Bataille d’investitures sur tapis-vert…
En « Gauloisie-démocratique », il faut se
dire que les élections législatives représentent la principale source de
financement public des partis politiques.
C’est vous dire que c’est important pour qui veut durer.
Un enjeu considérable à la veille d’un scrutin aux multiples inconnues et en pleine recomposition du paysage politique.
Et tous veulent leur part du gâteau, pensez bien !
Comptez donc et vous verrez que le reste n’est jamais que du marketing politique : De la « politique-spectacle » en disait mon professeur de sciences-politiques, rien de plus.
Car après l’élection présidentielle, tous les yeux sont déjà rivés sur les prochaines législatives du mois de juin. L’objectif est certes de peser sur les décisions du futur gouvernement en constituant un groupe puissant à l’Assemblée Nationale. Ce n’est jamais que la suite « institutionnelle » d’une démocratie élective.
Mais au-delà de cet enjeu politique, l’intérêt est d’abord économique pour les partis.
En plus des cotisations de leurs adhérents et des dons
de personnes privées (avec crédit d’impôt à la clé : C’est moâ qui paye,
ou inversement une façon de se rembourser de ses impôts directs…), les partis
touchent surtout des subventions de la part de l’État : Après tout, ce
sont eux qui votent les lois, n’est-ce pas.
Donc ils font comme ils désirent le faire : Ils sont élus pour ça…
Et ce qui reste assez iconoclaste, même s’ils ne parviennent pas à faire élire leurs candidats, il leur suffit d’engranger 1 % des voix dans au moins 50 circonscriptions pour toucher 1,42 euro par voix et par an !
À moâ tout seul, « je vaux », 7,10 €…
Qu’évidemment on m’aura piqué directement au portefeuille ou que je rembourserai pendant 5 ans via le financement des déficits publics…
Je trouve cela magnifique, parce que même si je ne vote pas, on me les pique tout de même !
(Comme quoi, vous avez définitivement tort de vous abstenir…)
Une rente et une aubaine pour les petits mouvements politiques en quête de financement.
« Cela pousse les partis à présenter le plus de candidats possible », détaille un professeur émérite à Sciences-Pô « Lugdunum ».
« Sauf que faire campagne coûte de l’argent et si le score est insuffisant, il n’y a pas de remboursement. » Cruel choix : Y-va-je ou non ?
Cornélien.
Les partis font donc de savants calculs pour savoir s’ils ont intérêt à présenter un candidat là où ils ne sont pas certains de faire un score correct.
Cornélien, vous dis-je…
Toutefois, pour pouvoir espérer toucher l’ensemble de
ces subventions, il y a des règles à respecter. La première est d’enregistrer son
mouvement auprès du ministère de l’Intérieur.
Il est également impératif de déposer ses comptes de campagne à la Commission nationale des comptes de campagne (certifiés) et des financements politiques (CNCCFP).
Enfin, la parité est fortement encouragée, puisque les mauvais élèves voient leurs aides financières réduites en cas de déséquilibre entre le nombre de candidats et de candidates : Moins un parti présente de femmes, plus l’État réduit ses subventions.
Autrement dit, une Comtesse vaut « plus cher » qu’un baron local…
Paradoxal, mais c’est la loi « égalitaire » de la République…
Notez que le véritable jackpot est décroché par les
formations qui réussissent à envoyer des députés à l’Assemblée : Il y a
donc « compétition », et pas que sur le plan programmatique ou
dogmatique.
Cette fois, les partis touchent 37.280 euros par élu et par an, versés pendant cinq ans, soit toute la durée du mandat. En envoyant 27 députés dans l’Hémicycle, une formation politique pourra donc compter sur un pactole de 1 million d’euros chaque année.
Et ça, c’est en plus des indemnités et divers défraiements reçus par l’heureux(se) élu(e).
Et c’est toujours moâ qui paye (ou les gamins de mes gamins…)
Or, comme les législatives ont tendance à confirmer
les résultats de l’élection présidentielle depuis l’inversion du calendrier
électoral (mais on n’est pas à l’abri d’une dissolution en cours de quinquennat),
la formation politique derrière le nouveau chef de l’État a toutes les chances
de rafler la mise !
En 2017, La République en marche (« même-pas-en-rêve » dite LREM), avec ses 6 millions de voix et ses 333 parlementaires, a ainsi reçu plus de 20 millions d’euros.
Pas un rond de la République en avait dit « Jupiter » durant sa première campagne…
Ça aura bien changé !
À l’inverse, le scrutin est sans pitié pour les perdants.
Le « Parti.soce », anciennement majoritaire à l’Assemblée Nationale, avait vu sa manne financière fondre comme neige au soleil. Au lendemain de cette première déconvenue électorale, le parti à la rose s’était vu contraint de mettre en vente son siège historique, rue Solférino à Paris pour migrer dans une banlieue en bordure d’autoroute (l’A6b).
Et ils ont du mal à y rester, puisqu’ils déménagent une nouvelle fois.
Notez que le « RPR » aura déménagé de la rue de Lille pour emménager rue Vaugirard et pour finalement être obligé de vendre son siège après les turpitudes financières de « Bling-bling ».
Ils sont désormais locataires chez eux, quoi…
D’ailleurs, « tout se joue sur une élection et
ça me choque. Il faut un système plus vertueux, moins brutal », assure
le trésorier des « Républicains-démocrates », qui devient un
tout nouveau soutien de « Jupiter ».
« C’est vrai qu’il y a une prime au vainqueur. C’est compréhensible, mais on pourrait aussi imaginer un système qui prenne également en compte les résultats des régionales, des européennes et des départementales. Cela permettrait une mise à jour plus régulière et pas uniquement tous les cinq ans » en dit un autre.
Conséquemment, pour ces prochaines législatives, certains partis joueront plus gros que d’autres.
Formation la plus endettée du pays avec une ardoise de près de 23,8 millions d’euros fin 2020, le « Air-Haine » de « Marinella-tchi-tchi » qui a déclaré lors du débat de l’entre-deux-tours être « à la tête d’un parti pauvre », doit impérativement renflouer ses caisses.
Objectif : Réunir au moins 15 élus, nécessaires à la constitution d’un groupe parlementaire pour gagner en visibilité au Palais Bourbon.
Actuellement, le parti ne compte que 8 députés sur 577. Et ils ne sont pas tous toujours en plus.
Inutile de dire que le jackpot, elle n’est pas prête à le partager avec « Zézé-Amour »…
Ni avec « Dupont-Gnan-gnan »…
Autres formations sur la sellette, toutes celles n’ayant
pas obtenu 5 % des voix au premier tour de la présidentielle, synonyme de
remboursement des frais de campagne par l’État.
Le « P.soce » (PS) a des caisses vides, et pour les « Républicains-Démocrates » (LR), dans le rouge
depuis la défaite cuisante de « Valy », ces prochaines législatives s’annoncent
déterminantes et la question financière devrait peser sur les stratégies
électorales et les alliances.
Pas question pour eux aussi d’aller s’allier avec qui que ce soit : Ligne politique claire… dictée par le pognon !
Et au cœur des tractations qui se jouent en coulisses
: Les investitures.
Ce processus permet à plusieurs partis de désigner un candidat unique pour les représenter dans une circonscription et éviter un éparpillement des voix.
Cependant, si ce dernier est élu, il ne pourra déclarer qu’un seul parti de rattachement éligible aux subventions de l’État.
Donc, les états-majors des partis « espèrent ainsi que ce qu’ils perdent dans une circonscription au profit d’un allié, ils puissent le gagner ailleurs »
Cornélien, vous-dis-je !
Par exemple, avec 17 députés, mais forte des 22 % des bulletins dernièrement, ceux de « Mes-Luches » au premier tour de la présidentielle, la « Gauloisie-insoumise » (LFI) compte bien imposer aux « soces » ses propres conditions dans le cadre d’un accord national sur le programme et les investitures.
Le « P.Soce » et ses 25 députés tentera, lui, de faire valoir un ancrage local qui fait défaut à LFI dans ces négociations sur une union de la gôche.
Ces premières rencontres portent d’ailleurs « sur les questions de fond et s’il y a un accord, ensuite on pourra discuter des questions d’investitures », affirme la numéro 2 du « P.Soce », qui reconnaît une équation difficile à résoudre entre toutes les forces de gauche.
Autrement dit on s’approche une fois de plus d’un appauvrissement des « candidatures utiles ».
« Quand le PS était en position de force dans ces négociations, on considérait que les partis avec lesquels on s’alliait avaient aussi besoin du financement public pour leur fonctionnement. Ne pas asphyxier financièrement ses partenaires doit faire partie d’un accord politique », prévient l’ancienne députée.
« Il va falloir être intelligent si l’on veut
un maximum de députés de gauche à l’Assemblée Nationale. Dans chaque parti,
nous avons des spécialistes de la carte électorale pour savoir à quels endroits
il est préférable d’avoir un socialiste, un communiste, un vert ou un insoumis »,
ajoute celle qui est en charge « à la coordination et aux moyens ».
De leur côté, les « Républicains-Démocrates »
(LRd) ont donc tranché la semaine dernière lors d’un comité stratégique
pour « une indépendance totale » de « LRd »
aux législatives : « Il n’y a pas de double appartenance et il n’y
en aura jamais », a assuré le président du parti en réponse aux élus « LRd »
qui seraient tentés par des accords locaux avec les « Marcheurs-même-pas-en-rêve ».
Voire d’autres qui se voient bien migrer chez les anti-migrants du « Air-Haine ».
Le « réalisme » électoral, derrière la « politique-spectacle », pourrait toutefois avoir raison de ces consignes nationales et plusieurs députés seraient déjà sur le départ pour sauver leur siège.
« Indépendance totale » pour « LRd »
ou « Union de la gôche » ou « populaire », selon les
termes de la proposition de « Mes-Luches », pour le « P.Soce »,
quelle que soit la stratégie choisie, les experts interrogés prédisent aux deux
anciens partis de gouvernement cinq années de vaches maigres : « Il
leur reste tout de même des ressources et un patrimoine. Même si on ne peut pas
vivre éternellement en vendant les bijoux de famille. »
Bé oui, c’est à « Jupiter » de faire le plein de financement public, comme pendant le dernier quinquennat : Il faut bien ça pour assurer la relève « de dans cinq ans ».
Autrement dit, vous comprenez peut-être mieux pourquoi chacun aura monté son « propre parti » en vue de s’agglutiner dans les quelques groupes parlementaires qui se formeront fin juin.
Et partir à la bataille de la composition des commissions diverses et variées ainsi que les « cercle d’amitiés-franco-quelque-chose » (qui permettent de partir à l’étranger avec les sous de la République, et de nouer des contacts utiles pour l’avenir de l’impétrant) après s’être réparti les questures et autres fonctions importantes de la vie de l’hémicycle.
Ceci dit, c’est probablement la disparition de « reconquête »
de « Zézé-amour » qui sera signé.
Je ne m’inquiète pas pour lui, il continuera de vendre des bouquins et des pamphlets, mais plus de « Marions-Marée-Chiale-nous-voilà » qui va se reproduire et regagner son « ékole sup de science-Pô ». Elle, elle a déjà été députée, elle sait donc de quoi il retourne.
Mais pour se relancer en 2027 contre « Kung-Fu-Panda », il faudra bien la suivre, celle-là.
Et une partie de ce jeu de go se joue dès aujourd’hui.
Parce que mon bulletin vaut de l’or. Le vôtre aussi, d’ailleurs…
Réfléchissez-y puisque l’heure est à la constitution d’un gouvernement qui peine à émerger… et qui sera de toute façon remodelé au début de l’été…
C’est vous dire que c’est important pour qui veut durer.
Un enjeu considérable à la veille d’un scrutin aux multiples inconnues et en pleine recomposition du paysage politique.
Et tous veulent leur part du gâteau, pensez bien !
Comptez donc et vous verrez que le reste n’est jamais que du marketing politique : De la « politique-spectacle » en disait mon professeur de sciences-politiques, rien de plus.
Car après l’élection présidentielle, tous les yeux sont déjà rivés sur les prochaines législatives du mois de juin. L’objectif est certes de peser sur les décisions du futur gouvernement en constituant un groupe puissant à l’Assemblée Nationale. Ce n’est jamais que la suite « institutionnelle » d’une démocratie élective.
Mais au-delà de cet enjeu politique, l’intérêt est d’abord économique pour les partis.
Donc ils font comme ils désirent le faire : Ils sont élus pour ça…
Et ce qui reste assez iconoclaste, même s’ils ne parviennent pas à faire élire leurs candidats, il leur suffit d’engranger 1 % des voix dans au moins 50 circonscriptions pour toucher 1,42 euro par voix et par an !
À moâ tout seul, « je vaux », 7,10 €…
Qu’évidemment on m’aura piqué directement au portefeuille ou que je rembourserai pendant 5 ans via le financement des déficits publics…
Je trouve cela magnifique, parce que même si je ne vote pas, on me les pique tout de même !
(Comme quoi, vous avez définitivement tort de vous abstenir…)
Une rente et une aubaine pour les petits mouvements politiques en quête de financement.
« Cela pousse les partis à présenter le plus de candidats possible », détaille un professeur émérite à Sciences-Pô « Lugdunum ».
« Sauf que faire campagne coûte de l’argent et si le score est insuffisant, il n’y a pas de remboursement. » Cruel choix : Y-va-je ou non ?
Cornélien.
Les partis font donc de savants calculs pour savoir s’ils ont intérêt à présenter un candidat là où ils ne sont pas certains de faire un score correct.
Cornélien, vous dis-je…
Il est également impératif de déposer ses comptes de campagne à la Commission nationale des comptes de campagne (certifiés) et des financements politiques (CNCCFP).
Enfin, la parité est fortement encouragée, puisque les mauvais élèves voient leurs aides financières réduites en cas de déséquilibre entre le nombre de candidats et de candidates : Moins un parti présente de femmes, plus l’État réduit ses subventions.
Autrement dit, une Comtesse vaut « plus cher » qu’un baron local…
Paradoxal, mais c’est la loi « égalitaire » de la République…
Cette fois, les partis touchent 37.280 euros par élu et par an, versés pendant cinq ans, soit toute la durée du mandat. En envoyant 27 députés dans l’Hémicycle, une formation politique pourra donc compter sur un pactole de 1 million d’euros chaque année.
Et ça, c’est en plus des indemnités et divers défraiements reçus par l’heureux(se) élu(e).
Et c’est toujours moâ qui paye (ou les gamins de mes gamins…)
En 2017, La République en marche (« même-pas-en-rêve » dite LREM), avec ses 6 millions de voix et ses 333 parlementaires, a ainsi reçu plus de 20 millions d’euros.
Pas un rond de la République en avait dit « Jupiter » durant sa première campagne…
Ça aura bien changé !
À l’inverse, le scrutin est sans pitié pour les perdants.
Le « Parti.soce », anciennement majoritaire à l’Assemblée Nationale, avait vu sa manne financière fondre comme neige au soleil. Au lendemain de cette première déconvenue électorale, le parti à la rose s’était vu contraint de mettre en vente son siège historique, rue Solférino à Paris pour migrer dans une banlieue en bordure d’autoroute (l’A6b).
Et ils ont du mal à y rester, puisqu’ils déménagent une nouvelle fois.
Notez que le « RPR » aura déménagé de la rue de Lille pour emménager rue Vaugirard et pour finalement être obligé de vendre son siège après les turpitudes financières de « Bling-bling ».
Ils sont désormais locataires chez eux, quoi…
« C’est vrai qu’il y a une prime au vainqueur. C’est compréhensible, mais on pourrait aussi imaginer un système qui prenne également en compte les résultats des régionales, des européennes et des départementales. Cela permettrait une mise à jour plus régulière et pas uniquement tous les cinq ans » en dit un autre.
Conséquemment, pour ces prochaines législatives, certains partis joueront plus gros que d’autres.
Formation la plus endettée du pays avec une ardoise de près de 23,8 millions d’euros fin 2020, le « Air-Haine » de « Marinella-tchi-tchi » qui a déclaré lors du débat de l’entre-deux-tours être « à la tête d’un parti pauvre », doit impérativement renflouer ses caisses.
Objectif : Réunir au moins 15 élus, nécessaires à la constitution d’un groupe parlementaire pour gagner en visibilité au Palais Bourbon.
Actuellement, le parti ne compte que 8 députés sur 577. Et ils ne sont pas tous toujours en plus.
Inutile de dire que le jackpot, elle n’est pas prête à le partager avec « Zézé-Amour »…
Ni avec « Dupont-Gnan-gnan »…
Le « P.soce » (PS) a des caisses vides, et pour les « Républicains-
Pas question pour eux aussi d’aller s’allier avec qui que ce soit : Ligne politique claire… dictée par le pognon !
Ce processus permet à plusieurs partis de désigner un candidat unique pour les représenter dans une circonscription et éviter un éparpillement des voix.
Cependant, si ce dernier est élu, il ne pourra déclarer qu’un seul parti de rattachement éligible aux subventions de l’État.
Donc, les états-majors des partis « espèrent ainsi que ce qu’ils perdent dans une circonscription au profit d’un allié, ils puissent le gagner ailleurs »
Cornélien, vous-dis-je !
Par exemple, avec 17 députés, mais forte des 22 % des bulletins dernièrement, ceux de « Mes-Luches » au premier tour de la présidentielle, la « Gauloisie-insoumise » (LFI) compte bien imposer aux « soces » ses propres conditions dans le cadre d’un accord national sur le programme et les investitures.
Le « P.Soce » et ses 25 députés tentera, lui, de faire valoir un ancrage local qui fait défaut à LFI dans ces négociations sur une union de la gôche.
Ces premières rencontres portent d’ailleurs « sur les questions de fond et s’il y a un accord, ensuite on pourra discuter des questions d’investitures », affirme la numéro 2 du « P.Soce », qui reconnaît une équation difficile à résoudre entre toutes les forces de gauche.
Autrement dit on s’approche une fois de plus d’un appauvrissement des « candidatures utiles ».
« Quand le PS était en position de force dans ces négociations, on considérait que les partis avec lesquels on s’alliait avaient aussi besoin du financement public pour leur fonctionnement. Ne pas asphyxier financièrement ses partenaires doit faire partie d’un accord politique », prévient l’ancienne députée.
De leur côté, les « Républicains-
Voire d’autres qui se voient bien migrer chez les anti-migrants du « Air-Haine ».
Le « réalisme » électoral, derrière la « politique-spectacle », pourrait toutefois avoir raison de ces consignes nationales et plusieurs députés seraient déjà sur le départ pour sauver leur siège.
Bé oui, c’est à « Jupiter » de faire le plein de financement public, comme pendant le dernier quinquennat : Il faut bien ça pour assurer la relève « de dans cinq ans ».
Autrement dit, vous comprenez peut-être mieux pourquoi chacun aura monté son « propre parti » en vue de s’agglutiner dans les quelques groupes parlementaires qui se formeront fin juin.
Et partir à la bataille de la composition des commissions diverses et variées ainsi que les « cercle d’amitiés-franco-quelque-chose » (qui permettent de partir à l’étranger avec les sous de la République, et de nouer des contacts utiles pour l’avenir de l’impétrant) après s’être réparti les questures et autres fonctions importantes de la vie de l’hémicycle.
Je ne m’inquiète pas pour lui, il continuera de vendre des bouquins et des pamphlets, mais plus de « Marions-Marée-Chiale-nous-voilà » qui va se reproduire et regagner son « ékole sup de science-Pô ». Elle, elle a déjà été députée, elle sait donc de quoi il retourne.
Mais pour se relancer en 2027 contre « Kung-Fu-Panda », il faudra bien la suivre, celle-là.
Et une partie de ce jeu de go se joue dès aujourd’hui.
Réfléchissez-y puisque l’heure est à la constitution d’un gouvernement qui peine à émerger… et qui sera de toute façon remodelé au début de l’été…
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