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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 4 mai 2022

Vers quoi nous entraînent-ils ?

Les pénuries alimentaires guettent d’ici la fin de l’année
 
Ce n’est pas une blague et j’y reviendrai probablement parce qu’il est des « stratégies » anxiogènes à souhait question « bouffe & picole ». Notamment cette fameuse idée de « Farm to fork », de la ferme à la fourchette, qui émerge peu à peu.
Rappelez-vous, il y a peu de temps, un torrent de communiqués de presse émanant d’institutions mondiales a déferlé, mentionnant tous exactement la même préoccupation : Des pénuries alimentaires dans les 3 à 6 prochains mois !
Des déclarations qui correspondent aux dangers imminents de l’inflation qui conduirait au rationnement de la nourriture et aux perturbations de la chaîne d’approvisionnement (faites donc vos stocks de provisions : Après le papier hygiénique, les conserves de ravioli !).
Le FMI, la BRI, la Banque mondiale, l’ONU, la Fondation Rockefeller, le Forum économique mondial de Davos, la Bank of America et même le Président « Bail-dan » soi-même prédisent tour à tour tous une crise alimentaire majeure à court terme.
Et ce n’est pas le fruit du hasard si les politiques de ces mêmes institutions et les actions des « sachants » politiciens qui travaillent avec elles provoquent la crise qu’ils prédisent maintenant.
En d’autres termes, il est facile de prédire un désastre quand on l’a créé.
 
On prétend que l’invasion de l’Ukraine par la Russie est la cause première, mais c’est un faux prétexte par rapport au véritable problème.
Oui, les sanctions contre la Russie finiront par entraîner une diminution de l’approvisionnement alimentaire, mais les « mondialistes » et leurs médias ignorent délibérément la plus grande des menaces, qui est la dévaluation des devises et l’inflation des prix créée par les banques centrales qui pompent des dizaines de milliers de milliards de dollars en plans de relance pour soutenir les entreprises partenaires « trop grosses pour faire faillite ».
Ou, « quoiqu’il en coûte », sont trop petites et trop nombreuses pour rester de marbre devant leurs déboires sanitaires.
 
Rien qu’en 2020, la Fed a créé plus de 6.000 milliards de dollars à partir du néant (la génération spontanée pourtant combattue par Louis Pasteur) et les a injectés dans l’économie par le biais de programmes d’aide sociale.
Qu’on a d’ailleurs retrouvé rapidement en bourses à travers des courtiers en ligne « cheapest »… (Qui d’ailleurs vient de faire faillite pour le plus connu…).
Ajoutez à cela les nombreuses centaines de milliards de dollars que la Fed avait imprimés depuis le crash du crédit en 2008…
C’est une fête de destruction du dollar qui n’a jamais cessé et maintenant le public commence à en ressentir les conséquences.
Heureusement pour les banquiers centraux que la pandémie a frappé et que la Russie a envahi l’Ukraine, car ils peuvent maintenant rejeter toute la responsabilité de la calamité inflationniste qu’ils ont créée, d’abord sur la pandémie, puis sur « Poux-tine ».
Les faux-nez parfaits…
 
Rappelons que l’inflation a atteint son plus haut niveau depuis 40 ans aux États-Unis avant que la Russie n’envahisse l’Ukraine. Mais, plus important, il convient de considérer les conséquences de cette guerre et la façon dont elle affecte finalement l’approvisionnement alimentaire.
Car effectivement, l’invasion russe perturbe certainement la production céréalière ukrainienne, qui représente environ 11 % du marché mondial total du blé.
La Russie détient également une part de 17 % et, ensemble, ces deux nations alimentent une grande partie des pays du tiers monde et de l’Europe avec 30 % des exportations de blé et d’orge, 19 % des exportations de maïs, 23 % des exportations de canola et 78 % des exportations de tournesol.
On va droit à des émeutes de la faim dans les pays les plus pôvres.
Mais même chez nous, il paraît même qu’il manque de l’huile tirée de cette plante jusque dans vos rayons : Je m’en fous, il reste l’huile de colza, d’olive et de ricin pour cuisiner et se soigner.
Sans même évoquer la cuisine au beurre…
 
Les sanctions contre la « Sainte-Russie » constituent toutefois un problème qui va bien au-delà de l’Ukraine, car la Russie produit également environ 20 % de l’approvisionnement mondial en ammoniac et 20 % de l’approvisionnement mondial en potasse.
Il s’agit d’ingrédients clés des engrais utilisés dans l’agriculture industrielle à grande échelle.
Ainsi les agriculteurs estiment que la hausse globale des prix sur les marchés alimentaires sera d’environ 10 %. C’est probablement un minimum.
Car vous pouvez déjà constater des hausses de prix globales de près de 20 % par rapport à il y a six mois et je m’attends à ce qu’il y ait encore jusqu’à 30 % de hausses de prix avant la fin de l’année.
Sauf sur le whisky dont le prix, à ma grande surprise, s’effrite.
En d’autres termes, sur de nombreux produits alimentaires, nous pouvons nous attendre à des augmentations de presque de 40 à 50 % fin 2022/début 2023 sur certaines denrées alimentaires, y compris les produits frais et ultra-frais.
Si on en trouve encore en rayon…
 
Une fois de plus, les données officielles du gouvernement sur l’inflation et l’Indice des prix à la consommation ne sont pas véritablement fiables. Doublez les chiffres qu’ils donnent et vous serez beaucoup plus proche de la vérité.
Le taux d’inflation utilisé par Shadowstats.com par exemple, calculé à l’aide de méthodes autrefois appliquées par le gouvernement américain dans les années 1980 avant qu’il ne « corrige » ses modèles pour masquer les données, entretient cette vision modérée jusqu’à présent, même si 7 % ce n’est pas anodin.
Surtout en « Gauloisie-économique » où la croissance est égale à zéro au dernier trimestre, croissance mesurée en incluant l’inflation elle-même…
Mais bon, on ne va pas retourner aux polémiques des années 80 sur la valeur des choses.
Jusque-là, nous avons vécu dans un paradis consumériste où tout était abondant et où le pouvoir d’achat ne cessait d’augmenter.
On en a même été obligé de pondre en urgence des lois contre le gâchis et sur le recyclage des invendus qui encombraient, c’est dire…
 
Les experts agricoles américains s’attendent à ce que la Chine comble le vide où disparaissent les approvisionnements russes. C’est probablement une erreur de faire cette hypothèse. Car il se passe quelque chose de bizarre en Chine.
Ils mettent en garde-à-vue tout le monde chez soi dans certaines villes et c’est autre chose que notre premier confinement…
La répression chinoise contre les infections du « Conard-virus » a atteint des niveaux si extraordinaires qu’on peut se poser la question : Les confinements concernent-ils vraiment le « Conard-virus » ou cachent-ils encore autre chose ?
Car le taux de mortalité lié au « Conard-virus » en Chine, avec ses quatre contaminations par jour, est impossible à calculer avec précision car ils n’ont jamais publié de données correctes pouvant être confirmées.
Même chez nous, ça ne fait plus la Une des journaux depuis longtemps, alors qu’on se pose la question en catimini du retour du « pass-vaccinal » pour cet été ou pour la rentrée de septembre.
Cependant, presque partout ailleurs dans le monde, le taux médian de létalité de l’infection par le « Conard-virus » et ses nombreux « mutants » est de 0,27 %, ce qui signifie que plus de 99,7 % des personnes dans le monde n’ont pas à craindre de mourir du virus.
Mais en Chine, le PCC agit comme s’il avait affaire à la peste noire, doublée du choléra blond.
Pourquoi ?
 
Les confinements ont entraîné des pénuries alimentaires dans tout le pays, les chaînes d’approvisionnement sont mises à rude épreuve et les usines restent fermées dans de nombreux cas.
J’ai ainsi appris que les fameux coupons de la RATP censés remplacer l’antique carnet de ticket à bande magnétique n’est plus distribué, faute de puce.
Et dire que « Île-de-Gauloise-mobilité », dont la présidente n’est autre que « Madame 2 % », aura claqué un fric de dingue pour équiper ses portillons…
Enfin passons.
On m’a également fait savoir qu’aux USA, après les voitures, les missiliers et avionneurs ne peuvent plus fournir les missiles Javelin et Stinger aux Ukrainiens faute de composants électroniques…
Que Washington va probablement réactiver une vieille loi de réquisition « prioritaire-défense » pour faire face.
Einstein aurait raison une fois de plus : Après la troisième guerre mondiale (il paraît que nous y sommes), on s’entretuera à coup de sabre !
En revanche, ce dont beaucoup d’Occidentaux n’entendent pas parler, c’est le fait que les exportations chinoises ont été essentiellement gelées : Plus d’un porte-conteneurs sur cinq dans le monde est actuellement bloqué dans les ports chinois en raison du confinement.
Incroyable…
 
Alors, pourquoi la Chine ferait-elle cela pour un virus dont nous savons tous qu’il n’est pas dangereux pour la grande majorité des gens ? Pourquoi instaurer le pire confinement du pays à ce jour et affamer sa propre population alors que la majorité des gouvernements occidentaux ont désormais abandonné leur campagne de peur de la pandémie et leur programme de vaccination forcée ?
Il est possible que la Chine soit déjà engagée dans une guerre économique dont beaucoup d’Américains et d’Européens ne se rendent même pas compte.
Il s’agit peut-être d’un test « bêta » pour une fermeture des exportations vers les États-Unis et l’Europe, ou d’une fermeture progressive destinée à devenir permanente.
Et ce goulot d’étranglement du commerce pourrait être le précurseur d’une invasion chinoise de Taïwan, ni plus ni moins…
 
Taïwan est en fait plus dépendante et plus étroitement liée à l’économie chinoise que beaucoup de gens ne l’imagine. La Chine est le plus gros acheteur des exportations de Taïwan et ces exportations représentent 10 % du PIB de Taïwan.
Des centaines de milliers de travailleurs et d’hommes d’affaires taïwanais se rendent régulièrement en Chine pour travailler, un autre facteur économique qui est aujourd’hui mis à mal par les confinements.
En outre, Taïwan compte de nombreuses sociétés qui exploitent leurs usines en Chine continentale, qui pourraient toutes être fermées en raison des mêmes confinements.
J’imagine qu’en Chine, on prévoit déjà d’envahir Taïwan dans un avenir proche, et alors il se pourrait qu’utiliser le « Conard-virus » soit une formidable couverture pour endommager d’abord leur économie et ensuite perturber leur modèle d’exportation. Et finalement cueillir plus facilement le fruit trop mûr.
 
Rappelons que les régimes « cocos-post-marxiste-staliniens » considèrent la population comme une utilité qui peut être sacrifiée si nécessaire, et la Chine est parfaitement prête à causer des souffrances à court terme à son peuple si cela signifie des gains à long terme pour le parti.
D’autant que sa population rétrécit ce qui signifie que dans une génération, il n’y pas le même « effet masse » démographique : C’est maintenant ou jamais…
En outre, si je devais m’engager secrètement dans une guerre économique avec l’Occident, quel meilleur moyen que de bloquer 20 % des cargos du monde et de perturber les chaînes d’approvisionnement au nom de la protection du pays contre une « pandémie » ?
Par conséquent, il s’agit de ne pas trop compter sur la Chine pour répondre aux besoins d’exportation d’ingrédients d’engrais ou de quoi que ce soit d’autre, car les sanctions contre la Russie se poursuivent.
 
Les organisations mondialistes ne sont pas les seules à parler de pénuries alimentaires à venir : Le PDG d’un major international de l’industrie alimentaire a ainsi récemment averti que nous étions au bord du précipice d’une crise alimentaire.
Comme déjà noté dans le passé, l’inflation conduit au contrôle des prix par les gouvernements (réécoutez donc « Mes-Luches » et « Marinella-tchi-tchi », des « modèles libéraux »), le contrôle des prix conduit à un manque d’incitations à la production (faute de profits et d’investissements), le manque de profits et d’investissements conduisent à une perte de productivité et de production, la perte de production conduit à des pénuries, et les pénuries conduisent au rationnement gouvernemental (contrôle de toutes les grandes sources de nourriture).
Autrement dit une mise sous tutelle d’une population par son gouvernement… du peuple par le peuple et pour le peuple : La boucle est bouclée !
 
Car, comme nous l’avons vu avec presque tous les régimes autoritaires de l’Histoire moderne, le contrôle de l’approvisionnement alimentaire est essentiel pour contrôler la population.
Ça aura été même jusqu’à des génocides en Afrique où affamer l’adversaire ethnique est une pratique régulièrement répétée malgré l’aide internationale.
Une « tactique » qui n’est surpassée, en tant que préoccupation stratégique, que par le contrôle de l’énergie, dont nous connaîtrons bientôt des pénuries, car l’Europe sanctionne le pétrole et le gaz russes et commence à consommer les approvisionnements des autres exportateurs…
Heureusement, tout le monde n’est pas fâché avec « Poux-tine » : Il va retrouver rapidement de nouveaux clients pour ses exportations d’hydrocarbure.
La question de l’alimentation est la plus proche de nous, car nous pouvons en voir immédiatement les effets sur nos portefeuilles et sur nos familles : Il n’y a rien de pire pour des parents que la perspective que leurs enfants aient faim.
Un adulte peut se passer de manger pendant plusieurs jours : Je l’ai bien fait à une autre époque reculée de ma vie et, passé 48 heures, ça reste supportable. On est juste « un peu faible »…
Mais un gosse dont les sucs gastriques bouffent « les tuyaux », c’est inhumain à entendre tellement il pleure.
 
Les médias grand-public ignorent une fois de plus cette menace économique potentielle, et plus précisément, ils nient la notion de pénurie alimentaire comme étant quelque chose dont il faut s’inquiéter.
Mais ceux-là se sont toujours trompés par le passé.
Plus sérieux les propos des « mondialistes » lorsqu’il s’agit d’effondrement économique : Après tout, ce sont eux qui profitent le plus de telles catastrophes et qui ont le plus d’influence lorsqu’il s’agit de déclencher une crise.
Autrement dit, on est en pleine exécution du plan des « sachants » de Davos et d’autres qui consiste, grosso modo pour sauver la planète (un autre « faux-nez » qui perd de son acuité avec le temps, usé jusqu’à la trame qu’il est), à réduire la population mondiale.
Quoi de mieux qu’un virus et celui-ci étant dépassé, une bonne petite-guerre qui va phagocyter les ressources des belligérants et les conduire à la ruine sous de faux prétextes qui sont autant de mauvaises raisons.
On y vient tout doucement… avec un brutale accélération au début de cette décennie.
 
J’espère franchement avoir tort, mais permettez-moi d’être inquiet.
Pas pour moâ (mon avenir est déjà derrière moâ) mais pour « ma nichée ».
Et la vôtre, à propos ?

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