découvrir.
Que j’en reste encore scotché…
C’est vous dire que si ça avait été moi qui les avais écrits, j’en aurai bavé. Surtout dans des délais aussi courts !
Je n’ai plus la santé et c’est finalement très confortable d’avoir un personnage principal qui se prend en main lui-même et a les moyens de déléguer l’écriture de ses aventures à une narratrice que je ne veux surtout pas connaître (c’est une voleuse !) mais que je remercie tout de même très vivement et du fond du cœur, au passage.
Globalement, cet épisode raconte l’histoire compliquée de choses qui n’ont
officiellement jamais existé, noyées qu’elles sont dans des événements d’actualité qui ont en revanche existé très officiellement : vous pourrez
vérifier !
Quand je dis « pas existé officiellement », ça ne veut pas dire qu’elles n’existent pas du tout !
Elles ont existé, peut-être, ou peut-être pas d’ailleurs ― peu importe ―, l’essentiel étant que personne n’en sait rien, en tout cas officiellement. D’ailleurs, si on ne sait pas, c’est qu’il vaut mieux ne pas savoir…
C’est la partie « obscure » de l’actualité de ces derniers mois, celle dont vous ne devez même pas soupçonner l’existence…
Mais qui éclaire remarquablement les morceaux d’actualité qui ne pouvaient pas être cachés.
Et ainsi les « puissants » de ce monde peuvent continuer à vivre sans être contrariés outre-mesure et poursuivre leurs objectifs cachés.
Attention, je ne dis pas qu’ils complotent dans votre dos en cachant des
choses innommables parce qu’ils ont des agendas cachés.
Pas du tout !
Je dis simplement qu’il vaut mieux ne pas dire ce qui pourrait être terrifiant si finalement, grâce à des personnes particulièrement performantes et prévoyantes qui ont chevillée au cœur l’intérêt général du plus grand nombre, ou qui ont eu beaucoup de chance, il n’y a pas encore eu de conséquence catastrophique.
Dans le cas contraire, il sera toujours temps d’éclairer les citoyens le jour où on ne pourra plus cacher les raisons de ce qui nous adviendrait d’effrayant.
À ce moment-là, on nous servira une « story » à peu près cohérente et convaincante : ça devrait suffire.
Or, ce n’est heureusement pas encore le cas.
En fait, nos « responsables » se comportent comme des « bons pères de famille » qui protègent leurs citoyens et occasionnellement leurs intérêts, rien de plus.
Et sur 52 chapitres, vous allez découvrir que ces menaces qui pèsent sur le devenir du monde, de ses habitants et des civilisations qu’ils portent, sont bien plus considérables que ce qu’on peut en dire très honnêtement.
C’est comme ça.
L’histoire qui va suivre se déroule entre août 2022 et mars 2023.
Naturellement, j’ai déjà le synopsis de la période suivante en tête… par déduction,
si j’ose dire.
Quelques détails l’annoncent déjà. Des détails parfois techniques auxquels je ne comprends pas grand-chose (et j’aurai été bien incapable de les écrire), qui parsèment le présent ouvrage, ce que je trouve assez sympathique, finalement.
Nous verrons bien pour la suite.
En attendant, régalez-vous : de mon côté, je m’occupe, sous la houlette de « ma Nichée », de rassembler les éléments de la vie de ma famille, « pour l’Histoire » : les acteurs principaux ne sont plus là pour raconter leur tranche de vie ― il nous reste seulement des photos et des films, plus quelques correspondances ― et ça manque déjà à la génération suivante de la mienne, en quête de traces et de souvenirs jusque-là incomplets, alors que j’en ai encore beaucoup en tête…
Bonne lecture à toutes et tous !
I3
0.2 – Le page 4
Résumé :
Qui y’a-t-il de commun entre les funérailles d’une
reine, un attentat en Argentine, le sabotage d’un gazoduc mer Baltique, un
sommet du G20 qui dérape en Indonésie, une panne informatique affectant toute
l’aviation civile aux USA mi-janvier 2023, une série d’interceptions de
ballons-espions au-dessus du continent Américain, un sommet impromptu de
l’indopacifique sans véritable objet à San Diego et un déplacement quasi-secret
d’une vice-présidente et d’un premier ministre au milieu de l’océan Indien ?
Plein de choses qui ne font surtout pas les Unes des journaux, alors que certaines ne peuvent pas être dissimulées et surprennent tout de même le public.
Tellement d’événements se percutent sur cette planète, se télescopent dans le désordre, dans un monde en pleine guerre pour quelques frontières incertaines et des tentatives de domination économique, politique, stratégique qui débordent même jusqu’en Afrique orientale et n’aboutissent pas, où les menaces de ruptures catastrophiques sont nombreuses, font des ravages en Syrie et en Turquie, s’entrechoquent et parfois se contrarient mutuellement, tels qu’il reste important de savoir décrypter et relier ces informations décousues et éparses pour commencer à comprendre ce qui s’y passe réellement.
D’ailleurs faut-il vraiment savoir ces menaces quasi-permanentes de chaos ou est-il préférable de les ignorer, laissant à quelques-uns la responsabilité de gérer au mieux ce qui paraît imprévisible, impondérable et inopiné dès lors que les conséquences peuvent être réduites à leur strict minimum, jusqu’à finalement passer inaperçues ?
Les quelques lignes réunies dans cet ouvrage vous éclaireront peut-être sur ces éléments qui, officiellement, « n’existent pas » tous.
Et c’est probablement mieux de la sorte…
À vous d’en juger !
À tous les fans de Charlotte !
[1] Cf. épisode « Ultime récit » des « Enquêtes de Charlotte », aux éditions I3
[2] Cf. épisode « Le feu » des « Enquêtes de Charlotte », à paraître aux éditions I3
[3] Cf. épisode « Opération Juliette-Siéra » des « Enquêtes de Charlotte », prochainement aux éditions I3
[4] Cf. épisodes « Au nom du Père – Tomes I et Tome II » des « Enquêtes de Charlotte », à paraître aux éditions I3
[5] Cf. épisode « 2022 : année électorale de Charlotte » des « Enquêtes de Charlotte », à paraître aux éditions I3
Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies), y compris sur la planète Terre, y est donc purement, totalement et parfaitement fortuite !
Pensez-y quand vous le lirez. En qualité d’auteur, d’inventeur du personnage principal et de la saga qui suivra, inspiré je ne sais pas comment par le piratage de mon ancien blog qui voit se substituer mes photos de vacances précédentes par un texte mal écrit pendant mes estives de 2008, j’en suis à être dépassé par ma création.
Je vais vous dire, je les ai même « complétés » neuf ans plus tard[1] : il fallait l’oser !
Et cette affaire-là attire la curiosité de quelques personnages que je n’ai jamais rencontrés mais qui me joignent par Internet interposé (quelle invention, le Web !). C’est notamment le cas de J-C Dubosc, dit aussi le « Capitaine Haddock », pilote chevronné alors retraité de la compagnie Air-France.
Un de mes clients, Air-France… C’est d’ailleurs très drôle : je connaissais son patron, le « cousin » Spinetta originaire d’un village Corse en face du mien, la plupart des directeurs du back-office, mais personne de la « production »…
On en vient à sympathiser et à échanger des informations.
Des informations incroyables, inédites, scandaleuses, époustouflantes.
Et je mets le doigt dans une des plus sombres et ténébreuses affaires de la République, comme elle sait les générer !
Lui en fait un bouquin.
Que je lis et même corrige avant sa parution.
Il l’aura enrichi à plusieurs reprises avant que ses cendres ne soient dispersées dans la Manche.
De mon côté je poursuis mes propres recherches à mes heures de loisirs (peu nombreuses à l’époque) et entre en contact avec pratiquement tous les acteurs de l’ombre qui tentent de crier leur vérité.
Sauf, naturellement les ministres et les financiers qui carambouillaient dans le dos des citoyens dans les années 90 du millénaire précédent.
Je bosse comme un damné, je paye beaucoup d’impôts, beaucoup de charges sociales, des tombereaux de frais tels que la fin de mois commencent systématiquement dès la première semaine de chaque mois et en plus je suis traité comme un chien la plupart du temps…
Il fallait avoir la foi et la santé et je n’avais guère de loisir de réfléchir à tout ce qui fait l’actualité mondiale du moment.
Mais dès que j’allège ce rythme infernal, je me retrouve à blogguer, assumant mal de remplir mes journées de rien.
Ou de pas grand-chose par rapport à précédemment…
Alors, pour répondre à « Haddock » et à quelques autres, je propose « une solution » qui me paraît conforme à la fois à leur histoire et à l’Histoire comme elle s’est ensuite passée.
L’affaire de mes « fils rouges » que j’apprends au fil de la vie à repérer dans le courant de l’actualité ― d’abord la mienne professionnelle ― puis la générale qui appartient à tout le monde.
Encore faut-il savoir « lire entre les lignes » et interpréter les « silences », les non-dits, les absences, les carences distinguer le faux du vrai et les mettre en relation pour mieux comprendre ce qui se passe.
Et je ponds, comme illuminé, « Opération Juliette-Siéra[3] » avec des personnages qu’il me suffisait d’adapter.
Qu’est-ce que je n’avais pas fait : je m’en suis pris plein en travers de mon chemin, chutant du piédestal de mon enthousiasme du moment, croisant des personnages pas très recommandables qui vont jusqu’à devenir très menaçants.
Mais pas seulement et il y avait de quoi faire peur, notamment pour mon entourage direct.
Le récit et d’abord mis en ligne sur un blog dépassé, il est même bloqué de lecture, le texte est supprimé, les accès sont ensuite corrompus, effacés : une catastrophe !
Je touchais donc juste.
Avec l’envie d’en refaire d’autres[4]. C’est comme ça que ma vocation de plumitif est née.
Elle aura pris de l’épaisseur au fil du temps.
Sauf que je vieillis, ma santé se dégrade, et le monde devient de plus en plus complexe à décrypter.
C’est d’ailleurs relaté dans le présent volume : j’ai failli mourir d’un infarctus du myocarde tellement je trainais la patte durant mon premier été de juilletiste, depuis mon baccalauréat où j’avais fini mon année en avance pour avoir eu directement une mention très bien totalement inattendue…
L’année dernière, je rentre en septembre et c’est juste pour filer aux urgences cardiaques en pleine nuit.
Et je ressors de là complètement épuisé, rincé, vidé, anéanti.
Ce n’est que vers Noël que je peux recommencer à avoir une vie à peu près « normale », même si j’ai pris sur moi pour avoir un semblant d’activité entre-temps.
Mais en abandonnant toute activité professionnelle : trop fatigué pour prendre le volant et parcourir le pays dans tous les sens comme je le faisais jusque-là pour remplir la cambuse.
Or, Noël passe et je n’ai rien écrit.
Pas beaucoup plus après d’ailleurs. Parce qu’un manuscrit me tombe pratiquement du ciel, tout fin prêt, via internet et « mon Gardien », là, avant Pâques.
Une histoire que je lis avec avidité, même si je ne l’aurai pas écrit tout-à-fait comme ça, et que je modifie parfois sur quelques tournures de phrase pour que ça fasse « que comme si c’était moi » qui l’écrivais.
D’ailleurs, je ne sais même pas si ces modifications auront été retenues ou non.
Peu importe : ça correspond grosso modo avec ce que j’avais en tête depuis mai-juin 2022.
Comme de la suite du précédent roman[5].
Que j’ai eu tant de mal à mettre en ligne (37 chapitres…).
Là, on en a 52, mais chacun un peu plus courts, plus lisibles pour ne pas épuiser le lecteur !!!
Que j’en reste encore scotché…
C’est vous dire que si ça avait été moi qui les avais écrits, j’en aurai bavé. Surtout dans des délais aussi courts !
Je n’ai plus la santé et c’est finalement très confortable d’avoir un personnage principal qui se prend en main lui-même et a les moyens de déléguer l’écriture de ses aventures à une narratrice que je ne veux surtout pas connaître (c’est une voleuse !) mais que je remercie tout de même très vivement et du fond du cœur, au passage.
Quand je dis « pas existé officiellement », ça ne veut pas dire qu’elles n’existent pas du tout !
Elles ont existé, peut-être, ou peut-être pas d’ailleurs ― peu importe ―, l’essentiel étant que personne n’en sait rien, en tout cas officiellement. D’ailleurs, si on ne sait pas, c’est qu’il vaut mieux ne pas savoir…
C’est la partie « obscure » de l’actualité de ces derniers mois, celle dont vous ne devez même pas soupçonner l’existence…
Mais qui éclaire remarquablement les morceaux d’actualité qui ne pouvaient pas être cachés.
Et ainsi les « puissants » de ce monde peuvent continuer à vivre sans être contrariés outre-mesure et poursuivre leurs objectifs cachés.
Pas du tout !
Je dis simplement qu’il vaut mieux ne pas dire ce qui pourrait être terrifiant si finalement, grâce à des personnes particulièrement performantes et prévoyantes qui ont chevillée au cœur l’intérêt général du plus grand nombre, ou qui ont eu beaucoup de chance, il n’y a pas encore eu de conséquence catastrophique.
Dans le cas contraire, il sera toujours temps d’éclairer les citoyens le jour où on ne pourra plus cacher les raisons de ce qui nous adviendrait d’effrayant.
À ce moment-là, on nous servira une « story » à peu près cohérente et convaincante : ça devrait suffire.
Or, ce n’est heureusement pas encore le cas.
En fait, nos « responsables » se comportent comme des « bons pères de famille » qui protègent leurs citoyens et occasionnellement leurs intérêts, rien de plus.
Et sur 52 chapitres, vous allez découvrir que ces menaces qui pèsent sur le devenir du monde, de ses habitants et des civilisations qu’ils portent, sont bien plus considérables que ce qu’on peut en dire très honnêtement.
C’est comme ça.
Quelques détails l’annoncent déjà. Des détails parfois techniques auxquels je ne comprends pas grand-chose (et j’aurai été bien incapable de les écrire), qui parsèment le présent ouvrage, ce que je trouve assez sympathique, finalement.
Nous verrons bien pour la suite.
En attendant, régalez-vous : de mon côté, je m’occupe, sous la houlette de « ma Nichée », de rassembler les éléments de la vie de ma famille, « pour l’Histoire » : les acteurs principaux ne sont plus là pour raconter leur tranche de vie ― il nous reste seulement des photos et des films, plus quelques correspondances ― et ça manque déjà à la génération suivante de la mienne, en quête de traces et de souvenirs jusque-là incomplets, alors que j’en ai encore beaucoup en tête…
Plein de choses qui ne font surtout pas les Unes des journaux, alors que certaines ne peuvent pas être dissimulées et surprennent tout de même le public.
Tellement d’événements se percutent sur cette planète, se télescopent dans le désordre, dans un monde en pleine guerre pour quelques frontières incertaines et des tentatives de domination économique, politique, stratégique qui débordent même jusqu’en Afrique orientale et n’aboutissent pas, où les menaces de ruptures catastrophiques sont nombreuses, font des ravages en Syrie et en Turquie, s’entrechoquent et parfois se contrarient mutuellement, tels qu’il reste important de savoir décrypter et relier ces informations décousues et éparses pour commencer à comprendre ce qui s’y passe réellement.
D’ailleurs faut-il vraiment savoir ces menaces quasi-permanentes de chaos ou est-il préférable de les ignorer, laissant à quelques-uns la responsabilité de gérer au mieux ce qui paraît imprévisible, impondérable et inopiné dès lors que les conséquences peuvent être réduites à leur strict minimum, jusqu’à finalement passer inaperçues ?
Les quelques lignes réunies dans cet ouvrage vous éclaireront peut-être sur ces éléments qui, officiellement, « n’existent pas » tous.
Et c’est probablement mieux de la sorte…
À vous d’en juger !
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT
BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR
UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT «
NON RUSSE » !
Éditions I3
[1] Cf. épisode « Ultime récit » des « Enquêtes de Charlotte », aux éditions I3
[2] Cf. épisode « Le feu » des « Enquêtes de Charlotte », à paraître aux éditions I3
[3] Cf. épisode « Opération Juliette-Siéra » des « Enquêtes de Charlotte », prochainement aux éditions I3
[4] Cf. épisodes « Au nom du Père – Tomes I et Tome II » des « Enquêtes de Charlotte », à paraître aux éditions I3
[5] Cf. épisode « 2022 : année électorale de Charlotte » des « Enquêtes de Charlotte », à paraître aux éditions I3
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