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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

jeudi 5 mai 2022

Ça sent de plus en plus le roussi pour « Poux-tine »

Et ça pourrait devenir pitoyable au fil du temps
 
Tout avait pourtant bien commencé pour les armes de la formidable armée de la « Sainte-Russie », héritière de la « Grande Armée Rouge ».
En 48 heures, les troupes russes s’étaient enfoncées en territoire Ukrainien jusqu’à encercler la capitale Kiev, les principales villes du Nord et, depuis la Crimée et le Donbass, l’encerclement de Marioupol plus une poussée vers Odessa et une possible jonction des troupes stationnées en Transnistrie, région Moldave en bordure du fleuve Dniestr, coincées par la frontière ukrainienne.
Normalement, en moins de 100 heures, l’Ukraine en qualité de nation souveraine devait disparaître et être soumise au pouvoir de Moscou : Personne ne donnait cher de son avenir de nation démocratique et indépendante.
 
Et puis voilà, plus de deux mois, la situation aura totalement changé.
Même « Jo-Bail-Dan » aura jugé que l’Ukraine et ses habitants « tournent l’armée russe en ridicule en de nombreuses occasions », depuis le début de « l’opération spéciale » proposée par Moscou.
(Avant même de lui déclarer officiellement la guerre, probablement ce 9 mai…)
C’était en Alabama, dans les locaux de « la boutique » qui fabrique les Javelin, une arme antichar, portée à l’épaule, devenue un symbole de la résistance ukrainienne.
5.500 leur ont été livrés.
La première puissance mondiale fait désormais face à un double enjeu : Maintenir le rythme extrêmement soutenu de ses livraisons d’armement à l'Ukraine, tout en assurant que son propre arsenal reste suffisamment pourvu.
D’autant qu’il est question, désormais, de renforcer les défenses de la Moldavie, aux confins de la Roumanie, après une série de sabotages « anonymes ».
Et désormais, l’offensive russe s’acharne sur une seule usine d’acier située au cœur de la ville de Marioupol.
En revanche, les rives de la mer d’Azov sont verrouillées et l’armée russe manœuvre pour encercler les bataillons de chars et d’artilleries qui lui font face.
Parce que le chemin du Donbass à la Crimée reste à portée des canons Caesar et des missiles sol-sol Ukrainiens…
Pas vraiment « sécurisé », quoi.
Inutilisable, même.
 
Pire, des explosions et incendies se multiplient en Russie depuis le début du mois d’avril. De nombreux sites militaires touchés sont situés dans des villes près de la frontière avec l’Ukraine, mais aussi plus mystérieusement dans d’autres parties du pays.
Il s’agit d’une véritable épidémie en Russie. Depuis une dizaine de jours, les « catastrophes industrielles », « accidents » et autres incendies se sont multipliés dans le pays. Pratiquement un par jour durant la dernière semaine d’avril…
Au point que les autorités russes n’hésitent plus à parler ouvertement de « sabotages », il n’y a pas d’autres explications acceptables, sans oser admettre que c’est probablement l’Ukraine qui est à l’œuvre dans cette campagne et qui vient porter la guerre sur le territoire russe lui-même.
Certes, certains de ces incendies ou explosions ont été causés par des attaques militaires en bonne et due forme, comme l’incendie d’un dépôt de carburant à Belgorod à 35 km de la frontière avec l’Ukraine qui est le résultat d’un raid de deux hélicoptères d’attaque.
Nombre d’explosions ou d’incendies se concentrent d’ailleurs dans la région de Belgorod, sorte de nœud de redistribution logistique de la guerre russe vers le Donbass.
 
Dimanche 1er mai, un pont de chemin de fer était ainsi détruit un peu plus au nord de Belgorod. Il y a une semaine, mercredi 27 avril, c’était un dépôt de munitions qui flambait en pleine nuit, toujours dans cette région.
Deux jours plus tôt, la base logistique des carburants de l’armée russe à Briansk, située à une centaine de kilomètres au nord de la frontière ukrainienne, partait en fumée.
Lundi 2 mai, l’important complexe de poudres et explosifs de Perm a explosé : Il fournissait le carburant des missiles et des roquettes russes. Or, Perm est situé dans l’Oural, à plus de 1.000 km à l’Est de Moscou…
Plus près de la capitale russe, à Tver, le centre de recherche de la défense aérienne prenait subitement feu.
On a même vu le dépôt de carburant d’une base aérienne s’enflammer à Ussuriysk, sur le Pacifique cette fois, à quelques 10.000 km de l’Ukraine…
Il est vrai que les accidents industriels et autres incendies catastrophiques ne sont pas rares en Russie. Mais les lieux mêmes où se sont déclarés la plupart de ces sinistres laissent à penser qu’il s’agit bien d’attaques.
Par exemple, cinq centres de recrutements de l’armée russe dans cinq provinces différentes ont aussi été incendié et à Moscou même, les véhicules d’une bonne douzaine d’agents des services de renseignement russes, garés devant leur casernement ou ailleurs en ville ont été pareillement réduits en cendre.
Difficile cette fois de parler d’accidents et même d’y voir forcément la main de Kiev ou de ses … « soutiens ».
La population gronderait-elle ?
 
Plus curieux, loin des obus et des bombes, c’est la vague de suicides chez les oligarques.
Sergey Protosenya, millionnaire résidant dans le quartier Caudéran, à Bordeaux, a été retrouvé mort avec sa famille sur la Costa Brava en Espagne.
Ancien vice-président du géant gazier russe Novatek, il était à la tête d’une fortune estimée à 440 millions d’euros. Toujours membre du conseil d’administration de la compagnie, l’homme âgé de 55 ans a été découvert par les policiers catalans pendu dans le jardin de la villa et, non loin des corps de sa femme, Natalia, et de leur fille âgée de 18 ans, qui auraient été poignardées à mort, une hache et un couteau ayant été retrouvés sur place.
Plusieurs oligarques russes, Vasily Melnikov, Mikhail Watford ou encore Alexander Tyulyakov, ont récemment disparu dans d’étranges circonstances. Depuis la guerre en Ukraine, ces drames sont présentés comme des suicides par les autorités russes.
Cette hécatombe interroge toutefois dans la mesure où, à chaque fois, aucune trace d’effraction n’est relevée.
Autre détail troublant, l’absence de traces de sang sur le corps de Sergey Protosenya.
Ces oligarques qui s’étaient en partie exilés étaient pour la plupart de hauts responsables de l’entreprise Gazprom ou cadres dans d’autres géants de l’énergie, tel que Novatek, là où travaillait Sergey Protosenya.
Une épidémie bien étrange.
 
Qui pourrait toucher « Poux-tine » ?
Depuis des mois, des rumeurs circulent selon lesquelles la santé du dirigeant russe n’est pas aussi saine que le Kremlin tente de le prétendre. Plusieurs sources affirment que « Vlad » est atteint d’un cancer et de la maladie de Parkinson.
Mais n’est-ce qu’une mise en scène pour éviter un attentat ?
Un « initié du Kremlin » a déclaré que « Poux-tine » pourrait être contraint d’abandonner la supervision de la guerre en Ukraine, car il devrait subir une opération relative à un cancer.
Ces affirmations proviennent d’une chaîne Telegram populaire qui affirme que sa source est une personnalité bien placée au Kremlin.
Selon cette source, le président russe a déjà reporté la date de son opération et celle-ci n’aura pas lieu avant le 9 mai, jour de la commémoration de la victoire de la Russie lors de la Seconde Guerre mondiale.
La date initiale de l’opération était prévue pour la seconde moitié du mois d’avril, mais elle a été reportée. Le média a déclaré : « Il a été recommandé à Poutine de subir une intervention chirurgicale, dont la date est en cours de discussion. D’accord, il ne semble pas y avoir d’urgence particulière, mais on ne peut pas non plus la retarder ».
Et le président russe aurait nommé Nikolai Patrushev, chef du Conseil de sécurité et ancien chef du FSB, pour prendre en charge la guerre en Ukraine pendant son incapacité. Or, Patrushev, 70 ans, est une figure clé de la stratégie de guerre jusqu’à présent. En fait, il est censé être l’homme qui a convaincu « Poux-tine » que Kiev est bourrée de néonazis…
Une « décision » surprenante car, selon la Constitution, si le président est frappé d’incapacité, le pouvoir doit être transmis au Premier ministre, Mikhail Mishustin.
Ce dernier est un technocrate discret de 56 ans qui n’a aucun lien avec l’armée ou les services secrets et préfère la poésie et la musique…
 
Bref, il n’y aura pas de défilé glorieux ce 9 mai à Moscou. En revanche il y aura peut-être le dernier-né des industries guerrières de la « Sainte-Russie », à savoir le missile « Satan 2 », même si on ne verra probablement que son « petit-frère »…
Une des fameuses « armes invincibles » de « Poux-tine ».
Quelle rigolade, cet épisode-là !
Présenté à la Télé russe, une présentatrice « aux ordres » énonce le temps que mettrait ce missile balistique à atteindre des capitales européennes depuis l’enclave russe de Kaliningrad, encastrée au Nord de la Pologne : « Jusqu’à Berlin, il faut compter 106 secondes. De Kaliningrad jusqu’à Paris, 200. Si c’est Londres qui vous intéresse, c’est 202 secondes. »
Un montage de cette séquence a été diffusé sur « Twister » et a été largement partagée et reprise avec plus ou moins de distance par des médias « Gauloisiens ». Le passage a également fait réagir de nombreux canaux russes et ukrainiens sur la plateforme Telegram.
 
De quoi s’agit-il ? D’une affirmation totalement fausse sur le missile « Sarmat » (son vrai nom) puisque qu’il s’agit d’un missile balistique intercontinental encore en développement. Un premier lancement test a été mené le 20 avril.
Il n’est donc pas encore opérationnel. Cet essai n’est d’ailleurs pas corrélé directement au conflit ukrainien, le développement de ce nouveau système étant en cours depuis plusieurs années : Des déclarations d’officiels russes de fin 2021, reprises par l’agence de presse moscovite Interfax, mentionnaient déjà de futurs tests du Sarmat avec, comme objectif annoncé, un premier régiment opérationnel d’ici fin 2022.
De plus, il n’y a aucun silo de tir dans l’enclave de Kaliningrad.
Enfin, « les valeurs indiquées par Rossiya-1 sont absurdes (…). Ils se sont contentés de diviser la distance par la vitesse maximale en ligne droite dun ICBM. Cest con et ça ne repose sur rien de crédible, vu quun ICBM ça ne vole pas en ligne droite, ça c’est le job d’un missile de croisière. (…) Si ça peut vous donner une première idée, il faut compter environ six minutes pour mettre les charges nucléaires (les têtes indépendantes) d’un ICBM sur un profil de vol balistique (la trajectoire parabolique suivie par ce type de missile) avant de leur permettre d’entamer leur descente vers la zone à frapper. »
 
Je constate que ce chiffre fantasque brandi par la télévision d’État de Moscou n’est pas isolé, et s’inscrit dans la rhétorique guerrière du Kremlin sur le risque nucléaire.
Dans une autre émission de la chaîne, la propagandiste du Kremlin qui dirige plusieurs organes de la sphère informationnelle russe comme Russia Today ou Sputnik, évoque que, face à la défaite, cette hypothèse est donc envisagée par le pouvoir Russe, il est probable « qu’à la fin tout cela se terminera par un coup nucléaire (…). Même si ça me paraît affreux. D’un autre côté, je réalise que - bah, voilà, c’est comme ça. Nous irons au paradis ! Et eux, ils vont simplement crever. »
Dans cette autre émission encore, le 1er mai, Dmitri Kisselev, star des médias d’État du Kremlin, considère très calmement un tir de Sarmat sur le Royaume-Uni : « La Russie est un pays très grand, tandis que l’Angleterre est très petite et il suffirait d’un seul missile Sarmat pour la détruire toute entière. »
Le tout agrémenté d’images de synthèse où les îles britanniques sont rayées de la carte.
 
De fait, même sans que le Sarmat soit déployé, la Russie dispose d’un arsenal nucléaire varié et parfaitement opérationnel. Le pays pourrait toucher Paris sans problème avec un tir de missile intercontinental depuis son sol, depuis un sous-marin ou encore un avion.
En combien de temps?
Difficile de le dire tellement les scénarios varient en fonction du projectile utilisé et de la zone de tir. Il faut compter sur une dizaine de minutes…
Mais ce discours récurrent de la Russie sur ces nouveaux missiles, vantés comme beaucoup plus rapides et dévastateurs (quand l’arsenal nucléaire existant suffit déjà à détruire plusieurs fois la planète), permet d’éluder le fait que les pays cibles disposent eux aussi de capacités nucléaires (pour le Royaume-Uni et la France), et qu’une frappe sur ces membres de l’Otan déclencherait nécessairement une riposte des États-Unis.
Rien que nos Sous-Marins Lanceurs d’Engins pourraient rayer plusieurs fois les principales installations et villes russes…
Merci à qui ?
Mais à De Gaulle et les formidables chercheurs et ingénieurs de la filière nucléaire si décriée par « Mes-Luches » et ses « comploteurs-populistes »…
 
Tout cela devient pitoyable au possible.
Moscou agite des menaces nucléaires pour le monde occidental avec des arguties et finalement mieux cacher ses faiblesses.
La banque centrale russe fait défaut… « technique ».
La flotte de la Mer Noire a perdu plusieurs bâtiments, dont son navire amiral, et reste incapable de débarquer des troupes à Odessa, tenue éloignée des rivages Ukrainiens.
Les rives de la Mer d’Azov ne seront pas sécurisées avant longtemps par les russes.
Les Ukrainiens portent le feu de leurs armes jusque sur le territoire russe.
Ils reçoivent toujours plus d’armes et de munitions alors que l’armée russe s’épuise au fil du temps.
« Poux-tine » lui-même est cerné par la chirurgie qu’il en est peut-être à imaginer liquider discrètement quelques oligarques et leurs familles pour mieux protéger la sienne…
Quelle idée de vouloir dénazifier un président ukrainien feuj et d’estimer que Hitler en avait même du sang hébraïque…
Ou comment sombrer dans le ridicule !
Avouez que ce 9 mai a plutôt l’air d’un désastre à venir…

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