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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

vendredi 27 mai 2022

Les absurdes de la semaine

Jean-Marc aux commandes
 
Un homme marche tout seul dans le désert, son chameau s’est enfuit avec l’eau et la nourriture.
Au bout d’un moment il voit un marchand. Il s’approche de lui et dit :
« – De l’eau, s’il vous plait de l’eau !
– Désolé, moi je n’ai pas d’eau, je ne vends que des cravates ! » répond le marchand.
Alors l’homme reprend sa route, il est de plus en plus fatigué et le soleil brille encore plus haut dans le ciel.
Quelques heures plus tard notre bonhomme voit un deuxième marchand.
Mort de soif il s’avance vers lui a genoux. Et il lui dit :
« – De l’eau… s’il…vous…plait !
– Ah non, désolé, moi je ne vends que des cravates ! »
Alors notre homme reprend sa route.
Une demi-heure plus tard il tombe sur un troisième marchand.
L’homme s’avance avec difficulté (il rampe) et dit à bout de souffle :
« – De l’eau… je…vous…en supplie… de l’eau !
– Ah désolé mon bon monsieur, mais je ne vends que des cravates moi.
Mais un peu plus loin, dans cette direction il y a un bistro.
– Merci… Merci beaucoup ! »
Alors il part en direction du bistro, cinq minutes plus tard il voit enfin le bistro.
Il commence à courir, épuisé et arrive enfin à l’entrée du bar, il s’écroule pratiquement sur le comptoir et demande :
« De l’eau s’il vous plait de l’eau ! »
Et le serveur lui répond :
« Ah désolé monsieur, mais ici on ne sert que ceux qui portent une cravate ! »
 
Un homme est marié depuis deux semaines et souhaite faire un tour au bar pour revoir ses vieux copains.
Il dit à sa femme :
« – Chérie, je reviens tout de suite.
– Tu vas où, mon cœur ?
– Je vais au bistrot ma beauté, boire une bière.
– Tu veux une bière mon amour ? J’ai mis 25 bières différentes au frigo.
– Mais chérie, en plus au bistrot ils ont des verres gelés.
– Tu veux un verre gelé mon amour ? »
La femme ouvre alors le congélateur, et en sort une chope froide.
Le mari dit alors :
« – Oui mais en plus ma chérie, ils ont des petits biscuits apéritifs délicieux. Je ne serais pas long.
– Mon amour, le frigo est plein d’ailes de poulet, crevettes, jambon cru. Et l’armoire est pleine de chips. »
L’homme est décontenancé :
« – Mais, chérie… au bar, tu sais, on jure, on dit des gros mots…
– Tu veux entendre des gros mots mon chéri ? BOIS TA PUTAIN DE BIÈRE DANS TA CHOPE DE NAZE ET BOUFFES CES FOUTUS SNACKS ASSIS DANS TON CANAPÉ POURRI, PARCE QUE TU NE VAS NULLE PART ! T’AS COMPRIS CONNARD ? »
 
C’est Jean-Marc qui est en vacances au bord de la méditerranée.
Il part passer sa journée pêcher en mer.
Le soir il arrive au Bar de la Marine et commence à raconter la lutte acharnée qu’il vient de mener avec un poisson d’au moins 30 kilos.
Jean-Marius le prend par la manche pour l’interrompre et il lui dit :
« – Vé, arrête un peu tes cagades. Je l’ai vu ta sardine, c’est à peine si elle fait ses cinq kilos…
– Eh comment tu y vas toi, cinq kilos ?
– Et le Jean-Marc, tu vas pas me raconter que ton poisson à maigrit avant d’arriver au port ?
– Hé bé oui … C’est pas étonnant qu’il ait perdu 25 kilos ce poisson après les trois heures de lutte qu’il a mené contre moi… »
 
Ayant remarqué la braguette ouverte de son patron, la secrétaire embarrassée lui dit :
« La porte de votre garage est restée ouverte. »
Jean-Marc, perplexe, ne comprend pas, jusqu’à ce qu’elle lui montre du doigt.
Il remonte alors rapidement la fermeture et lui dit :
« – J’espère que n’avez pas aperçu ma super Ferrari !
– Non », répond-elle. « Juste une vieille 2 CV rose avec deux pneus crevés. »
 
Dans une grande entreprise, un chef de service accueille un nouvel employé et commence par lui demander :
« – Comment vous appelez-vous ?
– Je m’appelle Jean-Marc, et vous ? »
Le chef de service est particulièrement agacé par le ton familier de l’employé et lui passe immédiatement un savon :
« – Écoutez, Monsieur, j’ignore dans quel type de société vous avez pu travailler auparavant et je m’en contrefous…
Dans cette organisation, on appelle les gens par leur nom, jamais par leur prénom.
Et tout spécialement vos supérieurs hiérarchiques.
Vous allez donc m’appeler « Monsieur Dubois » à partir de cette seconde et cessez cette familiarité mal placée.
Et d’abord, quel est votre nom de famille ?
– Je m’appelle Monchéri…
– OK, Jean-Marc, vous pouvez disposer ! »
 
Un jeune homme riche et très, très timide se marie, pour les besoins de la cause, avec une jeune fille de bonne famille.
La journée se passe bien et le gueuleton (heu … le buffet) est une réussite.
Enfin arrive la nuit de noces, atroce moment de vérité pour un jeune premier qui n’a jamais vu, ne serait-ce que le bout d’un sein et encore moins le reste …
Le lendemain, la jeune mariée va voir sa mère, en pleurant.
« – Maman, c’est horrible. Il est nul. Il sait rien, et j’ai eu beau l’aider, lui montrer, il ne m’a rien fait.
– Attends, chérie, je vais m’en occuper tout de suite ! » répond la mère qui en a déjà vu des vertes et des pas mûres.
Et elle va voir son gendre :
« – Alors, il parait que cette nuit, ce fut loin d’être … Ne t’en fais pas, il suffit de se dire que l’homme n’est en fait qu’un animal plus évolué que le chien.
Tu as déjà vu faire les chiens, n’est-ce pas ?
– Euh oui, Madame.
– Eh bien, il suffit de faire comme eux, compris ???
– Oui, Madame. »
Satisfaite, la belle-mère va rassurer sa fille.
Le lendemain, la jeune fille va voir sa mère, en pleurant plus fort que la veille.
« – Je ne sais pas ce que tu lui as dit, mais il est encore plus con qu’hier.
– Ah bon, pourtant je croyais …
– Pourtant, tout avait bien commencé : Il m’a déshabillée et lui aussi s’est déshabillé mais alors après, il m’a flairé le derrière, et il est allé pisser contre l’armoire !!! »
 
C’est un gars qui est affublé d’un tic très marqué : Il cligne de l’œil droit tout le temps.
Ce gars est justement en train de postuler pour une place de commercial, et en ce moment, il passe son entretien d’embauche.
L’employeur lui dit :
« C’est incroyable. Vous êtes diplômé des meilleures écoles de commerce, vos recommandations sont excellentes, et votre expérience est sans commune mesure par rapport à celle des autres candidats…
Normalement, je vous embaucherais sans réfléchir…
Pourtant, je pense qu’un commercial affublé d’un tic comme le vôtre aurait tendance à perdre des clients en leur faisant peur.
Je suis désolé, mais je ne peux pas vous embaucher. »
Le gars répond :
« – Attendez, mon tic disparaît si je prends deux aspirines. Je vous assure !
– Vraiment ? Je ne demande qu’à vous croire. Montrez-moi ! »
Alors le gars fourre les mains dans ses poches et commence à en sortir toutes sortes de préservatifs des rouges, des bleus, des fluorescents, des parfumés…. et finalement, il sort une boite d’aspirine.
Il l’ouvre, prend deux comprimés, les avale, et hop, les clignements de l’œil cessent peu à peu.
Le patron est assez surpris :
« – Eh bien, vous avez dit vrai. Cependant, je suis le patron d’une compagnie respectable, et je n’ai pas l’intention d’employer quelqu’un qui court les filles parmi tout le pays !
– Courir les filles ? Que voulez-vous dire ? Je suis marié et très heureux en ménage !
– Alors comment expliquez-vous tous ces préservatifs ?
– Ah ça ?! Vous êtes déjà entrés dans une pharmacie, en clignant de l’œil, et en demandant de l’aspirine ? »
 
Après plus d’un demi-siècle de mariage, monsieur meurt.
Quelques temps plus tard, madame aussi s’en va au ciel…
Au ciel elle retrouve son mari alors elle court vers lui, l’enlace, l’embrasse et lui dit toute émue :
« Mon chéri, que c’est bon de te revoir ! »
C’est alors que monsieur un tantinet agacé lui répond :
« Ne me fais pas chier Marie-Simone, il me semble que le curé avait été très, très clair … jusqu’à ce que la mort nous sépare ! »
 
La saison de chasse au canard n’est pas encore ouverte, mais Jean-Gérard y va quand même.
Après deux heures, il tue un canard.
Il s’assoit près d’un étang et il commence à le plumer.
Tout a coup il entend des pas.
Alors de peur de se faire arrêter, il jette le canard a l’eau et il commence à siffler comme si rien n’était arrivé.
Un garde-chasse arrive et dit :
« – Bonjour monsieur !
– Bonjour », répond Jean-Gérard !
« – Je dois vous arrêter !
– Et pourquoi ?
– La saison de chasse au canard n’est pas encore ouverte !
– Mais je ne chassais pas !
– Ah non, et c’est quoi ce petit tas de plumes à vos pieds ?
– Ça ? C’est un canard qui est parti se baigner et qui m’a demandé de garder ses vêtements ! »
 
Un vieil Arabe vit depuis plus de 40 ans à Chicago.
Il aimerait bien planter des pommes de terre dans son jardin mais il est tout seul, vieux et trop faible.
Il envoie alors un courriel à son fils qui étudie à Paris pour lui faire part de son problème.
« Cher Ahmed, je suis très triste car je ne peux pas planter des pommes de terre dans mon jardin. Je suis sûr que si tu étais ici avec moi, tu aurais pu m’aider à retourner la terre.
Je t’aime, ton Père »
Le lendemain, le vieil homme reçoit un courriel de son fils :
« Cher Père, s’il te plaît, ne touche surtout pas au jardin ! J’y ai caché « la chose ».
Moi aussi je t’aime.
Ahmed »
À 4 heures du matin arrivent chez le vieillard l’US Army, les Marines, le FBI, la CIA et une unité d’élite des Rangers.
Ils fouillent tout le jardin, millimètre par millimètre et repartent déçus car ils n’ont rien trouvé.
Le lendemain, le vieil homme reçoit un nouveau courriel de son fils :
« Cher Père, je suis certain que la terre de tout le jardin est désormais retournée et que tu peux planter tes pommes de terre. Je ne pouvais pas faire mieux.
Je t’aime, Ahmed »
 
C’est une bande de trois copains qui partent en vacances au Club Méditerranée.
Dans la journée, ils se draguent tous une fille et décident de faire un concours, à celui qui fera le plus de fois l’amour la nuit à sa nana.
Ils décident que dès le petit déjeuner du matin chacun devra annoncer aux autres sa performance.
Oui, mais comment le faire en toute discrétion sans que les autres personnes de la tablée ne se doute de quoi il retourne ?
Alors l’un d’entre eux à l’idée géniale suivante :
« C’est simple, nous devrons annoncer : pour moi, ce sera un, deux, trois, etc. croissants suivant le nombre de ses performances de la nuit. »
Le lendemain matin les trois couples arrivent devant le buffet.
Le premier gars très fier, s’exclame : « Pour moi ce sera trois croissants ! »
Le deuxième encore plus fier, s’exclame : « Pour moi, ce sera quatre croissants ! »
Quant au troisième, il annonce : « Eh bien moi, ce sera cinq croissants ! »
Puis, il se ravise et rectifie : « Pardon, je m’excuse ce sera quatre croissants et un pain au chocolat ! »
 
Un matin en classe, l’institutrice demande aux élèves :
« Qu’est-ce que la poule donne ? »
Une petite fille répond :
« – Elle donne des œufs…
– C’est bien Clothilde, maintenant qu’est-ce que la chèvre donne ? »
Un autre gentil petit élève répond :
« – Elle donne du lait de chèvre.
– C’est très bien, maintenant qu’est-ce que la vache donne ? »
Et le petit-Jean-Marc au fond de la classe répond :
« Elle donne des leçons et des devoirs… »
 
En plein centre de Manhattan, une Rolls se gare devant une banque.
En descend une superbe femme ravissante qui rentre dans l’établissement et demande un prêt de 2.000 euros.
Le chargé d’affaire lui demande une garantie ainsi que la durée du prêt.
La femme propose, comme garantie, la Rolls garée devant la banque et indique que le prêt sera remboursé à son retour de Paris dans huit jours.
L’affaire se conclut et sur ces entre-faits, la femme s’en va, tandis que le chargé d’affaire et son directeur s’esclaffent :
« Il faut vraiment être con pour offrir une Rolls comme garantie d’un prêt de 2.000 euros ».
La semaine passe, la belle repasse à la banque et demande à rembourser le prêt pour récupérer sa Rolls.
Le banquier s’exécute contre 2.000 euros et ajoute 30 dollars d’intérêts et de frais. Pris d’un certain remord le banquier demande :
« – Vous ne semblez pas avoir besoin de ces 2.000 euros, alors pourquoi laisser une voiture de ce prix pour une somme dont vous n’avez apparemment pas besoin ?
– Parce que 30 dollars est le meilleur prix que j’ai pu trouver pour garer en toute confiance ma Rolls pendant 8 jours en plein Manhattan ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
 
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