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Oui, entrez, entrez, dans le « Blog » de « l’Incroyable Ignoble Infreequentable » ! Vous y découvrirez un univers parfaitement irréel, décrit par petites touches quotidiennes d’un nouvel art : le « pointillisme littéraire » sur Internet. Certes, pour être « I-Cube », il écrit dans un style vague, maîtrisant mal l’orthographe et les règles grammaticales. Son vocabulaire y est pauvre et ses pointes « d’esprit » parfaitement quelconques. Ses « convictions » y sont tout autant approximatives, changeantes… et sans intérêt : Il ne concoure à aucun prix littéraire, aucun éloge, aucune reconnaissance ! Soyez sûr que le monde qu’il évoque au fil des jours n’est que purement imaginaire. Les noms de lieu ou de bipède et autres « sobriquets éventuels » ne désignent absolument personne en particulier. Toute ressemblance avec des personnages, des lieux, des actions, des situations ayant existé ou existant par ailleurs dans la voie lactée (et autres galaxies) y est donc purement et totalement fortuite ! En guise d’avertissement à tous « les mauvais esprits » et autres grincheux, on peut affirmer, sans pouvoir se tromper aucunement, que tout rapprochement des personnages qui sont dépeints dans ce « blog », avec tel ou tel personnage réel ou ayant existé sur la planète « Terre », par exemple, ne peut qu’être hasardeux et ne saurait que dénoncer et démontrer la véritable intention de nuire de l’auteur de ce rapprochement ou mise en parallèle ! Ces « grincheux » là seront SEULS à en assumer l’éventuelle responsabilité devant leurs contemporains…

mercredi 18 mai 2022

« Lili Born » est née à Matignon.

La première « X » à la tête du gouvernement !
 
On avait déjà eu « Giskard-A-la-Barre », mais lui avait été « sinistre des finances » avant de devenir « Républicain indépendant » et de s’assoir dans le fauteuil de « Pompon-Pidou ».
Il n’empêche, sa nomination, après une si longue attente, confirme que « Jupiter » n’est pas le seul à avoir mauvais goût en matière de femme : On dirait le clone de « Chrichri-La-Garde-meurt-mais-ne-se-rend-pas », aujourd’hui à la tête de la BCE après avoir abandonné le FMI et encore avant le « sinistère de Phynances », celui du commerce extérieur pour avoir été débauchée de chez les « Chicago-boys »…
Elles ont la même tronche !
 
Il faut dire qu’elles auront été nombreuses, au moins une bonne poignée, à refuser le poste, plus une autre poignée qui s’étaient déclarées volontaires au casse-pipe et attendait un coup de fil : C’est donc le choix du dernier recours, puisqu’elle faisait partie de la « short-list » dès le démarrage.
Une « techno » qui sait encore mieux que tout le monde issu des chez les « énârques » sachants « trisomiques-autistes » qui prolifèrent sous les ors de palais gouvernementaux, sans pour autant avoir été confrontée à la vie des « gens d’en bas », ceux qui « sentent la clope et le diesel », parfois « sans dent » qui ne savent toujours pas comment faire les fins de mois… qui souvent commencent au début de chaque mois.
Passons…
 
« Lili-Born », née il y a 61 ans, aura été membre du gouvernement tout au long du premier mandat de « Jupiter », après être passée par la SNCF et la RATP, deux entreprises publiques aux syndicats revendicatifs à souhait.
Ancienne directrice de cabinet de « Ségololo », sont côté « soce » et « écololo-bobo », elle aura été conseillère technique en 1991 auprès de « Tonton-Yoyo », « d’Jack-Langue », « sinistre de les-ducs-à-Sion » du gouvernement « d’Édith-La-salade-de-Cresson », cette ingénieure des ponts et des chaussées entamait alors sa carrière politique.
Elle a même ensuite collaboré avec « De-La-Nuée » et « Sœur-Âne » entre 2008 et 2013 comme directrice générale de l’urbanisme à la mairie de Paris.
« Je pense que c’est un très bon choix, parce que c’est une personne remarquable, pas parce que c’est une femme », a immédiatement réagi sa lointaine prédécesseuse. « Elle est suffisamment compétente et expérimentée, et en plus, elle est courageuse, ce qui est une vertu tout à fait nécessaire dans cette fonction » qu’elle en rajoute : On va bien voir…
« C’est le choix de la compétence au service de la France, d’une femme de conviction, d’action et de réalisation » a sobrement annoncé l’Élysée dans son communiqué, lundi après-midi dernier.
Elle aura fait la totalité du précédent quinquennat comme le « sinistre des Transports, de la Transition écolologique », puis du Travail : Pas mal pour une ancienne préfète de la région Poitou-Charentes !
 
« Une fille extraordinaire, épatante, humaine, une bête de travail incroyable », « Le temps libre ? Un concept intéressant » en disait-elle encore récemment…
Tel qu’elle aura été surnommée « Burn out »…
« Une bête de travail incroyable », une « bosseuse infatigable », selon un intime cité par Le Monde (ce torchon), qui partage avec son nouveau n + 1 une certaine propension à envoyer des messages au milieu de la nuit comme si c’était la fin de la pause déjeuner.
N’en jetez plus : Elle ne dort jamais ?
 
« Sa nomination commence dès les premiers instants par une tentative de tromperie, Mme Borne serait une femme de gauche, mais nous ne lui accordons pas ce label », a tonné « Mes-luches », comme s’il avait l’exclusivité® du qualificatif !
C’est vrai qu’elle reste une « des figures les plus dures de la maltraitance sociale ». De son côté, « Cendrine-Rousse-eau » brocardait une ministre responsable du « non-respect de la convention citoyenne sur le climat et du maintien de l’avantage fiscal sur l’huile de palme ».
Notez que ça tombe bien : Il n’y a plus d’huile de tournesol…
 
Ses soutiens préfèrent mettre en avant son « sens du dialogue » pour mettre au pas les entreprises récalcitrantes sur la question du télétravail lors de la phase aiguë de la pandémie et les longues phases de concertations ouvertes aux syndicats, qui ont fait d’elle la « sinistre » « des réformes impossibles devenues possibles », d’après « Castagneur ».
Le sens du dialogue… on va y revenir !
Une réputation enviable au sein de la majorité qui sera rapidement mise à l’épreuve par la « mère de toutes les batailles », la fameuse réforme des retraites voulue par « Jupiter » (et les éléments démographiques chiffrés) et plusieurs fois repoussée.
Il n’avait d’ailleurs pas échappé à l’intéressée elle-même que se frotter au suffrage universel ne ferait pas de mal à sa légitimité ce printemps : Avant d’être appelée par le président de la République pour remplacer « Casse-tête » parti refaire la peinture de ses volets et de sa rambarde (je sais : C’est long et pénible !), elle avait déclaré sa candidature au poste de député de la 6ème circonscription du Calvados.
Se dégonflera-t-elle ?
Probablement, faute de temps pour faire une campagne de terrain qu’elle ne connait même pas !
 
Ceci dit, à peine son nom annoncé, « Lili-Born » s’est retrouvée sous le feu des critiques des principaux opposants de « Jupiter » : Un classique !
Qu’en diront-ils quand ils seront nommés par le même à Matignon… s’ils parviennent à faire « majorité » ?
Elle serait ainsi « parmi les figures les plus dures de la maltraitance sociale » selon « Mes-Luches ».
Ce qui n’est pas faux.
Il la tient notamment pour « personnellement responsable qu’un million de chômeurs aient leur allocation baissée », et souligné qu’elle s’était « prononcée pour la retraite à 65 ans ».
L’ancienne candidate « Air-haine » à la présidentielle a de son côté dénoncé la « poursuite de la politique de mépris, de déconstruction de l’État, de saccage social, de racket fiscal et de laxisme » de « Jupiter ».
Facile…
Le secrétaire national du PCF et ancien candidat à la présidentielle « Fab-Rousse-Aile » a lui affirmé que « 70 % des Français ne veulent pas de la réforme des retraites proposée par Macron » et appelé à « faire barrage à cette politique aux élections législatives ».
Et puis ensuite de descendre dans les rues pour protester ?
Seul « point positif » de cette nomination relevé par « Olive-Fort », premier secrétaire du « P.Soce » : Le fait que « Lili-Born » soit une femme.
Il veut la baiser le saligaud ?
Pour le reste, c’est la « nomination de la ministre des transports qui a démantelé le service public ferroviaire, de l’écologie condamnée pour inaction climatique, du travail qui a spolié les chômeurs avec la réforme de l’assurance chômage », a-t-il déploré.
Même message du côté des « écololos », qui lui adressent ses « félicitations républicaines » mais soulignent que son genre et le « seul motif de satisfaction de cette nomination ».
Tous des obsédés !
Et de mauvais goût en plus, à mon sens…
Dans un communiqué, le parti juge notamment que la nouvelle Première ministre porte avec d’autres « la responsabilité de ces cinq ans de perdus pour le climat ».
Mais le climat n’a rien perdu.
Ni gagné quoique ce soit : Il faut qu’ils se réveillent, là !
 
Tous les opposants de « Jupiter » n’ont toutefois pas déploré l’arrivée « Lili-Born » à Matignon. L’ancienne candidate « LRd » à la présidentielle, « Valy-Pète-Cresse » lui présente « toutes (ses) félicitations républicaines ».
Et de rajouter : « Elle a incontestablement le parcours d’engagement nécessaire pour devenir la deuxième femme Premier Ministre de notre pays », a-t-elle jugé, lui souhaitant « le meilleur pour la France ».
« L’ex-LRd » « Chrichri-Est-ce-trop-z’y » a lui salué une « femme d’action qui a été au service de la France sur des dossiers essentiels ».
« Son expérience sera précieuse après les réformes ambitieuses qu’elle a accompagnées sur les transports, l’écologie et le travail », a-t-il ajouté.
Ah oui ?
Lesquelles au juste ?
De même, plusieurs anciens collègues dans le gouvernement de « Casse-tête » lui ont également adressé leurs félicitations, dont l’ancien ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation « Juju-De-La-Normandie » qui a salué « une femme d’État, engagée et compétente », ou encore « Freddy-Vide-d’al », ancienne « sinistre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche », qui estime qu’elle « saura relever les défis immenses des prochaines années au service de la France ».
Quant à l’ancien « Sinistre de l’Intérieur-&-des-cultes », « Gégé-dard-à-la-main » ou encore quant à la « sinistre déléguée chargée de la Citoyenneté », « Marre-laine-Chie-à-pas », ont aussi joyeusement et républicainement réagi.
 
Parce qu’il ne faut jamais insulter l’avenir, « Cathy-Veau-train », dont le nom avait été cité avec insistance ces derniers jours comme potentielle Première ministre, les pieds encore dans ses « starting-blocks » exulte : « Enfin une femme à Matignon ! Bravo à Elisabeth Borne et plein succès à la France », s’est-elle réjouie sur « Twister ».
Idem pour « Marie-sol-Tour-haine », ancienne « sinistre de la Santé », dont le nom avait également circulé la semaine dernière : Elle a salué « un grand pas pour l’égalité » et lui a adressé ses « félicitations chaleureuses ».
« Voyons le verre à moitié plein : c’est une femme », réagit la secrétaire nationale adjointe des « écololos ».
Elle a vérifié ?
Faux-kul, l’enthousiasme s’arrêtera là.
Celle qui devrait être chargée de la planification écolologique, n’enchante pas vraiment les « Verdoyants » : « Elle a été ministre de l’Écologie, mais n'a pas été en capacité de mettre la France sur les rails de l’accord de Paris, de respecter nos engagements sur les énergies renouvelables » poursuit la numéro deux des « écololos ».
« Si elle avait une fibre environnementale, on n’aurait pas ce bilan d’inaction climatique pour le quinquennat. »
Paf, dans les dents !
« Juju-Ba-you », estime de son côté que la nouvelle cheffe du gouvernement « partage, avec d'autres, la responsabilité de ces cinq ans perdus pour le climat ». Et rappelle qu’« en tant que ministre du Travail, elle a perpétué une politique brutale à l’égard des personnes les plus vulnérables dans le pays avec notamment la mise en œuvre de la réforme de l’assurance-chômage », sans compter qu’elle mènera la réforme reportant l’âge de la retraite voulue par « Jupiter »
 
« Ce n’est pas une figure de l’écologie : il n’y a ni l’ambition, ni la réalisation sur cinq ans », tacle le coordinateur de « Génération·s », parti membre du pôle écolologiste.
« Si elle est écolo ou même de gauche, je suis joueur de foot professionnel ! »
Et moâ reine d’Angleterre : C’est juste une « techno » de plus qui connaît tout sans rien savoir de la « vraie vie réelle ».
Avis partagé par un eurodéputé « Verdoyant » et ancien secrétaire national du parti, pour qui peu importe de savoir si la Première ministre a une fibre écologiste ou pas. « C’est une techno, elle fera ce qu’on lui demande, d’autant que, comme Jean Castex, elle n’a pas de poids politique particulier. C’est une super-secrétaire générale de l’Élysée. »
Il va plus loin que moâ : « Jupiter » peut bien promettre que son quinquennat sera celui de l’écologie, c’est son logiciel qui pose problème. « Pour lui, c’est une ligne de plus dans le tableau Excel, pas le prisme avec lequel on doit tout revisiter. »
 
C’est vrai que « Jupiter » aura manqué une occasion unique de scier à jamais ses « opposants » : J’aurai nommé « Cendrine-Rousse-Eau », « l’écololo » trotskiste, ou même « Cléclé-Haut-Teint », l’égérie des LFI.
Là ça aurait eu de la gueule !
Voir « Si-bête-la-diarrhée » qu’on puisse se bidonner durant un mois…
Mais non, il choisit un épouvantail, sans doute pour mettre en valeur sa « Bibi » d’épouse, qui plus est qui fait figure « de croquemitaine politique ».
Car il faut se rappeler : Pour son premier poste de « sinistre de la République », elle avait alors hérité des Transports et mené une large réforme de la SNCF, qui a suscité la grève la plus longue de l’histoire des cheminots.
Pour l’attachement à la question sociale, on repassera, donc.
Au cours de son mandat elle a régulièrement agité le thème de « l’assistanat », assurant par exemple que l’assurance chômage devait absolument être réformée en raison de sa trop grande « générosité ».
Ce qui n’est pas faux non plus…
Elle a aussi planché sur la controversée réforme des retraites promise par « Jupiter » qui s’est terminé en queue de poisson autour des ronds-points.
Dans le sillage de la démission de « Fanfan-deux-Rugdy » à qui elle a succédé elle n’a jamais réussi à imposer les questions écolologiques sur l’agenda politique.
Preuve du peu d’importance que « Jupiter » accordait alors à ce sujet, elle n’avait pas le titre de « Sinistre d’État », contrairement à ses prédécesseurs.
 
Par ailleurs, et si vous avez aimé le scandale McKinsey et le manque de transparence du gouvernement précédent, vous ne serez probablement pas déçus de la suite : En janvier 2020, la presse avait épinglé une omission dans sa déclaration d’intérêts, car elle avait sciemment évité de mentionner sa participation passée à l’Institut de la gestion déléguée, un lobby qui milite notamment pour la délégation de projets publics au secteur privé.
Certes, elle avait démenti avec virulence, avant d’être sommée de compléter sa déclaration par la HATVP (Haute Autorité pour la transparence de la vie publique).
Elle est aussi membre de « Territoires de progrès », la petite chapelle semi-secrète « soce-démocratouille » de la majorité « Jupitérienne », après avoir alterné des allers-retours entre les cabinets ministériels et des entreprises.
Elle avait alors travaillé de concert avec « Alex-Colère », le directeur de cabinet de « Jupiter » lors de son passage au ministère de l’Économie. Ses deux plus proches interlocuteurs désormais.
 
J’y reviens : Elle est également considérée comme « dure », « colérique », voire « cassante » par les cheminots qui n’en gardent pas un bon souvenir.
C’est peu dire que les syndicats de cheminots ont tout fait pour tenter d’empêcher la réforme ferroviaire mais se sont heurtés à un mur : « C’est quelqu’un de très dur dans la négociation et en dehors. Elle est aux ordres donc ce n’est pas toujours facile de faire du dialogue social ».
« Nous arrivions avec nos revendications, elle les écoutait mais elle avait déjà pris sa décision avant qu’on arrive. »
Des coups à se sentir inutile…
À les entendre tous, « Lili-Born » connaissait certes son dossier mais manquait singulièrement d’empathie et pouvait se montrer parfois colérique ou cassante.
Ils ne misent donc pas sur un dialogue très fructueux, alors que l’une des priorités de la nouvelle Première ministre sera sans doute de faire adopter la réforme des retraites et accessoirement la fin des régimes spéciaux, dont celui de la SNCF.
 
C’est « Mes-Luches » qui reste de toute façon le plus « perché ». Il aura « twisté » avant la nomination de « Lili-Born » : « Grande tension avant la nomination de mon prédécesseur. Sera-t-elle de droite ou bien de droite ? », avant d’ajouter un condescendant : « Personne ne veut le job. C’est un CDD de mission d’intérim. »
Et encore, « Lili-Born » n’avait pas déjà été nommée et n’avait pas prononcé un seul mot en sa nouvelle qualité.
 
Ainsi va la vie politique de mon pays (celui que j’aime tant et qui me le rend si mal…).
Des gens « pas sérieux » alors qu’on s’entretue avec férocité aux portes de l’Europe et que le monde est menacé par une gigantesque famine !
Ça ne me fait pas vraiment rire : « Jupiter » aura bien trop tardé à la nommer que c’en est scandaleux puisque personne ne voulait du poste.
Au moins, elle, elle a les kouilles d’y aller tout de même…
Pour une dame, c’est assez paradoxal, finalement, trouve-je !

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