Une étude qui m’interpelle…
Vous me savez porté sur « la chose » et les
atours, indispensables à l’activité de mon « nerf honteux », le seul
qui fonctionne bien, du « beau sexe ».
Sans ce mélange « divin », je ne vois pas bien à quoi je pourrai servir sur cette planète : Si on ne peut plus rendre personne heureux d’être né, c’est la fin de toute activité.
Bon, là il s’agit d’une étude anecdotique sur une
activité connexe, à savoir l’utilisation de la pornographie.
Elle en conclut qu’elle est liée à une performance sexuelle plus faible chez les « kouillus », mais à une performance sexuelle plus élevée chez les dames.
Allons bon : Voilà quelque chose de nouveau !
Je n’avais pas vu ça comme ça jusqu’ici, pour tout vous dire.
Il faut savoir que le porno, je préfère faire que de le regarder produit chez autrui : Mon côté voyeur est quasiment nul…
Mais ici on parle d’utilisation « fréquente »
de la pornographie qui serait liée à des résultats sexuels différents pour les
jeunes hommes et les jeunes femmes, selon une nouvelle recherche publiée dans
la revue Psychological Medicine.
Cette étude longitudinale, l’une des plus importantes du genre, indique qu’une fréquence plus élevée d’utilisation de la pornographie est associée à une vie sexuelle dégradée chez les hommes.
Mais l’inverse semble être le cas chez les femmes.
Allez donc savoir pour quelle raison bien mystérieuse !
Il faut dire que, pour résumer, la recherche sur
l’impact de la pornographie sur la sexualité des jeunes femmes et des hommes
est fondamentalement divisée en deux catégories : Certains chercheurs
soutiennent que l’utilisation de la pornographie établit des normes
inaccessibles de comparaison sexuelle et génère des angoisses au sujet de la
performance sexuelle, tandis que d’autres chercheurs soutiennent que la
pornographie peut être une source d’inspiration sexuelle et « pourrait
en fait être utilisée pour devenir un meilleur partenaire sexuel ».
Comme quoi la compétition sexuelle est au cœur de tous nos ébats affectifs.
C’est ce qu’ont expliqué les auteurs de l’étude, Nicolas Sommet et Jacques Berent, respectivement chargé de cours à l’Université de Lausanne et chargé de cours à l’Université de Genève.
Ces « petits-suisses » qui se passent des films pornos pendant leur études…
Enfin, passons.
« Il est difficile de démêler ces deux points de
vue opposés, principalement parce que de nombreuses études existantes utilisent
des échantillons de petite taille et des conceptions transversales, ce qui
entrave notre capacité à tirer des conclusions fiables de la littérature.
Nous nous sommes donc intéressés à clarifier
l’association entre l’utilisation de la pornographie et la performance sexuelle
chez les hommes et les femmes, en menant une étude à grande échelle qui a suivi
des dizaines de milliers de participants sur une période de trois ans. »
Trois ans… qu’ils y ont passé.
Ces « chercheurs » ont donc mené une étude
longitudinale en trois vagues qui comprenait des évaluations annuelles de la
fréquence de la consommation de pornographie, de l’auto-compétence sexuelle et
du fonctionnement sexuel.
« Nous avons collaboré avec l’un des YouTubers Français les plus populaires au moment de la recherche, et nous avons pu recueillir les réponses de plus de 100.000 jeunes hommes et femmes », ont expliqué Sommet et Berent.
Sans ce mélange « divin », je ne vois pas bien à quoi je pourrai servir sur cette planète : Si on ne peut plus rendre personne heureux d’être né, c’est la fin de toute activité.
Elle en conclut qu’elle est liée à une performance sexuelle plus faible chez les « kouillus », mais à une performance sexuelle plus élevée chez les dames.
Allons bon : Voilà quelque chose de nouveau !
Je n’avais pas vu ça comme ça jusqu’ici, pour tout vous dire.
Il faut savoir que le porno, je préfère faire que de le regarder produit chez autrui : Mon côté voyeur est quasiment nul…
Cette étude longitudinale, l’une des plus importantes du genre, indique qu’une fréquence plus élevée d’utilisation de la pornographie est associée à une vie sexuelle dégradée chez les hommes.
Mais l’inverse semble être le cas chez les femmes.
Allez donc savoir pour quelle raison bien mystérieuse !
Comme quoi la compétition sexuelle est au cœur de tous nos ébats affectifs.
C’est ce qu’ont expliqué les auteurs de l’étude, Nicolas Sommet et Jacques Berent, respectivement chargé de cours à l’Université de Lausanne et chargé de cours à l’Université de Genève.
Ces « petits-suisses » qui se passent des films pornos pendant leur études…
Enfin, passons.
« Nous avons collaboré avec l’un des YouTubers Français les plus populaires au moment de la recherche, et nous avons pu recueillir les réponses de plus de 100.000 jeunes hommes et femmes », ont expliqué Sommet et Berent.
La première vague de l’enquête a recruté 101.572
hommes et femmes parlant Français de cinq pays différents, dont 8.608 couples
hétérosexuels.
Ça fait beaucoup de monde qui n’est pas hétéro, en pense-je : Encore un biais ?
Au total, 21.898 participants ont complété les trois vagues.
Et les chercheurs ont constaté que l’utilisation plus
fréquente de la pornographie était associée à des performances sexuelles plus
faibles pour les hommes, mais à des performances sexuelles plus élevées pour
les femmes.
« Nous constatons que plus les hommes regardent du porno, plus ils déclarent avoir des doutes sur leurs performances sexuelles, plus ils déclarent avoir des problèmes sexuels (par exemple, en termes de pulsion sexuelle, d’érection, de fonctionnement biologique) et - pour les couples hétérosexuels - plus leur partenaire féminine déclare être sexuellement insatisfaite », ont affirmé les « chercheurs » à PsyPost.
Bref, la consommation de porno réduit la satisfaction que procure l’activité sexuelle de Monsieur (on peut comprendre s’il se compare aux acteurs « étalons ») et nuit par conséquent à la satisfaction de madame…
Belle revanche de ce genre cinématographique !
« Nous constatons la tendance inverse pour les femmes : Plus les femmes regardent du porno, plus leurs sentiments de compétence sexuelle sont élevés, plus leur nombre de problèmes sexuels est faible et, pour les couples hétérosexuels, plus leur partenaire masculin est satisfait de certains aspects de leur sexualité (par exemple, de la qualité des échanges sexuels). »
Magnifique : Le porno ne devrait être réservé qu’aux dames et tout le monde serait content !
De toute façon, les probables « bombasses » qui font actrice-porno ridiculisent forcément nos dames quant à l’incandescence de leurs charmes supputés.
Enfin, j’imagine.
Et cela était vrai même après que les chercheurs aient
contrôlé des variables telles que l’âge, l’éducation, la nationalité,
l’orientation sexuelle, le nombre de partenaires sexuels sur une vie, le statut de la
relation, la durée de la relation, la fréquence de la masturbation, la
fréquence des rapports sexuels, les connaissances sur la sexualité et la
désirabilité sociale, etc.
C’est donc une constante.
« Il est important de noter que ces différences entre les sexes ont également été observées au fil du temps (c’est-à-dire qu’une augmentation de la consommation de pornographie au fil du temps est associée à une réduction de la performance sexuelle chez les hommes et à une amélioration chez les femmes), ce qui augmente la plausibilité (mais pas la certitude) qu’un lien de causalité existe entre la consommation de pornographie et la performance sexuelle »
Bien vu : De l’auto-évaluation où l’on démontre ce qu’on cherche à démontrer…
Ça fait beaucoup de monde qui n’est pas hétéro, en pense-je : Encore un biais ?
Au total, 21.898 participants ont complété les trois vagues.
« Nous constatons que plus les hommes regardent du porno, plus ils déclarent avoir des doutes sur leurs performances sexuelles, plus ils déclarent avoir des problèmes sexuels (par exemple, en termes de pulsion sexuelle, d’érection, de fonctionnement biologique) et - pour les couples hétérosexuels - plus leur partenaire féminine déclare être sexuellement insatisfaite », ont affirmé les « chercheurs » à PsyPost.
Bref, la consommation de porno réduit la satisfaction que procure l’activité sexuelle de Monsieur (on peut comprendre s’il se compare aux acteurs « étalons ») et nuit par conséquent à la satisfaction de madame…
Belle revanche de ce genre cinématographique !
« Nous constatons la tendance inverse pour les femmes : Plus les femmes regardent du porno, plus leurs sentiments de compétence sexuelle sont élevés, plus leur nombre de problèmes sexuels est faible et, pour les couples hétérosexuels, plus leur partenaire masculin est satisfait de certains aspects de leur sexualité (par exemple, de la qualité des échanges sexuels). »
Magnifique : Le porno ne devrait être réservé qu’aux dames et tout le monde serait content !
De toute façon, les probables « bombasses » qui font actrice-porno ridiculisent forcément nos dames quant à l’incandescence de leurs charmes supputés.
Enfin, j’imagine.
C’est donc une constante.
« Il est important de noter que ces différences entre les sexes ont également été observées au fil du temps (c’est-à-dire qu’une augmentation de la consommation de pornographie au fil du temps est associée à une réduction de la performance sexuelle chez les hommes et à une amélioration chez les femmes), ce qui augmente la plausibilité (mais pas la certitude) qu’un lien de causalité existe entre la consommation de pornographie et la performance sexuelle »
Bien vu : De l’auto-évaluation où l’on démontre ce qu’on cherche à démontrer…
Mais Sommet et Berent ont averti que l’effet ne devait pas être surestimé.
« Malgré le fait que les associations entre l’utilisation de la pornographie et la performance sexuelle chez les hommes et les femmes étaient robustes (c’est-à-dire dans des directions claires et cohérentes), la taille globale de ces associations était souvent modeste », ont expliqué les chercheurs.
« Cela signifie que, contrairement à certaines croyances populaires, le porno ne peut pas être considéré comme le principal facteur à blâmer pour les problèmes sexuels chez les hommes, et ne peut pas être considéré comme une sorte de panacée sexuelle pour les femmes. »
Bon, alors il va falloir que je m’y mette aussi.
Ah ?
Et alors ?
Que donc elle a un avenir radieux devant elle ?
Ou encore, si on les prend au mot, est-ce que je dois investir mes maigres économies dans cette industrie, voire, directement dans cette « activité-là » en payant de ma personne ?
Je dis ça, je ne dis rien : Je suis en train de mettre en ligne les posts de « La croisière d’Alexis » pour cet été.
Un récit qui tourne, au moins au début, autour de ça, mais sans pour autant faire dans le « récit pour adulte », bien au contraire…
Quoique… mais sur un autre plan, celui du politique.
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