Il faut bien reconnaître des mérites à
« Poux-tine »
L’invasion décidée par celui-ci pour accéder au fleuve, hélas situé en
Ukraine, qui alimente en eau potable la péninsule de Crimée et qui aura été
fermé impunément après l’invasion de la Crimée, a au moins mis fin aux
certitudes d’un continent persuadé d’avoir aboli la guerre depuis celle de
Bosnie-Herzégovine sur ses territoires.
Et aura jeté deux pays « neutres » à ses frontières, la Suède et la Finlande, dans les bras de l’OTAN qui se renforce par conséquent en mer Baltique.
Ça ne change peut-être pas grand-chose ― tant que l’Helvétie n’y adhère pas ― mais l’exigence russe de faire reculer l’alliance (« sinon je vais me fâcher ») aura été un échec total !
Reste à en tirer les bonnes leçons.
L’Occident n’aime pas les guerres et il n’aime surtout pas les guerres
longues…
Il l’a montré encore au Sahel, avant en Afghanistan, en Irak, au Vietnam, en Corée…
Et c’est peut-être bien là-dessus que « Poux-tine » compte pour sauver la face et renverser une situation qui semble compromise, à savoir sa conviction qu’au final, les États-Unis et leurs alliés européens se lasseront, que les cycles électoraux, l’inflation et la crise du pouvoir d’achat l’emporteront sur les images des villes dévastées, des morts et des viols.
Peut-être : L’avenir nous le dira.
Car cette guerre violente, répétitive, ce conflit de haute intensité sur un continent qui pensait avoir aboli la guerre, n’est pas une fin mais plus sûrement un commencement.
« Boubouche », « Haut-bas-Mât », « Gordon-Brun », « Camé-Rhône », « Théière-Mais », « Bling-bling », « Tagada-à-la-fraise-des-bois » et « Mère-Quelle » portent en réalité une lourde responsabilité devant l’histoire : Du fait de leur lecture erronée de la situation russe, de la réduction sans précédent de leurs dépenses militaires en Europe et de la poursuite d’une politique d’apaisement inconditionnelle du Kremlin, ils ont en réalité probablement conduit à la situation actuelle !
L’autre réalité, c’est que l’Europe l’aura échappé belle. L’hubris de « Poux-tine »
l’a poussé à commettre une énorme erreur d’appréciation, car l’Ukraine était
probablement le pays le mieux armé pour contenir les Russes : 200.000 soldats,
qui connaissent l’ennemi mieux que quiconque, aguerris par huit ans de conflit
au Donbass, bénéficiant d’années de formation par les personnels de l’OTAN et
jouissant d’un commandement moderne, de matériels adaptés au conflit et au
terrain, de tactiques qui ont fait leurs preuves sur le théâtre intégré et
multidimensionnel, mobilité, subsidiarité et renseignement en temps réel, grâce
aux Américains, manifestement soit il s’est trompé, persuadé qu’un « petit
contingent » serait suffisant, soit il vise à détruire l’appareil
productif de l’Ukraine qui lui faisait de l’ombre.
En fait, nous avons vu hier qu’il cherchait de l’eau pour « sa » Crimée.
Il y a une petite décennie, ma « pote » ukrainienne m’en avait averti.
Car imaginons maintenant un instant que les Russes aient décidé d’annexer
les pays Baltes, la Géorgie ou la Moldavie. Ces pays seraient tombés en
quelques jours.
L’OTAN aurait-il risqué une guerre de grande ampleur avec une puissance nucléaire pour sauver l’Estonie ?
J’en doute…
L’énorme faute d’appréciation de « Poux-tine » a au contraire offert non seulement à l’Ouest l’opportunité de réarmer, mais aussi celle de reconstruire une alliance devenue obsolète, cérébralement morte d’après « Jupiter » qui mange son chapeau, visière inclue.
En plus que d’affaiblir la puissance militaire russe, l’économie de tout un pays avec de probables répercussions au plan de la politique intérieure, c’est ce qu’il aura généré pour un peu d’eau…
Cependant, en voulant à tout prix « moraliser » la guerre, l’Occident s’est
lancé sur un chemin sans issue. Surtout que cette moralisation est à géométrie
variable : On s’indigne des crimes de guerre tout en se félicitant des 15.000 à
20.000 Russes tombés en moins de trois mois.
Or, la réalité est simple, cette guerre représente une opportunité unique d’affaiblir la Russie durablement : Pertes énormes en matériels – un hélicoptère d’attaque russe MI-28 coûte 12 millions de dollars (11,3 millions d'euros) et les Ukrainiens en ont déjà détruit plus d’une centaine, un char T-14 vaut 7 millions de dollars, et l’armée russe en a déjà perdu 650 –, en hommes, impact durable sur le moral, sur la structure de commandement (déjà douze généraux russes abattus), la perte de plusieurs navires, dont son vaisseau amiral de la flotte de la mer Noire et, naturellement, la chute du rouble devenue monnaie-paria, le risque d’écroulement économique, la sortie progressive et désormais durable de la dépendance énergétique russe, etc.
Offrir une porte de sortie à « Poux-tine » aujourd’hui serait par
conséquent contre-productif : Il tirerait les enseignements de son erreur et se
lancerait dès l’année prochaine dans une nouvelle aventure guerrière, cette
fois-ci avec la bonne cible et la bonne stratégie.
C’est pourquoi le processus de paix va demander des mois et des mois : Plus les Ukrainiens tombent, plus la Russie s’affaiblit !
Car l’enlisement pendant des mois ou des années donnerait le temps aux armées européennes de réparer le mal causé par la négligence coupable, militaire et diplomatique, de leurs gouvernements depuis vingt ans.
De plus, le système financier international est contrôlé par l’Occident,
ce qui explique un alignement partiel de nombreux pays sur la condamnation à l’encontre
de la Russie.
Mais la Chine, l’Inde, l’Arabie saoudite et beaucoup d’autres se refusent à prendre parti pour l’Ouest, justement pour sortir de cette domination du dollar.
L’isolement de la Russie pourrait n’être qu’un leurre.
Quant aux populations civiles en Afrique, au Moyen-Orient, en Asie, selon les sondages disponibles, elles sont très partagées sur le conflit.
Si les images de la guerre ne suscitent pas l’admiration pour la Russie, « l’acharnement » de l’Ouest contre Moscou rappelle trop la domination économique et culturelle endurée depuis des décennies et évoque plutôt l’apitoiement sélectif en fonction de la nationalité, de la religion ou de la couleur de la peau.
Il est possible que tant que l’Occident n’aura pas pris conscience de son
isolement idéologique croissant dans un monde complexe et divers, la Russie, la
Chine, la Turquie et tous les pays autoritaires continueront à redéfinir le
futur ordre mondial.
Depuis le début du conflit, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis (EAU) refusent de prendre parti.
Les interprétations varient : Augmentation bienvenue des prix du pétrole, volonté de réduire la dépendance vis-à-vis des États-Unis, rôle de la Russie, nouveau « médiateur » de la région grâce à son influence sur la Syrie et l’Iran…
Mais la vraie raison est ailleurs : Vingt ans de diplomatie américaine catastrophique, erratique et, surtout, donneuse de leçons !
De quoi donner à réflexion…
Plus les occidentaux cherchent à promouvoir leurs valeurs « universelles » dans des pays qui les refusent, plus ces mêmes pays vont chercher des alliances auprès de dictatures dont ils partagent les valeurs autoritaires et conservatrices…
Pendant des siècles, le succès guerrier a dépendu des effectifs, de la
logistique, des équipements, parfois du génie d’un général antique, capable d’inventer
des tactiques encore étudiées dans les écoles de guerre (Hannibal), ou d’insuffler
un courage légendaire à ses soldats (Léonidas).
Mais la guerre se jouait avant tout sur le terrain, alors que les populations réfugiées dans les villes (Rome, Athènes, Sparte, Carthage) attendaient avec angoisse l’issue du combat pour savoir quel sort il leur sera réservé.
À l’ère du théâtre intégré et multidimensionnel, fondé sur l’interarmes, la multi-spécialisation et la synergie des corps sur le terrain, rendue possible par la technologie, jamais le « théâtre » n’a été aussi peu isolé, jamais il n’a autant opéré en temps réel, jamais il n’aura été autant médiatisé.
La taille officielle des effectifs n’a jamais été aussi faible dans un conflit de haute intensité (150.000 hommes engagés en Ukraine du côté russe, contre 3,8 millions d’hommes sur le même terrain en 1943-1944).
Jamais les décomptes en tanks, hélicoptères, chasseurs, avions de combat, transporteurs, etc. n’ont aussi peu compté.
La guerre de haute intensité contre un ennemi comparable ne peut se gagner
qu’au prix d’une transformation de l’appareil militaire, de sa formation et ses
tactiques, demandant une professionnalisation généralisée, des matériels
modernes exigeant une maintenance de plus en plus chère et sophistiquée, une
technologie de pointe – renseignement satellitaire, capacités cyber, Sigint
(signal intelligence), systèmes de brouillage et de cryptage des
communications, etc.
Cela a un coût financier de plus en plus exponentiel, rendant de plus en plus impossible pour la plupart des armées du monde de s’engager sur toute la palette des conflits possibles.
Sauf l’exception notable de l’appareil militaire américain, bien qu’il ait montré ses limites en matière de renseignement humain et de contre-insurrection en Irak et en Afghanistan, donc dans la basse intensité.
Confrontées à la nature multidimensionnelle de la guerre, les armées vont de plus en plus se spécialiser dans certains types de conflit et gérer la diversité des engagements possibles grâce aux alliances militaires.
D’abord, le renseignement a complètement failli.
Alors que les Américains et les Britanniques étaient convaincus que « Poux-tine » ne bluffait pas, notre direction du Renseignement militaire et la direction générale de la Sécurité extérieure n’y croyaient pas.
Un chef des chefs du renseignement (militaire) en a rendu ses galons…
Ensuite, la capacité de résistance ukrainienne avait été complètement sous-estimée, comme le prouvent les déclarations du chef d’état-major des armées quelques jours après le commencement de la guerre.
J’en étais moâ-même persuadé.
Mais l’état des lieux opérationnel n’est pas meilleur : Carence d’entraînement liée à l’opération Sentinelle, taux de disponibilité des matériels entre un tiers et la moitié pour les hélicoptères et les tanks, manque d’avions de transport, stocks de munitions minimes à tous les niveaux (missiles, obus…), sans oublier la faiblesse en défense sol-air, le retard sur les drones, sur le renseignement satellitaire…
Ça fait beaucoup de choses à rattraper en même temps…
Après vingt ans de réductions budgétaires, l’armée « Gauloisienne » dispose seulement d’une force de dissuasion nucléaire et d’une grande expérience des guerres de faible intensité en Afrique et au Moyen-Orient, mais elle serait bien incapable de mener une guerre traditionnelle sur un théâtre européen nous confirme plusieurs rapports parlementaires et autres commissions d’enquête.
Pas acceptable pour une puissance moyenne avec une stratégie de déploiement globale.
Peut-être est-il temps que les états-majors et les ministres réfléchissent
à tous ces problèmes révélés par l’offensive de « Poux-tine ».
Un autre des « mérites » de « Poux-tine » : Nous faire ouvrir nos yeux sur nos faiblesses…
Et aura jeté deux pays « neutres » à ses frontières, la Suède et la Finlande, dans les bras de l’OTAN qui se renforce par conséquent en mer Baltique.
Ça ne change peut-être pas grand-chose ― tant que l’Helvétie n’y adhère pas ― mais l’exigence russe de faire reculer l’alliance (« sinon je vais me fâcher ») aura été un échec total !
Reste à en tirer les bonnes leçons.
Il l’a montré encore au Sahel, avant en Afghanistan, en Irak, au Vietnam, en Corée…
Et c’est peut-être bien là-dessus que « Poux-tine » compte pour sauver la face et renverser une situation qui semble compromise, à savoir sa conviction qu’au final, les États-Unis et leurs alliés européens se lasseront, que les cycles électoraux, l’inflation et la crise du pouvoir d’achat l’emporteront sur les images des villes dévastées, des morts et des viols.
Peut-être : L’avenir nous le dira.
Car cette guerre violente, répétitive, ce conflit de haute intensité sur un continent qui pensait avoir aboli la guerre, n’est pas une fin mais plus sûrement un commencement.
« Boubouche », « Haut-bas-Mât », « Gordon-Brun », « Camé-Rhône », « Théière-Mais », « Bling-bling », « Tagada-à-la-fraise-des-bois » et « Mère-Quelle » portent en réalité une lourde responsabilité devant l’histoire : Du fait de leur lecture erronée de la situation russe, de la réduction sans précédent de leurs dépenses militaires en Europe et de la poursuite d’une politique d’apaisement inconditionnelle du Kremlin, ils ont en réalité probablement conduit à la situation actuelle !
En fait, nous avons vu hier qu’il cherchait de l’eau pour « sa » Crimée.
Il y a une petite décennie, ma « pote » ukrainienne m’en avait averti.
L’OTAN aurait-il risqué une guerre de grande ampleur avec une puissance nucléaire pour sauver l’Estonie ?
J’en doute…
L’énorme faute d’appréciation de « Poux-tine » a au contraire offert non seulement à l’Ouest l’opportunité de réarmer, mais aussi celle de reconstruire une alliance devenue obsolète, cérébralement morte d’après « Jupiter » qui mange son chapeau, visière inclue.
En plus que d’affaiblir la puissance militaire russe, l’économie de tout un pays avec de probables répercussions au plan de la politique intérieure, c’est ce qu’il aura généré pour un peu d’eau…
Or, la réalité est simple, cette guerre représente une opportunité unique d’affaiblir la Russie durablement : Pertes énormes en matériels – un hélicoptère d’attaque russe MI-28 coûte 12 millions de dollars (11,3 millions d'euros) et les Ukrainiens en ont déjà détruit plus d’une centaine, un char T-14 vaut 7 millions de dollars, et l’armée russe en a déjà perdu 650 –, en hommes, impact durable sur le moral, sur la structure de commandement (déjà douze généraux russes abattus), la perte de plusieurs navires, dont son vaisseau amiral de la flotte de la mer Noire et, naturellement, la chute du rouble devenue monnaie-paria, le risque d’écroulement économique, la sortie progressive et désormais durable de la dépendance énergétique russe, etc.
C’est pourquoi le processus de paix va demander des mois et des mois : Plus les Ukrainiens tombent, plus la Russie s’affaiblit !
Car l’enlisement pendant des mois ou des années donnerait le temps aux armées européennes de réparer le mal causé par la négligence coupable, militaire et diplomatique, de leurs gouvernements depuis vingt ans.
Mais la Chine, l’Inde, l’Arabie saoudite et beaucoup d’autres se refusent à prendre parti pour l’Ouest, justement pour sortir de cette domination du dollar.
L’isolement de la Russie pourrait n’être qu’un leurre.
Quant aux populations civiles en Afrique, au Moyen-Orient, en Asie, selon les sondages disponibles, elles sont très partagées sur le conflit.
Si les images de la guerre ne suscitent pas l’admiration pour la Russie, « l’acharnement » de l’Ouest contre Moscou rappelle trop la domination économique et culturelle endurée depuis des décennies et évoque plutôt l’apitoiement sélectif en fonction de la nationalité, de la religion ou de la couleur de la peau.
Depuis le début du conflit, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis (EAU) refusent de prendre parti.
Les interprétations varient : Augmentation bienvenue des prix du pétrole, volonté de réduire la dépendance vis-à-vis des États-Unis, rôle de la Russie, nouveau « médiateur » de la région grâce à son influence sur la Syrie et l’Iran…
Mais la vraie raison est ailleurs : Vingt ans de diplomatie américaine catastrophique, erratique et, surtout, donneuse de leçons !
De quoi donner à réflexion…
Plus les occidentaux cherchent à promouvoir leurs valeurs « universelles » dans des pays qui les refusent, plus ces mêmes pays vont chercher des alliances auprès de dictatures dont ils partagent les valeurs autoritaires et conservatrices…
Mais la guerre se jouait avant tout sur le terrain, alors que les populations réfugiées dans les villes (Rome, Athènes, Sparte, Carthage) attendaient avec angoisse l’issue du combat pour savoir quel sort il leur sera réservé.
À l’ère du théâtre intégré et multidimensionnel, fondé sur l’interarmes, la multi-spécialisation et la synergie des corps sur le terrain, rendue possible par la technologie, jamais le « théâtre » n’a été aussi peu isolé, jamais il n’a autant opéré en temps réel, jamais il n’aura été autant médiatisé.
La taille officielle des effectifs n’a jamais été aussi faible dans un conflit de haute intensité (150.000 hommes engagés en Ukraine du côté russe, contre 3,8 millions d’hommes sur le même terrain en 1943-1944).
Jamais les décomptes en tanks, hélicoptères, chasseurs, avions de combat, transporteurs, etc. n’ont aussi peu compté.
Cela a un coût financier de plus en plus exponentiel, rendant de plus en plus impossible pour la plupart des armées du monde de s’engager sur toute la palette des conflits possibles.
Sauf l’exception notable de l’appareil militaire américain, bien qu’il ait montré ses limites en matière de renseignement humain et de contre-insurrection en Irak et en Afghanistan, donc dans la basse intensité.
Confrontées à la nature multidimensionnelle de la guerre, les armées vont de plus en plus se spécialiser dans certains types de conflit et gérer la diversité des engagements possibles grâce aux alliances militaires.
Alors que les Américains et les Britanniques étaient convaincus que « Poux-tine » ne bluffait pas, notre direction du Renseignement militaire et la direction générale de la Sécurité extérieure n’y croyaient pas.
Un chef des chefs du renseignement (militaire) en a rendu ses galons…
Ensuite, la capacité de résistance ukrainienne avait été complètement sous-estimée, comme le prouvent les déclarations du chef d’état-major des armées quelques jours après le commencement de la guerre.
J’en étais moâ-même persuadé.
Mais l’état des lieux opérationnel n’est pas meilleur : Carence d’entraînement liée à l’opération Sentinelle, taux de disponibilité des matériels entre un tiers et la moitié pour les hélicoptères et les tanks, manque d’avions de transport, stocks de munitions minimes à tous les niveaux (missiles, obus…), sans oublier la faiblesse en défense sol-air, le retard sur les drones, sur le renseignement satellitaire…
Ça fait beaucoup de choses à rattraper en même temps…
Après vingt ans de réductions budgétaires, l’armée « Gauloisienne » dispose seulement d’une force de dissuasion nucléaire et d’une grande expérience des guerres de faible intensité en Afrique et au Moyen-Orient, mais elle serait bien incapable de mener une guerre traditionnelle sur un théâtre européen nous confirme plusieurs rapports parlementaires et autres commissions d’enquête.
Pas acceptable pour une puissance moyenne avec une stratégie de déploiement globale.
Un autre des « mérites » de « Poux-tine » : Nous faire ouvrir nos yeux sur nos faiblesses…
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