Collecte de la semaine…

Jean-Marc chez le médecin
 
« – C’est curieux cette morsure au pénis. Comment vous êtes-vous fait cela ?
– Stupidement, à cause d’un idiot de chauffeur de taxi qui a freiné trop brusquement ! »
 
Jean-Marc type embarque une auto-stoppeuse, assez jolie.
Après un bout de chemin, il lui dit qu’il la trouve de son goût.
Elle lui répond qu’elle aussi le trouve excitant.
Jean-Marc lui propose d’arrêter sur le bord de la route pour faire l’amour et elle accepte !
Bang-bang, ils font ça, comme ça, une petite vite, et Jean-Marc lui dit :
« – Si j’avais su que tu étais vierge, j’aurais pris mon temps.
– Si tu n’avais été aussi pressé, j’aurais enlevé mes collants ! »
 
Dans le désert du Nevada, une touriste est tombée en panne d’essence.
Pas une seule voiture en vue.
Heureusement arrive un indien à cheval qui s’arrête et lui dit :
« Montez derrière moi, je vais vous emmener à la prochaine station-service… »
Et il repart avec elle au galop… Pendant tout le parcours, il crie : « Youpi ! Oh Yeah ! »
Il la dépose à la station et s’éloigne en lançant des « Youpi ! Youpi ! » à tout va.
« – Il avait l’air drôlement joyeux l’indien ! » dit le pompiste à la touriste. « Qu’est-ce que vous lui avez fait ?

– Je ne sais pas ! Rien du tout ! J’étais derrière lui sur le cheval, les bras passés autour de sa taille, et je me tenais fermement au pommeau de sa selle.
– Mais ma petite dame, vous ne savez pas que les indiens montent toujours sans selle ?… »
 
C’était une fois une mouche sur un lac et un poisson dans l’eau.
Tout à coup, le poisson voit la mouche et se prépare pour sauter et la manger, mais pendant ce temps-là, un ours vit le poisson qui voulait la mouche puis un peu plus loin, un chasseur pointa son fusil vers l’ours qui regardait le poisson qui regardait la mouche.
Mais un peu plus loin une souris vit le sandwich du chasseur qui pointait le fusil sur l’ours qui regarda le poisson qui regardait la mouche mais encore plus loin une chatte avait les pattes à l’eau, se léchant les babines vit la souris qui voulait le sandwich du chasseur qui pointait son fusil sur l’ours qui regardait le poisson qui regardait la mouche.
Puis un peu plus tard ce qui devait arriver arriva : Le poisson mange la mouche, l’ours mangea le poisson, le chasseur tira sur l’ours, la souris prit le sandwich et tomba dans l’eau, la chatte courra après et tomba dans l’eau son tour.
Tout ça pour vous dire que plus les préliminaires sont longs, plus la chatte est mouillée !
 
Jean-Marc entre dans un bar et veut commander un verre. Le barman lui dit :
« C’est un bar gay ici ».
Jean-Marc lui répond :
« – Ça ne me fait rien, je ne veux que prendre un verre.
– Si tu veux rester ici, il faut que tu donnes un nom à ton pénis.
– Qu’est-ce que tu veux dire ?
– Le petit dans le coin, c’est Maxwell House, bon jusqu’à la dernière goutte.
Le gros en face, c’est Colonnel Sanders, bon à s’en lécher les doigts.
L’autre un peu plus loin c’est Salada, c’est lui qui a la plus grosse poche.
L’autre juste à côté Nabob, c’est lui qui a la graine la plus recherchée en ville.
– Alors moi, ce sera Secret, assez fort pour un homme mais conçu uniquement pour les femmes. »
 
Les épouses des présidents et premiers ministres discutent comment les gens surnomment le pénis dans leur pays respectif.
L’épouse de Boris Johnson en Angleterre dit :
« Chez-nous, les gens l’appelle un gentil homme parce qu’il se lève en présence d’une femme. »
La maîtresse de Vladimir Poutine dit :
« En Russie, nous l’appelons un patriote parce que l’on ne sait jamais s’il va nous arriver par devant ou par derrière. »
L’épouse de Emmanuel Macron dit :
« En France, nous l’appelons un rideau parce qu’il s’abaisse après l’acte. »
L’épouse de Joe Bidan à son tour, réplique :
« Depuis bill Clinton, aux Etats-Unis, nous l’appelons une rumeur parce qu’il va de bouche en bouche. »
 
Pour impressionner une femme, un homme doit :
La complimenter, l’embrasser, la caresser, la serrer, la garder dans ses bras, l’aimer, la taquiner, la réconforter, la protéger, lui faire des cadeaux, lui faire des soupers à la chandelle, l’écouter, l’appuyer, la supporter et même aller au bout du monde pour elle.
Pour impressionner un homme, une femme doit :
Se montrer nue et servir de la bière.
 
Un classique, « revisitée » :
Est-ce que votre ordinateur est du genre masculin ou féminin ?
Récemment, un groupe de chercheurs en informatique (tous des hommes) se sont penchés sur la question et ont conclu que l’ordinateur devrait être du genre féminin pour les raisons suivantes :
-1. Personne autre que le Créateur comprend leur logique interne.
-2. Le langage primitif employé pour communiquer avec les autres ordinateurs est incompréhensible.
-3. Le message : “Mauvaise commande ou mauvais nom de fichier” est aussi explicatif que “Si tu ne sais pas pourquoi je suis de mauvaise humeur, je ne te le dirai certainement pas”.
-4. La moindre petite erreur est conservée en mémoire pour rappel éventuel.
-5. Dès que l’usager en fait l’acquisition, il dépense la moitié de son salaire pour ajouter des accessoires.
Cependant, un autre groupe de chercheures en informatique (toutes des femmes) ont conclu que l’ordinateur devrait être du genre masculin pour les raisons suivantes :
-1. Ils ont beaucoup de données mais ne peuvent pas penser.
-2. Ils sont faits pour vous aider à régler vos problèmes mais plus souvent qu’autrement, ils en sont la source.
-3. Dès qu’une personne en fait l’acquisition, elle aurait pu avoir un meilleur modèle si elle avait patienté un peu.
-4. Pour qu’ils soient utiles, tu dois les brancher.
-5. Une trop grande demande d’énergie les fait dormir pour la nuit.
 
Jean-Marc, dans ses jeunes années, amène sa nouvelle blonde visiter son appartement.
Ils entrent dans la chambre et elle dit :
« – Il est beau ton ensemble de chambre.
– Ah ! C’est une de mes ex, Carole qui me l’a donné. »
Ils entrent dans la cuisine et elle dit :
« – Elle est superbe ta table.
– Ça, c’est une de mes ex, Annie qui me l’a donnée. »
Elle lance un coup d’œil dans la kitchenette et dit :
« – Je suppose que c’est une de t’es ex, qui t’a donné ton réfrigérateur ?
« – Ouais ! »
Elle lui donne une claque en travers de la tronche et le traite de castor.
Jean-Marc lui demande :
« – Qu’est-ce que tu veux dire ?
– Cherche dans le dictionnaire. »
Il cherche castor dans le dictionnaire et lit : Castor, Animal qui construit son habitat avec sa queue…
C’était une très vieille « revenue » partie de ce blog il y a des années de ça…
 
Encore une autre, mais enrichie :
Lors d’un salon informatique, Bill Gates a comparé l’industrie informatique avec l’industrie automobile pour obtenir la conclusion suivante :
« Si General Motors (GM) avait eu la même progression technologique que l’industrie informatique, nous conduirions aujourd’hui des autos coûtant 25 dollars et qui parcourraient 1.000 miles avec un gallon d’essence. »
Lors d’une conférence de presse, General Motors, par la voix de Mr Welsh en personne, fit à ces propos, la réponse que voici :
« Si GM savait développer sa technologie comme Microsoft, les voitures que nous conduisons aujourd’hui auraient les propriétés suivantes :
1. Votre voiture aurait un accident sans raison compréhensible 2 fois par jour.
2. Chaque fois que les lignes blanches seraient repeintes, il faudrait acheter une nouvelle voiture.
3. Occasionnellement, une auto quitterait l’autoroute sans raison connue. Il faudrait simplement l’accepter, redémarrer l’auto et reprendre la route.
4. Parfois, lors de manœuvres particulières, comme par exemple prendre une courbe à gauche, l’auto ferait un simple tout droit puis refuserait de repartir. Pour cela, il faudrait procéder à un échange standard du moteur.
5. Les autos ne seraient livrées qu’avec un seul siège, car il faudrait choisir entre “Car95” et “CarNT”. Chaque siège supplémentaire devrait être commandé à l’unité.
6. Macintosh développerait des voitures fonctionnant à l’énergie solaire, fiables, cinq fois plus rapides et deux fois plus légères. Mais elles ne pourraient emprunter que 5 % des routes.
7. Les témoins d’huile, de température et de batterie seraient remplacés par un unique témoin “Défaillance Générale”.
8. Les sièges exigeraient que chaque passager ait la même taille et le même poids.
9. L’airbag demanderait “Êtes-vous sûr ?” avant de s’ouvrir.
10. Occasionnellement le moteur de la voiture se bloquerait. Vous ne pourriez alors redémarrer qu’au moyen d’une astuce, comme par exemple simultanément tirer la poignée de porte, tourner la clé dans la serrure et d’une autre main attraper l’antenne radio.
11. Général Motors vous obligerait à acheter avec chaque voiture, un jeu de cartes routières : Deluxe de la société Rand McNally (depuis peu filiale de GM), même lorsque vous ne souhaitez pas ou n’avez pas besoin de cartes.
Au cas où vous ne prendriez pas cette option, la voiture roulerait 50 % moins vite (ou plus).
À cause de cela GM deviendrait une cible fréquente de procès.
12. À chaque fois que GM sortirait un nouveau model, chaque conducteur devrait réapprendre à conduire, car aucune des commandes ne fonctionnerait exactement comme dans les modèles précédents.
13. Enfin, il faudrait appuyer sur le bouton “Démarrer” pour stopper le moteur.
 
Jean-Marc cherchait un logement dans Paris.
Il finit par se trouver quelque chose dans un quartier chinois.
Il téléphone au propriétaire pour visiter l’appartement.
Après l’avoir visité il décide de louer.
Au bout de 2 semaines, il voit des souris dans son appartement.
Jean-Marc appelle le propriétaire et lui raconte ce qui arrive.
Le proprio lui répond (avec un accent chinois) :
« Je vais te faire venir un chat spécial de Macao et je vais régler ton problème en un rien d’temps ».
Deux semaines plus tard, le proprio apporte le chat.
Rapidement, le chat se débarrasse de la plupart des souris, mais il y en avait une qui demeurait bien cachée dans un trou.
Après quelques jours passés devant le trou, le chat émis un :
“wouf, wouf”
La souris sortie du trou, le chat l’attrape !
Jean-Marc, tout surpris, dit au proprio :
« As-tu attendu ton chat, il a aboyé ! »
Le proprio lui dit :
« Ben oui ! En France, si tu ne parles pas les deux langues, tu ne manges pas ! »
 
« C’est une règle dans les immeubles parigots : Les voisins du dessus laissent toujours déborder leur baignoire et ceux du dessous bloquent toujours la colonne de vide-ordures avec des sacs trop volumineux. »
 
« Mon mari et moi avons le service “appel en attente” : Avant d’appeler, il nous faut attendre que notre fille de 16 ans ait raccroché » se plaint une amie de Germaine.
 
Jean-Paul à Jean-Marc :
« J’ai fait monter un auto-stoppeur hier.
Après s’être installé, il m’a remercié et m’a demandé comment je faisais pour être sûr qu’il n’était pas un tueur en série.
J’ai répondu que le risque qu’il y ait deux tueurs en série dans la même auto était infiniment faible. »
 
À l’arrêt d’autobus attendait un p’tit vieux appuyé sur sa canne.
Au loin il aperçoit, à l’arrêt avant le sien, un homme entrer dans l’autobus avec ses 14 enfants.
Le p’tit vieux en entrant à son tour dans l’autobus, remarque qu’il n’y aucune place disponible.
Il marche donc jusqu’à l’arrière de l’autobus.
L’autobus s’arrête à un feu rouge.
Le chauffeur freine brusquement et le p’tit vieux glisse jusque dans le pare-brise.
Frustré, il se relève et entreprend de marcher jusque l’arrière de l’autobus encore une fois quand, à nouveau, l’autobus freine brutalement.
Il se voit encore projeté vers l’avant du bus, cette fois en tombant au pied du père des 14 enfants.
Le père des 14 enfants lui dit :
« Si tu avais mis un bout en caoutchouc au bout de ta canne, tu ne glisserais pas comme ça ».
Le p’tit vieux de rétorquer :
« Ouais ! Mais si t’en avais mis un à TON bout, j’aurais peut-être pu m’asseoir. »
 
Un autre homme attendait à un arrêt d’autobus.
L’autobus arrive et l’homme y monte, mais il était rempli à craquer.
Le bonhomme enlève alors son œil de verre et se met à le lancer dans les airs et à jongler avec son œil.
Tout ébahit le conducteur lui demande :
« – Mais qu’est-ce que vous faites là ?
– Je regarde derrière s’il y a une place assise ».
 
Hillary et Bill Clinton, en limousine.
Le chauffeur s’arrête pour faire le plein.
Hillary, apercevant le pompiste, descend de voiture, s’avance vers lui, le prend dans ses bras, l’embrasse amicalement, puis, après quelques échanges amicaux, remonte dans la limousine.
La conversation reprend et Bill lui dit :
« Tu sembles bien connaître ce type ».
Hillary lui répond :
« – Ce fut un très grand ami dans ma jeunesse.
– Si tu avais marié cet homme, peut-être serais-tu, toi aussi, pompiste aujourd’hui…
– Non, je ne crois pas que je serais pompiste, car vois-tu Bill, tu devrais savoir que c’est lui qui serait devenu le président des États-Unis. »
 
Solutions des « contre-pets » de la semaine passée :
 
« Ce pINARD de DIJON est excellent ! »
« Il faut choisir entre la Pine et lES FEsses… »
« PAPE inERTE… »
 
Propositions de la semaine :
« Le sauvage a retrouvé son clan dans la grotte »
« C’est la manie de Joël… »
« Jean-Marc se fait volontiers pompeux en parlant d’écus ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
 
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