Mes « militareux » communiquent.
Et mettent le doigt sur ce qui les préoccupe. Le
pouvoir d’achat, l’âge de la retraite, le prix de l’énergie et des produits
alimentaires, le poids de la fiscalité, certes, voilà des sujets qui
intéressent nos quotidiens et les leurs.
Mais, ils auraient aimé que les candidats à l’élection présidentielle et, en particulier, les deux finalistes, leur parlent aussi de la « Gauloisie-éternelle » et leur décrivent les contours qu’ils envisageaient pour elle à un horizon de cinq, dix ou quinze ans.
Là, je trouve qu’ils sont assez mauvaise-langue parce que « Jupiter » a été assez clair : Il vise à se faire renouveler en 2032 pour deux mandats consécutifs à suivre jusqu’en 2042 et prendre la présidence de l’UE ou de la Commission voire le Parlement de Strasbourg dans l’intérim.
C’est déjà assez clair.
Reste à choisir la voie idoine, qui consiste à faire un choix cornélien entre mettre dans son fauteuil un clone en 2027, qu’il aura adoubé et formé au préalable, ou choisir un nain de neurone, d’extrême-droâte et d’extrême-gôche, pour bien mettre le pays sans-dessus sans-dessous ce qui lui facilitera la tâche en 2032.
Bon, ce n’est pas dit comme ça « noir sur blanc », mais c’est comme ça qu’il voit l’avenir et pas vraiment autrement.
Pour ma part, je le vois très bien, cet avenir dont personne
ne parle : Il s’agira pour « Jupiter » de ramasser toujours plus
d’impôt ne serait-ce que pour payer les seuls intérêts de l’Himalaya de dettes
engagées avec son « quoiqu’il en coûte » que tout le monde avait
applaudi à deux mains (et je ne parle même pas de la rembourser : C’est
impossible avant quelques générations exsangues), de dépenser encore plus qu’il
n’a été perçu avec plein de fonctionnaires aux compétences d’intervention
élargie, sans vraiment les former pour ça, et de réduire, en fait cantonner sur
des structures de « défaisance », probablement privées mais financées
avec une palanquée de taxes publiques et/ou cotisations nouvelles et supplémentaires
de façon à alléger ce poids sur la finance publique pour des prestations sociales
toujours plus réduites.
On ira jusqu’à regretter le « zéro reste à charge », croyez moâ !
Mais eux, « mes militareux » en disent autre
chose : « Aujourd’hui la France représente moins de 1 % de la
population mondiale et moins de 5 % des richesses produites sur la planète.
Mais on ne peut résumer le rang d’un pays dans le monde à partir de ces seules
données quantitatives. »
Probablement : Il y a bien d’autres « variables » qui permettent un rayonnement ou non d’un pays, de sa culture et de son histoire héritée des temps anciens, comme le classement PISA ou le nombre de médaille aux jeux olympiques…
Comme ce sont des « militareux », ils pensent un peu différemment : « Pour ce qui concerne notre pays, détenteur de l’arme nucléaire et membre permanent du Conseil de sécurité, il pèse plus, aujourd’hui, que le poids de ces simples chiffres. Il est, en réalité, une puissance moyenne ou, plus exactement, une puissance médiane. »
J’aime bien la nuance.
En réalité, une puissance mineure, mais qui pèse au plan régional, et qui peine à exercer sa souveraineté sur son empire océanique…
« En effet, notre pays bénéficie, avec six ou
sept autres, du fait de leur poids économique, de leur rayonnement culturel, de
leurs capacités militaires ou encore de leur appartenance au G8 (ça n’existe
plus : On perle aujourd’hui de G7) ou au Conseil de sécurité, d’un
facteur démultiplicateur par rapport à sa puissance stricto sensu.
La liste de ces pays pourrait inclure, outre les États-Unis, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, la Russie, la Chine, le Japon, voire l’Inde. »
Là, on touche au G20…
Pour ma part, je n’en vois que trois : Les USA, la GB et la « Gauloisie-impériale », les trois seules nations à avoir un domaine maritime sur lequel le soleil ne se couche jamais.
Toutes les autres ne sont que des « puissances régionales » qui tentent de faire mieux…
« Mais certains d’entre eux pourraient ne pas faire éternellement partie de ce cénacle et nous n’avons pas entendu nos candidats nous proposer les politiques qui nous permettraient de toujours appartenir à ce club restreint à moyen ou long terme. »
Ce n’est pas faux.
« Les atouts de la France, unanimement
reconnus, à quelques exceptions près, par le reste du monde, sont, outre son
armement nucléaire, son indépendance, l’influence qu’elle exerce dans un esprit
de recherche d’équilibre et l’universalité de son discours qui a la
particularité d’être audible par tous.
Aucun des candidats à l’élection présidentielle n’a
développé les possibilités ouvertes par l’utilisation, à bon escient, de ces
outils qui permettent à notre pays de tenir une place singulière dans le monde. »
C’est exact : Non seulement je n’ai rien entendu dire
ou lu sur le sujet et notre « singularité » reste dans la démesure de
notre domaine maritime.
Mais peut-être n’est-ce pas si problématique que ça, puisque ce qui intéressait l’électeur, c’était surtout de savoir comment il allait faire ses fins de mois…
Surtout avec tout ce qui va lui tomber sur le râble…
« Il est apparu parfois à l’étranger et, en
particulier, chez certains de nos partenaires, notamment lorsque le général de
Gaulle était président de la République, que la France péchait par excès de
prétention.
Ce « péché » a toutefois permis à notre pays de se
reconstruire tout en se dotant de l’arme nucléaire et de devenir une puissance
économique en trente ans (« Les trente glorieuses »).
À l’époque du général de Gaulle, ce péché d’orgueil reposait sur un axiome cher à ce dernier qui ne manquait pas de lucidité : « Les États n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts ». »
Pas d’ami, mais des alliés, des concurrents et des
adversaires…
« Cette prise en compte du principe de réalité est en effet un préalable à toute action efficace. Mais aujourd’hui, nous sommes tombés dans l’excès inverse, celui de l’autodépréciation qui fait les délices des partisans de la repentance. »
Oh ?
Mes « déclinistes » qui font tant de ravages dans les esprits-sains ?
« Les questions (qui d’ailleurs n’ont pas été
posées) et leurs réponses, que les citoyens français soucieux de l’avenir de
leur pays et faisant passer l’intérêt général avant les intérêts catégoriels
qu’une période électorale a pour naturelle vocation à mettre en exergue,
attendaient, sont les suivantes : quels intérêts doit défendre notre pays ?
Quelles positions doit-il faire valoir, et quelles
valeurs doit-il promouvoir ?
Enfin, quels moyens doit-il mettre en œuvre pour y parvenir ? »
Forcément, c’est au moins un colonel qui en cause…
« Ces questions et leurs réponses sont
d’autant plus prégnantes qu’une guerre de haute intensité entre deux États à la
frontière de l’Europe, que d’aucuns croyaient à jamais éradiquée, a surgi. »
C’était une illusion : Non seulement on a dû assumer une guerre dans les Balkans, une autre au Koweït, une troisième en Afghanistan, une dernière en Afrique Sahélienne et il fallait bien se rendre compte que l’invasion de la Crimée ne pouvait que déboucher sur l’actuel conflit à l’Est de l’Ukraine.
Et vous savez pour quelle raison ?
Parce qu’au lendemain de l’annexion de la Crimée, les ukrainiens ont asséché le canal de Crimée du Nord.
Plus d’eau potable, des bassins de rétention s’épuisant, la situation était intenable et la première chose que les russes ont fait, dès le 24 février dernier, c’était de le remettre en eau !
Bon, d’accord, ce n’est peut-être pas à la portée d’un colonel, mais au moins d’un général…
« Dans ce contexte, comment la France qui a
toujours plaidé en faveur d’une « Europe puissance », terme qu’elle a inventé, qui
ne se limiterait pas à ses seules dimensions économique et commerciale mais
manifesterait une véritable volonté politique à peser sur les affaires du
monde, compte-t-elle favoriser sa réalisation ?
Dans le domaine de la Défense, nous aurions aimé
entendre les prétendants à la fonction suprême de chef des Armées françaises
nous livrer leurs intentions quant à un nécessaire véritable réarmement de
notre pays exigeant une hausse significative du budget de la Défense à l’instar
de ce que nos amis allemands ont décidé dès l’attaque de l’Ukraine par la
Russie. »
Et voilà le but du laïus : Des sous, des sous et
encore des sous !
« De même, nous aurions aimé connaître leur sentiment sur la notion d’Europe de la défense, serpent de mer qui alimente les gazettes spécialisées depuis des lustres.
Sont-ils contre ou sont-ils pour et, dans ce cas,
jusqu’à quel degré d’intégration ?
Considèrent-ils que cette Europe de la défense doit être autonome, non dépendante de l’OTAN, ou, au contraire, qu’elle doit en constituer l’un des deux piliers, l’autre étant américain ? »
On parle de quoi au juste ?
De défense ou d’alliance ?
« Une autre question néanmoins plus ou moins
connexe se pose : dans quelle mesure les textes et les institutions forgés dans
la seconde moitié du XXème siècle et qui furent les conséquences de
la Seconde Guerre mondiale sont-ils encore pertinents pour traiter les
problèmes du monde d’aujourd’hui ? »
Bé, de mort cérébrale à résurrection et adhésions nouvelles, il y a un chemin extraordinaire dont il faut remercier « Poux-tine ».
Personnellement, j’aurai aimé que la Russie adhère également à l’Otan (hors la Suisse et la Biélorussie) et à l’UE (hors la Suisse et la Grande-Bretagne), ça aurait eu une autre gueule et aurait rendu caduques tous les autres « machins » internationaux et « globalistes » qui viennent de faire défaillance pour gérer les « affaires du monde » dans la paix.
« L’attitude de la Russie démontre, s’il en
était besoin, que les imperfections de ces instruments constituent un prétexte
pour rejeter le système de sécurité collective existant et ainsi légitimer des
logiques de puissance unilatérale.
Comment faire en sorte que les seules règles du jeu
jusqu’ici communément admises, comme celles de la Charte des Nations unies,
demeurent pertinentes et donc respectées ?
La question corollaire est celle de l’emploi de la force. Peut-on ou doit-on rejeter toujours l’usage préventif de la force quand il s’agit de protéger des populations dont la survie est menacée ? »
Aaah, le devoir d’ingérence… « néo-colonialiste ».
« Couche-nerf » l’aura inventé et même aura débarqué à dos d’homme des sacs de riz devant les caméras du monde entier pour que la notion existe encore un peu.
« Quand un pays victime d’une agression comme
l’Ukraine voit ses villes détruites et sa population mourir sous les
bombardements, alors il mesure combien les petites querelles politiciennes sur
le montant des retraites ou la fiscalité sur le carburant sont dérisoires. « La
défense ! C’est la première raison d’être de l'État. Il n’y peut manquer sans
se détruire lui-même ». »
Certes, mais avec quelle fiscalité acceptable au juste ?
Et le juriste que je reste vous dira qu’il ne s’agit pas seulement de « défense », mais bien plus de « sécurité » des biens et des personnes.
Leur « durabilité ».
« D’une réflexion approfondie sur ces
problématiques et alors que les problèmes de sécurité dans le monde sont graves
et que les menaces n’ont jamais été si pressantes, la campagne présidentielle a
été privée.
Une élection présidentielle devrait être pourtant un
moment de réflexion collective face à la complexité croissante du monde et
portant sur la cohérence et l’efficacité de nos outils.
Au contraire, celle que nous venons de vivre a donné le sentiment que, frappés par l’accélération de l’Histoire, les candidats étaient démunis et que les événements semblaient leur échapper. »
Pour au moins trois d’entre eux.
« Jupiter » aura été actif, actif et impuissant…
« Pourtant, aujourd'hui plus que jamais, nous devons
nous souvenir que rien ne nous est dû et que notre place dans le monde sera de
plus en plus fonction de ce que nous ferons, de ce que nous serons et de moins
en moins de ce que nous sommes. »
Vive la République, vive la France !
Remarquons au passage que nous sommes que ce que nous
faisons…
En bref, ce message me perturbe : Voilà des « officiers-supérieurs »
de la « Grande Muette » qui se posent bien des questions
existentielles.
Comme s’ils avaient oubliés pour quoi ils sont payés (soldés), formés et équipés avec « mes » impôts.
Servir et obéir.
Ils n’ont même plus de « sinistre de la défense », alors que le premier d’entre eux ne parvient pas à être remplacé.
Quand même extraordinaire, non ?
Après trois semaines, « Jupiter » a de plus en plus de mal à respecter sa propre parole dans les temps qu’il s’est donné. Alors décider d’une politique à long terme quant à la sécurité du pays, il improvisera le moment venu en fonction des contingences.
Quelle époque, finalement.
Mais, ils auraient aimé que les candidats à l’élection présidentielle et, en particulier, les deux finalistes, leur parlent aussi de la « Gauloisie-éternelle » et leur décrivent les contours qu’ils envisageaient pour elle à un horizon de cinq, dix ou quinze ans.
Là, je trouve qu’ils sont assez mauvaise-langue parce que « Jupiter » a été assez clair : Il vise à se faire renouveler en 2032 pour deux mandats consécutifs à suivre jusqu’en 2042 et prendre la présidence de l’UE ou de la Commission voire le Parlement de Strasbourg dans l’intérim.
C’est déjà assez clair.
Reste à choisir la voie idoine, qui consiste à faire un choix cornélien entre mettre dans son fauteuil un clone en 2027, qu’il aura adoubé et formé au préalable, ou choisir un nain de neurone, d’extrême-droâte et d’extrême-gôche, pour bien mettre le pays sans-dessus sans-dessous ce qui lui facilitera la tâche en 2032.
Bon, ce n’est pas dit comme ça « noir sur blanc », mais c’est comme ça qu’il voit l’avenir et pas vraiment autrement.
On ira jusqu’à regretter le « zéro reste à charge », croyez moâ !
Probablement : Il y a bien d’autres « variables » qui permettent un rayonnement ou non d’un pays, de sa culture et de son histoire héritée des temps anciens, comme le classement PISA ou le nombre de médaille aux jeux olympiques…
Comme ce sont des « militareux », ils pensent un peu différemment : « Pour ce qui concerne notre pays, détenteur de l’arme nucléaire et membre permanent du Conseil de sécurité, il pèse plus, aujourd’hui, que le poids de ces simples chiffres. Il est, en réalité, une puissance moyenne ou, plus exactement, une puissance médiane. »
J’aime bien la nuance.
En réalité, une puissance mineure, mais qui pèse au plan régional, et qui peine à exercer sa souveraineté sur son empire océanique…
La liste de ces pays pourrait inclure, outre les États-Unis, la Grande-Bretagne, l’Allemagne, la Russie, la Chine, le Japon, voire l’Inde. »
Pour ma part, je n’en vois que trois : Les USA, la GB et la « Gauloisie-impériale », les trois seules nations à avoir un domaine maritime sur lequel le soleil ne se couche jamais.
Toutes les autres ne sont que des « puissances régionales » qui tentent de faire mieux…
« Mais certains d’entre eux pourraient ne pas faire éternellement partie de ce cénacle et nous n’avons pas entendu nos candidats nous proposer les politiques qui nous permettraient de toujours appartenir à ce club restreint à moyen ou long terme. »
Ce n’est pas faux.
Mais peut-être n’est-ce pas si problématique que ça, puisque ce qui intéressait l’électeur, c’était surtout de savoir comment il allait faire ses fins de mois…
Surtout avec tout ce qui va lui tomber sur le râble…
À l’époque du général de Gaulle, ce péché d’orgueil reposait sur un axiome cher à ce dernier qui ne manquait pas de lucidité : « Les États n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts ». »
« Cette prise en compte du principe de réalité est en effet un préalable à toute action efficace. Mais aujourd’hui, nous sommes tombés dans l’excès inverse, celui de l’autodépréciation qui fait les délices des partisans de la repentance. »
Oh ?
Mes « déclinistes » qui font tant de ravages dans les esprits-sains ?
Enfin, quels moyens doit-il mettre en œuvre pour y parvenir ? »
C’était une illusion : Non seulement on a dû assumer une guerre dans les Balkans, une autre au Koweït, une troisième en Afghanistan, une dernière en Afrique Sahélienne et il fallait bien se rendre compte que l’invasion de la Crimée ne pouvait que déboucher sur l’actuel conflit à l’Est de l’Ukraine.
Et vous savez pour quelle raison ?
Parce qu’au lendemain de l’annexion de la Crimée, les ukrainiens ont asséché le canal de Crimée du Nord.
Plus d’eau potable, des bassins de rétention s’épuisant, la situation était intenable et la première chose que les russes ont fait, dès le 24 février dernier, c’était de le remettre en eau !
Bon, d’accord, ce n’est peut-être pas à la portée d’un colonel, mais au moins d’un général…
« De même, nous aurions aimé connaître leur sentiment sur la notion d’Europe de la défense, serpent de mer qui alimente les gazettes spécialisées depuis des lustres.
Considèrent-ils que cette Europe de la défense doit être autonome, non dépendante de l’OTAN, ou, au contraire, qu’elle doit en constituer l’un des deux piliers, l’autre étant américain ? »
De défense ou d’alliance ?
Bé, de mort cérébrale à résurrection et adhésions nouvelles, il y a un chemin extraordinaire dont il faut remercier « Poux-tine ».
Personnellement, j’aurai aimé que la Russie adhère également à l’Otan (hors la Suisse et la Biélorussie) et à l’UE (hors la Suisse et la Grande-Bretagne), ça aurait eu une autre gueule et aurait rendu caduques tous les autres « machins » internationaux et « globalistes » qui viennent de faire défaillance pour gérer les « affaires du monde » dans la paix.
La question corollaire est celle de l’emploi de la force. Peut-on ou doit-on rejeter toujours l’usage préventif de la force quand il s’agit de protéger des populations dont la survie est menacée ? »
« Couche-nerf » l’aura inventé et même aura débarqué à dos d’homme des sacs de riz devant les caméras du monde entier pour que la notion existe encore un peu.
Certes, mais avec quelle fiscalité acceptable au juste ?
Et le juriste que je reste vous dira qu’il ne s’agit pas seulement de « défense », mais bien plus de « sécurité » des biens et des personnes.
Leur « durabilité ».
Au contraire, celle que nous venons de vivre a donné le sentiment que, frappés par l’accélération de l’Histoire, les candidats étaient démunis et que les événements semblaient leur échapper. »
« Jupiter » aura été actif, actif et impuissant…
Comme s’ils avaient oubliés pour quoi ils sont payés (soldés), formés et équipés avec « mes » impôts.
Servir et obéir.
Ils n’ont même plus de « sinistre de la défense », alors que le premier d’entre eux ne parvient pas à être remplacé.
Quand même extraordinaire, non ?
Après trois semaines, « Jupiter » a de plus en plus de mal à respecter sa propre parole dans les temps qu’il s’est donné. Alors décider d’une politique à long terme quant à la sécurité du pays, il improvisera le moment venu en fonction des contingences.
Quelle époque, finalement.
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