Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 2 juin 2023

Premières de la « saison 10 »

Et Jean-Marc nous ressert des « revenues »
 
Ayant remarqué la braguette ouverte de son patron, la secrétaire embarrassée lui dit :
« La porte de votre garage est restée ouverte. »
Le directeur perplexe ne comprend pas, jusqu’à ce qu’elle lui montre du doigt.
Il remonte alors rapidement la fermeture et lui dit :
« ― J’espère que n’avez pas aperçu ma super Mercedes 600 !
― Non », répond-elle. « Juste une vieille 2 CV rose avec deux pneus crevés. »
 
Il était une fois un homme très pingre qui avait travaillé toute sa vie et épargné son argent…
Il aimait l’argent plus que tout et juste avant de mourir il dit à sa femme : « Lorsque je mourrai, je veux que tu mettes tout mon argent dans le cercueil avec moi, ce sera pour ma vie après la mort ».
Bien à contrecœur, sa femme lui promit de suivre son souhait.
Peu de temps après, il mourut.
Au cimetière, il était étendu dans son cercueil entouré de quelques amis, membres de sa famille et de son épouse, toute de noir vêtu.
Comme la cérémonie se terminait, juste avant que le cercueil ne soit refermé et porté en terre, l’épouse dit : « Attendez une minute. »
Elle prit alors une boîte qu’elle déposa dans le cercueil près de son époux.
Les préposés firent alors descendre le cercueil dans la fosse.
Jean-Marc, un ami lui dit alors : « Écoute bien, j’espère que tu as été assez intelligente pour ne pas mettre tout son argent dans le cercueil avec lui comme il te l’avait demandé ? »
L’épouse lui répondit : « Bien sûr que si, je suis une bonne chrétienne et je ne puis revenir sur la parole faite à un mourant de mettre son argent avec lui dans le cercueil » !
Et elle ajouta : « Je lui ai fait un chèque ».
 
Jean-Marc, Jean-Charles et Jean-Luc, boivent l’apéro avec une tête d’enterrement en attendant Jean-Paul qui doit les rejoindre.
Le barman leur demande ce qui arrive.
Le premier dit :
« Un matin, je vois une raquette, des tennis et un short. Chez moi, personne ne joue au tennis donc ma femme me trompe avec un tennisman. »
Le deuxième :
« Pareil, ma femme me trompe avec un footballer : sous le lit, j’ai trouvé maillot, crampons, ballon. Personne ne joue au foot chez moi. »
Le troisième :
« ― Chez moi, c’est pire encore ! Ma femme me trompe avec un cheval.
― Un cheval ? Comment ça ?
― Ben oui, sous le lit j’ai trouvé un jockey… »
 
Jean-Marc et Jean-Paul discutent devant leur bière :
« ― J’en ai marre, c’est la deuxième fois qu’on me vide ma cuve à mazout. Pourtant, la bouche de remplissage est bien cachée sous une vasque de fleurs.
― Moi j’ai résolu le problème ! J’ai acheté un gros bouchon rouge avec MAZOUT marqué dessus en blanc.
― T’es fou ? Ils n’ont même plus à chercher !
― Ben ouais… Mais le tuyau n’est pas relié à ma cuve à mazout… Il est raccordé à ma fosse septique et ça fait trois fois en six mois que des abrutis me la vide gratis. »
 
Madame Marie-Yvonne vient de perdre son mari.
À une amie, Germaine, qui lui rend visite, elle confie :
« Jean-François était merveilleux, il a pensé à tout.
Il m’a laissé trois enveloppes à ouvrir après sa mort.
Dans la première, il y avait deux mille euros avec ce mot : Pour la messe et les fleurs.
Dans la deuxième, il y avait trois mille euros avec ce mot : Pour le cercueil en acajou.
Dans la troisième, il y avait dix mille euros avec ce mot : Pour la pierre tombale. »
Elle tend la main vers son amie et lui montre sa bague :
« Qu’est-ce que tu penses de mon diamant ?… »
 
Dans un cinéma où l’on joue un film policier à suspense, un spectateur entre au moment où le film vient de commencer.
Sa lampe torche à la main, l’ouvreuse le guide, éclaire chaque marche pour qu’il ne trébuche pas, et l’amène jusqu’à un fauteuil libre.
« C’est trop près, vous n’auriez pas une autre place ? »
Elle repart dans l’autre sens et le guide jusqu’à un nouveau siège.
« Là c’est vraiment trop de côté. Il n’y a rien de plus central ? »
Elle parcourt toute l’allée, repère enfin une place en plein milieu, et elle y conduit le type, qui lui donne royalement une pièce de dix centimes.
Alors elle se penche vers lui et lui dit à l’oreille :
« C’est le juge l’assassin… »
 
C’est l’histoire des deux vampires dont l’un dit à son pote :
« ― Dis-moi, tu t'es parfumé ce soir ?
― Ouais ! j’me suis mis du sang bon, comme dit mon fils. »
 
En dépoussiérant son grenier, Jean-Richard tombe sur une lampe à huile.
Il l’astique et fait soudainement apparaître un génie au milieu d’un nuage de fumée, qui lui dit :
« Je suis le génie de la lampe et j’exaucerai votre souhait le plus cher. »
Jean-Paul ne réfléchit pas longtemps et exprime spontanément son vœu :
« ― Je souhaite avoir un sexe tellement long qu’il puisse traîner par terre…
― Que votre vœu soit exaucé ! »
Et POUF ! Jean-Richard se retrouve depuis ce jour-là avec des jambes de 10 cm !
 
C’est l’histoire du condamné à mort aux USA qui attend l’heure de l’exécution lorsqu’arrive le pasteur :
« ― Mon fils, j’apporte la parole de Dieu pour toi.
― Vous perdez votre temps, mon père… Dans un petit moment, je vais pouvoir lui parler personnellement… Avez-vous un message pour lui ? »
 
C’est l’histoire d’un couple de golfeurs qui pratique leur sport favori lorsque leurs balles vont fracasser la fenêtre de la maison qui est proche du terrain.
Honteux, le jeune couple va s’excuser au propriétaire de la demeure en lui offrant un dédommagement.
« ― Bonjour », dit le jeune golfeur, « nous avons, sans faire exprès, fracassé votre fenêtre avec nos balles de golf.
― Ne vous inquiétez pas, monsieur, nous allons vous dédommager pour les dégâts que nous avons causés » poursuit la golfeuse.
« ― Non, non aucun dédommagement ! Je suis un génie et en brisant ma fenêtre, vous avez en même temps cassé la bouteille dans laquelle j’ai été enfermé pendant plus de mille ans !
En tant que bon génie, je dois 3 vœux à mes maîtres !
Alors, quels seront vos vœux ! »
Le couple se regarde et demandent d’être les meilleurs golfeurs au monde.
Le génie répond donc :
« D’accord, vous serez les meilleurs golfeurs au monde pour le reste de votre vie. »
Pour leur second vœu, ils demandent d’être les milliardaires les plus riches sur terre.
« D’accord, vous recevrez 2.000.000 € chaque semaine sur votre compte bancaire, retenue à la source payée au titre de l’impôt. »
Le jeune homme ne trouve rien qui lui soit cher pour le dernier vœu.
Il demande donc au génie ce qu’il voudrait pour leur avoir donner tant.
Le génie répond donc d’un ton nostalgique :
« Vous savez, ça fait plus de 1.000 ans que je n’ai pas pris une femme dans mes bras, qu’il y en a pas eu une dans mon lit !
Plus de 1.000 ans que je n’ai pas caressé une poitrine.
Si vous me prêtiez votre femme, qui est fort bien jolie et bien faite, je dois l’avouer, je serais heureux pour le reste de mes jours ! »
Après une brève discussion, le couple se sépare, et la femme passe la nuit chez le génie.
Le lendemain, l’homme revient chercher sa femme chez le génie.
Avant qu’ils partent, le génie demanda quel âge avait la jeune dame.
« ― J’ai 28 ans.
― Et vous croyez encore au génie ? »
On a la même avec le Père Noël…
 
Une jeune femme en larmes arrive au bureau et immédiatement son patron vient la voir :
« Mais que se passe-t-il ma petite Marie-Georgette ? »
Marie-Georgette explique :
« Ce matin, juste avant de partir travailler, j’ai reçu un coup de fil qui m’annonçait la mort de ma mère. »
Le patron dit immédiatement : « Vous devriez rentrer chez vous et vous reposer ma petite Marie-Georgette. »
Ce à quoi la jeune femme répond :
« Non, j’ai besoin de me changer les idées et c’est en travaillant que j’y parviendrai le mieux… »
Quelques heures plus tard, le patron vient revoir son employée.
Il la retrouve effondrée sur son bureau, pleurant toutes les larmes de son corps.
Il demande :
« ― Ça ne va pas mieux ma petite Marie-Georgette ?
― C’est horrible… Je viens de recevoir un coup de fil de ma sœur, sa mère est morte elle aussi. »
 
C’est l’histoire de l’homme qui, en marchant, s’approche d’une grande maison, dans un beau quartier, et à sa stupéfaction aperçoit un couple qui fait l’amour sur le gazon.
Un peu plus loin, un autre couple fait l’amour près d’un arbre, et un troisième sur le perron.
En regardant de plus près, il voit encore d’autres couples qui font l’amour sur le gazon.
Il décide de s’approcher de la maison et sonne à la porte, une grande dame bien vêtue, lui demande ce qu’il désire.
« Quel genre de maison est-ce ici ? » demande l’homme.
« C’est un bordel ! » répondit la dame.
« ― Pourquoi, il y a des couples qui font l’amour un peu partout sur le gazon ?
― C’est qu’aujourd’hui, nous avons une vente de trottoir. »
 
C’est l’histoire du baron qui revient de la chasse et s’adresse à son valet :
« ― Dites-moi Firmin, tous les invités sont-ils rentrés ?
― Oui monsieur le baron.
― Ah bon ! Très bien. C’était donc un chevreuil. »
 
Un patient, hospitalisé depuis un mois, sort de l’hôpital et avant de quitter passe au bureau de la comptabilité.
La comptable lui remet la facture des soins reçus.
Étonné à la vue de l’énorme montant inscrit au bas de la facture, l’homme se tourne vers la jeune-femme et lui dit :
« Maintenant je comprends pour pourquoi tout le monde portait des masques autour de la table d’opération ».
 
Deux musiciens discutent devant une bière.
« Moi », dit le premier, « les femmes m’adorent ! C’est normal, je suis un virtuose de la caresse.
Et tu sais pourquoi je suis si bon pour caresser les femmes ?
Parce que j’ai un doigté formidable… Forcément, j’ai fait du piano pendant quinze ans ! »
Alors son copain lui répond :
« Bah, moi aussi les femmes m’adorent ! Mais moi c’est parce pendant les quinze années où j’ai été scout et j’ai surtout appris l’harmonica. »
 
C’est l’histoire de sœur Marie-Marguerite qui vient de mourir.
Par erreur, la voilà en enfer au lieu de monter au Paradis.
Elle s’adresse au bureau des réclamations de l’Enfer, d’où on l’autorise à appeler Saint-Pierre.
« Allô Saint-Pierre ? Ici sœur Marie-Marguerite.
Saint-Pierre, je pense qu’il y a eu une regrettable erreur ! Je suis ici en Enfer alors que je n’ai pas pêché de toute ma vie… » etc.
La sœur continue à expliquer sa situation et finit par convaincre Saint-Pierre qu’il y a bien eu erreur.
Saint-Pierre lui promet de régler le problème dans les 24 heures.
Le lendemain, la situation n’a pas changé d’un iota.
La pauvre Marie-Marguerite demande à repasser un coup de fil au Paradis.
D’une voix empreinte d’inquiétude, elle dit à Saint-Pierre :
« Je vous en prie, venez me récupérer avant demain, il y a une orgie prévue ce soir et tout le monde doit participer ! »
Saint-Pierre la rassure :
« Tout sera réglé avant ce soir Marie-Marguerite. On viendra vous chercher, promis. »
Mais apparemment, Saint-Pierre est plutôt perdu dans son organisation et Sœur Marie-Marguerite passe aux oubliettes.
Alors évidemment, le lendemain, il reçoit un nouveau coup de fil du bureau des réclamations de l’Enfer.
S’attendant à se faire engueuler, il décroche et entend :
« Allô, Pierrot ! Ici c’est Maggie. Je voulais te dire, pour le retour là-haut… laisse tomber ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous !
 
I3
 
Pour mémoire (n’en déplaise à « Poux-tine ») : « LE PRÉSENT BILLET A ENCORE ÉTÉ RÉDIGÉ PAR UNE PERSONNE « NON RUSSE » ET MIS EN LIGNE PAR UN MÉDIA DE MASSE « NON RUSSE », REMPLISSANT DONC LES FONCTIONS D’UN AGENT « NON RUSSE » !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire