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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mardi 20 juin 2023

Pas très palpitants ces sujets du bac philo 2023 (1/2)

Les sujets de dissertation pour la voie générale
 
Le bonheur est-il affaire de raison ?
ou
Vouloir la paix, est-ce vouloir la justice ?
Avouez qu’on aurait pu penser à des sujets plus accrochés sur des faits d’actualité ou de société (le piège classique dont l’impétrant doit se sortir).
Là, aucun piège… Juste des questions métaphysiques idiotes dont on sait bien qu’il n’y a pas de réponse intelligente à fournir.
 
Le bonheur est-il affaire de raison ?
De qui se moque-t-on au juste ?
Il faut d’abord se rappeler qu’au cours de l’histoire de l’humanité, l’idée elle-même du bonheur a considérablement évolué.
Du stoïcisme des Grecs, au bonheur impossible de Nietzsche, en passant par l’apport chrétien puis l’absurde ressenti par les existentialistes, la notion même de bonheur aura été combinée avec la raison, la foi, à travers l’Histoire dans un vaste melting-pot philosophique qui n’a jamais eu de réponse absolue.
 
D’ailleurs on peut s’interroger sur qu’est le Bonheur ?
Ensuite comment peut-il se confronter à la Raison ?
Et qu’est-ce que la raison (chez les pétoncles) ?
Se réduit-elle d’ailleurs à la rationalité (d’un système expert, proto « IA ») ?
Bref, le sujet est très « piégeux » en même temps qu’il serait capital d’y esquisser une réponse puisqu’il peut s’agir finalement de tout le sens à donner à sa courte vie sur cette planète.
D’autant qu’il peut aussi s’agir de choix dans notre soi-disant libre-arbitre.
Je ne sais pas vous, mais personnellement j’ai toujours pensé que c’était la vie elle-même qui choisissait pour moâ !
Je n’ai pas choisi d’être né dans ce pays, sur cette planète-là, dans cette ville, dans cette famille, à cette époque et pas à une autre.
De même, il faut reconnaître aussi que je n’ai même pas choisi de naître (ou non).
Alors le libre-arbitre, laissez moâ rire, c’est me semble-t-il une facilité, un raccourci de l’esprit pour tenter de rendre responsable les uns et les autres de ce qu’ils ont pu faire ou ne pas faire, de ce qu’ils auraient dû faire ou n’auraient pas dû faire : Rien de plus.
(Et c’est déjà beaucoup…)
Si je suis resté foncièrement honnête toute ma vie, c’est peut-être tout simplement par manque d’occasion de devenir malhonnête : Je n’en sais rien et je n’en tire aucune gloriole !
C’est comme ça, même si ce n’est pas toujours facile de rester honnête en certaines circonstances, je le reconnais également (ce qui me permet de condamner celui qui ne fait pas l’effort au moins là où j’ai pu le faire) : Quand on a pris le pli d’être honnête, il est forcément difficile de s’en défaire…
Mais déjà je suis « hors sujet » !
 
D’autant, pour y revenir, que les « grand penseurs » ont souvent soliloqué sur la notion de Raison tels les immenses Kant, Descartes, Spinoza et quelques-autres. Sans même compter l’apport des religions (et autres croyances) pour lesquelles la Raison est d’essence divine, inaccessible aux simples mortels que nous sommes, hors la Vérité du Livre (cela va sans dire…), qu’il soit biblique ou coranique.
Comme d’un dogme à ne jamais remettre en cause ou à ne jamais transgresser.
Vous connaissez mon point de vue sur les dogmes… Je constate qu’ils rendent systématiquement stupides même les meilleures cervelles…
Si encore il n’y en avait qu’un… Mais alors il n’y aurait même plus de libre-choix possible !
 
Quant à la recherche du bonheur, on peut aussi se tourner vers les utilitaristes comme James, Hobbes ou les positivistes comme Comte…
C’est déjà plus abordable.
Or le bonheur du cœur « a ses raisons que la raison ne connaît pas ». L’idée du bonheur est, contrairement à la raison, loin d’être universelle : C’est manifestement une affaire individuelle, conjoncturelle, éphémère, finalement. Presque « non réplicable ».
Rappelons-nous que les philosophes antiques, épicuriens, cyniques, mettaient plutôt en avant la primauté de la sensation, de l’instinct.
La raison ne vient que pour, soit perturber, freiner, culpabiliser, soit au mieux limiter mais sans « mathématiser » le désir ou l’inertie qui serait prédominant à la raison pour une bonne utilisation de cet outil.
 
Ne pas être trop raisonnable provoquaient même les hédonistes, voire les cyrénaïques et leur conception jouissive du bonheur.
Ainsi, il faut aussi se rappeler qu’Épicure dirige sa pensée vers l’état de plaisir instantané, prude mais plein, total, voire totalitaire. Et il définit le plaisir comme la satisfaction d’un désir. Pour vivre heureux, comme il n’est matériellement pas possible de satisfaire à tous ses désirs à tous moments, la meilleure façon d’y parvenir c’est de ne pas avoir de désir…
Aussi kon que ça, mais alors à quoi bon vivre, me demande-je ?
Chez les cyniques, qui pousseront à l’extrême cette idée et seront ainsi déviés, détournés plus tard par les partisans de Dionysos avec leurs bacchanales et excès jusqu’à l’ivresse, encore aujourd’hui d’ailleurs, nous trouverons cette conception jusqu’auboutiste chez les adeptes du refus de toute limite qui ont même laissé leurs traces chez les nihilistes…
Mais les excès surviennent, les accidents, les hystéries et les philosophes ont cherché très vite, par nécessité morale comme biologique, des limites à cette idée du Bonheur…
Donc, la raison s’en mêle pour freiner les excès nocifs…
 
Une opposition qui se trouve très vite chez Platon et la pensée aristotélicienne et ses catégorisations raisonnables des sciences et de la morale.
Le « Souverain Bien » s’opposera ou « discutera » avec le « Souverain Plaisir », l’hédonisme pour le contrôler, mais également et plus positivement, le perdurer !
Le rationnel, engendre donc les notions de tempérance des stoïciens de Cicéron, Marc-Aurèle à Montaigne, de Spinoza, à des niveaux d’exigences décalées mais proches par la loi rationnelle de la contrainte de vie, de collectivité, de maîtrise de soi.
 
Ainsi, même le moyen-âge poussa à l’extrême et chercha pendant des siècles par l’Église, le pouvoir absolu frustrateur à museler l’instinct de bonheur autre que spirituel, le déplaçant même dans l’au-delà pour supporter la misère d’ici-bas, et la philosophie du bienheureux devint un déport vers l’au-delà !
Par la suite, la notion subjective du bonheur fut mise en avant par la raison objective pour modérer les excès de cette époque-là.
Mais même cette orientation prit plusieurs chemins suivant les penseurs et les époques.
De l’utilitarisme avec intrinsèquement la limite raisonnable posée de l’utile, le collectif, au kantisme et ses impératifs catégoriques, en passant par Montaigne et la sagesse harmonisant bonheur et tempérance pour mieux profiter du moment, et jusqu’à l’existentialisme ainsi que le choix personnel mais dans ce monde absurde du choix réfléchi après la « nausée » des contradictions qui se présentent dans notre vie, dans nos cultures différenciées.
 
Leur objectif était de trouver des équilibres personnels mais aussi pour permettre de vivre ensemble comme le souhaitait Kant.
Les relativistes affirmaient combien la vérité n’est pas un absolu. Einstein nous l’a résumé en une seule équation (aux conséquences incalculables… enfin si justement, mais ô combien tellement contre-intuitives !!!).
La psychologie freudienne, souvenez-vous, vint aussi exposer l’inutilité d’écraser nos pulsions, notre inconscient !
Ce fut alors une révolution philosophique.
Elle suivait en cela celle de Descartes et son rationalisme sans tomber dans l’excès du positivisme.
 
On peut aussi affirmer avec Diderot que « la sagesse n’est autre chose que la science du Bonheur », assertion reprise par Rousseau, Voltaire, Spinoza, Leibniz et quelques autres qui ont glosé sans vraiment me convaincre.
Car je n’en suis même pas certain…
La raison finalement doit s’accorder avec une idée du bonheur possible, même si on ne sait toujours pas ce qu’on met dedans.
 
D’autant que le bien commun s’invite dans le discours. Le respect, l’acceptation d’un bonheur sans cesse à redéfinir selon les lois sociales (et leur arbitraire s’imposant au libre-arbitre) mais aussi sanitaires, psychologiques allaient poser pour longtemps une sorte d’association entre raison et plaisir pour un bonheur durable et pour tous même si cela aura été très variable en différentes époques.
Selon les psychologues il faudrait ne pas nier la mort, ni la responsabilité dans cette nouvelle idée du bonheur. Ainsi étaient repris les philosophies de Socrate, modéré mais associant vertu et désir simple.
Le modèle spinoziste cassait cette indolence stoïcienne mais gardait l’idée de mesure, de temporalité de l’homme : La raison serait là pour rappeler la limite pour notre bien plutôt que des freins inutiles à travers notre destinée et notre collectif familial et social.
L’instinct ne réfute pas non plus la raison. La philosophie semble être un long chemin encore à parcourir pour faire s’entendre les deux concepts.
 
L’homme est d’abord et par nature un animal, un animal raisonnable, certes, capable de penser et de connaître. Les philosophes des Lumières annoncent la politique contre absolutisme, la démocratie, la possibilité pour le rationnel et la passion de s’accorder. L’histoire du bonheur serait donc indissociable de la grande histoire civilisationnelle.
Et la morale chrétienne ne contredit pas cela malgré des déchirements du XVIIIème siècle et ceux qui les ont précédés. Un bonheur commun apparaît comme une fusion entre esprit et désir, mais un élément seulement de ce bonheur.
Et la psychologie viendra rappeler la nécessaire union pour la santé psychique, morale des êtres soumis aux vents qui passent.
 
Mais comment parler de tout ça en quelques pages et en 4 heures de rédaction ?
C’est un sujet piège sans en avoir l’air.
Parce qu’on ne dit toujours pas ce qu’est le bonheur.
Ni le rôle joué par la raison pour l’obtenir et l’entretenir.
Alors que finalement c’est très simple : Le bonheur, c’est seulement le fait d’éviter les malheurs sur sa route de vie, c’est d’être en harmonie entre soi et ses propres aspirations ainsi que son environnement.
Éviter les malheurs et les souffrances, c’est le rôle de la raison qui nous sert à anticiper ces « inconvénients ».
Or, la raison sait très bien qu’on n’évite pas toutes les sortes de souffrances tout au long de sa vie, même si elle est courte.
Alors à quoi bon au juste ?
 
Après avoir pris un quart d’heure à repenser à tout ça, je me serai donc orienté vers l’autre sujet : Vouloir la paix, est-ce vouloir la justice ?
Quoique… c’est encore une belle konnerie…
 
Comme si les deux notions étaient liées : Combien sont-ils encore aujourd’hui à accepter la paix et la sécurité sans justice, sans même égalité de droit ?
Était-il juste de passer 55 jours en garde-à-vue domiciliaire pour assurer la paix sanitaire ?
Devant cette contradiction bizarre, inacceptable au premier abord, il conviendrait de commencer par définir quelques des points clés : Qu’est-ce que la paix ?
Seulement une absence de conflit ? Selon cette conception, la paix est avant tout l’absence de guerre et de violence. Elle est synonyme d’harmonie, de tranquillité et de stabilité sociale. Cependant, cette approche minimale de la paix soulève la question de savoir si elle peut réellement être atteinte sans la recherche de la justice. Et l’Histoire des hommes et des civilisations nous indique que probablement pas.
 
Alors est-ce que la paix c’est une certaine harmonie sociale ?
Dans cette acceptation, la paix serait donc synonyme de justice sociale et basta ?
Trop facile, bien entendu : Et ils sont nombreux à le penser comme d’une certitude absolue, povs’ pétoncles…
Or, si c’était le cas, on y serait parvenu depuis les lustres : Ce n’est donc pas si simple.
Et certains courants philosophiques affirment que la paix authentique ne peut être réalisée que par la justice sociale !
Selon eux, l’éradication des inégalités, la protection des droits fondamentaux et l’établissement d’une société équitable sont des conditions préalables à une véritable paix.
Une conception qui met donc en évidence la relation étroite entre la paix et la justice.
Dans un monde parfait, on peut éventuellement l’admettre… mais avec des gants et des pincettes. De plus le monde est loin d’être parfait…
Selon cette conception, la justice consiste à traiter les individus de manière équitable et impartiale. Elle repose alors sur le respect des droits individuels, l’égalité des chances et la répartition équitable des ressources.
La volonté de justice implique donc l’aspiration à une société pacifique, où chacun est traité avec dignité et égalité.
Est-ce le cas pour la victime d’un homicide crapuleux ?
Pas bien certain : Là où il est, il n’en a plus rien à cirer…
 
Mais alors quid de la notion justice ? Est-ce que le juste c’est (juste) l’équité ?
N’y a-t-il pas une justice punitive, une justice de réparation ?
N’est-ce pas également le respect des droits fondamentaux de tous et de chacun ?
Certains courants mettent justement l’accent sur la dimension punitive et réparatrice de la justice. Selon eux, la justice consiste seulement à punir les transgressions et à réparer les préjudices subis.
Cette conception soulève, dans cette approche, des questions sur le lien entre la justice punitive et la réalisation d’une paix durable.
Naturellement, c’est plus compliqué que ça…
 
N’y-a-t-il pas aussi un lien entre paix et justice qui pourrait être perçues comme étant étroitement liées et mutuellement renforcées ?
On peut ainsi penser aux russophones d’Ukraine (mais il ne faudrait même pas l’évoquer dans un devoir de philosophie) qui ont su déclencher un conflit ouvert avec un pays « libre », leur propre pays de résidence, qui plus est.
(Même si pour ma part, j’ai toujours analysé ce conflit comme une répétition des « Sudètes » de la « Teutonnie-nazie » et son « espace-vital » qui ne sont jamais que des prétextes pour asservir autrui…)
Si on veut plaire à un correcteur « de gôche avancée » diplômé agrégé des lycées, on essayera d’affirmer qu’une paix durable ne peut être atteinte sans une recherche active de la justice, et la justice sociale est souvent un prérequis pour une véritable paix !
 
Mais soyons francs : La recherche de la paix peut conduire à des compromis sur le plan de la justice, et inversement, la poursuite de la justice peut générer des conflits.
Il est donc nécessaire de trouver un équilibre délicat entre ces deux aspirations pour construire une société juste et pacifique.
Et dans ce cadre, il peut être pertinent d’examiner les conceptions de la paix et de la justice chez quelques auteurs classiques si on a parcouru le programme de philosophie de terminale et qu’on en a retenu deux ou trois choses.
Par exemple Hobbes qui considère que la paix est obtenue par la création d’un État souverain qui garantit la sécurité et met fin à l’état de guerre permanent.
(Il est même attendu à Kiev…)
Pour lui, la justice réside dans le respect des lois et des contrats, permettant ainsi d’assurer la paix civile.
Ce qui me semble assez court : Il n’a pas lu l’affaire Calas, ni même l’affaire Dreyfus, me semble-t-il…
Locke soutient quant à lui que la paix découle de la reconnaissance et du respect des droits naturels de chaque individu, notamment le droit à la vie, à la liberté et à la propriété.
Ce qui n’est pas kon, mais ça s’oppose à l’idée d’une distribution « équitable » des richesses.
Selon lui, la justice consiste à préserver ces droits fondamentaux et à assurer une gouvernance légitime pour garantir la paix sociale.
 
Bien sûr, « JJR » (Jean-Jacques Rousseau) considère de son côté que la paix véritable ne peut être atteinte que par la construction d’une société juste et égalitaire. Admettons.
Car ce n’est pas une tautologie mais une lapalissade : Pour lui, la justice repose sur le contrat social et la volonté générale, où tous les membres de la société participent activement à la prise de décision et à la réalisation du bien commun.
Et quand la « volonté générale » réside seulement dans la désignation d’une « élite de Sachants », qu’est-ce qui se passe quand ceux-là deviennent inamovibles même provisoirement ?
(Sans oublier que souvent, ils naissent kons comme tout autre…)
« Manu Kant » quant à lui soutient que la paix durable repose sur le respect des principes moraux universels : Selon lui, la justice est la condition préalable à la paix, car elle implique le respect des droits de chaque individu et l’adoption de principes moraux fondés sur la rationalité.
Il aura peut-être eu du succès chez les Zoulous ou les cannibales. Voire chez les pirates des Caraïbes…
D’autres comme Arendt (une spécialiste contemporaine du totalitarisme : C’était au programme) mettent l’accent sur la nécessité d’une justice réparatrice en affirmant que pour atteindre une véritable paix, il est essentiel de reconnaître les préjudices passés et de mettre en place des processus de réparation, notamment en reconnaissant les droits des victimes et en responsabilisant les coupables. Dans un contexte de judéité assumée, ça peut faire mouche.
Étant « né goy et papiste », j’en parlerai à Monsieur le Procureur (né laïc) qui n’en a rien à cirer.
Et je pourrais plutôt parler, notamment, du cas du pasteur Martin Luther King Jr. qui pourrait à son tour nous parler de George Floyd, par exemple.
 
Justement, King considérait que la paix véritable ne peut être atteinte sans justice sociale. Il soutient que l’injustice et les inégalités engendrent des tensions qui compromettent la paix.
Pour lui, lutter contre les injustices est une condition préalable à la construction d’une société pacifique.
Par conséquent, on n’en finit pas…
C’est le serpent qui se mord la queue : On mélange aisément cause et conséquence et réciproquement…
 
Bref, un sujet kon mais qui finalement reste intéressant parce qu’il soulève une question profonde et complexe sur la relation entre la paix et la justice et invite le candidat à réfléchir sur la nature de ces deux idéaux ainsi qu’à examiner si la volonté de paix implique nécessairement la volonté de justice.
Mais là, ça devenait trop long pour une copie à remettre en moins de 4 heures et ça aurait été dévoiler ses opinions personnelles qui auraient vite débordé sur des partis-pris politiques parfaitement inutiles.
N’étant pas vraiment un dogmatique pour un sou, je suis certain que j’aurai été saqué par mon correcteur, détenteur d’un « autre dogme » qui est celui de « sa » vérité à lui…
 
Autrement dit, rien de gagné : Je ne suis vraiment pas certain que j’eusse obtenu mon Bac cette année, en définitive…
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

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