Le quart-d’heure homophilique de Jean-Marc

Quand il est avec Jean-Paul, devant une bière…
 
Ils philosophent tous les deux en regardant passer les passants devant leur terrasse.
« – Sais-tu comment on fait pour gâcher une partouze d’homosexuels ?
– Bé oui !
– Dis-y ?
– On met du sable dans la vaseline ! »
 
Un gay s’adresse à un hétéro :
« Si tu étais allé faire du camping, et qu’en te réveillant tu te retrouvais couvert de vaseline avec l’anus douloureux, tu en parlerais à quelqu’un ? »
Le gars lui répond :
« – Euh, je ne pense pas.
– Ça te dirait d’aller faire du camping ? »
 
Plus tard, Jean-Paul et Jean-Marc, philosophe toujours devant une bière, en terrasse.
« – Quelle est la différence entre une fourchette et un gay ?
– Bé… Je ne vois pas…
– La fourchette pousse le plat du jour. Le gay, pousse le plat de la veille ! »
 
C’est l’histoire de deux garçons qui se croisent dans la rue.
Ils s’arrêtent complètement ébahis et se regardent.
« – Comme tu es beau !
– Et toi aussi tu me plais !
– T’es gay, toi ?
– Non, et toi ?
– Moi non plus… »
Et les deux, en même temps :
« Quel dommage ! »
 
Les mêmes à propos de Bill…
« – On se demande bien comment Bill Clinton, un homme sensé et intelligent, a bien pu se laisser aller si bas. Comportement très peu respectable pour un homme de son calibre.
– Tu sais, Dieu a créé l’homme avec une tête et un pénis. Mais Dieu lui a aussi laissé suffisamment de sang pour pourvoir utiliser soit l’un ou soit l’autre. Jamais les deux en même temps. »
 
« Hey ! les gars, faites attention sur la route les soirs de fins de semaine parce qu’il y a plein de gars chauds qui passent le volant à leur femme. »
 
Une revenue, mais détournée :
Le père, la mère et le fils se rendent à un camp de nudiste.
Le petit gars se promène sur la plage tout surprit il revient et demande à sa mère :
« Pourquoi certaines femmes ont-elle de petits seins et d’autres en ont des gros ? »
La mère lui répond que plus ils sont gros, plus elle est idiote.
Le petit gars, satisfait de la réponse, retourne sur la plage.
Il revient plus tard, tout étonné et demande à sa mère :
« Pourquoi certains hommes ont-ils un petit pénis et d’autres en ont un gros ? » La mère lui dit que plus le pénis est gros, plus l’homme est idiot.
Le petit gars, satisfait à nouveau de la réponse, retourne sur la plage et après quelques minutes revient à nouveau voir sa mère et lui dit :
« Pourquoi papa parle avec une femme très idiote et qu’il devient de plus en plus idiot ? »
 
Un Texan en voyage dans la Beauce parle avec un fermier local de la grandeur de leurs exploitations.
Le Texan dit alors au Beauceron :
« – Moé, mon terre est assez grand, que quand je pars de la maison le matin avec ma pick-up, j’arrive au bout de mon terre le soir au crépuscule.
– Ouais ! » dit le beauceron. « J’en avais un pick-up et je l’ai vendu Pas assez rapide. »
 
C’est Jean-Marc qui va chez son médecin et il se fait tester positif au « Conard-virus ».
Son médecin lui dit :
« – Restez chez vous pendant deux semaines et ne sortez surtout pas ! Et aussi ne mangez que des crêpes !
– Pourquoi « que des crêpes » ?
– Parce que c'est la seule chose qui passe sous la porte. »
 
Le téléphone sonne.
Le majordome répond.
« – Allo ! Oui ?
– Archibald, dites à Madame que ce soir je ne rentre pas dormir.
– Très bien Monsieur, de la part de qui ? »
 
Jean-Marc à Jean-Paul devant une autre bière, mais toujours à la même terrasse :
« Ma femme et moi on a atteint une parfaite compatibilité sexuelle : Hier on a eu tous les deux mal à la tête. »
 
Confidence de Jean-Paul :
« – Ma copine, celle avec qui je sors depuis six ans, m’a finalement parlé de mariage.
– Ah ! oui ? Et qu’est-ce qu’elle t’a dit ?
– Qu’il s’appelle Jean-Roger et qu’ils ont eu trois enfants. »
 
Jean-Marc, gamin a eu 20/20 en rédaction et sa maîtresse lui dit :
« – Tu peux me l’avouer, ta mère t’a aidé.
– Non, elle ne m’a pas aidé, elle l’a faite toute seule ! »
 
Dans un square, trois messieurs d’un certain âge discutent de leurs dernières volontés.
Le premier :
« Moi j’aimerais être enterré à Colombey-les-Deux-Églises parce que j’ai toujours admiré le General De Gaulle. »
Le second :
« Eh bien moi, j’aime beaucoup l’œuvre de Victor Hugo et je voudrais finir mes jours dans le même cimetière que lui. »
Le troisième :
« Moi j’aimerais reposer à côté de Brigitte Bardot. »
Les deux autres le regardent étonnés et lui disent :
« Mais elle n’est pas morte ! »
Il rétorque :
« Ben justement, moi non plus ! »
 
Après 35 ans de mariage, Jean-Marc dit à sa femme :
« Chérie, il y a 35 ans, on avait un petit appartement, une vieille voiture, on dormait sur le canapé en regardant une télé en noir et blanc de 41 cm, mais je dormais avec une jeune blonde de 25 ans…
Maintenant on a une maison à 500.000 euros, une Mercédès à 100.000 euros, un lit à eau, une télé couleur écran plat de 130 cm et je dors avec une vieille de 60 ans ».
Sa femme lui répond alors :
« Tu as juste à te trouver une jeune blonde de 25 ans et mon avocat fera en sorte que tu te retrouves dans un petit appartement, avec une vieille voiture, et que tu dormes sur un canapé en regardant ta télé noir et blanc de 41 cm ! ».
 
Un bon père de famille fait des reproches à son fils :
« Écoute fiston, les boucles d’oreilles, sont pour les pirates, les femmes ou les gays, et je n’ai pas vu de bateau dans le garage. »
 
Jean-Paul rapporte à Jean-Marc que l’autre soir à la salle de danse, une femme lui a demandé :
« – Pourquoi vous les hommes, vous n’avez pas le droit de porter un veston ou des pantalons en cuir ?
– Parce que c’est chien de déshabiller un cochon pour en habiller un autre. »
 
Un matin St-Pierre reçoit une lettre recommandée de Lucifer, on y lit :
« Le chemin conduisant de chez-vous à chez-nous commence à être pas mal détérioré, cela est dû au fait que vous nous envoyé beaucoup de personnes.
Nous avons consulté nos avocats et selon eux vous devez en assumer entièrement les réparations. »
Un mois plus tard Lucifer reçoit de St-Pierre la réponse suivante :
« Nous avons cherché ici au ciel, un avocat afin de le consulter sur le sujet et nous n’en avons pas trouvé un seul, nous avons donc décidé d’assumer les frais des réparations. »
 
Lettre trouvée dans un grenier.
« St-Preux 20 déc 1944.
Mon cher fils,
Je prends ma plume pour t’écrire au crayon car le chat a renversé l’encrier.
Nous allions tous bien, mais depuis que le docteur est venu nous sommes tous malade.
Je te dirai que depuis que tu es parti on s’aperçoit de l’absence de ta présence.
Tâche de faire un bon soldat comme ton père qui a eu 4 blessures, une à Madagascar, l’autre à la fesse, une à l’improviste, puis la dernière à bout portant.
Je t’annonce le mariage de ton oncle avec cette dame qui nous a tant fait rire à l’enterrement de ta cousine.
Fais bien attention, les cochons crèvent tous en ce moment, Jean-Ernest Glandu y a passé avec.
Il y aura une fête au village et il y aura une course d’ânes. Monsieur le maire regrette que tu ne sois pas là, tu aurais certainement gagné le prix.
Si tes chaussettes sont trouées, envoie-moi les trous que je les raccommode.
Je t’envoie des chemises neuves que j’ai faites dans les vieux pantalons de ton père. Quand elles seront usées, renvoie-les moi que j’en fasse des neuves à ta sœur.
Le vétérinaire est venu soigner les maladies des bêtes à cornes (taureaux vaches) il en a profité pour soigner ton père.
À part cela, rien de nouveau si ce n’est que la vache a eu un veau, le petit va toujours à l’école.
Si tu n’as pas le temps de m’écrire, écris-moi pour me le dire.
Ne fais pas d’imprudence et si tu tombes malade, viens mourir ici : ça me fera bien plaisir de te voir mourir avec nous autres.
Ta mère qui pense à toi quand elle tire les vaches.
Madeleine du Pontier »
 
« – Quelle est la plus grande qualité de Monica Lewinsky
– Être habille, bien sûr ! (à Bill) »
 
C’est une petite fille de 6 ans qui sort de la chambre à coucher de ses parents en vitesse en criant :
« Dire qu’ils veulent m’envoyer voir un psychologue parce que moi, je suce mon pouce ! »
 
Trois hommes, qui après s’être mariés, et avoir eu des enfants, meurent de façon soudaine.
Ils se retrouvent donc tous les trois devant St Pierre qui leur dit :
« Ici, comme le paradis est un immense endroit vous aurez une voiture pour vous déplacer. La marque de la voiture sera en fonction des fois où vous avez trompé vos femmes. »
Donc St Pierre ouvre son grand livre et dit au premier homme :
« Je vois que votre réputation de coureur de jupon est vérifiée. Je plains votre femme. Mais comme vous étiez gentil avec elle Dieu vous offre une Renault. »
Penaud l’homme part en direction du paradis dans sa Renault.
Alors St Pierre regarde le deuxième homme et dit :
« Vous êtes un peu mieux, vous avez trompé votre femme 2 fois seulement, Dieu vous offre une Mercedes. »
L’homme heureux part en direction du paradis avec sa Mercedes.
Alors St Pierre regarde le dernier et dit :
« Alors vous, vous êtes un saint, vous n’avez jamais trompé votre femme, pour vous féliciter Dieu vous accorde une Lamborghini. »
L’homme heureux part tout fier dans sa voiture de rêve.
Le lendemain l’homme à la Renault rencontre l’homme à la Lamborghini, celui-ci pleurait comme un enfant sur le capot de sa voiture.
L’homme à la Renault lui demande :
« Voyons ! Qu’est-ce qu’il se passe ? »
L’homme à la Lamborghini lui répond :
« Je viens de voir passer ma femme en trottinette… »
 
Quel est le comble de l’électricien ?
« Ne pas être au courant ou Avoir des ampoules aux mains ! »
 
C’est l’histoire d’une jeune femme, en manque, qui va dans un magasin de sexe dans le but de s’acheter un sex-toy.
Elle demande au vendeur de lui offrir ce qu’il y a de meilleur.
Le vendeur lui sort le tout dernier modèle de vibrateur, le “Pénis Vaudou”. Puis, il explique à sa cliente son fonctionnement :
« Ce vibrateur est révolutionnaire. Vous n’avez qu’à dire “pénis vaudou” deux fois, puis l’endroit où vous voulez qu’il aille et il y sera. »
La jeune femme, septique, demande si elle peut l’essayer. Elle dit :
« Pénis vaudou, pénis vaudou, dans ma main. »
Et le sex-toy se rend aussitôt dans sa main, ce qui convainc la jeune femme de l’acheter.
En entrant dans sa voiture, elle a eu envie de l’essayer tout en conduisant :
« Pénis vaudou, pénis vaudou, entre mes deux jambes. »
Aussitôt dit, aussitôt fait.
Un peu plus tard, comme la jeune femme roulait « un peu spécialement », un policier l’interpelle :
« Vous devez être très saoule madame, pour conduire de cette façon. »
Et elle répond :
« Ce n’est pas ma faute, c’est le Pénis Vaudou ! »
Le policier qui n’aimait pas qu’on se moque de lui, répondit en riant :
« Pénis Vaudou, Pénis Vaudou ! Mon cul ! »…
 
« – Quel est le comble du dentiste ?
– Trouver sa femme avec un mal de dents. » (mâle dedans)
 
Après plusieurs années de pratique, un gynécologue en avait assez de sa profession et veut réaliser un vieux rêve.
Il s’inscrit à des cours de mécanique automobile.
Tout va bien, il passe ses examens et obtient 125 % pour tous les examens.
Tout surpris, il va voir l’instructeur et lui demande des explications.
« Pourquoi 125 % alors que les autres ont 100 % ? »
Le prof de répondre :
« C’est simple tu as eu 50 % pour la mécanique, 50 % pour la théorie et 25 % parce que tu es le seul à avoir sorti le moteur par le pot d’échappement. »
 
D’ailleurs, quel est le comble du gynécologue ?
« Être le seul à travailler là où les autres s’amusent ! »
Solutions des « contre-pets » de la semaine passée :
 
« Le sauvage a retrouvé son Gland dans la Crotte »
« C’est la MAGie de Noël… »
« Jean-Marc se fait volontiers pompeR en parlant dE cuL ! »
 
Propositions de la semaine :
 
« Ce sont de belles formules… »
« Des vendeuses pétillantes proposent quelques fripes… »
« J’ai vu un cochon emballé ! »
 
Bon week-end à toutes et à tous tout de même !
 
I³