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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 26 mai 2022

En ce jour de l’Ascension…

Je plane au-dessus de mes ailes !
 
Et j’en profite pour prendre un peu de recul face à diverses informations qui nous auront été servies autour du climat : Il y aurait urgence, figurez-vous.
Je pète de froid, mais on parle toujours de réchauffement global…
 
Rappelez-vous à ce sujet que Norendra Modi, Premier Ministre indien, a constaté que « plus de 500 millions d’Indiens n’ont pas accès à des sources d’énergie propre pour faire la cuisine et des centaines de milliers de femmes et d’enfants en meurent chaque année ».
Selon l’Organisation Mondiale de la Santé, quatre millions de personnes meurent en effet chaque année dans le monde du fait des émanations des foyers intérieurs où, en l’absence d’électricité, leur cuisine est faite.
C’est la première cause de mortalité mondiale.
Moi qui croyais bêtement que c’était le tabac ou les particules fines de ma bagnole…
 
Pour ma part, je constate seulement que l’espérance de vie humaine est d’autant plus élevée que la consommation d’énergie est plus grande, comme en attestent les statistiques par pays.
Accroître le recours aux énergies fossiles, ce serait donc sauver des vies, à défaut de nucléaire, solaire, éolien, hydraulique, marée-motrice…  
Sur ces constats, le 13 novembre 2021, dernier jour de la « COP 26 » de Glasgow, l’Inde, suivie par la Chine, a donc refusé de signer le communiqué final qui exigeait de « cesser d’avoir recours au charbon ».
Le charbon est en effet pour ces deux pays la première source d’électricité et la moins chère. Ils ne peuvent s’en passer pour se sortir de la pauvreté.
Ils multiplient donc et très logiquement les centrales électriques au charbon.
 
L’énergie, en particulier l’électricité, est indispensable au développement économique. Les pays en développement, déjà à l’origine des deux tiers des émissions mondiales de CO2, continueront forcément à accroître leurs émissions.
La baisse éventuelle des émissions européennes, actuellement inférieures à 10 % des émissions totales, ne pourra de toute façon pas compenser la hausse de celles des pays en développement.
Point-barre, c’est mathématique !
Les émissions humaines continueront donc de s’accroître.
La « neutralité carbone » de la planète, c’est-à-dire l’arrêt des émissions humaines, est par conséquent une utopie.
D’ailleurs pour l’Agence Internationale de l’Énergie, qui cumule les prévisions de tous les pays, les émissions vont croître de 15 % d’ici 2030.
Demain.
 
Et les énergies fossiles représentent 80 % des sources d’énergie de la planète (88 % pour la Chine). Les barrages et le nucléaire les complètent.
Les énergies éolienne et solaire, dites renouvelables, n’en représentent que 2 %.
D’autant que pour la production d’électricité, leur intermittence oblige de les doubler par des centrales à gaz ou à charbon devant être rapidement mises en production quand le vent ou le soleil disparaissent.
Quelle que soit la croissance de ces énergies, elles resteront à jamais à moins de 10 % des ressources énergétiques mondiales. 
De plus, l’Agence Internationale de l’Énergie prévoit 75 % d’énergies fossiles en 2040.
Et pourtant le GIEC affirme que « près de 80 % de l’énergie mondiale pourraient être procurés en 2050 par les énergies renouvelables ».
Un honteux mensonge !
 
En 1972 le Club de Rome prévoyait l’épuisement des gisements de pétrole en 2000.
En réalité, à ce jour les réserves prouvées sont de 50 ans d’une production qui a doublé !
Outre les réserves prouvées, on peut aussi compter sur l’amélioration des techniques d’extraction et le développement du pétrole et du gaz de schiste.
Mais le gouvernement « Gauloisien » a interdit qu’on connaisse les ressources potentielles du pays dans ce domaine !
Politique de l’autruche…
Les réserves de charbon sont supérieures à 130 ans de production.
La crainte de l’épuisement rapide des sources d’énergie n’est donc pas encore justifiée.
En revanche personne ne vous parle des 340 ans de stocks de phosphore qui restent à la disposition de toutes le formes de vie pour se développer (I-Cube (l'exilé): Le retour des « déclinistes » ? (II) (flibustier20260.blogspot.com)) sur la planète.
Sans lui, aucun être vivant ne peut survivre, pas même les « petits-poissons » ni même le moindre virus…
Radical !
Probablement, il faudra aller l’extraire sur d’autres planètes ou d’autres astéroïdes pour survivre encore un peu dans trois siècles.
C’est trop loin 340 ans pour intéresser les « écololos » : Pas rentable électoralement.
 
La hausse du niveau des mers (3 mm par an, soit 30 cm par siècle) ne fait pas reculer les côtes rocheuses.
Le recul de certaines côtes non rocheuses serait peut-être de 20 mètres en un siècle.
Cependant, c’est sans compter que le delta du Gange s’étend chaque année.
La crainte de millions de « réfugiés climatiques » n’est donc pas forcément justifiée.
Au rythme actuel de la hausse de la température de l’atmosphère (0,6 °C par siècle), la température de l’atmosphère sera en 2050 de 1,3 °C supérieure à celle de 1850, soit en-dessous de la limite basse de 1,5 °C visée par l’accord de « Paris-sur-la-plage ».
Il n’y a pas vraiment d’« urgence climatique »…
 
Le taux de croissance actuel de la température est nettement inférieur à celui des périodes de la dernière déglaciation où il croissait beaucoup plus. La planète peut en témoigner.
Les émissions humaines de CO2 (1 % chaque année du stock de CO2 que contient l’atmosphère) sont en grande partie absorbées par les océans et la végétation.
Il n’en reste dans l’atmosphère qu’une faible partie.
 
Les subventions aux transports ferrés, aux transports publics et aux énergies renouvelables sont probablement la cause de 40 % de la dette « Gauloisienne », de l’augmentation de 60 % du tarif de l’électricité pour les ménages et de son futur doublement.
La lutte contre le réchauffement a de graves conséquences économiques pour notre pays comme pour ceux qui le suivent.
La taxe carbone destinée à réduire les émissions de CO2 reste ainsi sans justification.
 
Affirmer que 97 % des scientifiques du climat approuvent les thèses du GIEC est un mensonge éhonté.
En effet l’étude utilisée pour soutenir cette affirmation indique qu’au contraire la plupart des scientifiques n’ont pas d’opinion sur la cause du réchauffement et que seulement 3 % pensent qu’elle est entièrement humaine.
 
Les arguments contre les mensonges du GIEC sont simples qui me paraissent convaincants.
Il faut par conséquent dénoncer le principal mensonge du GIEC : La responsabilité intégrale de l’humanité dans le réchauffement global !
Il est même « irresponsable de disposer d’une entière certitude » à ce sujet m’affirme-t-on.
Si le doute est une attitude scientifique, il ne doit pas non plus cacher le mensonge.
 
Professeur, doyen de la célèbre université Caltech, auteur d’un manuel réputé sur les modèles, conseiller climat de « Baraque-Haut-Bas-Mât », puis responsable de sa politique climatique comme sous-secrétaire à l’énergie, l’un des climatologues les plus compétents, conclut que les modèles climatiques servant aux prévisions du GIEC ne sont pas fiables et qu’en 2100 l’influence des émissions humaines sur le climat sera « minime ».
 
Ainsi, le GIEC, Pris Nobel de la Paix, affirme que 44 % des émissions humaines resteront perpétuellement dans l’atmosphère, alors qu’il n’en restera à terme que 2 %.
Ces 2 % sont la part du carbone terrestre contenue dans l’atmosphère sous forme de CO2, 98 % des émissions ayant été absorbés par les océans, la végétation et les sols.
On devrait pouvoir ainsi dénoncer un mensonge incroyable du GIEC, selon lequel l’augmentation de la température des océans tropicaux n’est en rien responsable de l’augmentation du CO2 dans l’atmosphère.
Tout buveur de bière sait bien que quand il remplit son verre l’augmentation de la température du liquide dégage une mousse de CO2.
Et je rajoute que le pet des vaches dégage également du méthane qui file direct dans la stratosphère.
Ceux des porcs et des #meeto tout autant.
 
C’est probablement la hausse de la température des océans tropicaux qui est la cause principale de l’augmentation du CO2 dans l’atmosphère (taux de corrélation très élevé de 0,86) qui l’affirme : Ce n’est pas l’accroissement du CO2 qui cause le réchauffement, mais le réchauffement qui cause l’accroissement du CO!
Tout le monde peut confondre la cause et les effets, même des « scientifiques » !
Pour le GIEC, un « effet de serre » non défini ni mesuré absorberait une partie du rayonnement thermique infrarouge de la terre vers le cosmos, diminuant ainsi ce rayonnement.
En réalité aucune diminution de ce rayonnement n’a été mesurée !
Une assertion « gratuite ».
Qui se transforme en mensonges qui servent à affirmer l’influence sur le climat des émissions humaines, alors que cette influence est et restera à jamais négligeable.
Mais c’est ce qui forme tous les croyants de la religion de « l’urgence climatique ».
Alors pourquoi cet aveuglement ?
Jusqu’à confondre la cause avec les effets…
 
Je n’ai pas la réponse, mais il me semble que tout cela participe à affirmer que l’homo sapiens est intrinsèquement mauvais.
Une attitude suicidaire, génocidaire qui justifierait, plus tard, le plus tard possible, quelques atrocités et qui en attendant nous prépare à « économiser », comme tout ce qui est devenu « circulaire » et/ou « durable », anti-obsolescence programmée.
Fin de la société kleenex : Tu uses, tu jettes…
Il faut tout réduire, parce qu’on le pille à nos descendants, jusqu’à recycler le plastique et les cartons d’emballage.
Et pour ça, on vous taxe, ou on vous fait peur (à défaut de vous faire mourir de trouille ou de rire) !
La stratégie de « l’angoisse perpétuelle ».
 
Ça ne vous interpelle pas qu’après l’épisode du « Conard-virus » (contre lequel nous sommes toujours en guerre) on vous fasse peur avec une troisième guerre nucléaire (qui réglerait les problèmes présentés par l’espèce humaine sur son climat), alors que les belligérants du Donbass s’apprêtent à des pourparlers en vue de signer un cessez-le-feu tellement ils sont l’un et l’autre épuisés ?
Et que l’on vous prépare déjà la prochaine pandémie, celle de la variole du singe, les grippes aviaires ou porcines ne vous faisant même plus frémir…
Eh bien moi, si, figurez-vous !
Car la variole du singe a toujours existé.
En brousse, pas là où il n’y avait pas de singe…
Quand même curieux, non ?
 
Voilà de la matière à élever l’esprit : Ça tombe bien, aujourd’hui on commémore l’Ascension Christique, un autre événement majeur qui n’existe dans aucune autre religion que celle des chrétiens !
 
Bonne journée à vous toutes et tous, en espérant que vous profiterez demain d’un des rares « ponts » que nous offre le calendrier cette année.
 
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