Bienvenue !

Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

lundi 2 mai 2022

Message à mes « potes-russes »

J’ai ça aussi dans mon carnet d’adresses…
 
Et ils ont été plusieurs à m’envoyer des messages qui ressemblaient à des condoléances après l’élection de « Jupiter », dimanche en huit.
Que ça m’a tout de même assez surpris.
Alors j’ai demandé des précisions sur les éléments qui fondaient cette opinion, non pas d’un seul, mais de plusieurs.
Et au fil des échanges, j’ai compris qu’ils avaient le crâne bourré de fakes-news, de propagande et de désinformation.
C’est un peu comme les « ricains » et nos « no-go-zone » : Pour eux, nous sommes au bord de la guerre civile avec quantité de magouilles électorales à la clé expliquant les résultats du dernier scrutin.
 
Renseignements pris, force est de constater que leurs principales chaînes TV et la plupart des quotidiens russes ont abordé le second tour de cette élection présidentielle sous l’angle des violences en « Gauloisie » et de la crise à venir, en lien avec les sanctions contre la Russie…
On n’y parle pas des « Gilets-jaunes », mais il paraît que je suis bien à plaindre avec tout ce qui me tombe sur le râble et la crise à venir qui va tout emporter.
Pour eux, le résultat de ce second tour de l’élection présidentielle était aussi attendu en Russie : En fonction du candidat élu, le Kremlin pouvait espérer un changement dans la politique de sanctions.
La victoire de « Jupiter » les aura douché et a été traitée pendant près de cinq minutes par la chaîne principale russe, Pervi Kanal, leur PPDA, déclarant que « Marinella-tchi-chi » avait perdu toutes ses chances après le débat du 20 avril.
C’est vrai qu’elle est restée elle-même, c’est-à-dire nulle et assez fade.
Naturellement, aucun des journalistes n’a fait aucune mention du prêt de 9,6 millions d’euros accordé par des banques russes au « Air-Haine », une de principales accusations de collusion faites par le président candidat lors de cette soirée.
Comme quoi, « l’extrême-droâte » de mon pays est déjà « soumise » à Moscou.
Mais c’est pareil, si on reprend les propos de « Mes-Luches », à « l’extrême-gôche ».
Assez fabuleux comme « clivage », finalement…
 
Les reportages que j’ai pu voir sans rien y comprendre embrayaient sur l’image du président réélu où il est légèrement tourné au ridicule, montrant notamment la fameuse de photo sur sa chemise ouverte sur « sa moquette », et la diffusion d’un extrait de la parodie américaine de Jimmy Fallon.
En seconde partie, la plupart du temps, leurs médias abordent la situation en « Gauloisie », en commençant par des violences qui ont éclaté le soir de l’élection.
C’est vrai, il y en a eu, il a bien fallu que je le reconnaisse. Mais dans les faits ces quelques échauffourées ont rapidement été calmées.
La TV russe, ainsi que de nombreux sites d’infos, mettent en avant des images de débordement à « Paris-sur-la-plage » et à « Lugdunum-sur-Saône-&-Rhône ».
Rien sur le show de « Jupiter » qui descend sur le champ de Mars, le dieu de la guerre de son Olympe.
Notez que c’est une habitude pour les médias pro-kremlin, qui partagent régulièrement des vidéos d’affrontement avec la police en « Gauloisie-particulière ».
Il leur faut montrer que nous sommes au bord de la guerre civile quasiment tous les jours et j’attends le retour des reportages sur le « files d’attente » devant les boulangeries de la Kapitale : Il y a très longtemps, du temps de la Pravda-coco, on avait ainsi eu droit à la photo de Poîlane rue du cherche-midi, avec une longue file d’attente sur le trottoir pour illustrer les pénuries de pain…
Il faut dire que la boutique est étroite et n’accueille que 3 clients à la fois, 2 serveuses et une caissière qui trône au centre.
Et durant les confinements successifs, ça débordait sur le trottoir, gestes-barrière obligeant.
Je crois que je n’y suis allé qu’une fois, pour des croissants : Pas terrible. Je préfère ceux de mon boulanger de la rue Notre-Dame-des-champs, ouvert le dimanche.
Ils sont excellents, une vraie gourmandise, croquante et moelleuse à la fois !
 
Leurs chaînes, ont passé en boucle une vidéo « You-en-Tube » avec des bulletins de « Marinella-tchi-tchi » légèrement déchirés – et donc considéré comme nul –suggérant que l’élection aurait pu être truquée en amont.
Eh, les « pinzuti » ne savent pas truquer une urne, c’est bien connu…
Une des principales chaînes aura repris le discours de « Mes-Luches », notamment sa déclaration sur « Jupiter », considéré comme « le président le plus mal élu de la Vème République. »
Une vaste konnerie quand on sait que « Mes-Luches » aura été élu député dans les « quartiers » de « Massilia-sur-la-plage » à la faveur d’un taux de 64 % d’abstention !
C’est un peu comme en « Corsica-Bella-Tchi-Tchi » et son taux record d’abstention qui aura profité à « Marinella-tchi-tchi », grande gagnante dans l’île-de-beauté.
Quand je vous dis que vous abstenir reste une félonie incommensurable parce que ça favorise systématiquement les partis extrémistes, depuis toujours, gonflant le poids « relatif » de leurs électorats, puisqu’une minorité de « militants » n’omet surtout jamais de vous voler votre vote…
Enfin passons…
 
De plus, selon beaucoup de journalistes russes, le pays et même le continent seraient au bord d’une crise sans précédent à cause des sanctions contre la Russie après son invasion de l’Ukraine.
Dans l’un de ces canards « aux ordres », on peut retrouver une interview de Jean-Paul Thomas qui vient appuyer cette idée. C’est un ancien chef d’entreprise en Russie, réputé proche du Kremlin, qui déclare que « l’U.E. et la France vont payer les sanctions russes, non seulement dans le secteur énergétique, mais aussi sur tous les produits ».
Quand on découvre que les russes arment leurs drones avec du matériel « déclassés » faute de puce, ça fait doucement rire…
Oui, oui : On va manquer de vodka russe et de caviar de la Caspienne, c’est une évidence.
Izvestia, un grand quotidien russe, rapporte également sur la crise et reprend les propos du sénateur Vladimir Dzhabarov : Ce dernier estime que le résultat aurait été différent si les élections avaient eu lieu à l’automne, « puisque les Français n’ont pas encore pleinement ressenti les conséquences des sanctions ».
Probable : On aurait encore plus fait corps avec le chef des armées…
 
Le journal cite aussi le député européen « Titi-Maria-nie » qui a qualifié la réélection du président sortant comme « dangereuse pour la France », car il serait « un homme politique cruel envers les citoyens du pays ».
Celui-là, quand il s’agit de dire une konnerie, il n’est jamais endormi !
RIA Novosti, l’une des principales agences de presse russe, publie les déclarations de Konstantin Kosachev, vice-président du Conseil de la Fédération (équivalent de notre Sénat), sur sa chaîne Telegram : Dans l’article, le politique russe déclare que « la victoire d’Emmanuel Macron à l’élection présidentielle peut conduire à une augmentation du degré de radicalisme de Paris contre les russes, avec pour objectif, non pas la résolution de la situation en Ukraine, mais la démonstration du drapeau français ».
Rappelons que parler de « guerre en Ukraine » est interdit en Russie depuis le 4 mars et peut conduire jusqu’à 15 ans de prison…
Quant à promener le drapeau tricolore dans les champs de ruines ukrainiens, il n’y a plus que BHL capable de l’envisager, « Couche-nerf » étant hors-service…
Mais à chacun ses opinions, n’est-ce pas !
 
Pour contourner la censure, les journalistes de Novaya Gazeta, principal titre d’opposition, ont lancé un site d’info en exil.
Bien qu’ils saluent la victoire de « Jupiter » face à une candidate « d’extrême-droâte » qui irait dans le sens du Kremlin, ils ne font pas non plus l’éloge du président réélu.
Ainsi pour eux, « Macron n’est pas non plus Churchill ni même Boris Johnson, puisqu’il a déclaré il y a quelques jours que même après Bucha, il n’exclut pas la possibilité d’appeler Poutine, si cela aide à résoudre les problèmes humanitaires ». Un journaliste ajoute que « la politique pacificatrice de Macron consistant à exiger le dialogue avec la Russie n’a pu que convaincre Poutine qu’il ne rencontrera aucune opposition farouche de l’Europe ».
Et les mêmes critiques ont été émises par le gouvernement polonais.
Admettons, mais s’il n’y a plus d’interlocuteur disponible, c’est un boulevard pour le Turc qui saura en tirer ses marrons du feu.
 
Par conséquent, je suis bien à plaindre, ils en sont sûrs mes « potes-russes » !
Alors que la « Sainte-Russie » ne fait jamais que de se défendre contre les néonazis ukrainiens armés par l’Otan et les USA, instrumentalisés pour nuire à leur si pacifique pays…
Qui n’arrive toujours pas à signer la fin de la dernière mondiale avec les Nippons !
C’est cette version qu’on leur sert à satiété jusqu’à l’écœurement, celle d’une guerre « opération spéciale » indispensable.
Vous savez, c’est un peu comme la théorie du « meurtre par anticipation ». Celui-là, on sait que c’est un tueur qui va passer à l’acte, alors on l’élimine avant qu’il ne nuise…
Armata Corsa avait exécuté plusieurs militants du FLNC sous ce monstrueux prétexte, avant de se faire définitivement étêter.
Une nation et un peuple tellement pacifique, la Russie et les russes, qui ne font que se défendre que c’est vrai que les chars ukrainiens sont quasiment aux portes de Moscou… comme chacun le sait bien !
Je leur ai expliqué que c’est plutôt une déroute de « Poux-tine » : Depuis le début de l’offensive russe de l’Ukraine, et alors que Kiev a démontré son incroyable capacité à résister face aux forces russes, Moscou n’a de cesse de brandir de nouvelles menaces censées faire trembler les Occidentaux.
Au risque de devenir inaudible.
Plus il est à l’agonie, plus il se fait virulent : Un excellent thermomètre de sa fièvre… « pacifique » !
 
Depuis le 24 février, la guerre se joue donc sur le champ de la propagande et il s’agit de ne pas se laisser leurrer.
Du côté ukrainien, Zelensky n’a pas hésité à mettre en scène sa mue d’acteur de série télévisée à chef de guerre, à grands recours de discours postés sur les réseaux sociaux ou de petites phrases, telle que la désormais devenue célèbre : « J’ai besoin de munitions, pas d’un chauffeur ».
Ou encore ces soldats de l’Île aux serpents qui balancent, « fuck you » aux marins du navire amiral de la flotte de la Mer Noire aux premières heures du conflit.
Ça, ils n’ont pas entendu parler : Ces Ukrainiens-là ont été faits prisonniers et déportés, ça, en revanche, ils savent.
 
Côté russe, on a manifestement décidé de s’adonner à de grandes déclarations publiques. Mais plutôt que de gagner les cœurs comme le font les Ukrainiens, curieusement on vise à faire trembler les esprits. Trois jours seulement après le début de l’offensive, le président russe annonçait la mobilisation des « forces de dissuasion » du pays, brandissant indirectement la possible utilisation de l'arme nucléaire.
Mes potes avaient compris que l’heure était sérieuse.
Deux mois plus tard, les mises en garde venues du Kremlin, principalement à destination des Occidentaux qui se sont constitués en un front uni contre l’agresseur russe, se sont succédées : Dernière en date, celle faite lundi dernier par leur ministre russe des Affaires étrangères aura été de brandir la menace d’une troisième guerre mondiale.
Rien de moins…
« Le danger (d’une troisième guerre mondiale) est grave, réel. Et nous ne devons pas le sous-estimer », a-t-il déclaré à l’occasion d'un long entretien accordé à la télévision russe.
Était-ce pour faire peur aux Occidentaux ou seulement un discours à vocation « interne » ?
Car là, pour mes « potes-russes », ça a commencé à les inquiéter : Ils n’ont plus le souvenir de la crise des missiles de Cuba et de « Croûte-Chef » avec sa godasse à l’ONU, même s’ils se souviennent encore, parce qu’on leur a dit, de JFK à Berlin clamant « Ich bin ein Berliner ».
Plus inquiétant, Lavrov a même estimé que l’Otan était déjà en guerre avec la Russie, au travers de l’aide qu’elle apporte à l’Ukraine : « L’Otan, en substance, est engagée dans une guerre avec la Russie via un intermédiaire et elle arme cet intermédiaire. Cela signifie la guerre ».
Forcément, ce n’est ni la Chine ni la Transnistrie qui allait voler à leur secours, non plus !
Lavrov se rendrait-il compte qu’il s’est enfermé dans une guerre asymétrique ?
C’est lui qui envahit un pays « pas à lui » et il se retrouve face à un adversaire qui n’y est pas…
 
En fait, « Kamarades moscovites de labeur » cette nouvelle menace illustre les difficultés auxquelles sont confrontés les états-majors russes.
C’est un aveu de faiblesse de la part de du Kremlin, ni plus ni moins.
Quand on regarde la séquence sur les 60 jours, chaque fois que votre Président, élu au premier tour prend un coup dur, paf, vous avez une déclaration sur le nucléaire, sur la troisième guerre mondiale…, etc.
C’est en tout cas qu’il s’est produit après la destruction du navire amiral russe Moskva en Mer Noire.
Ce bateau, qui jouait un rôle majeur dans cette zone stratégique, a très certainement été mis hors d’état d’agir par des missiles ukrainiens « Neptun », surtout pas du matériel occidental, même si c’est plus compliqué que ça (j’y reviendrai peut-être) le 13 avril dernier, avant qu’il ne coule le lendemain.
Une humiliation dont je ne me réjouis pas pour autant pour Moscou, une réussite militaire majeure pour Kiev (même si ça vient mettre du beurre dans les nouilles de mon prochain roman d’été).
Et ce ne sera pas la dernière…
 
« La perte du Moskva est un événement dément !
Un bâtiment amiral…
Vous imaginez, par rapport à l’orgueil de Poutine ? », en dit un « expert ».
D’autant que c’était une pièce maîtresse pour verrouiller l’espace aérien au-dessus du blocus imposé autour d’Odessa.
Il devait même appuyer un débarquement sur les côtes Sud du pays…
Mais hors de question de perdre la face !
Un peu moins d’une semaine plus tard, l’armée russe annonçait le premier tir d’essai réussi d’un nouveau missile balistique intercontinental surnommé « Satan 2 », pouvant contenir jusqu’à 12 ogives nucléaires, avec une puissance maximale estimée à 50 mégatonnes, soit 2.000 fois Hiroshima.
Tiré depuis Moscou, il pourrait même atteindre Londres en 6 minutes et être en mesure de brouiller tous les radars sur le parcours.
« C’est véritablement une arme unique qui va renforcer le potentiel militaire de nos forces armées, qui assurera la sécurité de la Russie face aux menaces extérieures et qui fera réfléchir à deux fois ceux qui essayent de menacer notre pays avec une rhétorique déchaînée et agressive », a jugé bon de préciser « Poux-tine ».
 
Missile destructeur, possibilité d’une troisième guerre mondiale… Autant de prises de paroles laissant envisager un cataclysme à l’échelle mondiale, alors que sur le terrain, aucun objectif militaire n’a pour l’instant été atteint après plus de 60 jours de combat et aucun objectif « politique » non plus, au contraire.
En lançant le 24 février son offensive sur l’Ukraine, « Vlad » s’attendait à une campagne éclair.
À en croire ses premières déclarations, le maître du Kremlin, en voulant « dénazifier » le pays, comptait même renverser le pouvoir en place.
Sauf que les Ukrainiens ont résisté, et que Volodymyr Zelensky n’a jamais quitté le territoire national.
La jeune armée ukrainienne est même parvenue à empêcher la prise de Kiev, en retenant et harcelant les troupes russes au Nord de la capitale.
Si bien que le 26 mars, Moscou a annoncé la réorganisation de son offensive, ne se concentrant plus que sur le Donbass, une région en partie occupée par des séparatistes prorusses depuis 2014.
 
Les jeunes, tout le monde, y compris moâ-même pensait que c'était plié. Et là, surprise, non seulement l’Ukraine résiste, mais c’est la Russie qui révèle d'énormes carences.
« Poutine a perdu 20 % de ses forces, je pense entre 25.000 et 30.000 hommes, c’est plus de pertes qu’en Afghanistan où ça a duré 10 ans » en dit un expert (occidental).
Une catastrophe.
Autant d’éléments qui ont fait dire lundi en huit au chef du Pentagone, le secrétaire à la Défense américain Lloyd Austin, que Kiev pouvait « gagner la guerre, avec les bons équipements ».
Néanmoins, le maintien d’un relatif équilibre des forces sur le terrain pourrait d’ailleurs pousser Moscou à revenir sérieusement à la table des négociations, puisque « Poutine ne comprend que le rapport de force. »
Ou utiliser des munitions nucléaires tactiques, voire des gaz.
Armes interdites et qui contamineraient durablement les territoires à occuper…
Reste à savoir si les Ukrainiens tiendront bon dans le Donbass, là où se concentre désormais le gros des troupes russes et où de nombreuses localités sont encore tombées tout au long de la semaine.
 
Probablement, mes « petits-kamarades-de-labeur-moscovites » que vous aurez une dernière sucée de patriotisme sur la place rouge lundi prochain, pour fêter la victoire de 1945.
Je pense que d’ici-là, Marioupol sera tombée, y compris les dernières poches de résistance dans les sites industriels et que la vaillante armée russe aura consolidé en profondeur l’autoroute qui relie directement la Crimée à la Russie.
L’Ukraine sera soudainement dénazifiée et des pourparlers sérieux pourront s’ouvrir pour s’échanger des prisonniers et décider d’un cessez-le-feu général.
Une « grande victoire » vous attend au bout du tunnel, en pense-je !
Enfin, c’est comme ça qu’on vous présentera les choses… car vous avez nécessairement des dirigeants « particulièrement sages ».
Mais les choses ne vont pas s’arrêter là : La Russie va être traitée comme une nation paria à l’égal de la Corée du Nord, dont le sort est certainement le plus enviable du monde puisqu’il s’agit d’un paradis-communiste, durant des décennies et des décennies.
 
Merci qui ?
Merci « Poux-tine » : Il aura ouvert les yeux à un grand nombre sur les « mérites supposés » des régimes politiques autoritaires et peut-être même, participer à la victoire de notre « Jupiter » national.
Comme désormais ailleurs également…

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire